Alain Paiement

Alain Paiement

Alain Paiement est un artiste canadien né en 1960 à Montréal, au Québec. Son travail se définit à partir de la photographie qu'il explore sous forme d'installations, de sculptures et de photomontages. Ses sujets sont très liés à la géographie, la topographie et l'architecture et les enjeux de son travail se situent autour de la construction de la vision.

Sommaire

Biographie

Alain Paiement est né en 1960 à Montréal. Il a étudié à l'Université du Québec à Montréal où il obtient une maîtrise en arts plastiques en 1987. Il a également étudié à l'Université Paris I (1985-86) et à l'École Nationale Supérieure des arts visuels de La Cambre à Bruxelles (1983-84). Il a enseigné à l'Université d'Ottawa, à l'Université Concordia, à l'Université de Montréal et, depuis 2005, à l'Université du Québec à Montréal. Il vit et travaille à Montréal et est représenté par la Galerie Leo Kamen à Toronto.

Il a principalement exposé au Canada, Belgique, France, États-Unis et Espagne. Ses œuvres font partie de différentes collections dont le Musée National des Beaux-Arts du Québec, le Musée d'art contemporain de Montréal, le Musée Canadien de la photographie contemporaine, Loto-Québec, Communauté Française de Belgique, General Electric (États-Unis), ARCO Madrid, Centre culturel Canadien à Paris.

Il fut le premier Québécois invité au Whitney Museum de New York en 1992 pour l’exposition Power of the City / City of Power. Il a notamment participé en 1995 à Fotofeis, International Festival of Photography in Scotland, au Mois de la photographie à Paris en 1996, en 1999 à la 3e Biennale internationale de photographie de Tokyo et à la Kunsthalle de Krems en Autriche, à ARCO Madrid en 2004 et 2005. Il a entre autres reçu le prix Graff en 1997, a été nommé Ambassadeur de la culture de Bruxelles en 1999 et reçu le prix Louis-Comtois en 2002.

Pratique artistique

Photographe contemporain, Alain Paiement se démarque par sa réflexion sur la spatialisation de la photographie et sur la construction de la vision[1]. Son travail pourrait être considéré du point de vue de la photographie plasticienne telle que définie par Dominique Baqué, c’est-à-dire la photographie qui vient croiser les arts plastiques dans une pratique hybride des médiums[2].

De fait, les œuvres d’Alain Paiement se situent dans ce qu’on pourrait appeler de l’installation photo[3] et de la photo-sculpture[4] en ce qu’elles n’ont de sens que mises en scène dans un espace et un temps donnés[3]. Cela s’affirme dès le début de sa production artistique. Selon Dominique Baqué, certains artistes - notamment au Québec et particulièrement Alain Paiement- interrogent avec une pertinence particulière les modalités d'exposition de la photographie en lui développant un espace, une architecture où elle s’inscrit et autour ou à l’intérieur desquelles le spectateur peut circuler[5].

Plus récemment, accompagnant un retour à des préoccupations picturales, la production artistique d’Alain Paiement donne lieu à des images photographiques dont la présentation peut sembler plus classique, c’est-à-dire sur un plan vertical au mur. Néanmoins et plus subtilement, c’est à l’intérieur même des images, dans ce qu’elles représentent, que les jeux de perceptions spatiales opèrent, que les différentes temporalités se juxtaposent. Les mêmes opérations de découpages, inclinaisons et distorsions de l’image photographique ne se produisent plus sur des surfaces concrètes dans l’espace réel, mais à l’intérieur d’images composites reconstituées numériquement comportant de multiples points de fuite.

Parcours thématique

Installations et peinture: sujets géographiques

Waterdampstrukturen (1985)

Installation architecturale où se transcrit dans l'espace d'un appartement le schéma en spirale d'une formation nuageuse telle qu'on peut l'observer à partir d'images satellites. Pour y arriver, l'image de la formation nuageuse a été superposée au plan de l'appartement (Galerie Appart' art actuel, Montréal). Des panneaux peints où est représentée une texture nuageuse traversent les lieux, comportant d'abord une facture riche en matière appliquée sur une surface irrégulière. Cette matière s'allège progressivement jusqu'à terminer le parcours en spirale par des images photographiques de nuages. Ici, l'artiste joue sur la proximité dans la texture du nuage représenté par l'image peinte et l'image photographique en faisant osciller notre compréhension de ce qui est perçu, non seulement entre les deux médiums, mais aussi entre représentation et abstraction.

