- Frédéric François
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Frédéric Francois Nom Francesco Barracato Naissance 3 juin 1950
Lercara Friddi, SicilePays d’origine Italie Activité principale Chanteur Genre musical Chanson française Années d'activité Depuis 1966 Labels Polydor
Barclay
AZ
Trema
Vogue
BMG
MBM/SONY-BMGSite officiel www.fredericfrancois.com Frédéric Francois (de son vrai nom Francesco Barracato) né le 3 juin 1950 à Lercara Friddi, Sicile, Italie, est un chanteur-compositeur italien vivant en Belgique. En 2009, après 40 ans de carrière, Frédéric François donne des concerts à guichets fermés, et ses ventes de disques avoisinent les 35 millions d’exemplaires. Il a obtenu 85 disques d’or, singles et albums confondus, 15 récompenses d’or pour ses ventes de vidéos et DVD. Il a chanté 350 chansons, en quatre langues.
Sommaire
Biographie
Origines et enfance
Né le 3 juin 1950 à Lercara Friddi en Sicile, dans une famille très modeste de l'Italie. Second enfant de Nina et Peppino Barracato, sa mère est couturière à Lercara et son père d'abord mineur dans une mine de soufre à Lercara. Il émigre en Belgique dans le bassin houiller de Liège où il décroche un contrat de trois ans en tant que mineur[1]. En 1951, Nina et ses deux fils rejoignent le père à Tilleur[2] dans un convoi de la Croix-Rouge. Francesco Barracato grandit dans une famille de huit enfants. Peppino chante pour le plaisir des chansons napolitaines et des airs d’opéra en s’accompagnant lui-même à la guitare. Le jeune Francesco n'a que 10 ans quand il chante pour la première fois en public O Sole Mio dans un café majoritairement fréquenté par des Siciliens de Tilleur, Le Passage à Niveau.
Carrière
Débuts
En 1963, il devient semi-professionnel en tant que guitariste-chanteur dans un groupe, Les Eperviers ; il quitte le collège technique en 1965 pour le Conservatoire de musique de Liège en classe de violon où il prend notamment des cours de diction, de déclamation et de chant. En 1966, il intègre un nouveau groupe Les Tigres Sauvages et gagne le Microsillon d’Argent lors du Festival de Châtelet en Belgique, dont le prix comporte l’enregistrement d’un 45 tours ; il gagne et 2 titres seront enregistrés : Petite fille et Ne pleure pas, pour lesquels il prend le pseudonyme de François Barra. Son père achète les 500 disques pressés et parvient à les vendre pour des juke-box. Le vainqueur bénéficie aussi du passage en première partie de trois artistes confirmés : Johnny Hallyday, Pascal Danel et Michel Polnareff, son idole. En 1969, sa rencontre avec le producteur belge Constant Defourny aboutit à son premier contrat avec une maison de disques : Barclay-Belgique. Il enregistre Sylvie, son premier 45-tours sous le nom de 'Frédéric François, en référence au nom de famille de Claude François, qui sort au mois de juillet 1969. Il donne ses premières prestations en soliste dans les salles de la région de Liège au milieu du tour de chant de l’orchestre The Best Group : il interprète cinq titres de sa composition dont naturellement Sylvie[3]. Il sort un nouveau 45 tours, Les Orgues de Saint Michel, qui ne rencontre aucun succès, puis un autre Marian, accompagné d’un second titre Comme tous les amoureux, écrit spécialement pour représenter la Belgique au Concours Eurovision de la chanson de 1970 mais n’est pas retenu.
