- Meslay-du-Maine
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Meslay-du-Maine Administration Pays France Région Pays de la Loire Département Mayenne Arrondissement Laval Canton Meslay-du-Maine (chef-lieu) Code commune 53152 Code postal 53170 Maire
Mandat en coursPatrick Le Roux
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Meslay-Grez Site web www.ville-meslaydumaine.fr Démographie Population 2 699 hab. (2008) Densité 112 hab./km² Gentilé Meslinois Géographie Coordonnées Altitudes mini. 63 m — maxi. 112 m Superficie 24,18 km2 Meslay-du-Maine est une commune française, située dans le département de la Mayenne et la région Pays de la Loire, peuplée de 2 699 habitants[1] (les Meslinois).
Sommaire
Géographie
Meslay-du-Maine est située à 22 km au sud-est de Laval et à 22 km au nord-ouest de Sablé-sur-Sarthe. Grez-en-Bouère est à 9 km et l'A 81 à 15 km.
Histoire
Nom donné par l’administration des postes depuis 1840.
Le nom de la paroisse vient du latin mespila ("épine blanche"), qui a donné en bas latin mespilarius, en langue d'oïl, mespia, en ancien français meslier ("néflier"). Premières mentions de la paroisse dans un document écrit au XIIe siècle (Mellelo)[2].
Paléolithique et Néolothique (17000 à 1800 av. JC)Présence d’habitat aux Rochères. Des outils de tradition magdalénienne (17000-10000 av. JC) ou épipaléolithique (vers 12000 av. JC) ont été découverts : grattoirs sur bout de lame, grattoirs éventails, lamelles et points à dos, et des outils du néolothique (4500-1800 av. JC) (pointes de flèches, poignards). L’essentiel de cette collection se trouve au Musée des Sciences de Laval) [3].
1129Siège de Meslay-du-Maine (alors appartenant à Guy IV de Laval lien) par le comte d’Anjou Geoffroy Plantagenêts pendant trois semaines. La victoire des Angevins est suivie d’un pillage, du massacre d’une partie de la population, de la destruction des murs et des chaumières du village[4].
1427Épisode de la guerre de Cent ans. Rapide siège du château de Meslay (dépendant de Guy XV de Laval) ; attaque des Anglais de Falstaf qui contrôlent Mayenne contre les troupes du comte de Laval et de Richemont[5].
1434Épisode de la guerre de Cent ans. Au début de l'année, le château de Meslay est rasé par les Anglais du comte d'Arundel, lieutenant-général du roi Henry VI. L'occupation du Maine par les Anglais se poursuit jusqu'en 1449 [6].
1452On y fait de la poterie (il n’y en a plus au milieu du XIXe siècle)
XVIe siècleIl existe encore une grande forêt au Nord de Meslay et Gréez ; sa disparition est sanctionnée par la création en 1683 de la paroisse de Saint-Charles-la-Forêt.
1629Les plans du clochers sont dessinés par Jean Martinet
1668 ?Début du registre paroissial de Meslay. Brûlé pendant la révolution.
Juin 1701Révolte. L’avocat Leclerc, chargé de l’établissement des rôles (pour l’impôt) est violemment pris à partie par les notables locaux.
1793Chouannerie.
Le 10 mars, jour du tirage au sort pour l'envoi de soldats à l'armée pour la levée en masse votée par la Convention, des habitants se rassemblent pour s'y opposer et pour s'emparer des armes déposées chez le commandant en second de la garde nationale du canton. Ainsi, certains habitants de Meslay entrent-ils ouvertement dans l'opposition à la République comme 600 communes de l'Ouest de la France le même jour. Le 4 juin, Duchêne, chirurgien de Meslay, accompagné de 10 gardes nationaux de la commune, fait appliquer un arrêté obligeant à fermer les églises de prêtres non constitutionnels. Il fait exécuter l'ordre à Arquenay, Bazougers, Saint-Denis-du-Maine et dans le canton. Le curé de Meslay, Fournier, et le vicaire, Duchemin, refusant de prêter serment à la Constitution civile du clergé, furent déportés à l'Ile de Jersey[7]. En novembre, les Vendéens de l'armée catholique et royales passent par Meslay en direction de La Flèche, Durtal, Angers lors de la Virée de galerne[8].