Beyond Polders (1983-87)

Installation in situ (ancienne Brasserie Eckers, Montréal) faisant intervenir peinture, élément structurel construit et photographie. Intégrée à l'architecture du lieu, cette intervention met en scène des images satellites de polders, des toiles peintes évoquant des structures organiques ou construites de grilles (système d'irrigation, surface de la terre craquelée, etc.), grilles évoquant à leur tour la cartographie. Un élément tridimensionnel a aussi été construit, laissant voir son squelette de bois, cette structure de dôme à base carrée reprend l'idée à la fois de la grille présente sur les toiles et à même l'architecture du lieu et une forme évoquant celle du polder lui-même. Cette installation compte aussi une murale grand format d'un sujet atmosphérique s'apparentant aux marines de J.M.W. Turner, oscillant toujours entre représentation du sujet et abstraction de la matière.

Photo-sculptures: sujets architecturaux

Amphithéâtre Bachelard (1989), Grand Amphithéâtre (ovoïde) (1988) et Grand Amphithéâtre: Planisphère horizontal (1989)

Série d'œuvres qui met plutôt l'emphase sur la perspective, le point de vue et l'architecture en général par le biais de la photo-sculpture. Ici, la totalité de l'espace intérieur de l'amphithéâtre de la Sorbonne est soumis au balayage cartographique de l'appareil photo de l'artiste selon un point de vue unique, ce qui occasionne des déformations de la perspective de l'image. Dans Grand Amphithéâtre: Planisphère horizontal, ces déformations ne sont pas sans rappeler celles nécessaires à l'aplanissement que subit la représentation de la surface de la Terre pour en tirer une mappemonde. Dans Amphithéâtre Bachelard et Grand Amphithéâtre (ovoïde), la topographie intérieure de l'amphithéâtre se retourne pour devenir la surface extérieure d'une surface convexe. Le regard n'oscille plus ici entre la peinture et la photographie ni entre représentation et abstraction, mais bien par la conscience de percevoir un espace inversé, une surface concave devenue convexe et dont la perspective est elle-même distordue par la lentille de la caméra à la prise de vue. Comme le mentionne Barbara Fisher dans l'opuscule accompagnant l'exposition Amphitheatres s'étant tenue au Power Plant de Toronto, la perception et la cognition, la réception et la projection sont capturées dans une seule et unique surface enregistrant les scissions, les distorsions et les compressions d'une surface impossible[6].

Installations photographiques: sujets architecturaux "habités"

Pour Sometimes Square (1994), Alain Paiement met en espace de multiples plans photographiques représentant différentes vues plus ou moins distordues de Times Square (New York) et qui sont montées sur des panneaux à la manière de décors de cinéma. Dans cette pièce, on voit apparaître deux changements importants: au niveau technique, la numérisation des images permet l'exploitation du potentiel de manipulation de celles-ci qui se traduit par des déformations de l'image qui ne sont maintenant plus dues aux effets de la lentille. Au niveau du sujet, des humains habitent discrètement les lieux architecturaux représentés dans l’œuvre de l'artiste.

Photomontages: sujets architecturaux "habités"

Série d'images photographiques au sens propre du terme représentant des espaces à partir d'une perspective à vol d'oiseau. L'artiste continue de cartographier l'espace en le balayant de son appareil-photo afin d'en tirer des prises de vue. Mais contrairement aux Amphithéâtres ou un point de vue unique et fixe était adopté, cette fois l'artiste scrute chaque parcelle d'espace en déplaçant son appareil afin de conserver un parallélisme entre le plan photographique de l'appareil et le plan du sol observé, un peu à la façon du satellite. Il cartographie et reconstruit les espaces en une seule image composite. Les premières œuvres à apparaître témoignant de cette nouvelle méthode de travail sont Constellation (Squat) (1996) et Living Pittoresque (1996). Ces œuvres représentent des espaces dans lesquels abondent les traces de l'activité humaine. Les espaces recomposés offrant une perspective à vol d'oiseau sont dorénavant franchement habités et trouvera son expression spécifique - telle qu'elle continuera de se développer par la suite- dans l’œuvre F3 (Living Chaos) réalisée en 2001 qui pressent l'ambitieuse œuvre Parages (2002).

