- Ikelimalaza
-
Andry Rajoelina
Andry Rajoelina Président de la Haute Autorité de la transition de la République de Madagascar Actuellement en fonction Mandat 17 mars 2009 - Depuis le 17 mars 2009 {{{début mandat2}}} - {{{fin mandat2}}} {{{début mandat3}}} - {{{fin mandat3}}} {{{début mandat4}}} - {{{fin mandat4}}} Élu(e) le Parti politique Tanora Gasy Vonona Premier(s) ministre(s) Roindefo Monja Prédécesseur Marc Ravalomanana (président de la République) Élu(e) le {{{élection2}}} Élu(e) le {{{élection3}}} Élu(e) le {{{élection4}}} Autres fonctions Maire d´Antananarivo Mandat
12 décembre 2007 - 3 février 2009Président {{{président1}}} Président de la République {{{président de la république1}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat1}}} Monarque {{{monarque1}}} Gouverneur général {{{gouverneur1}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil1}}} Premier ministre {{{premier ministre1}}} Chancelier {{{chancelier1}}} Gouvernement {{{gouvernement1}}} Prédécesseur Patrick Ramiaramanana Successeur Michèle Ratsivalaka {{{fonction2}}} Mandat
{{{début fonction2}}} - {{{fin fonction2}}}Président {{{président2}}} Président de la République {{{président de la république2}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat2}}} Monarque {{{monarque2}}} Gouverneur général {{{gouverneur2}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil2}}} Premier ministre {{{premier ministre2}}} Chancelier {{{chancelier2}}} Gouvernement {{{gouvernement2}}} {{{fonction3}}} Mandat
{{{début fonction3}}} - {{{fin fonction3}}}Président {{{président3}}} Président de la République {{{président de la république3}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat3}}} Monarque {{{monarque3}}} Gouverneur général {{{gouverneur3}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil3}}} Premier ministre {{{premier ministre3}}} Chancelier {{{chancelier3}}} Gouvernement {{{gouvernement3}}} {{{fonction4}}} Mandat
{{{début fonction4}}} - {{{fin fonction4}}}Président {{{président4}}} Président de la République {{{président de la république4}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat4}}} Monarque {{{monarque4}}} Gouverneur général {{{gouverneur4}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil4}}} Premier ministre {{{premier ministre4}}} Chancelier {{{chancelier4}}} Gouvernement {{{gouvernement4}}} {{{fonction5}}} Mandat
{{{début fonction5}}} - {{{fin fonction5}}}Président {{{président5}}} Président de la République {{{président de la république5}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat5}}} Monarque {{{monarque5}}} Gouverneur général {{{gouverneur5}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil5}}} Premier ministre {{{premier ministre5}}} Chancelier {{{chancelier5}}} Gouvernement {{{gouvernement5}}} {{{fonction6}}} Mandat
{{{début fonction6}}} - {{{fin fonction6}}}Président {{{président6}}} Président de la République {{{président de la république6}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat6}}} Monarque {{{monarque6}}} Gouverneur général {{{gouverneur6}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil6}}} Premier ministre {{{premier ministre6}}} Chancelier {{{chancelier6}}} Gouvernement {{{gouvernement6}}} {{{fonction7}}} Mandat
{{{début fonction7}}} - {{{fin fonction7}}}Président {{{président7}}} Président de la République {{{président de la république7}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat7}}} Monarque {{{monarque7}}} Gouverneur général {{{gouverneur7}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil7}}} Premier ministre {{{premier ministre7}}} Chancelier {{{chancelier7}}} Gouvernement {{{gouvernement7}}} {{{fonction8}}} Mandat
{{{début fonction8}}} - {{{fin fonction8}}}Président {{{président8}}} Président de la République {{{président de la république8}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat8}}} Monarque {{{monarque8}}} Gouverneur général {{{gouverneur8}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil8}}} Premier ministre {{{premier ministre8}}} Chancelier {{{chancelier8}}} Gouvernement {{{gouvernement8}}} {{{fonction9}}} Mandat