Les années 1970
En 1970, Frédéric François enregistre un nouveau titre Jean[4], adaptation de la chanson du film britannique The Prime of Miss Jean Brodie[5] du réalisateur Ronald Neame (1969). Cette chanson, distribuée sous le label AZ, traverse la frontière franco-belge grâce à Lucien Morisse, le directeur des programmes d’Europe 1, qui la diffuse sur son antenne et permet au jeune chanteur d’être classé pour la première fois dans un hit parade, mais ne suffit pas à le rendre célèbre. Il sort consécutivement deux 45-tours Le pays d’où tu viens et Shabala : le premier est diffusé dans l’émission Formule J de la radio belge d'alors, la RTB. L’intérêt des auditeurs grandit ; en 1970, il épouse Monique Vercauteren, fille de mineur rencontrée un an auparavant. Il enregistre une nouvelle chanson, parlée cette fois et non pas chantée, I love you je t’aime en duo avec Monique. Leur premier enfant, Gloria, naît le 11 février 1971. I love you, je t’aime est programmée en 1971 à outrance sur la radio pirate hollandaise Véronica, qui émet depuis un bateau ancré hors des eaux territoriales. Les 30 000 exemplaires vendus de ce disque sont considérés comme la première véritable reconnaissance du public à son égard. Mais Monique continue de travailler en usine ; Frédéric vit mal de sa musique, et connaît un certain découragement quand il compose Comme on jette une bouteille à la mer et Je n’ai jamais aimé comme je t’aime dont le texte est signé du parolier Marino Atria[6]. Classée n° 1 durant treize semaines dans le hit parade de l’émission Formule J, Frédéric François sort de l’anonymat, ce qui décide son nouveau label Vogue-Belgique à distribuer Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, prudemment, uniquement dans les magasins de disques français du Pas-de-Calais, région limitrophe de la Belgique : 250 000 exemplaires sont vendus. Lui-même considère ce sixième 45-tours, enregistré sous le nom de Frédéric François, comme son premier vrai succès.
Quelques mois plus tard, naît son second enfant, Vincent, le 15 mai 1972. Le véritable tube survient au cours de l’été de l’année 1972, Je voudrais dormir près de toi, vendu à 500 000 exemplaires et numéro un dans plusieurs pays.
Au fur et à mesure que sortent Laisse-moi vivre ma vie (fin 1972- un million de disques vendus), Viens te perdre dans mes bras (1973), Chicago (1975), les tournées se succèdent. C’est à ce moment que naît son second fils et troisième enfant, Anthony, le 8 janvier 1976. Frédéric François est classé dans les « chanteurs à minettes »[7], (comme Patrick Juvet, Christian Delagrange, Dave, Mike Brant). Frédéric François est alors classé parmi les « idoles ». On parle à son propos de Frédomania[réf. nécessaire]. Frédéric François profite du succès jusqu’en 1979, où l'arrivée du disco le déloge des premières places des hit parades.
Les années 1980
La traversée du désert dure trois ans, jusqu’en 1982. Ce creux de la vague qui atteint moralement Frédéric François a une conséquence psychosomatique : il est sujet à de graves crises de spasmophilie qui ne s’espacent que lorsque le succès est de nouveau au rendez-vous. Celui-ci est dû aux radios libres, qui viennent de naître, et qui diffusent à tour de bras le titre Adios Amor (1982) lequel est l’adaptation par le parolier Michel Jourdan d’une chanson allemande. 500 000 exemplaires du 45-tours s’arrachent en quelques semaines. Ce retour en grâce lui permet de mettre sur pied un nouveau tour de chant, qu’il part roder en Haïti où il chante pour la première fois.
En 1983, il rejoint Trema, la maison de disques de Michel Sardou et Enrico Macias. Jusque là, Frédéric François a surtout été un vendeur de 45-tours. En 1984, il sort son premier album, Mon cœur te dit je t’aime, qui est trois fois album d’or (300 000 ex. vendus).
La naissance cette même année du Top 50 marque un tournant décisif dans la carrière de Frédéric François puisque pour la première fois dans l’histoire du disque, les chanteurs sont classés grâce à leur vente réelle et non à partir de classements subjectifs. Pourtant, à Paris, le showbiz est encore réticent. Il a 34 ans quand il passe pour la première fois à l’Olympia grâce à son imprésario Moïse Benitah qui a su convaincre Jean-Michel Boris et Paulette Coquatrix. Il affiche complet. Et l’engouement pour sa nouvelle chanson Je t’aime à l’italienne est tel que son nom s’affiche en lettres rouges encore une fois l’année suivante (1985) sur le fronton du grand music hall de la rive droite. Le 14 avril 1987 son père Peppino Barracato décède. Le succès de son nouvel album "Une nuit ne suffit pas" (première collaboration avec une parolière, Michaele) et la préparation de son troisième Olympia en 1988 l'aident à passer cette épreuve.
