- Pfälzische Maximiliansbahn
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Pfälzische Maximiliansbahn
Neustadt a.d.W. – Wissembourg et KarlsruheLigne de Neustadt an der Weinstraße à Wissembourg et Karlsruhe via Landau, Winden et Wörth Pays Allemagne,
FranceHistorique Mise en service 1855 - 1865 Électrification 1974 (électrification partielle) Caractéristiques techniques Longueur 73,9 km Écartement Voie normale (1,435 m) Électrification 15 kV - 16 Hz entre Wörth et Karlsruhe
Non électrifié ailleursNombre de voies Double voie de Neustadt à Winden
Voie unique de Winden à Wörth
Double voie de Wörth à Karlsruhe
Voie unique de Winden à WissembourgSchéma de la ligne Schéma de la ligne LégendePfälzische Ludwigsbahn 0+0 Neustadt (Weinstr) Hbf Pfälzische Ludwigsbahn Neustadt Weinstraßenzentrum (en projet) 5+9 Maikammer – Kirrweiler 8+5 Edenkoben 10+6 Edesheim (Pfalz) 13+7 Knöringen – Essingen Untere Queichtalbahn vers Germersheim 18+4 Landau (Pfalz) Hbf Queichtalbahn vers Pirmasens vers Herxheim 23+8 Insheim 26+2 Rohrbach (Pfalz) Klingbachtalbahn vers Klingenmünster 28,3 Steinweiler Kurbadlinie vers Bad Bergzabern 31+1 0+0 Winden (Pfalz) 36+6 Schaidt 37+4 Schaidt (jusqu'en 1928, Schaidt – Steinfeld) 39+8 Steinfeld (Pfalz) 41+2 Kapsweyer 43+0 Schweighofen 44+6 66+0 La Lauter, frontière franco-allemande 63+7 Wissembourg vers Strasbourg vers Lauterbourg Kandel West (en projet) 7+0 Kandel raccordement en projet transition train ↔ S-Bahn en projet terminus actuel de la ligne de S-Bahn Wörth Badepark terminus des S-Bahn de Karlsruhe Wörth Badallee Wörth town hall Wörth Bürgerpark Wörth Bienwaldhalle Wörth ancien centre de maintenance des S-Bahn transition S-Bahn ↔ train vers Schifferstadt 13+8 Wörth (Rhein) vers Lauterbourg 15+4 Maximiliansau West 15+9 Maximiliansau Eisenbahnstrasse 16+2 Pont sur le Rhin de Maxau 16+5 Maxau 16+9 EP vers la papeterie de Stora Enso 17+0 17+2 vers le réseau S-Bahn de Karlsruhe 17+3 EP vers la raffinerie de MiRO 17+3 Karlsruhe Rhine bridge (fermée) 19+3 Karlsruhe-Knielingen 20+4 vers Graben (march.) 20+9 Karlsruhe-Mühlburg vers le port du Rhin de Karlsruhe (march. uniquement) 22+5 Karlsruhe West vers la gare marchandises de Karlsruhe 27+0 Karlsruhe Hbf modifier Le Pfälzische Maximiliansbahn – parfois également désigné sous le nom de Maxbahn – est une ligne de chemin de fer reliant Neustadt an der Weinstraße à Wissembourg avec une branche de Winden à Wörth, et rejoignant le Maxaubahn vers Karlsruhe.
D'abord construite afin d'être un itinéraire de transit nord-sud, avec un simple embranchement vers Karlsruhe, cette vocation a été complètement bouleversée dans les années 1930, alors que la branche de Karlsruhe devenait de plus en plus importante et que la branche de Wissembourg perdait une grande partie de son trafic. Sur cette dernière branche, le trafic voyageurs a cessé en 1975 ; toutefois, ce service a repris en 1997.
Sommaire
Tracé
De Neustadt à Winden, la ligne parcourt les coteaux vinicoles de la Deutsche Weinstraße, de moins en moins développés au fur et à mesure que la ligne se dirige vers le sud. Sur cette section, la ligne est à double voie, contrairement aux autres sections de la ligne. Le massif du Pfälzerwald reste toujours en vue de la ligne. Sur la section de Winden à Wissembourg, la ligne franchit une grande partie des prairies du Viehstrich et long la lisière occidendale de la forêt du Bienwald.