{{{début fonction9}}} - {{{fin fonction9}}}Président {{{président9}}} Président de la République {{{président de la république9}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat9}}} Monarque {{{monarque9}}} Gouverneur général {{{gouverneur9}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil9}}} Premier ministre {{{premier ministre9}}} Chancelier {{{chancelier9}}} Gouvernement {{{gouvernement9}}} {{{fonction10}}} Mandat
{{{début fonction10}}} - {{{fin fonction10}}}Président {{{président10}}} Président de la République {{{président de la république10}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat10}}} Monarque {{{monarque10}}} Gouverneur général {{{gouverneur10}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil10}}} Premier ministre {{{premier ministre10}}} Chancelier {{{chancelier10}}} Gouvernement {{{gouvernement10}}} {{{fonction11}}} Mandat
{{{début fonction11}}} - {{{fin fonction11}}}Président {{{président11}}} Président de la République {{{président de la république11}}} Chef de l’État {{{chef de l'etat11}}} Monarque {{{monarque11}}} Gouverneur général {{{gouverneur11}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil11}}} Premier ministre {{{premier ministre11}}} Chancelier {{{chancelier11}}} Gouvernement {{{gouvernement11}}} Biographie Nom de naissance Andry Nirina Rajoelina Naissance 30 mai 1974 [1] (Madagascar) Décès {{{décès}}} {{{lieu décès}}} Nature du décès {{{nature}}} Nationalité malgache Conjoint(s) Mialy Rajoelina Enfant(s) Diplômé Profession Entrepreneur Occupations {{{occupation}}} Résidence(s) Palais d'État d'Ambohitsorohitra Religion {{{religion}}} Signature {{{signature}}} Chefs d'État malgaches Andry Rajoelina ['andʐʲ radz'welna] est le nom d'usage de Andry Nirina Rajoelina, né le 30 mai 1974[1], est un homme d'affaires et homme politique malgache.
Il est maire de la commune urbaine d'Antananarivo du 12 décembre 2007 au 3 février 2009 avant de transmettre sa fonction à son adjointe Michelle Ratsivalaka, qui est elle même destituée par le conseil municipal le 16 juillet 2009[2] et remplacée par l'homme d'affaires Edgard Razafindravahy[3] originaire d'Ambohimalaza comme Rajoelina.
Il s'empare du pouvoir à Madagascar après un coup d'État armé et s'autoproclame président de la Haute Autorité de la transition (HAT).
D'après l'actuelle Constitution, Andry Rajoelina est inéligible au poste de président de la République en raison de son âge.
Sommaire
Biographie
Ses débuts dans le monde de la publicité
Né le 30 mai 1974, Andry Nirina Rajoelina est issu d'une des familles de nobles d'Ambohimalaza de l'ethnie merina de Madagascar.
Son père, le colonel Roger Rajoelina était officier de l'armée française, puis de l'armée malgache après l'indépendance.
Il doit son surnom de « Andry TGV » à son appartenance à la bande de jeunes « Troup Gun's Val » (TGV) fondée avec son ami et cousin Liva Andrianasolo Ramavozatovo.
En 1994, Andry Rajoelina débute sa carrière dans le secteur de l'événementiel, il organise et anime en tant que DJ les soirées dansantes « Live »[4] où se retrouvent le tout-Tana le samedi soir
En 1998, grâce à la trésorerie générée par les soirées « Live » et au financement octroyé par la société de capital-risque Fiaro, filiale de la compagnie d'assurances de l'État ARO, dirigée à l'époque par Pascal Rakotomavo du parti AREMA de Didier Ratsiraka, il créé l'entreprise d'impression numérique et de gestion de panneaux publicitaires Injet.[5]
Injet est la première entreprise à Madagascar à acquérir la technologie d'impression grand format ce qui lui permet de rapidement dominer le marché de l'affichage publicitaire[6].
Andry Rajoelina se fiance avec Sarah Ravalomanana, la fille de Marc Ravalomanana qui se lance également dans le monde de la publicité avec sa société iMada mais leurs fiançailles sont rompues et leurs sociétés deviennent concurrentes.
Il épouse Mialy Razakandisa, fille de la femme d'affaires fortunée Nicole Razakandisa et devient actionnaire de la société de sa femme Domapub, une autre société de gestion de panneaux publicitaires[7]. Injet/Domapub détient alors le monopole de l'affichage publicitaire à Antananarivo.
Dans la foulée est également créée Publi-diffusion, société de sérigraphie sur textiles (t-shirts, vêtements de travail...).
