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Lada Niva
Pour les articles homonymes, voir Niva (homonymie).Lada Niva - Dénomination officielle : VAZ-2121 "Niva" ((ru) ВАЗ-2121 "Нива") pour la 3 p. et VAZ-2131 "Niva" ((ru) ВАЗ-2131 "Нива") Constructeur AvtoVAZ - Lada Production totale - exemplaires Classe 4x4 Moteur et transmission Architecture moteur Essence : 4 cylindres 1600 cm³, 1690 cm³ mono- puis multipoint (81 ch) ; Diesel : 4 cylindres 1900 cm³ atmosphérique de 64 ch. (1993-1998) puis turbo (2001-) de 92 ch. Transmission aux 4 roues, 4 (1977-1985) puis 5 vitesses (1985-) Poids et performances Poids (à vide) 1210 (3 portes), 1400 (5 portes) kg Émission de CO2 242 à 282[1] g/km Châssis - Carrosserie Carrosseries bicorps Dimensions Longueur 3740 (3 portes), 4200 (5 portes) mm Largeur 1680 (3 portes), 1725 (5 portes) mm Hauteur 1640 (3 portes), 1690 (5 portes) mm Chronologie des modèles (1977- (modernisée en 1993 ; version 5 portes en 1995)) Néant Néant modifier La Niva est un modèle véhicule tout-terrain, à transmission intégrale (4x4), du constructeur automobile russe AvtoVAZ et vendu sous la marque Lada. Le véhicule est vendu dans certains pays, depuis le milieu des années 2000, sous la simple appellation Lada 4x4.
Sommaire
Toute l'histoire
Au début des années 1970 l'automobile en Russie connaît un bond incroyable avec la naissance de VAZ qui permet à un grand nombre de personnes d'avoir un véhicule. Toutefois malgré leur robustesse ces premières Lada ne passent pas partout. En effet dans de nombreuses campagnes l'état des chemins empêche les voitures classiques de s'y aventurer. La solution, un véhicule tout-terrain bien sûr. Mais en 1970 il n'existe que la Jeep - trop américaine - les Land Rover et Land-Cruiser, trop chers ou les trop allemandes Iltis et Auto-Union Munga. Bien sûr il y a bien les UAZ mais leur production est mobilisée pour les armées communistes du monde entier... Il faut donc concevoir un 4x4 russe populaire. Voilà pourquoi dès 1971 démarre le projet 2121. Mené par Vladimir Sergeevicha (chef du projet), Piotr Mikhaïlovitch (ingénieur général) et Lev Petrovitch (responsable du design), il prend d'abord la forme d'une classique Jeep, un peu Munga, c’est-à-dire bâchée et sans portes. Ce premier prototype est équipé du 1300 cm³ Fiat de la 2101, une cylindrée vite jugée trop faible. De plus la rusticité de l'engin ne plaît pas aux dirigeants soviétiques qui exigent que les automobilistes des campagnes bénéficient du même confort que ceux des villes. Il faut donc revoir le projet et y ajouter un toit et de vrais portières.
Le succès
Il faudra attendre 1973 pour voir le résultat de ces changements, ils sont radicaux. Ce nouveau design, inspiré par celui des premières Lada « Fiat » et plus particulièrement le concept 1101 « Cheburaska », est dû au jeune Valery Pavlovitch, aujourd'hui encore designer chez Avtovaz et père notamment de « l'autre » Niva, la 2123. Bien sûr la carrosserie est entièrement en tôle, vitrée, avec deux portes et un hayon, ensuite le moteur est passé à 1600 cm³ mais surtout la caisse est auto-porteuse, les roues avant sont indépendantes et la transmission intégrale est permanente avec possibilité de blocage du différentiel central . Des solutions techniques révolutionnaires pour l'époque ! Il en résulte des performances certes modestes sur routes mais exceptionnelles en tout-terrain. Ainsi même les pentes jusqu'à 58%, les gués jusqu'à 60 cm et les couches de neige jusqu'à 1m ne peuvent suffire à arrêter cet engin! Pendant deux ans ce prototype va évoluer sensiblement mais surtout il va être soumis à des tests d'endurance hors-normes en Ouzbékistan et Porsche va entrer dans l'aventure, en développant notamment une boîte de vitesses à 4x2 rapports (celle-ci était initialement prévue pour un petit véhicule tout-terrain Porsche mais il ne verra finalement jamais le jour). En 1976 Avtovaz présente enfin officiellement le projet final, la Lada 2121 est née! Elle est baptisée « Niva », ce qui signifie « champs » (au sens de champs exploité par l'homme) en russe, car c'est là, pense-t-on qu'elle passera sa vie. Mais les concepteurs de la Lada ignoraient que les atouts de ce 4x4 allaient lui permettre de dépasser toutes les frontières.