En 1989, il chante dans vingt-cinq villes au Canada ainsi qu'aux États-Unis (avril 1989) à Miami et à New York, où il donne cinq représentations dans trois salles différentes : le Brooklyn College et le Queen's College à la CUNY, et la Townhall Foundation.
Les années 1990
Pendant trois semaines, du 1er mars au 18 mars 1990, Frédéric François est à l’affiche de l’Olympia. Le premier soir, en sortant de scène, il apprend que son quatrième enfant, Victoria, vient de naître alors qu’il était en train d’interpréter la dernière chanson de son récital, Je t’aime à l’italienne. Deux ans plus tard, c’est durant tout un mois qu’il occupe la scène du grand music-hall de la rive droite. Ce sera la prestation la plus longue de sa carrière.
En 1993, il quitte Trema pour créer sa propre maison de production, MBM, afin d’acquérir une totale liberté de création et signe un contrat avec BMG pour la distribution. Il sort le dernier 45-tours vinyle de sa carrière, L’amour c’est la musique. Puis son premier CD intitulé Tzigane.
Le 20 décembre 1996, il est reçu en audience privée par le pape Jean-Paul II à Rome avec d'autres invités de marque[8]. A cette occasion il chante pour la première fois de sa vie devant le Saint-Père, accompagné par 70 musiciens et les chœurs de l’opéra de Rome.
Sa mère, qu’il a toujours admirée, s’éteint le 17 août 1997. Frédéric François lui dédie son huitième Olympia en mars 1998, suivi d’une tournée qui draine plus de 300 000 spectateurs. Frédéric sait qu’il va chanter pour la première fois de sa vie – le concert est prévu pour le 30 mai 1999 - dans son village natal de Lercara Friddi, en Sicile. C’est pourquoi il enregistre quelques mois avant cet évènement un album de standards italiens (Volare, Come Prima, Ciao Ciao Bambina) intitulé Les plus grandes mélodies italiennes. C’est à ses yeux comme un retour aux sources et une manière de célébrer ses trente ans de carrière.
Les années 2000
Frédéric François aborde le XXIe siècle en publiant son premier livre, Ma vie (éd. Hors Collection) avec la collaboration du journaliste Serge Igor, où il se raconte comme il ne l’a jamais fait, et où il ouvre pour la première fois ses archives de photos personnelles.
Sa tournée en 2002-2003 est marquée par plus de 100 représentations consécutives en France, Belgique et Suisse. Il décide de rendre hommage à Tino Rossi en reprenant en 2003 ses principaux succès : Méditerranée, Marinella, Ave Maria, Petit Papa Noël. En 2004, lors de son onzième Olympia, Frédéric François chante pour la première fois de sa carrière en anglais une reprise d’Elvis Presley Love me tender. Le public lui fait une ovation. En 2005, après trois ans sans avoir enregistré de chansons, il sort un CD avec 15 chansons, dont Et si on parlait d’amour. Il en vend 200 000 exemplaires en quelques semaines.
Au mois d’octobre 2005, il se dévoile dans un second ouvrage Autobiographie d’un Sicilien (éd. Ramsay) où il présente ses valeurs et ses idéaux. Cette année-là, certaines de ses admiratrices lui donnent un autre surnom que le désormais célèbre « Frédo » ; elles l'appellent « La voix de l’amour » (The voice of love).
Frédéric François aime partager des morceaux de sa vie privée. C’est pourquoi l’album qui est commercialisé le 14 juin 2006 intitulé Mes Préférences est emblématique puisqu’il égrène les grandes dates de sa carrière et de sa vie familiale : la chanson interprétée pour la première fois en public à l’âge de dix ans O Sole Mio ; son premier enregistrement Petite fille ; son premier grand succès Laisse-moi vivre ma vie ; la chanson écrite en l’honneur de sa mère de son vivant Mamina (« Ma petite maman » en sicilien) ; la déclaration qu’il voue à sa petite dernière Victoria, Fou d’elle ; le titre qu’il a composé pour le sixième anniversaire de la mort de son père, Le Strapontin de papa.