En 2000, il est nommé pour le prix du « Manager de l'année » du magazine L'Écho austral[8].
En 2001, il reçoit le prix du « Manager de l'année » du magazine L'Écho austral.
En 2003, il reçoit le « Trophée du Jeune Entrepreneur » décerné par la banque BNI Crédit lyonnais Madagascar[9].
En 2007, il rachète pour 400 millions de MGA (environ 150.000 €)[10], la radio et chaîne de télévision Ravinala, propriété de l'homme politique Norbert Ratsirahonana[11] qu'il rebaptise Viva[12].
À la conquête de la mairie d'Antananarivo
Le 3 novembre 2007, Andry se porte officiellement candidat à la mairie d'Antananarivo, capitale de Madagascar et créé l'association « Tanora malaGasy Vonona » ou TGV (traduction : « Jeunes Malgaches prêts »). Il se déclare non affilié à l'opposition. Le 12 décembre 2007, Rajoelina est élu maire d'Antananarivo avec 63,32% des voix. Le taux de participation est de 40%. Le 20 décembre 2007, Rajoelina est reçu par le président Marc Ravalomanana qui le félicite pour son élection[13].
Le 21 décembre 2007, Rajoelina annonce que la mairie est endettée à hauteur de 8,2 milliards de MGA (environ 3 millions d'euros)[14].
Le 29 décembre 2007, l'oncle de Rajoelina, Jeannel Ramarofidy est placé à la tête du conseil municipal[15].
Le 5 janvier 2008, à la suite de coupures de l'éclairage public et de l'approvisionnement en eau des bornes fontaines dans la ville par la compagnie nationale d'électricité JIRAMA, Andry Rajoelina réagit sur TV Plus, principale chaîne de l'opposition , il déclare :
« La population d’Antananarivo ne doit pas être sanctionnée pour des raisons de stratégie politique »— Andry Rajoelina, [16]
En effet, la JIRAMA réclame à la commune des arriéres de paiements s'élevant à 3,3 milliards MGA, déduits de 717 millions MGA de taxe communales, les arriérés sont ramenés à 2,58 milliards MGA (environ 950 000 €).
Le 7 janvier 2008, Rija Rajoelina, annonce la création de l'association TGV Europe qu'il présidera et qui est l'antenne européenne de l'association TGV.[17]
Du conflit avec l'administration Ravalomanana au coup d'État
Article détaillé : Crise politique de 2009 à Madagascar.Le 13 décembre 2008, le gouvernement de Marc Ravalomanana ordonne la fermeture de la chaîne de télévision Viva TV, propriété de Andry Rajoelina, qui avait diffusé l'interview de l'ancien Président Didier Ratsiraka .[18][19][20]
Le 17 décembre 2008, Andry Rajoelina demande la réouverture de sa chaîne télévisée, l'ouverture de la télévision et de la radio nationale à des représentants de l'opposition et lance un ultimatum au gouvernement qui expire le 13 janvier 2009 sans réaction de ce dernier.
Le 17 janvier 2009, Rajoelina appelle alors ses partisans à manifester contre le gouvernement sur la place du 13-Mai à Antananarivo.
Le 26 janvier 2009, il organise une autre manifestation anti-gouvernementale qui dégénère en émeutes et en une série de pillages. L'immeuble de la radio télévision publique (RNM) est incendié par les manifestants. Les locaux des entreprises et véhicules du Groupe TIKO appartenant à Ravalomanana sont pillés et incendiés : la radio et télévision MBS, les centrales de distribution Magro, l'imprimerie Blueprint, le journal le Quotidien... L'auditorium d'Ankorondrano du parti présidentiel Tiako i Madagasikara (TIM) est également incendié. Plusieurs centres commerciaux (Jumbo Score Ankorondrano, Galerie Zoom, Supreme Center Behoririka...) sont également pillés et brûlés. Au moins 68 personnes [21], principalement des pilleurs piégés par les flammes, périssent en moins de trois jours. Cet épisode dramatique a reçu le surnom du Black Monday ou Lundi noir par la presse malgache.