La production industrielle commence en 1977 et la Niva est commercialisée la même année en URSS. Il faut attendre le Salon de Paris 1978 pour que le modèle soit commercialisé en Europe mais l'attente en valait la peine. Léger, compact, robuste, passe-partout, confortable et surtout très économique, le Niva conjugue des qualités alors inconnues sur un 4x4. En effet en 1978 les tout-terrains sont restés tels qu'ils étaient dix ans plus tôt, et même bien avant, c'est-à-dire: lourds, encombrants, spartiates et très chers. C'étaient alors uniquement des engins agricoles et forestiers dont l'usage complétait celui d'une voiture conventionnelle. Avec le Niva tout change, bien sûr de par ses prix, il permet à un plus grand nombre de s'offrir un 4x4 mais surtout grâce à sa polyvalence il supplante vite tous les autres et s'adjuge, dès le premier mois de vente, 40% de part de marché en Europe ! Cette hégémonie se poursuivra pendant quinze ans, sans véritable concurrence. En effet hormis l'anémique Suzuki Santana SJ 410 (devenu par la suite Samuraï) et le dantesque Aro série 10, les années '80 n'offrent aucune alternative de tout-terrain accessible et efficace. Durant cette époque le Niva est partout dans les montagnes, les forêts et les campagnes bien sûr mais aussi, et c'est une première, dans les villes. Pour la première fois en effet un 4x4 ose prendre sa place dans le flot urbain, ses dimensions et ses formes de petit break lui attirent même les grâces de la gent féminine. De nombreuses personnes qui jusqu'alors n'auraient jamais envisagé une seconde l'achat d'un 4x4 franchissent le pas et découvrent par la même occasion un nouveau loisir : le loisir tout-terrain.
Nombreux sont ceux qui profitent des week-ends pour se livrer au petit jeu du franchissement et s'ébattre en toute liberté dans la boue et les petits chemins ravinés au volant de leur Lada Niva, ce qui ne serait pas spécialement venu à l'esprit de ceux dont l'usage d'un tout-terrain est une obligation quotidienne. Le succès est tel qu'apparaissent des clubs et des écoles où est enseigné ce loisir récent, avec des Niva bien sûr! Conçu pour les steppes russes le Niva s'est donc transformé en objet de mode en Europe, à tel point que par un beau matin du printemps 1983 apparaît une version cabriolet signée par le carrossier français Wassermann. Les séries spéciales se multiplient, et continuent à se perpétuer aujourd'hui. Qu'elles soient « Grand Large », « Paris-Saint-Raphaël », « Field », « Olympe », « St-Tropez », « Orix », « Deauville », « Tinga », « Taïga », « Safari », « Randonnée » ou dernièrement « Passion », toutes ont permis au Niva de se maintenir aux sommets des ventes, satisfaisant ses inconditionnels ou séduisant de nouveaux acheteurs.
C'est aussi la 1re Lada non clônée sur une Fiat bien que le moteur 1600 cm³ carbu de 73ch des débuts était issu de la gamme italienne. En 1985, la boîte passe à 5x2 rapports. Puis en 1994, le vieux bloc Fiat cède la place à un 1700 cm³ 100% Lada toujours à carbu mais ce dernier sera immédiatement remplacé en Europe par une injection monopoint d'origine GM. En 2000 celle-ci cédera à son tour sa place à une injection multipoint (81ch). Une version 1.9l Diesel de 64 ch (moteur PSA ) fut commercialisée de 1993 à 1998 puis ce fut au tour d'un 1.9l Turbo Diesel de 92 ch (toujours PSA) à partir de 2001 mais uniquement sur certains marchés (dont la Belgique mais pas très longtemps...). Le Niva est tellement omniprésent qu'à la fin des années '80, les nombreux propriétaires de Niva sont invités à prendre part à la « Nivalp », une grande randonnée de plusieurs jours à travers les Alpes françaises, suisses et italiennes.
