NRJ (France)

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NRJ

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Logo Nrj (radio) 2008.jpg


Création 15 juillet 1981
Propriétaire NRJ Group
Slogan « Hit Music Only ! »
Langue Français
Pays France France
Statut Radio privée de Catégorie C et D
Siège social Paris, France
Site Web www.nrj.fr
Diffusion
AM Non Non
FM Yes check.svg Oui
RDS NRJ
Numérique Yes check.svg Oui
Numérique terrestre Non Non
Satellite Yes check.svg Oui
Câble Yes check.svg Oui
ADSL Yes check.svg Oui
Streaming Yes check.svg Oui
Podcasting Yes check.svg Oui

NRJ est une radio privée française créée par Jean-Paul Baudecroux et Max Guazzini en juin 1981. Elle est la station fondatrice de NRJ International.

Sommaire

Nom de la radio

« NRJ » est initialement le sigle de « Nouvelle radio jeune »[1],[2] ou « Nouvelle radio des jeunes »[3] ou « Nouvelle radio jeunesse »[4], devenu l'allographe d'« Énergie »[5] ; d'ailleurs la radio est aujourd'hui, dans les autres pays d'Europe où elle est implantée, aussi appelée « Energy » (anglais pour « Énergie »).

Historique

Revenant des États-Unis où il fit des études de commerce, Jean-Paul Baudecroux profite de l'élection de François Mitterrand en 1981 pour créer sa radio libre. Ces dernières ne sont plus brouillées depuis le changement de majorité, et Baudecroux y voit l'occasion d'en faire une affaire rentable, bien que la publicité soit à cette époque interdite sur les nouvelles radios FM.

Après l'idée d'une radio pour les femmes, Baudecroux opte finalement pour une radio musicale pour les jeunes, et fonde ainsi NRJ (pour Nouvelle Radio des Jeunes). Il installe ses studios dans une chambre de bonne minuscule près des Buttes Chaumont au métro Télégraphe dans le XXe arrondissement, endroit de haute altitude, stratégique pour couvrir tout Paris sur 92,0 Mhz.

NRJ, au statut associatif, comme toutes les radios libres avant 1984, est dirigée jusqu'à l'arrivée de la pub sur les ondes de la fm (1984) par Jean-Pierre d'Amico. Les animateurs sont bénévoles. Dès le début, NRJ entend se démarquer de ses concurrentes. Pour cela, elle concentre ses efforts sur deux points essentiels : la qualité du son et la programmation musicale. Alors que beaucoup de ses concurrentes ne sont audibles que dans certains quartiers de la capitale, NRJ réussit à arroser une large zone. De plus, les disques diffusés à l'antenne doivent impérativement être approuvés par Jean Pierre d'Amico- cela permet d'avoir une homogénéité de programme.

Grâce à cette stratégie, NRJ devient l'une des radios libres parisiennes les plus populaires, aux côtés de Radio Show et RFM. Si la publicité est officiellement interdite, la radio ne manque pas de détourner la loi, en diffusant notamment de la publicité clandestine.

Max Guazzini, encore avocat, gérait les affaires juridiques courantes. Ce n'est qu'après l'officialisation de la publicité sur la bande fm (1984) que Nrj se structure en prenant des bureaux à l'avenue d'Iéna. C'est à ce moment là que Jean Paul Baudrecroux apparaît réellement et reprend les commandes du navire, il décide de se séparer de Jean Pierre d'Amico. Les animateurs bénévoles, qui comprennent que la radio commence à faire du chiffre d'affaires, ne tardent pas à réclamer un salaire (une journée de grève a même lieu, avec messages à l'antenne). Cela devient encore plus légitime à partir de l'été 1984 où François Mitterrand autorise la publicité sur les radios FM : NRJ quitte alors son statut associatif pour devenir une véritable entreprise commerciale. Les animateurs commencent à recevoir un salaire et plusieurs d'entre eux sont renouvelés.

Max Guazzini, toujours avocat, renonce enfin à sa robe pour devenir directeur général de la station.