Le 31 janvier 2009, Rajoelina se proclame « en charge des affaires du pays » sur la place du 13 mai.[22]
Le 7 février 2009, Andry Rajoelina organise une énième manifestation sur la place du 13-Mai et demande à ses partisans de marcher sur le palais d'État d'Ambohitsorohitra pourtant classé « zone rouge » les utilisant comme bouclier humain. Malgré les sommations d'usages et les négociations avec les forces de l'ordre, les manifestants forcent le corridor de sécurité harangués par Monja Roindefo, le général retraité Dolin Rasolosoa et l'homme en costume gris alias Étienne Andriamahefarisoa.[23]
Pour faire la lumière sur ces évènements, Marc Ravalomanana annonce la création d'une commission d'enquête internationale[24]. Le bilan est de 28 morts et 212 autres blessés[25].
Le 4 mars 2009, des affrontements entre les manifestants et les forces de l'ordre à Ambositra font deux morts par balles parmi les manifestants et plusieurs blessés de part et d'autre[26].
Le 6 mars 2009, Andry Rajoelina, sous le coup d'un mandat d'arrêt, se réfugie à l'ambassade de France.[27].
Le 11 mars 2009, les militaires mutins du Capsat favorables à Andry Rajoelina s'emparent du ministère de la Défense nationale et forcent le ministre, le vice-amiral Mamy Ranaivoniarivo, à démissionner[28].
Le 16 mars 2009, le CAPSAT, des éléments mutins de l'armée malgache, partisans d'Andry Rajoelina, prennent d'assaut et s'emparent le palais présidentiel d'Ambohitsorohitra gardé par des éléments de la garde présidentielle. Les rafales de mitraillette, les tirs de canon et de roquette durent plusieurs heures. On ignore toujours à ce jour s'il y a eu des victimes.
Le 17 mars 2009, les militaires du Capsat s'emparent du palais d'Iavoloha où se réfugiait le président Marc Ravalomanana. Les coups de feu durent plusieurs heures. On ignore également à ce jour s'il y a eu des victimes. Ce dernier assiégé et avant de quitter le pays dissout son gouvernement et signe une ordonnance (ordonnance no 2009-001 du 17 mars 2009) pour transférer le pouvoir exécutif à un directoire militaire chargé d'organiser des élections sous deux ans. À l'épiscopat d'Antanimena où se déroule une réunion d'information sur ladite ordonnance, les officiers censés dirigés le Directoire sont pris à parti par les militaires obéissant à Andry Rajoelina. Ils sont capturés et transférés manu militari au camp du Capsat[29]. À leur sortie du camp du Capsat, les officiers capturés insistent sur le fait qu'ils n'ont pas fait l'objet d'intimidations et annoncent qu'ils ont signé une ordonnance (ordonnance no 2009-002 du 17 mars 2009)[30] qui transfèrerait le pouvoir exécutif à Andry Rajoelina. Ce dernier s'autoproclame alors le 17 mars 2009 président de la Haute Autorité de la transition de la République de Madagascar et signe l'ordonnance no 2009-003 qui porte création de la Haute Autorité de la Transition (HAT) et la suspension du Parlement démocratiquement élu.
Le 18 mars 2009 la Haute Cour constitutionnelle (HCC) dans son Acte 79-HCC/G du 18 Mars 2009 valide ces transferts[31]. Pourtant, selon d'autres juristes malgache, cette dernière n'aurait pas vocation à ce genre de validations [32] et le 28 avril 2009, des militaires favorables à Andry Rajoelina prennent d'assaut les locaux de la HCC[33].
Président de la Haute Autorité de la Transition
Le 21 mars 2009 dans la matinée, Andry Rajoelina prête serment en qualité de président de la Haute Autorité de la transition au stade de Mahamasina, à Tananarive, devant plus de 20 000 personnes.
La communauté internationale ne voit pas d'un bon œil cette nomination et demande que se tiennent des élections le plus rapidement possible pour rétablir l'ordre démocratique et constitutionnel[34]. Ce même jour, une manifestation d'opposants à Andry Rajoelina et rassemblant des milliers de personnes a lieu en plein cœur de la capitale.
Le président de la République française, Nicolas Sarkozy, alors à la présidence de l'Union européenne, a lui qualifié la prise de pouvoir d'Andry Rajoelina de « coup d'État » dans une interview à la presse durant le sommet européen de mars 2009[35].
Le 23 mars 2009, il connaît une autre manifestation d'opposants à son régime qui dénoncent la prise de pouvoir, qualifiée de coup d'Etat unanimement par la communauté internationale[36]. Sa prise de pouvoir est condamnée par une grande partie de la communauté internationale qui déplore le non-respect des voies démocratiques du pays et le recours à la force[37] [38] [39] [40] [41].