Parages (2002)

Œuvre réalisée lors de l'exposition intitulée Le monde en chantier qui lui est consacrée à la Galerie de l'UQÀM en 2002. Cette grande œuvre se déploie dans l'espace de la galerie et est constituée de différentes images photographiques qui se superposent, représentant la cave jusqu'au toît, en passant par le logement de l'artiste et la boulangerie du rez-de-chaussée. Toujours en simulant un point de vue à vol d'oiseau, la perspective de l'image est recomposée autour de multiples points de fuite pour nous donner à voir la totalité de l'espace de chaque étage sur un même plan. De plus, les lieux représentés dans ces images sont dorénavant peuplés d'êtres humains se livrant à diverses activités quotidiennes dans leurs différents espaces de vie.

Photomontages: sujets fractals (ou architectures naturelles)

Expansibles (2006) et Mosaïques Fluides (2006)

Les bulles de savon occupent la surface photographique de ses deux séries. Elles se retrouvent à flotter dans un espace abstrait et il ne s'y trouve plus de repère d'échelle ni de perspective. Seuls indices: les images réfléchies sur la surface des bulles. Elles reflètent l'espace environnant au moment de la prise de vue, ce qui inclut l’artiste lui-même. Les bulles de ces deux séries évoquent la figure géométrique de la sphère des Amphithéâtres, l'idée de structure ou d'architecture naturelle qu'elles partagent avec les nuages de Waterdampstrukturen. Elles forment une organisation structurée avec une apparence de chaos comme les univers domestiques décrits dans Parages. Ce n'est donc qu'en apparence que Expansibles et Mosaïques Fluides semblent différer des sujets et du traitement formel développés tout au long du parcours artistique d'Alain Paiement car elles n'en constituent pas moins la continuité. Ces deux œuvres font parties du Programme d'intégration à l'architecture du Québec et sont installées au Pavillon de biologie de l'Université du Québec à Montréal.

Citation

"Le flou est une aberration optique. Il est ce qui excède les limites de ma perception dans l'expérience immédiate de ce qui m'entoure, comme un effet de non-résolu dans la recomposition mentale d'un tout par addition de cadrages dont on ne saurait jamais pouvoir rassembler la totalité en un seul point au même instant."[7]

Liste des principales expositions

  • Cells: Leo Kamen Gallery, Toronto, 2008
  • Expansibles et Mosaïques Fluides: Intégration à l'architecture, Pavillon de biologie de l'UQÀM, Montréal, 2006
  • Le monde en chantier: Galerie de l'UQÀM, Montréal, 2002; Musée National des Beaux-Arts du Québec, Québec, 2004; Oakville Galleries, Oakville, 2004.
  • Refaire surface / Surfacing: Galerie Clark, Montréal, 2001; Tinglado 2, Tarragone, Espagne, 2004; Espace Contretype, Bruxelles, 2006; Maison Hongroise de la photographie, Budapest, 2007.
  • Tangent/e: Centre canadien d'architecture, Montréal, 2003
  • Bruxelles à l'infini: Présenté par la galerie Contretype dans l'ancienne glacière de St-Gilles, Bruxelles, 2000; Centre international d'art contemporain, Cracovie, 2006; Museu de Arte Brasileira, Sao Paulo, 2007.
  • Sometimes Square: Musée d'art contemporain de Montréal, Montréal, 1994; Galerie VU, Québec, 1996;Musée d'art moderne et d'art contemporain de la Ville de Liège, 1997.
  • Cent jours d'art contemporain: Chantier (Building Sight), Centre international d'art contemporain, Montréal, 1991
  • Power of City / City of Power: Whitney Museum of American Art, New York, 1992
  • Photo sculpture: Galerie Optica, Montréal, 1991; Centre Vu, Québec; Tournée canadienne (Oakville, Rimouski, Calgary, Edmonton)
  • Amphitheatres: The Power Plant, Toronto, 1989; Centre culturel canadien à Paris, Paris, 1988
  • Waterdampstrukturen: Galerie Appart' art actuel, Montréal, 1985
  • Beyond Polders: Ancienne Brasserie Eckers, Montréal, 1987