Frédéric François dit, à un an de distance, deux fois Merci la vie ! La première le 22 octobre 2007 avec son CD intitulé précisément Merci la vie !, et la seconde fois le 22 octobre 2008 avec la parution du livre de photos qui lui est consacré avec plus de 300 clichés signés Patrick Carpentier, Merci la vie ! aux éditions Du Rocher). Cependant il tombe malade le 26 octobre 2008 peu avant son concert au Forum de Liège, terrassé par un abus de cortisone. Il est hospitalisé deux fois au CHU de Liège. Il y fait un premier séjour durant pratiquement un mois du 28 novembre au 22 décembre 2008 et un second de quinze jours au mois de févier 2009. Alors qu’il est sur son lit d’hôpital sortent l’album live, puis la version DVD de Tour 2008-Frédéric François-de l’Olympia à Forest National, qui mêlent des enregistrement de ses prestations sur la scène parisienne et sur celle de Bruxelles.
Les médecins lui préconisent un repos complet. Il arrête sa carrière pendant un an. Il rechante pour la première fois en public, à titre exceptionnel, lors de l’émission Télévie sur la chaîne de télévision belge RTL-TVI pour la recherche contre le cancer. On le voit interpréter avec sa fille Victoria Somethin’ Stupid de Frank Sinatra, un duo déjà créé ensemble en mars 2008 sur la scène de l’Olympia le jour des 18 ans de sa fille. Il reprend ses activités le 31 octobre 2009 en redémarrant sa tournée là où il l’avait laissée : sur la scène du Forum de Liège.
En 2010, il sort un nouvel album Chanteur d'amour et passe à l'Olympia du 11 au 20 février 2011, puis il passe au Forest National le 5 mars 2011[réf. nécessaire]. Il sort un CD "40 Succès en or" inclus en DVD.
Principaux succès
- 1971 : Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, Vogue
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue
- 1972 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue
- 1974 : Il est deja trop tard / " Viens me retrouver
- 1973 : Viens te perdre dans mes bras, Vogue
- 1975 : Chicago, Vogue
- 1984 : On s’embrasse, on oublie tout, Vogue
- 1984 : Mon cœur te dit je t’aime, Trema
- 1985 : Je t’aime à l’italienne, Trema
- 1987 : Une nuit ne suffit pas, Trema
- 1988 : L’amour s’en va l’amour revient, Trema
- 1989 : Qui de nous deux, Trema
- 1990 : Est-ce que tu es seule ce soir, Trema
- 1993 : Tzigane, MBM-BMG
- 1995 : Les Italos-Américains, MBM-BMG
- 1997 : L’amour fou, MBM-BMG
- 1997 : Je ne t’oublie pas, MBM-BMG
- 2001 : Un slow pour s’aimer, MBM-BMG
- 2005 : Et si l’on parlait d’amour, MBM-BMG
- 2007 : Merci la vie, MBM-Sony/BMG
- 2010 : Chanteur d'amour, MBM-Sony/BMG
Discographie
45-tours
- 1966 : Petite fille, Polydor
- 1969 : Sylvie, Barclay
- 1970 : La nuit n’a pas de couleur, Barclay
- 1970 : Marian, Barclay
- 1970 : Triste Matin, Barclay
- 1970 : Mini maxi Dolly, Barclay
- 1971 : Jean, AZ
- 1971 : Mini maxi Dolly, AZ
- 1971 : Shabala, AZ
- 1971 : I love ou, je t’aime, AZ
- 1971 : I love you je t’aime, Ekipo-Espagne
- 1971 : I love you, je t’aime, Vogue-Belgique
- 1971 : Shabala, Vogue-Belgique
- 1971 : Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, Vogue
- 1971 : Ma chance c’est de t’avoir, Vogue-Belgique
- 1972 : Shabala, Ekipo-Espagne
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue-Japon
- 1972 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue
- 1972 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue-Portugal
- 1972 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue-Japon
- 1973 : Quand vient le soir on se retrouve, Vogue
- 1973 : Quand vient le soir on se retrouve, Vogue-Portugal
- 1973 : Pour toi, Vogue
- 1973 : Un chant d’amour, un chant d’été, Vogue
- 1973 : Un chant d’amour, un chant d’été, Vogue-Japon
- 1973 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue-Italie
- 1973 : Viens te perdre dans mes bras, Vogue
- 1973 : Viens te perdre dans mes bras, Vogue-Portugal
- 1974 : N’oublie jamais (+ Si je te demande) Vogue
- 1974 : N’oublie jamais (+ Tu veux rester libre) Alvaroda-Portugal
- 1974 : Il est déjà trop tard, Vogue
- 1974 : Tant que je vivrai, Vogue
- 1975 : Mal tu me fais mal, Vogue
- 1975 : Maintenant que tu es loin de moi, Vogue
- 1975 : Chicago (+ Comment veux-tu que je t’oublie), Vogue
- 1975 : C’est Noël (+ C’est Noël avec la chorale), Vogue-Belgique
- 1975 : Chicago (+ C’est ma faute), Ariola
- 1976 : Baby dollar, Vogue
- 1976 : Fanny Fanny, Vogue
- 1976 : San Francisco, Vogue
- 1976 : San Francisco, Vogue-Japon
- 1976 : C’est Noël (+ C’est ma faute), Vogue
- 1977 : On comprend toujours quand c’est trop tard, Vogue
- 1977 : De Venise à Capri, Vogue
- 1977 : Belle, tu es belle (+ Valentino), Vogue
- 1978 : Sois romantique, Vogue
- 1978 : Au dancing de mon cœur, Vogue
- 1978 : Giorgia, Vogue
- 1979 Un amour d’aujourd’hui, Vogue
- 1979 : Via Italia (+ Seul), Vogue
- 1980 : Via Italia (+ N’oublie jamais nous deux), Vogue
- 1980 : Qui t’a dit qu’en ce temps là, Vogue
- 1980 : Je rêve sur mon piano, Vogue
- 1980 : Je rêve sur mon piano, Vogue-Belgique
- 1981 : Je veux chanter la nostalgie, Vogue
- 1981 : Douce Douce, Vogue
- 1982 : On s’aimera toute la vie (duo avec Gloria), Vogue
- 1982 : Adios amor (+ Nous étions des amis), Vogue
- 1982 : Adios amor (+ I love you, je t’aime, en espagnol) Vogue
- 1982 : Je n’ai jamais aimé comme je t’aime, Ekipo-Espagne
- 1982 : Tu veux rester libre, Vogue-Japon
- 1983 : Aimer, Vogue
- 1984 : On s’embrasse, on oublie tout, Vogue
- 1984 : Mon cœur te dit je t’aime, Trema
- 1985 : Une femme pour toute la vie, Trema
- 1985 : Je t’aime à l’italienne, Trema
- 1986 : Quand papa chantait, Trema
- 1986 : L’aimer encore, Trema
- 1987 : Nina Ninouschka, Trema
- 1987 : Une nuit ne suffit pas, Trema
- 1988 : L’amour s’en va l’amour revient, Trema
- 1989 : Une simple histoire d’amour, Trema
- 1989 : Qui de nous deux, Trema
- 1990 : C’est toi qui pars, Trema
- 1990 : Est-ce que tu es seule ce soir, Trema
- 1991 : Je me battrai pour elle, Trema
- 1992 : Je ne te suffis pas, Trema
- 1992 : Bleu méditerranée, Trema
- 1992 : Encore une nuit sans toi, Trema
- 1993 : L’amour c’est la musique, MBM-BMG
Singles laser
- 1974 : Il est deja trop tard / Viens me retrouver
- 1993 : Tzigane, MBM-BMG
- 1993 : Si tu t’en vas, MBM-BMG
- 1994 : Fou d’elle (Live Olympia 94), MBM-BMG
- 1995 : Les Italo-Américains, MBM-BMG
- 1995 : En plein soleil, MBM-BMG
- 1995 : Y a-t-il quelqu’un ?, MBM-BMG
- 1995 : O Sole mio, MBM-BMG
- 1996 : Luna Rossa (Live Olympia 96), MBM-BMG
- 1997 : L’amour fou, MBM-BMG
- 1997 : Je ne t’oublie pas, MBM-BMG
- 1997 : Chiquita, MBM-BMG
- 1998 : Je veux tout, MBM-BMG
- 1999 : Volare, MBM-BMG
33-tours
- 1971 : I love you, je t’aime, Vogue