Notes et références
- ↑ a et b (en) « FACTBOX-Madagascar's new president Rajoelina »
- ↑ [1]
- ↑ Edgard Razafindravahy le nouveau PDS d'Antananarivo
- ↑ Page web datant de 2004, contenant un interview de Andry TGV par le site sobika.com.
- ↑ Viva télévision Andry TGV met le turbo sur Madagate.com
- ↑ Article de l'Écho austral
- ↑ Article d'Abidjan.net
- ↑ name="Article de l'Écho austral"
- ↑ Première interview d'Andry Rajoelina, sobika.com] réalisée le 14 novembre 2002
- ↑ [2]
- ↑ [3]
- ↑ Couverture par le journal en ligne madagate.com de l'ouverture officielle de la télévision VIVA
- ↑ Ravalomanana rencontre cinq maires
- ↑ Andry Rajoelina hérite de 41 milliards FMG de dettes
- ↑ L'équipe familiale d'Andry Rajoelina
- ↑ Antananarivo est-elle sanctionnee
- ↑ Andry Rajoelina lance TGV Europe
- ↑ Discours de Didier Ratsiraka sur Dailymotion partie 1
- ↑ Discours de Didier Ratsiraka sur Dailymotion Partie 2
- ↑ Discours de Didier Ratsiraka sur Dailymotion partie 3
- ↑ Article « Au moins 68 morts à Madagascar depuis lundi » publié le 29 janvier 2009 par Liberation.
- ↑ Coup d'État à Madagascar : Andry Rajoelina s'autoproclame dirigeant
- ↑ Andry Rajoelina et Monja roindefo lancent leur partisans sur le palais présidentiel
- ↑ Marc Ravalomanana réitère sa promesse de créer une commission d'enquête internationale sur Malango.net
- ↑ Madagascar : retour au calme après une manifestation meurtrière, Le point.fr, 8 février 2009
- ↑ Madagascar: deux morts dans la dispersion d'une manifestation d'opposants mercredi, Le point.fr, 5/3/2009.
- ↑ Rajoelina réfugié a l'ambassade de France, Le Figaro, 10 mars 2009
- ↑ Le ministre de la Défense forcé à démissionner, Madagascar Tribune
- ↑ Vidéo de l'Épiscopat d'Antanimena, Youtube
- ↑ L'armée malgache confie le pouvoir à Andry Rajoelina
- ↑ La Haute Cour constitutionnelle investit Andry Rajoelina, L'Express de Madagascar, 19 mars 2009
- ↑ Transfert de pouvoir, l'ordonnance analysée par un juriste
- ↑ Des militaires prennent d'assaut la HCC
- ↑ Madagascar : le nouveau président a prêté serment, France Info, 21 mars 2009
- ↑ Sarkozy qualifie de coup d'Etat la prise de pouvoir d'Andry Rajoelina
- ↑ À Madagascar, les partisans du président déchu manifestent à leur tour, Le Monde, 24 mars 2009
- ↑ Communiqué du Sommet extraordinaire de la Troïka de l’Organe de Coopération en matière de Politique, de Défense et de Sécurité, Southern African Development Community (SADC), Ezulwini, Royaume du Swaziland, 19 mars 2009
- ↑ Union africaine — Communiqué de la 181e réunion du Conseil de Paix et de Sécurité, PSC/PR/COMM.(CLXXXI), Addis Abbeba, Ethiopie, 20 mars 2009
- ↑ African Press Organization (APO) — US Bureau of Public Affairs R.Wood, Acting Department Spokesman, Office of the Spokesman, 21 mars 2009
- ↑ Déclaration de la présidence au nom de l'Union européenne sur les événements récents à Madagascar, 7762/09 (Presse 67) P 35/09 (OR.en), Bruxelles, 20 mars 2009
- ↑ Actualités diplomatiques du ministère français des Affaires étrangères, Point de presse du 24 mars 2009
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
- Portail de la politique
- Portail de Madagascar
Catégories : Événement récent | Naissance à Madagascar | Naissance en 1974 | Personnalité politique malgache | Antananarivo
Wikimedia Foundation. 2010.