Bibliographie sélective

  • Alain Paiement. Le monde en chantier. Ninacs, Anne-Marie; Montréal, Galerie de l'UQÀM, 2002, 143 p.
  • Image and Inscription: An Anthology of Contemporary Canadian Photography, Edited by Robert Bean, Gallery 44 et YYZ Books, 2005
  • Alain Paiement, … the world as I found it. Yam Lau, Alain Paiement & Patrick Pellerin, Pratt Manhattan Gallery, Pratt Institute Editions, New York, 2003
  • Tangent/e: Alain Paiement. von Amelunxen, Hubertus, Montréal, Centre Canadien d'architecture, 2003, 65 p.
  • Des espèces d'espaces. Jean, Marie-Josée; Grande, Chantal; Montréal, VOX, Tarragona, Tinglado, 2003, 88 p.
  • Photographie plasticienne: Un art paradoxal. Baqué, Dominique, Éditions du Regard, Paris, 1998, 328 p.
  • Univers Urbains : La représentation de la ville dans l'art québécois du XXe siècle. Trépanier, Esther, Musée du Québec, Québec, 1998, 94 p.
  • Sometimes Square : Le regard au carreau ou la conviction du pixel. Bélisle, Josée, Musée d'art contemporain de Montréal, 1994
  • Alain Paiement: Amphitheatres, Fischer, Barbara, 1989, The Power Plant - Contemporary Art at Harbourfront, Toronto, 1989, 16 p.

Sources bibliographiques

  • Alain Paiement, Musée National des Beaux-Arts du Québec : http://www.mnba.qc.ca Consulté le 2 juin 2009
  • Photographie plasticienne: Un art paradoxal. Baqué, Dominique, Éditions du Regard, Paris, 1998, 328p.
  • Alain Paiement: Le monde en chantier. Ninacs, Anne-Marie, Montréal, Galerie de l'UQÀM, 2002, 144p.
  • Alain Paiement: Amphitheatres. Fischer, Barbara, The Power Plant, Toronto, 1989, 16 p.
  • L'acte photographique et autres essais. Dubois, Philippe, Éditions Labor, Coll. Média, 1990, 310 p.
  • Only the Precarious. Dault, Michael Gary, Canadian Art, Fall 2007, p. 92 à 97.

Liens externes

Sur Alain Paiement:

  • Pour voir des œuvres réalisées entre 1988 et 2004

Esthétiques voisines:

Notes

  1. Musée National des Beaux-Arts du Québec http://www.mnba.qc.ca Consulté le 2 juin 2009
  2. La photographie plasticienne, un art paradoxal, Dominique Baqué, Éditions du Regard, Paris, 1998, p.9 La photographie plasticienne est la «photographie qu'utilisent les artistes, celle qui ne s'inscrit pas dans une histoire supposée pure et autonome du médium mais, tout au contraire, vient croiser les arts plastiques, participant ainsi de l'hybridation généralisée des pratiques, du décloisonnement toujours plus manifeste des champs de production.»
  3. a et b "La photo-installation et la sculpture photographique" in L'acte photographique et autres essais, Philippe Dubois, Éditions Labor, Paris, 1990, p.250
  4. Ibid. Il précise en citant Denis Roche qu’en ce qui concerne plus spécifiquement la photo-sculpture «(qu') il s'agit de considérer ici la photo non seulement comme une image mais aussi (et parfois surtout) comme un objet, une réalité physique qui peut être tridimensionnelle, qui a de la consistance, de l'épaisseur, de la matière, du volume. Bref, qui peut être envisagé aussi comme une sculpture» (Lettre à Roland Barthes sur la disparition des lucioles, Roche, Denis, in La Disparition des lucioles: Réflexion sur l'acte photographique, Paris, Éditions de l'Étoile, 1982.)
  5. "Le métissage post-moderne au regard du montage avant-gardiste" in Photographie plasticienne: Un art paradoxal. Baqué, Dominique, Éditions du Regard, Paris, 1998, p.238 «Certains artistes canadiens (québécois, plus exactement) interrogent avec pertinence les modalités d'exposition de la photographie, son insertion dans l'espace, et illustrent ce néologisme éclairant de René Payant: "Architecturer la photographie". ( Architecturer la photographie, Payant, René, Spirale, no 55, octobre 1985.) Les Québécois Alain Paiement et Roberto Pellegrinuzzi donnent corps et espace à la photographie. Tous deux inventent des sites photographiques, ouvrent un espace singulier dans lequel le spectateur - le corps spectateur - est convié à prendre position, à circuler, à s'approcher puis à reculer, accommoder le regard…»
  6. Alain Paiement: Amphitheatres. Fischer, Barbara, The Power Plant, Toronto, 1989 p.10 «Perception and cognition, reception and projection are captured in one single surface registering (...) the scissions, the distortions, and the compressions of an impossible surface.»
  7. Approximativement le monde. Paiement, Alain, dans Immédiats: Pierre Antoine - Alain Paiement, Pau (France), Publication de l'Université de Pau, 1999, n.p.

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Alain Paiement de Wikipédia en français (auteurs)

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