- 1971 : I love you, je t’aime, Vogue-Londres
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue-Belgique
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue-Espagne
- 1972 : Je voudrais dormir près de toi, Vogue-Argentine
- 1972 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue
- 1973 : Viens te perdre dans mes bras, Vogue
- 1973 : Ma vie en musique (version instrumentale, vol 1), Vogue
- 1973 : 12 premiers succès de Frédéric François, Vogue-Japon
- 1974 : Tant que je vivrai, Vogue
- 1974 : Tant que je vivrai, Vogue-Japon
- 1974 : Viens te perdre dans mes bras, Vogue-Japon
- 1975 : Chicago, Vogue
- 1976 : San Francisco, Vogue
- 1976 : Ma vie en musique, Vogue-Argentine
- 1977 : Belle tu es belle, Vogue
- 1977 : Laisse-moi vivre ma vie, Vogue-Japon
- 1978 : Giorgia, Vogue
- 1979 : Giorgia, Vogue-Argentine
- 1980 : Qui t’a dit qu’en ce temps là, Vogue
- 1981 : Je veux chanter la nostalgie, Vogue
- 1981 : Un chant d’amour un chant d’été, Vogue-Japon
- 1982 : Adios amor, Vogue
- 1983 : Aimer, Vogue
- 1984 : Mon cœur te dit je t’aime, Trema
- 1985 : Je t’aime à l’italienne, Trema
- 1986 : L’aimer encore, Trema
- 1988 : Une nuit ne suffit pas, Trema
- 1988 : Live de l’Olympia, Trema
- 1989 : L’amour s’en va, l’amour revient, Trema
- 1990 : Qui de nous deux, Trema
- 1990 : Olympia 90, Trema
- 1991 : Est-ce que tu es seule ce soir, Trema
- 1992 : Je ne te suffis pas, Trema
Albums laser
- 1990 : Olympia 90, Trema
- 1991 : Est-ce que tu es seule ce soir, Trema
- 1992 : Je ne te suffis pas, Trema
- 1993 : Tzigane, MBM-BMG
- 1994 : Les chansons de mon cœur,MBM-BMG
- 1994 : Live Olympia 94, MBM-BMG
- 1995 : Les Italo-Américains, MBM-BMG
- 1995 : Les plus grandes chansons napolitaines, MBM-BMG
- 1996 : Album d’or, MBM-BMG
- 1996 : Live Olympia 96, MBM-BMG
- 1997 : Les chansons de mon cœur vol 2, MBM-BMG
- 1997 : Je ne t’oublie pas, MBM-BMG
- 1998 : Live Olympia 98, MBM-BMG
- 1998 : Best of de mes Olympia, MBM-BMG
- 1999 : Les plus grandes mélodies italiennes, MBM-BMG
- 1999 : Frédéric François « Le collector », MBM-BMG
- 2000 : Olympia 2000, MBM-BMG
- 2001 : Un slow pour s’aimer, MBM-BMG
- 2001 : 60 chansons 3 CD, MBM-BMG
- 2001 : L’essentiel, MBM-BMG
- 2002 : Frédéric François chante Noël, MBM-BMG
- 2003 : Olympia 2002 spectacle intégral, MBM-BMG
- 2003 : Les romances de toujours, MBM-BMG
- 2004 : 30 chansonsde légende, MBM-BMG
- 2004 : Un été d’amour, MBM-BMG
- 2005 : Bailamos, MBM/SONY-BMG
- 2005 : Et si l’on parlait d’amour, MBM/SONY-BMG
- 2005 : Frédéric François à l’Olympia, MBM/SONY-BMG
- 2006 : Les chansons mythiques des années 70, MBM/SONY-BMG
- 2006 : Les indispensables, MBM/SONY-BMG
- 2006 : Mes préférences, MBM/SONY-BMG
- 2007 : Pour toi maman, MBM/SONY-BMG
- 2007 : Une vie d’amour, MBM/SONY-BMG
- 2007 : Merci la vie, MBM/SONY-BMG
- 2008 : 20 ans d’Olympia, MBM/SONY-BMG
- 2008 : Tour 2008 de l’Olympia à Forest National, MBM/SONY-BMG
- 2010 : Chanteur d'amour, MBM/SONY-BMG
- 2011 : 40 succès en or, MBM/SONY-BMG
- 2011 : Tours 2011-Le spectacle anniversaire
Audiovisuel
C’est au cours de l’été 1969 que l’on entend pour la première fois Frédéric François chanter à la radio : sur la station belge RTBF. Il interpréte Sylvie. Il participe en tant qu’invité cette fois à sa première émission de radio quelques semaines plus tard sur cette même antenne.