Fin janvier 1794 ?
Une soixantaine de républicains repoussent l’incursion d’un détachement chouan dirigé par le capitaine Haller.
Été 1799Reprise de l’activité de chouannerie à partir de la mi-août 1799. Un détachement de la troupe cantonné à Meslay revant de Sablé est attaqué par une quarantaine d'hommes à leur retour[9].
23 janvier 1800Le comte de Bourmont qui dirige une division de l’armée royaliste de l’Ouest est attaqué et battu à Meslay par le général républicain Chabot (1757-1837). Bourmont capitule quinze jours plus tard, le 4 février 1800. Le chevalier de La Volvène, lieutenant de Bourmont est tué lors de ce combat.
Novembre 1801 (brumaire an X)La commune devient le chef-lieu de canton, nouvelle circonscription administrative créée par le Consulat.
vers 1830Dans le canton de Meslay et Gréez, premiers essais et diffusion de la race bovine.
1832Soulèvement de légitimistes en faveur de la duchesse de Berry, contre le gouvernement de Louis-Philippe d’Orléans. C’est le dernier épisode de la chouannerie dans l’Ouest de la France. « Deux engagements suffirent pour disperser tout ce ramassis de paysans… le premier eut lieu le 26 mai, auprès du château de la Vézouzière, en Bouère… Arsène Avril de Pignerolles, maire de Laval au moment de la révolution de juillet [1830] rassembla à son château des Arcis, en Meslay environ deux cents hommes dont une partie étaient fils ou domestiques de ses métayers. La campagne se borna pour lui à faire sa jonction aux débris de la bande de Gaullier au château de la Jupellière, en Maisoncelles… Les chefs de la révolte qui avaient compté sur la défection de la garde nationale dont ils avaient mal jugé l’esprit, sur la masse de la population dont ils n’avaient pas mieux apprécié les dispositions, ces chefs malencontreux venaient de s’apercevoir qu’ils avaient devancé l’ordre, en tout cas que leur soulèvement était un fait isolé" [10].
1844
On y trouve alors une cure, un bâtiment d'enregistrement, une perception, un notaire, une brigade de gendarmerie, un relais de poste, un gîte d'étape. Le marché a lieu le jeudi. Plusieurs foires sont organisées dans l'année : le 1er samedi après Pâques, les 8 mai, 30 mai, 26 octobre et le 1er vendredi de chaque mois. Activités : faïencerie et poterie, tannerie, mines de fer[11].
1848
Enquête parlementaire sur le travail 85 % d’agriculteurs dans le canton de Meslay. Industrie agricole : 8000 H, 4000 F, 1000 enfants (moins de 16 ans). Mines : 640 H. Fours à chaux : 550 H. Autres : 700 H et 400 F.
2 mines à charbon de terre et 30 fourneaux à chaux
Aisance satisfaisante pour les ouvriers agricoles, peu d’indigence. La somme nécessaire pour vivre pour un ouvrier s'élève à 300 F/an, à 400 F/an avec une femme et deux enfants. Le salaire d'un ouvrier agricole à Meslay est de 1 F/jour sans la nourriture. Dans les mines, un ouvrier à la pose gagne 1,25 F/jour (8 h de travail) et à la pièce (2,50 F à 3 F/jour). Sur 100 individus, hommes ou femmes, 20 savent lire et écrire, ce chiffre progressant depuis quelques années. La situation est convenable du point de vue de l’habitat, de la nourriture, du vêtement[12].
Du XIXe siècle aux années 1960La commune compte des mines d’anthracite depuis le XIXe siècle jusqu'en 1978[13]. En 1848, les mineurs de Meslay gagnaient bien leur vie, étant payés 3 F / jour[14].
Années 1845-50Diffusion d’idées socialistes dans le canton de Meslay et de dans celui de Sainte-Suzanne, parmi les artisans, par René Pilard, menuisier à Saulges. Acquis aux idées de Cabet, il diffuse le Catéchisme des socialistes, ouvrage de Louis Blanc. Condamné à 4 ans d’internement en Vendée après le coup d’état de Louis-Napoléon Bonaparte en 1851, peut-être déporté en Algérie en 1852[15].