Néanmoins le Niva demeure un formidable engin de chantier et lorsqu'en 1991 français et anglais débutent les titanesques et historiques travaux de l'Eurotunnel, c'est lui qui est choisi pour assumer les liaisons sur le chantier. La petite Lada fut dès lors le premier véhicule à rouler sous la mer !!! Pendant des mois pas moins de 45 Niva vont s'activer dans ce bourbier indescriptible, où lui seul est capable de s'aventurer, sans jamais connaître de défaillance, à tel point qu'une fois les travaux terminés, la société Eurotunnel décida de revendre ces 4x4, jugeant qu'ils étaient encore bons pour le service ! Aujourd'hui beaucoup roulent encore sauf un qui a rejoint le musée de l'Eurotunnel et un autre le musée Lada.
Dire que sans le Niva ce tunnel n'existerait peut-être pas aujourd'hui est sans doute exagéré mais tout de même il y a là de quoi susciter l'admiration. Tout comme d'ailleurs l'histoire du Niva en compétition, où il a été appelé depuis très longtemps...
sources : E. LARDINOIS
Sport
Dès sa commercialisation en effet le Niva a, de par ses capacités off-road, attiré l'attention d'amateurs d'un sport nouveau : le rallye raid. Le premier à vraiment y croire est Jean-Claude Briavoine, c'est lui qui le premier avec son Niva quasi de série va signer les premières lignes du palmarès de Lada en sport tout-terrain. Très vite l'importateur français Poch lui viendra en aide, ouvrant ce sport au professionnalisme. L'écurie Lada-Poch est née et enchaîne les succès attirant dans ses rangs des pilotes mythiques tels Jean-Louis Schlesser, André Trossat ou Pierre Lartigue, le plus titré d'entre tous puisqu'il deviendra champion du monde. Même le légendaire Jacky Ickx a couru et gagné en Niva !
La liste des succès serait trop longue, citons en vrac le rallye de Tunisie, le rallye de l'Atlas, le rallye d'Algérie, le rallye des pharaons et de nombreuses Baja (dont la célèbre Montesblanco). Seul le Dakar se refusera en fait à lui, non sans pourtant avoir signé de nombreuses belles victoires d'étapes.
C'est l'époque des prototypes sans réels rapports avec le Niva de série, mais efficace tout de même ! Ainsi, le modeste 4x4 russe se transforma petit à petit en bête de course et sa puissance fut portée à 120 ch dès 1980. En '81 le Niva est équipé du 1800 Turbo de la 2105 VFTS avec pour résultat un 1er podium au Dakar. Lada récidivera les 2 années suivantes. Grâce à ses nombreuses autres victoires dans d'autres épreuves, Lada devient le 1er champion du monde d'une jeune discipline en plein essor, appelée rallye-raid ! En '84, ce sport se professionnalise vraiment et c'est le début des F1 déguisées en 4x4. Chez Lada on suit avec le Niva SMM, piloté par Jabouille et équipé d'un moteur PRV 3.5 l V6 de 270 ch puis avec le Niva ROC équipé d'un moteur de F2 américaine de plus de 300 ch avec une turbine lui procurant une sonorité d'hélicoptère.
Cette course à la puissance liée aux exigences du marketing poussera Lada-Poch à remplacer les protos Niva par des protos Samara en 1990 (voir pages « sport » ) mais le Niva ne pouvait pas disparaître comme cela de la compétition. Ainsi de nombreux Niva continuèrent, avec succès, continuèrent, jusqu'à nos jours à courir aux mains d'amateurs doués, tel le suisse Michel Hunziker par exemple, ou dans des courses de moindre envergure. Signant encore quelques belles victoires. Mister Briavoine en personne tentant même en 2002 de repartir de plus belle à l'assaut du Dakar avec un nouveau proto Niva, avec la clé un joli classement compte tenu de ses moyens.