En France, en 1970, c’est Europe N°1 qui diffuse pour la première fois une chanson de Frédéric François, Jean, qui lui vaut d’être pour la première fois classé dans un hit parade : celui de la station. Au second semestre 1971, Je n’ai jamais aimé comme je t’aime passe pour la première fois à la radio dans l’émission « Formule J » de la station belge, RTBF. Cette chanson demeure à la première place pendant treize semaines. Les Français du Nord-Pas-de-Calais qui écoutent énormément les radios émettant de Belgique, ne trouvent pas ce 45-tours chez leurs disquaires, car il n’est pas distribué en France, et traversent la frontière pour l’acheter dans les magasins de disques belges. Il participe à sa première émission de radio en France en 1972 sur Europe N°1, dans « 5, 6, 7 » présentée par Jacques Ourévitch, au moment de la sortie de Je voudrais dormir près de toi. Dans le même studio, on note aussi la présence de Michel Berger et Michel Jonasz.qui débutent.
Sa première émission de télévision est diffusée en 1972 sur la seule chaîne française de l’époque, l’ORTF. Présentée par Guy Lux, elle est retransmise en direct de la fête du petit vin blanc à Nogent-sur-Marne (Val-de-Marne). Il est juché sur un char en compagnie de Mike Brant, et tous les deux sont promenés dans toutes les rues de la ville ! La même année, il participe à sa seconde émission de télévision : « Midi-Première » animée par Danièle Gilbert et Jacques Martin. Il y rencontre pour la première fois son compatriote italo-sicilo-belge, Salvatore Adamo qui est déjà une grande vedette. Une amitié indestructible naît entre eux ce jour-là.
En 1973, le présentateur Christian Morin sur Europe N°1 est le premier à utiliser le diminutif « Frédo » pour le désigner, au cours d’une émission appelée « Le hit parade » où il a été invité pour récompenser d’un cadeau le millionième acheteur de son dernier 45-tours Laisse-moi vivre ma vie.
Au mois de décembre 1974, Frédéric chante en direct sur RTL : il n’est pas dans le grand studio, mais dans l’église du Chesnay dans les Yvelines devant deux cents enfants et leurs parents. Le bénéfice de la quête est distribué aux enfants handicapés de Garches (Hauts-de-Seine) et aux enfants sans père de la fondation Le Nid de la ville d’Antony (Hauts-de-Seine). Au début de l’année 1975, dans l’émission « Samedi est à vous » présentée par Bernard Golay sur la première chaîne de l’ORTF, il est classé premier ex-aequo, avec Mike Brant, à la question: Quel chanteur préférez-vous ? posée aux téléspectateurs.
De 1975 à 1979, il fait les grandes heures de l’émission « Ring-Parade » sur Antenne 2 présentée par Guy Lux et Jean-Pierre Foucault. La radio est déterminante dans la carrière de Frédéric François, puisque c’est grâce aux radios libres qu’il renoue avec le succès, alors qu’elles viennent de naître, en diffusant abondamment Adios Amor en 1982. Ce qui le fait sortir de trois longues années de traversée du désert.
De 1983 à 1998, il est de nombreuses fois l’invité de « l’École des Fans » de Jacques Martin dans le cadre de son émission » Dimanche Martin ».