14-15 janvier 1871Les 14-15 janvier, l’artillerie du général de Curten (un détachement de la 2ème armée de la Loire) passe à Meslay, en faisant retraite vers Laval. Le 15 janvier, l’amiral est à Laval ; le général de Curten après un accrochage sérieux à Saint-Jean-sur-Erve fait retraiter son infanterie sur Laval où il arrive le 16 janvier. Les troupes françaises évacuent Meslay vers le 20 janvier[16].
1874Création de l’Harmonie Sainte-Cécile.
vers 1880Construction de la voie ferrée et de la gare.
1896Un terrain considéré comme un Hippodrome est signalé dans les sources. L'actuel hippodrome est construit dans les années 1930.
1906-1907Établissement d’un réseau téléphonique et d’un circuit Meslay-Laval, financé par la Chambre de Commerce de Laval (avance à l’Etat, 11750 F), les intérêts étant payés par la commune. (délibération du Conseil Municipal du 7 avril 1905)[17].
1914-1918Meslay accueille des réfugiés du département du Nord, comme d’autres communes de la Mayenne (Laval, Mézangers, Chammes, Parné-sur-Roc, etc.)
1939-1940Camp de Meslay-du-Maine (septembre 1939 – juin 1940)
Y sont internés des civils allemands et autrichiens à partir de la déclaration de guerre en 1939 : il s’agit d’intellectuels, d’artistes, d’hommes d’affaires, de juifs, de résistants aux régime nazi, plus de 2 000 prisonniers, surtout des hommes, provenant de la région parisienne, arrêtés en raison de leur nationalité au début du conflit. Devant l’avance allemande, le camp est évacué le 17 juin 1940 et les prisonniers sont déplacés vers Angers, puis vers Albi. Certains libérés, d’autres seront remis aux autorités allemandes[18].
1942-1944Une section de résistants est organisée en 1942 à Meslay par le réseau Libération-Nord de Château-Gontier. Elle a pour chef Camus.
Quelques actions :
Début juillet 1944 : les groupes de Meslay et Bierné accompagnés par les chefs Ollivault de Bouère et Legrand de Parné doivent recevoir un parachutage. Au dernier moment ils s'aperçoivent qu'une rampe de lancement allemande est installée sur la commune de Bignon à 1500m du terrain prévu ! Après avoir prévenu les avions par signaux le parachutage est annulé.
1er Juillet 1944 : un autre parachutage attendu à Saint-Charles-la-Forêt (avec pour code radio "Avez-vous le mal de mer" 2 fois) avec les groupes de Meslay, Bouère, Châteu-Gontier, mais se retrouvant pris entre deux colonnes allemandes, ils doivent se replier. Bilan: un prisonnier, nombreuses bicyclettes abandonnées.
Fin juillet 1944 : entre Laval et Sablé, attaque d'un convoi allemand par les groupes de Meslay et Bouère: 1 camion détruits, des allemands brûlés, une grande partie de l'essence récupérée[19].
1963Création du Club de football de Meslay
1976Création du Pays du Sud-Est mayennais (devenu Pays de Meslay-Grez) ; 17 communes et 9 200 habitants à l’époque.
Héraldique
Les armes de la commune se blasonnent ainsi :
Coupé de gueules au léopard d'or et d'azur à la coupe fermée d'or.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité (avant 2001) mars 2008 André Bourdais - - mars 2008 en cours Patrick Le Roux[20] Sans étiquette Directeur de Mayenne Habitat Écoles
- École maternelle Fratellini
- École primaine René Cassin
- Collège Maurice Genevoix
- École privée maternelle et primaire Sacré-Cœur
- Collège privé Saint-Joseph
Démographie
Graphique de l'évolution de la population 1794-1999
Économie
Les entreprises installées dans la zone industrielle du Fresne sont :
- la Sotira, une usine spécialisée dans la construction de pièces automobiles, sous-traitant pour des constructeurs tels que Lotus, Jaguar et Aston Martin ;
- la fromagerie.
Lieux et monuments
- Église Saint-Pierre : romane, à l'origine, elle possède un clocher tors datant de 1629 dont la flèche octogonale tourne d'un huitième de tour.