Décembre 1984 : NRJ, ainsi que cinq autres radios parisiennes (95.2 dirigée par Benoit Clair et Robert Namias, Radio Libertaire, la Voix du Lézard, Radio Solidarité et TSF 93), sont suspendues le 4 décembre par la Haute Autorité de la communication audiovisuelle car elles ne respectent pas leurs conditions d'émission. NRJ, la plus touchée par cette mesure et la plus écoutée (1,2 million d'auditeurs), écope d'un mois d'arrêt ; 95.2 a quinze jours de suspension, et les quatre autres ont en moyenne douze jours de suspension. Il y a deux motifs : un non-respect des fréquences et surtout une puissance d'émission excessive qui perturberait notamment les liaisons radios des pompiers et des avions, selon la Haute Autorité de la communication audiovisuelle, qui dit frapper d'abord les radios les plus écoutées car elles seraient celles qui enfreignent le plus les règles, et pour éviter qu'on l'accuse de s'attaquer d'abord aux petites radios. NRJ est notamment accusée d'émettre avec une puissance démesurée (au-delà des 500 W autorisés, ce qui brouille France Culture et France Musique). Jean-Paul Baudecroux s'étonne que depuis trois ans et demi que les radios libres émettent, ces mesures de suspension, jugées aujourd'hui indispensables, n'aient pas été mises en œuvre plus tôt. Malgré la suspension des radios, les émissions continuent. NRJ organise alors une grande manifestation : à l'aide d'une agence de publicité et de plusieurs stars dont Dalida, elle appelle ses auditeurs à descendre dans la rue. La manifestation est un énorme succès, rend encore plus populaire NRJ et contraint le pouvoir à suspendre ses sanctions.

Forte de son succès (elle est donnée première de toutes les radios libres à Paris), la radio finit par quitter ses minuscules studios pour un vaste appartement au 39 avenue d'Iéna. Au milieu des années 1990, elle déménagera une nouvelle fois au 22 rue Boileau.

NRJ est l'une des premières radios à se constituer un réseau de radios locales franchisées NRJ en province. Bien que la diffusion par satellite soit encore inexistante (chaque radio réalisant ses propres programmes), elle permet de faire connaître la marque NRJ au reste de la France.

Le 2 octobre 1985, coup de théâtre : 6 stations de province franchisées NRJ (Nancy, Montpellier, Bordeaux, Carcassonne, Toulouse, et Grenoble) quittent soudainement le réseau pour créer le leur : le réseau FUN. Cette sécession, dirigée par Éric Péchadre et Pierre Lattès, deux cadres d'NRJ, ainsi que par Jean-Baptiste Blanchemain, propriétaire et directeur d'NRJ Montpellier, fait prendre conscience à la direction qu'il lui faut protéger son réseau. Désormais, elle s'assurera plus efficacement de la fidélité de ses radios. De plus, elle s'intéresse de plus en plus à leur ligne éditoriale : des membres d'NRJ sont envoyés en province pour épurer la discothèque des radios des disques un peu trop folkloriques, et impose petit à petit une couleur musicale NRJ.

Vers 1986, la diffusion par satellite s'installe. Les radios locales de province deviennent des relais du programme parisien, tout en conservant quelques heures de programme local chaque jour. La diffusion de la publicité à l'échelle nationale devient possible, et la qualité et l'uniformité des programmes en province est désormais assurée à la direction parisienne.

Ces années 1980 constituent « les grandes années NRJ » dans la mémoire des auditeurs. Elle rassemblent une bande d'animateurs ayant une grande liberté de ton, des habillages spécifiques pour chacun d'eux, des passages d'antenne mémorables entre les animateurs. On citera Marc Scalia et son Starmatch, Serge Repp, Dominique Duforest (dit « Dodo »), ou encore Mitsou (NRJ) réalisé par Anthony Planes d'ailleurs lors de son retour à l'antenne en 1994 pour les "mitsou nights" où le célèbre animateur faisait des directs depuis de nombreuses discothèques parisiennes; Jean-Marc Laurent (qui partira ensuite à la télévision), Éric Perrin, journaliste, et même un passage de Daniela Lumbroso. Malgré cette grande liberté de ton, la radio veille à un maximum de professionnalisme.

Au fur et à mesure des années, l'ensemble des radios FM se professionnalise. La concurrence entre réseaux devient de plus en plus forte, les plus faibles disparaissent. NRJ devient elle aussi de plus en plus formatée. Les animateurs, de plus en plus bridés, perdent en personnalité. Le programme musical est de plus en plus dicté par les enquêtes marketing. Parallèlement à ça, NRJ connaît toujours un accroissement de son audience, à mettre au compte également du développement spectaculaire de son réseau, de ses méthodes de communication.