Mais le Niva n'est pas que le roi des raids au long cours, des pistes africaines et des bajas ; il est aussi depuis toujours le seigneur des pistes de rallyes tout-terrain.
Ainsi en France le Niva peut-il se vanter d'être le recordman de victoires dans la discipline, enlevant des dizaines de victoires de classe(dont les mythiques rallye des cimes et les 24h de Paris) et de nombreux titres de champion en plus de 25 ans de participations non-stop, toujours soutenu par l'importateur. Ce dernier, face à l'engouement que suscite la compétition pour les pilotes Niva, ira même jusqu'à mettre sur pied un « challenge Lada Niva » richement doté et organisé dans le cadre du championnat officiel FFSA. Ce challenge à ce jour disparu rencontrera toujours un immense succès et aujourd'hui par l'intermédiaire de Lada France et du team JMS, de nombreux Niva (dont un nouveau proto inspiré du 2123) continuent à courir et à gagner leur catégorie dans ce championnat.
En Italie aussi Lada domine ce genre de compétition puisque le Niva à moteur Ferrari V8 bi-turbo de plus de 400 ch du team Lada Italia accumule les titres de « champion absolu » dans le championnat italien de vitesse tout-terrain. Dans un autre domaine le Niva est également souverain en trial 4x4 où les titres de champion de France ou d'Europe ne se comptent plus.
Signalons enfin pour être complet que le désormais célèbre « Trophée des Gazelles », raid de régularité exclusivement féminin, a été co-imaginé par Poch et était donc à ses origines uniquement composé de Niva !
sources : E. LARDINOIS
La légende continue
Si en Europe nous ne connaissons que la version 3 portes de la Lada Niva, en Russie existent de nombreuses déclinaisons (près de 100), citons les Pick-ups (type Vaz 2139 & 2329): produits depuis 1980 et utilisant un châssis à empattement allongé par rapport au 2121 classique, ou les versions camionnettes et limousine blindée. Mais le Niva existe aussi en ambulance (Vaz 2129), en buggy (appelé Landola) et même en version « monster truck » avec des roues de 30" pour l'usage au pôle nord (March 1922) ou blindé léger à chenilles (Vaz 21734)!. La Lada Fora (type Vaz 2131, produite depuis 1993 - est une version allongée de 80 cm à 5 portes du Niva, le Fora, se veut un 4x4 de luxe. S'il partage les mécaniques et la transmission de son petit frère, il est, de par son empattement plus long et son poids, moins à l'aise que lui en franchissement. À noter qu'une version plus luxueuse encore existe avec un moteur 2 litres, cuir, bois et... blindage en option ! Sur certains marchés on peut aussi trouver une version au porte-à-faux arrière allongé et produite en Tchéquie.
En plus de 25 ans d'une carrière bien remplie, la Niva a parcouru tous les chemins du monde, là où aucune route n'existe, où aucun autre véhicule n'avait pu se rendre jusqu'alors. Que ce soit dans sa version longue 2131 pour atteindre l'altitude record de 5360 m dans l'Everest, en version « March » 1922 équipée de roues de 30 pouces utilisée par les explorations russes au cercle polaire arctique ou dans des versions conventionnelles pour des tâches moins glorieuses mais tout aussi difficiles (dans les Andes, en Australie ou en Antarctique), rien n'a jamais arrêté le Niva, pas même la concurrence ou les critiques.
Ces critiques formulées par une intelligentsia qui ne reconnaît que le modernisme, celui-là même qui vous laisse en rade pour un ridicule problème électronique indécelable et très coûteux tandis que la robuste simplicité du Niva lui garantit une fiabilité mécanique sans faille. Ces critiques qui n'ont d'égal que les éloges que formulent les acharnés du Niva, preuve que nous sommes bien là en présence d'un mythe qui ne laisse personne indifférent.