- Hippodrome de la Bretonnière.
- Base de loisirs de La Chesnaie.
- Château des Arcis (XVIe siècle).
Activité et manifestations
- Festival de jazz (annuel, la semaine de l'Ascension, du mardi soir au samedi soir). En 1998, la première édition du Festival des ateliers jazz du pays Meslay-Grez, accueille des ateliers de jazz de la Mayenne en première partie de musiciens de jazz locaux, nationaux ou internationaux professionnels.
- Tournoi de football et de pétanque se déroulent chaque année au complexe sportif.
Jumelages
Personnalités liées à la commune
- Jean Martinet : il donne les plans du clocher église de Meslay en 1629, après avoir travaillé l’année précédente à Craon[23].
- Guy Motain ou Motais : né à Meslay dans la première moitié du XVIe siècle. Défricheur. En 1653, il fait partie des premiers émigrants vers Ville-Marie, l’actuelle Montréal (Québec), fondée en 1608 par Champlain. Les Français ne s’y installent vraiment qu’à partir de 1642. De 1651 à 1653, Paul Chomedey de Maisonneuve, le gouverneur de Ville Marie, est à La Flèche dans la Sarthe en France, où il tente de recruter 200 colons pour renforcer la colonie. L'opération est financée par un don de 42000 livres de Mme de Bouillon. Chaque recrue potentielle se voit offrir un contrat de 5 ans avec un salaire variant de 50 à 200 livres par an, dépendant de sa profession et reçoit une avance de salaire d'un an. Maisonneuve ne réussit qu'à recruter 115 engagés (102 hommes et 10 ou 15 femmes) qui s'embarquèrent le 20 juin 1653 sur le St Nicolas de Nantes dans le port de St Nazaire. Guy Motain s’est engagé à La Flèche devant le notaire La Fousse le 11 mai 1653. 10 engagés périrent pendant le voyage, parmi lesquels peut-être Guy Motain, dont on ne trouve pas trace en Nouvelle-France après l’arrivée [24].
- François Dampousse : contrebandier du sel, né à Meslay. Condamné en 1771, libéré du bagne de Brest en 1777[25].
- Arsène Avril de Pignerolles (1745, mort au château des Arcis en 1815) ;
- Arsène II Marie Avril de Pignerolle (1786-1834) ;
- Les frères Corbin (début XIXe siècle) : trois frères chouans de Meslay-du-Maine. Jugés en 1819 pour avoir tué un partisan armé de Napoléon pendant les Cent-Jours. Encore emprisonnés à Laval en mai 1819[26].
- Alexandre Cornevin (1806-1876) : né à Meslay, auteur de marqueteries sur chêne
- Charles Marcel Avril de Pignerolle (Angers vers 1815-1893) : peintre, élève de Léon Cogniet (1794-1880). D'abord élève à l'école militaire de Saint-Cyr, il commence une carrière d'officier. Fidéle à Charles X, il démissionne de l’armée après la révolution de 1830 et prend part avec son oncle à l’insurrection de 1832, dont Il hérite du château des Arcis et s'adonne à sa passion, la peinture[27].
- Adrien-Charles Launay (1853-1927) ;
- Emmanuel Pottier (1864 - 1921) : photographe né à Meslay. Ses œuvres se trouvent au musée d'Orsay : Ouvriers dans un tunnel (1906), au musée Carnavalet et à la Bibliothèque historique de la ville de Paris.
- Marcel Rubin : compositeur de musique contemporaine. Il compose au camp de Meslay des mélodies, les Quatre ballades de François[28].
- MM. Camus et Claude Baissac : résistants pendant la Seconde Guerre mondiale, ils organisent des parachutages dans la région de Meslay et de Château-Gontier [29].
- Georges Morand (1900-1977).
Voir aussi
Liens internes
Liens externes
Sources
- Altitudes, superficie : IGN[30].