Très tôt, NRJ a tenté de développer un groupe radiophonique. Dès 1987, elle rachète la radio parisienne Gilda pour créer le programme Chérie FM. En 1989, c'est le réseau Pacific FM qui est racheté. Alors que le réseau de province est repris pour diffuser Chérie FM, la fréquence parisienne de Pacific FM sert à créer une troisième radio : Rire et Chansons. Cependant, ce réseau ne pourra être véritablement développé en province qu'à partir de 1996, le CSA ayant jusque-là freiné au maximum le développement des grands groupes radiophoniques. Enfin, NRJ a racheté Nostalgie en 1998, et a tenté vainement de prendre possession de RMC, mais fut empêché par la loi anti-concentration des médias.

En 1991, NRJ entre en bourse, symbole d'une réussite spectaculaire et inégalée au sein des radios libres. Elle a su s'imposer en prenant compte des besoins des auditeurs, mais aussi grâce à des méthodes commerciales, toujours plus ou moins à la frontière de la loi : diffusion de la publicité avant l'heure, rachat de radios locales pour la constitution de ses réseaux... Elle a aujourd'hui une dimension européenne, ayant réussi à s'implanter en Belgique, Suisse, Autriche, Allemagne, Danemark, Finlande, Suède et Norvège.

18 novembre 2002 : suite à l'intégration des 13-14 ans dans les enquêtes radio de Médiamétrie, NRJ devient première radio de France en audience cumulée, dépassant RTL qui dominait le classement depuis vingt-deux ans. Outre la concurrence entre ces deux stations, c'est une petite révolution au sein du monde radiophonique, qui voit les radios musicales supplanter progressivement les radios généralistes. Les fameuses radios libres, nées vingt ans auparavant sur la FM, ont désormais confirmé qu'elles ont bel et bien fait leur place dans le paysage radiophonique français, devenu très concurrentiel. Une vraie difficulté pour les radios généralistes, dont les coûts de fonctionnement sont très importants, notamment du fait de la taille de leur rédaction.

En 2004, Max Guazzini quitte le navire NRJ pour se consacrer à plein temps à la direction du stade français de rugby.

Depuis la rentrée 2006, neuf grandes villes (plus Paris depuis quelques années) bénéficient d'un décrochage local 24h/24h et 7j/7 notamment grâce à la prononciation de la ville en question dans les nouveaux jingles. Les identifs nationaux sont remplacés en local par des Speaks « identifs » diffusés quatre fois par heure (les identifs sont diffusés dans les programmes 100 % musicaux de la station).

  • Depuis le 6 juin 2006, NRJ a commencé d'émettre au Liban.
  • De 2005 à janvier 2007, c'est Roberto Ciurleo qui dirige l'antenne d'NRJ.
  • Le 26 août 2007, Better Days revient, dix ans après la création de l'émission, et trois ans après son arrêt.
  • Le 1er mars 2008, la marque change de logo et actualise celui qu'elle n'a pas changé depuis une vingtaine d'années.
  • Début juillet 2008, Bruno Guillon et Camille Combal du 6/9 partent sur Virgin Radio.
  • A la même période, arrivent de nouveaux jingles produits par la société PURE JINGLES à Amsterdam. La direction artistique est assurée par David TARTAR qui gère ce studio pour le marché Français.
  • Mi-septembre 2008, 4 nouvelles webradios sont lancées : NRJ Nouveautés, NRJ All French, NRJ Electro, NRJ Tech
  • Le 6 juillet 2009, NRJ s'associe avec la Radio Énergie diffusée partout au Québec. Cette dernière prendra le nom "NRJ" le 24 août[6].
  • Le 9 juillet 2009, T-Miss fait sa toute dernière émission de libre-antenne[7]: à 3 heures du matin, l'émission prend définitivement fin.
  • Le 6 octobre 2009, NRJ remet à l'antenne les jingles des frères Costa, les producteurs des jingles de la station de ses débuts à 2001.