À partir de 1984, Pascal Sevran fait régulièrement appel à lui dans « La Chance aux Chansons ». En 1995, il est l’invité principal de son émission pendant toute une semaine à l’occasion de la sortie de son second album Les Italos-Américains.
En 1988, il répond présent au lancement de la toute nouvelle émission de la chaîne belge RTL-TVI, « Télévie », qui récolte des dons pour la leucémie. Il mettra un point d’honneur à y participer chaque année jusqu’à aujourd’hui. En France, au cours d’un « Sacré Soirée » de Jean-Pierre Foucault en 1988, son fils Anthony lui fait la surprise d’interpréter Chicago accompagné par sa sœur Gloria (guitare) et son frère Vincent (piano). Le 17 décembre 1988, Patrick Sabatier lui consacre un « Avis de Recherche » sur TF1. Lui et ses sept frères et sœurs sont pour la première fois réunis sur un plateau de télévision. Sa femme Monique n’a chanté qu’une seule fois en public, lors d’un « Sacrée Soirée », pour la Saint-Valentin le 14 février 1991, où elle interprète en duo avec lui Mon cœur te dit je t’aime.
Le 12 avril 1991, « Tous à la Une » lui demande d’être son rédacteur en chef exceptionnel sur TF1. Frédéric Mitterrand lui consacre son « C’est notre vie » le 17 juin 1994, durant lequel il rencontre la comédienne qui l’a fait rêver durant sa jeunesse : Gina Lollobrigida. Il improvise à la guitare Le Chaland qui passe en italien, car il sait que c’est l’une des chansons préférées de l’actrice et qu’elle a servi de leitmotiv à plusieurs films culte en Italie.
Le 25 avril 2009, il est le parrain d’une nouvelle émission sur la chaîne belge RTL-TVI intitulée « Au cœur de Télévie » pour mieux faire comprendre grâce à des reportages et des interviews ce fléau qu’est le cancer. Le même jour, sur la même chaîne, il est sur le plateau comme chaque année du « Télévie » pour la recherche sur toutes les formes de cancer. C’est au cours de cette soirée qu’il rechante pour la première fois, après avoir cessé toute activité pendant six mois.
En France, alors qu’il n’est pas réapparu en public depuis son concert du 17 octobre 2008 au Micropolis de Besançon, il tient à montrer aux téléspectateurs qu’il va mieux en leur faisant la surprise d’apparaître le 14 mai 2009 dans l’émission de Sophie Davant, « C’est au programme », sur France 2. A la radio, il ne sort qu’une seule fois de son silence, à la demande de Dave qui présente tout l’été un Top 50 new look sur Europe 1. La séquence est diffusée le 17 août 2009.
Bibliographie
- 2000 : Ma Vie aux éditions Hors Collection" (en collaboration avec Serge Igor).
- 2005 : Autobiographie d’un sicilien aux éditions Ramsay.
- 2008 : Merci la vie ! aux éditions Du Rocher (en collaboration avec le photographe Patrick Carpentier).
Décorations
- 1999 : Chevalier des Arts et des Lettres de l’Ordre de Léopold II, des mains du ministre de la culture belge, Pierre Hazette.
- 2009 : Commandeur de l’Ordre du Mérite de la République italienne (Commendatore dell’Ordine al Merito della Republica Italiana) des mains du Consul d’Italie à Liège, avec approbation du président du Conseil italien Silvio Berlusconi. Cette distinction lui est remise devant 10 000 personnes à Blégny-Mine, la seule mine-musée de Belgique. C'est le premier artiste italien issu de l’immigration à recevoir cette récompense.
Notes et références
- Durée de contrat qui lui donne le droit de faire venir sa famille
- 8 km de Liège à
- Prénom de la fille du parolier.
- prononcer Jinn
- Les Belles Années de Miss Brodie
- sicilien par sa mère, napolitain par son père et fils de mineur lui aussi
- Le terme n'étant pas péjoratif à l'époque.
- Dionne Warwick, Nathalie Cole, Laura Pausini, Los del Rio
Catégories :- Naissance en Sicile
- Naissance en 1950
- Chanteur italien
- Compositeur italien
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