Notes
- Population municipale 2008 (site de l'Insee)
- Stéphane Gendron, Les noms des lieux en France, essai de toponymie, 2003, p. 216
- Collectif, La Mayenne des origines à nos jours, Saint-Jean d’Angely, Bordessoules, 1984, p.33
- Jacques Lalubie, Une baronnie médiévale, de l’an 1000 à 1500, 1994 et Collectif, La Mayenne des origines à nos jours, Saint-Jean d’Angely, Bordessoules, 1984, p. 113. Voir également la chronique de Jean de Marmoutiers : il raconte la coalition autour de Guy de Laval contre le comte du Maine Geoffroy Plantagenêt
- Malcolm Walsby, The counts of Laval, Culture, Patronage and religion in 15th and 16th centuries, Ashgate Publishing, 2007
- Couanier de Launay, Histoire de Laval, 818-1855, Laval, Gobert, 1856, p. 171
- Dom Piolin, L'Eglise du Mans duant la révolution, 1868, vol. 2, p. 241 p. 293, p. 597
- Lepelletier de la Sarthe, Histoire complète de la Province du Maine, Paris, ed. Victor Palmé, 1861, p. 255
- Revue historique et archéologique du Maine, 1989
- (Arch. Dép. de la Mayenne, M., minute d’un rapport préfectoral de 1832). Collectif, La Mayenne des origines à nos jours, Saint-Jean d’Angely, Bordessoules, 1984, p. 308
- Narcisse Desportes, Bibliographie du Maine, précédée de la description topographique et hydrographique du diocèse du Mans, Le Mans, librairie Pesche, 1844, p. 119
- XIXe siècle, Dossier d'histoire de la Mayenne, n°22, Archives départementales de la Mayenne, 2000, p. 6 et p. 19 Jean Steunou, L'enquête parlementaire de 1848 le monde du travail en Mayenne au milieu du
- Paul Fénelon, Atlas géographique des Pays de la Loire, p. 254
- XIXe siècle, op. cit. Jean Steunou, L'enquête parlementaire de 1848 le monde du travail en Mayenne au milieu du
- Collectif, La Mayenne des origines à nos jours, Saint-Jean d’Angely, Bordessoules, 1984, p. 311
- Société archéologique de Touraine, 1971, p. 222 et Antoine Chanzy, La deuxième armée de la Loire, 1871 Bulletin trimestriel de la
- Bulletin des lois de la République française, 1906, vol. 72, p. 713
- Dominique Barnéoud, Le camp de Meslay-du-Maine : ses internés civils, leur odyssée, leur sort (2 septembre 1939-juin 1940-fin 1942). Quelques souvenirs dans la tourmente : le camp des étrangers de Meslay-du-Maine (Mayenne, 2 septembre 1939-juin 1940), présentation préliminaire de soixante pages d'extraits du témoignage du lieutenant Dubuc, Nantes, Laval, Siloë, 2003, 245 p. Voir également l'article de Denis Peschanski, "Allemands et Autrichiens dans un camp français d’internement (1939-1940). Journal d’Albert Mary Dubuc, commandant du camp de Meslay-du-Maine", Histoire et archives, n° 1, juin 1997, pp. 61-81.
- Francis Robin, La Mayenne de 1940 à 1944, Occupation, Résistance, Libération, Courrier de La Mayenne, édition spéciale 40ème anniversaire de la Libération, 1986
- Liste des maires de la Mayenne actualisée au 16 septembre 2009, site de la préfecture de la Mayenne, consulté le 19 septembre 2009
- Notice communale - Meslay-du-Maine », École des Hautes Études en Sciences Sociales (EHESS). Consulté le 14 juillet 2010 Source : Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui, «
- Insee : population depuis le recensement de 1962
- Jacques Salbert, Les ateliers de retabliers lavallois, 1976, p 294 et 477
- Michel Langlois, Montréal, 1653, la grande recrue, Editions du Septentrion, 2003
- André Poussin, La Contrebande du sel, 2000, p. 120
- Mémoires d’Alexandre Billard de Veaux, ancien chef vendéen, Lecointe et Pougin, 1832
- http://www.tajan.com/pdf/2002/tableauxanciens24062002.pdf
- Amaury du Clausel, Les Voix étouffées du 3e Reich : entartete musik, 2005, p. 334
- Paul Janvier, Souvenirs de résistance d’un groupe du Nord de la Mayenne, réseau Navarre, 1970
- [1]). Répertoire géographique des communes (
Catégorie :- Commune de la Mayenne
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