Historique des logos

Grille des programmes

La Grille des programmes de NRJ France pour la saison 2009/2010, valable depuis le 24 août 2009, est la suivante[8]:

En semaine

Le samedi

Le dimanche

Animateurs actuels

Anciens animateurs phares

Anciens journalistes phares

Anciennes émissions phares

  • Accord parental indispensable
  • Best of
  • Collège Radio
  • Disques à la demande
  • Festival Roblès
  • Génération X
  • Happy NRJ
  • Hit des clubs NRJ Media Control
  • Hit Parade
  • Hit NRJ
  • Les Coyottes
  • les Dédicaces
  • Le Gros Afternoon
  • le Mucha Show
  • Le Sunday Fraise
  • Libre antenne
  • Magloire dans la radio (MDR)
  • Mix à la demande
  • Music Shop
  • Music Stars
  • My NRJ
  • NRJ Club
  • NRJ Featuring
  • NRJ Master Mix
  • NRJ Megamix
  • NRJ School
  • Platine Tonique
  • Programme Z
  • Que fait la police ?
  • Starmatch
  • Starter
  • Tribal Party

Slogans

  • La radio stéréotonique
  • NRJ va, tout va !
  • La plus belle radio
  • La musique est une force
  • Le plaisir avant tout → 1995
  • Hit Music Only! (ou aussi "Hit Music Station!" ou "Radio Number One")

Dans ces slogans, une fausse prononciation anglaise est fréquemment appliquée (de notation phonétique : /εnødʒi:/) car en anglais les lettres R et J sont prononcées différemment (respectivement /a:(r)/ et /dʒei/), ce qui est proche de "énardjey".

Voix-off

La célèbre voix-off d'NRJ est celle de Richard Darbois. Une nouvelle voix, jeune, est venue l'épauler depuis 2005, il s'agit de celle de Donald Reignoux.

Le 6/9 d'NRJ possède une voix-off féminine exclusivement réservée à cette émission. Il s'agissait jusqu'en juin 2008 de la voix de Myriam Callas. Celle-ci était réputée pour lancer des piques assassines aux animateurs de l'émission. Mais à la rentrée 2008, Myriam Callas a quitté NRJ pour se joindre à Virgin Radio. C'est donc une nouvelle voix-féminine qui l'a remplacée.

Webradios, Webtélés et télévisions

Webradios actuel

Au début de l'année 2006, NRJ lance ses premières webradios, elles sont alors au nombres de 3 (avec en outre la possibilité d'écouter la station hertzienne en direct). Au courant du 3e trimestre 2006, NRJ en ajoute deux, puis encore deux en fin d'année.

Nom Slogan Description Logo
Webradios actuel
NRJ "Hit music only." La radio NRJ diffusée en bande FM est disponible sur internet. Logo NRJ (Webradio).jpg
NRJ Music Awards "La webradio officielle." Webradio évènementielle, entièrement consacrée aux NRJ Music Awards (Disponible seulement à l'approche de la cérémonie des NRJ Music Awards) Logo NRJ Music Awards 2009 (Webradio).jpg
NRJ Pop/Rock "Hit pop/rock only." Toute la «pop music» et les titres rock, des plus cultes aux dernières nouveautés Logo NRJ Pop Rock.jpg
NRJ Groove "Hit groove only." Fusion de NRJ Rap et NRJ R'n'b. Les titres Rap et R'n'b du moment (environ 85 % Rnb et 15 % Rap) avec un souffle du meilleur des années 1990 et 2000 Logo NRJ Groove.jpg
NRJ Hits "Hit music only." Une des premières webradios, sur celle-ci ne sont diffusées que des chansons qui sont les premières dans les classements Logo NRJ Hits.jpg
NRJ Dance "Hit dance only." (Ex-Extravadance) Orientée sur les sons passant dans les clubs Logo NRJ Dance.jpg
NRJ Electro "Hit electro only." Le meilleur de la musique electro Logo NRJ Electro.jpg
NRJ Tech "Hit tech only." Le meilleur de la musique techno Logo NRJ Tech.jpg
NRJ All French "Hit all french only." Le meilleur des chansons françaises Logo NRJ All French.jpg
NRJ Nouveautés "Hit nouveautés only." Les dernières sorties de musique Logo NRJ Nouveautés.jpg