Un mythe qui dure. Depuis 1976, rien n'a changé ou presque sur le Niva. Seuls un nouvel intérieur par-ci, un nouveau hayon par-là et un moteur à injection électronique multipoints séparent une version 21214 actuelle de son ancêtre. À tel point que tout fleure bon les années '70 à son bord mais loin d'être un défaut cet âge avancé est un atout. Atout prix bien sûr et atout fiabilité, en presque 30 ans Lada a largement eu le temps de corriger les nombreux défauts de jeunesse connus aux débuts du Niva ! Mais surtout la Niva est restée la seule survivante d'une espèce aujourd'hui disparue, celle des vrais 4x4. Vous en connaissez encore vous des 4x4 qui n'ont pas peur des bosses ou des rayures dans leur peinture métallisée ? Des tout-terrains dont l'intérieur ne craint ni la boue ni le jet d'eau qui l'enlèvera ? Imaginez un instant un Cayenne passer au Kärcher !!!
Taillable et corvéable, la Niva se mettra toujours en quatre pour son propriétaire à tel point que pour ses utilisateurs elle se révèle même aussi indispensable qu'un couteau suisse ! C'est pour cela que ses ventes continuent à se maintenir à un niveau si élevé, enregistrant par ailleurs des hausses périodiques ! Avec la disparition du Samuraï c'est même un engouement nouveau que connaît le Niva, un signe qui ne trompe pas : la Nivalp a revu le jour après plus de 10 ans de léthargie et sera rejointe en 2005 par la Nivaraid, une randonnée 100% Niva comparable à la Nivalp mais se déroulant en Tunisie. Cela tandis que les clubs Niva se multiplient partout dans le monde (du Brésil à l'Australie en passant par l'Afrique du Sud, l'Allemagne et bien d'autres). Retrouvez d'ailleurs une liste des adresses de ces clubs dans la rubrique « liens »). Des usines ont également vu le jour au Kazakhstan, au Chili et en Uruguay et les usines en Russie ont dû augmenter leur production pour répondre à la demande ! Longtemps attendue la relève n'arrivera jamais, les derniers espoirs s'étant envolés dans l'escarcelle impérialiste de GM, malgré cela la Niva continuera encore longtemps à faire des heureux, une légende ne meurt pas. Pour preuve Lada a annoncé le maintien de la production jusqu'en... 2012!!! Et plutôt que de le laisser doucement glisser vers la fin, le géant russe a même décidé d'offrir bientôt un profond lifting à la vieille babouchka et ce après l'avoir enfin gratifiée en 2004 d'une direction assistée qui l'a rajeunie de 20 ans. Ainsi en plus d'une toute nouvelle face avant (répondant aux nouvelles normes de crash-test EuroNCAP) et un capot s'ouvrant dorénavant "dans le bon sens", un nouvel intérieur plus moderne, mieux équipé et mieux fini est prévu ! Sans oublier un tout nouveau moteur qui répondra aux normes Euro 4 et surtout qui s'efforcera d'être plus puissant et de consommer moins. La Niva pourrait dès lors ressembler à ce joli concept bleu créé par un carrossier russe. Évoluer sans changer c'est aussi ça l'esprit Lada. Et si la Niva était tout simplement éternelle ?
Modèles dérivés
- En Russie, AvtoVAZ a réutilisé le châssis et le moteur 1,7 L. de la Niva pour construire le monospace Nadejda (type 2120).
- Toujours en Russie, la société GM-AVTOVAZ a construit, sur la base du châssis de la Niva 5 portes, un véhicule tout terrain largement modernisé, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur, et à vocation plus luxueuse. Il a été vendu sous l'appellation Chevrolet Niva.
Galerie
Cliquez sur une image pour la voir en taille réelle.
Version initiale
Version restylée 3 portes
Version restylée 5 portes
Notes et références de l'article
Voir aussi
Liens et documents externes
- (fr) Site officiel de Lada France
- (ru) Site officiel de Lada Russie
- (ru) Site officiel de AVTOVAZ consacré à l'histoire des Lada
- Nikov.com-Lien utile pour les passionnés
- Club Niva québécois
- Portail de l’automobile
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