Anciennes webradios

  • NRJ 80's" : Les titres phares des années 1980, avec les jingles NRJ des années 1980.
  • NRJ Bootleg (devenue NRJ Tweenies) : Programmation 100 % bootleg par LOO & PLACIDO.
  • NRJ Extravadance (devenue NRJ Dance) : Orientée sur les sons passant dans les clubs
  • NRJ Lounge : Le meilleur de la lounge avec entre autres Pink Martini, Nina Simone, Everything But The Girl...
  • NRJ News Talk : Best-of des émissions comme le 6-9, MIKL et des nuits d'NRJ (Astrologie, etc...)
  • NRJ Pop (devenue NRJ Pop/Rock) : Basée essentiellement sur la "pop music"
  • NRJ Rap (devenue NRJ Groove): Elle propose une programmation musicale 100 % rap français et international
  • NRJ R'N'B (devenue NRJ Groove): Elle était orientée vers le R'n'B Français et US
  • NRJ Rock (devenue NRJ Pop/Rock) : Elle diffusait uniquement des titres rock, des plus cultes aux dernières nouveautés.
  • NRJ Studio : Issu du site www.nrjstudio.fr, c'était une webradio consacrée aux nouveaux talents. Pop, Rock, slow, Dance, Rnb tous les styles étaient représentés. Les talents de demain étaient sur cette webradio. Les internautes avaient le pouvoir de voter et de défendre les meilleurs. Radio dynamique et interactive (jingles, animateurs, classement 19h à 20h).

Webtélés

Nom Slogan Description Logo
WebTV actuel
NRJ Dance "Hit dance only." Web tv gratuite accessible par internet via le site nrjdance.nrj.fr Logo NRJ Dance.jpg
NRJ Groove "Hit groove only." Web tv gratuite accessible par internet via le site nrjgroove.nrj.fr Logo NRJ Groove.jpg
NRJ Pop/Rock "Hit pop/rock only." Web tv gratuite accessible par internet via le site nrjpoprock.nrj.fr Logo NRJ Pop Rock.jpg
NRJ Hits "Hit music only." Chaîne en clair diffusée sur les réseaux ADSL, le cable, le satellite et via le site nrjhits.nrj.fr Logo NRJ Hits.jpg
.

Télévisions

Nom Slogan Description Logo
WebTV actuel
NRJ 12 "Le plus dur : c'est de l'éteindre." Chaîne nationale en clair sur la TNT NRJ12.png
NRJ Hits "Hit music only." Chaîne en clair diffusée sur les réseaux ADSL, le cable, le satellite et via le site nrjhits.nrj.fr Logo NRJ Hits.jpg
NRJ Paris "La télé généraliste urbaine." Chaîne locale (Paris) en clair accessible sur la TNT(en Ile de France uniquement) et également diffusé sur Canalsat, le cable,les réseaux de TV par ADSL et via le site nrjparis.nrj.fr Logo NRJ Paris.gif
.

Notes et références

  1. (fr) Christophe Deleu, Les anonymes à la radio : Usages, fonctions et portée de leur parole, De Boeck Université / INA, coll. « Médias recherches. Études », Bruxelles, 2006, 232 p. (ISBN 2-8041-5044-5) [présentation en ligne], p. 40 .
  2. (en) Raymond Kuhn, « Status of Media in France » dansDonald Johnston et , Encyclopedia of International Media and Communications, Academic Press, Amsterdam, 2003, 2733 p. (ISBN 0-12-387670-2) [présentation en ligne], p. 31-39 .
  3. (fr) Daniel Lesueur, Pirates des ondes : Histoire des radios pirates au 20e siècle, L'Harmattan, 2002 (ISBN 2-7475-1989-9) .
  4. (de) Hans-Jürgen Lüsebrink, Klaus Peter Walter, Ute Fendler, Georgette Stefani-Meyer, Christoph Vatter, Französische Kultur- und Medienwissenschaft: eine Einführung, Gunter Narr Verlag, Tübingen, 2004, 261 p. (ISBN 3-8233-4963-5) [présentation en ligne], p. 106 .
  5. (fr) Les allographes, sur Au domicile des mots dits et écrits.
  6. [1]
  7. Elle en avait fait l'annonce durant cette émission
  8. Grille des programmes NRJ France

Voir aussi

Articles connexes

Liens externes

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