La section de Winden à Karlsruhe franchit d'abord des terres agricoles jusqu'à Kandel, puis la forêt du Bienwald jusqu'à Wörth. Après avoir franchit le Rhin, la ligne, rejointe par le Hardtbahn (Graben-Neudorf – Eggenstein – Karlsruhe), gagne la gare principale de Karlsruhe (Karlsruhe Hbf), en desservant au passage les gares de Karlsruhe-Mühlburg et Karlsruhe-West. À Karlsruhe Hbf, les trains en provenance du Pfälzische Maximiliansbahn arrive voie 1 ou 101. La section de Wörth à Karlsruhe est électrifiée.
Historique
Des premières études à la construction
Les premières réflexions préalables à la construction de la ligne remontent à l'année 1829. L'objectif de la ligne était de créer une voie de grande communication entre Strasbourg et Mayence, devant être l'alter ego de la ligne située sur la rive opposée du Rhin, reliant Mannheim à Bâle. La question était de savoir s'il était plus judicieux de construire une route à proximité du Rhin, reliant Spire, Germersheim et Wörth, ou une route à proximité des reliefs du Pfälzerwald, reliant Neustadt, Landau et Wissembourg. La préférence des autorités militaires allait à l'itinéraire au piémont du Pfälzerwald. Toutefois, les événements de 1848 suspendirent temporairement le projet.
En janvier 1850 fut publié à Neustadt an der Haardt une brochure militant pour la construction d'une ligne entre Landau et Weißenburg, arguant par dessus tout de la plus forte densité des régions desservies par une telle ligne comparée à celles desservies par une ligne longeant le Rhin. La décision fut prise en 1852 en faveur de la ligne du piémont, suite à un complément d'études initié l'année précédente. Le 3 novembre 1852, le roi de Bavière Maximilien II donna le feu vert à la construction de la ligne en agréant la constitution d'une compagnie chargée du projet.
Le Maximiliansbahn fut ainsi construit par Paul-Camille von Denis, qui s'était déjà porté adjudicataire de la concession du Pfälzische Ludwigsbahn, reliant Ludwigshafen (alors connu sous le nom de Rheinschanze) à Bexbach et Neunkirchen. Le coût de la construction de la ligne s'élevait à quatre millions de florins.
Il fut alors procédé aux négociations avec les propriétaires affectés par le tracé de la ligne ainsi qu'avec les autorités de la ville de Landau, où des difficultés surgirent du fait du classement comme forteresse de cette cité.
Du temps de la Maximiliansbahn Gesellschaft (1855 – 1909)
La première section ouverte fut celle de Neustadt à Landau le 18 juillet 1855, suivie le 26 novembre 1855 par la section Landau – Wissembourg. Le 14 mars 1864 fut ouverte la section Winden – Maximiliansau et enfin, le 8 mai 1865, le chaînon manquant entre Maximiliansau et la ligne des chemins de fer badois du Maxaubahn reliant Karlsruhe et Maxau.
En 1867, la section Neustadt – Winden fut mise à double voie afin de faciliter l'écoulement du trafic Nord - Sud en augmentation constante. En 1871, il en fut de même de la section Winden – Wissembourg, cette dernière ville faisant alors partie de l'empire allemand. Ces travaux furent conduits dans l'optique d'un renforcement de la concurrence sur les trafic Nord-Sud, en particulier en provenance de la Prusse.
En 1872, l'ouverture de l'Untere Queichtalbahn Landau – Germersheim entraîna la reconstruction de la gare de Landau, maintenant gare de bifurcation, et de ce fait développée de façon significative.
Développement jusqu'à 1945
Le 1er janvier 1870, le Pfälzische Maximiliansbahn forme, en union avec le Pfälzische Ludwigsbahn, les Pfälzischen Nordbahnen et le chemin de fer Neustadt – Dürkheimer, le Pfalzbahn. Le 1er janvier 1909, toutes ces compagnies deviennent la propriété des chemins de fer étatiques du royaume de Bavière.
Auf badischer Seite wurde durch die Verlegung des Karlsruher Hauptbahnhofs auch die Strecken der Hardtbahn und Maxaubahn neu geführt zum südlicher gelegenen neuen Hauptbahnhof, zunächst noch nordöstlich an Knielingen vorbei, ab 1938 südwestlich. ⇔ Une ligne de S-Bahn fut construite dans les années 1950 à Karlsruhe ; cette ligne suit approximativement le tracé de l'ancienne ligne au nord de la gare de Knielingen, et a été reliée en 1997 au réseau ferré lourd (tram-train). Cette innovation constitue ce qui est désormais connu sous le nom de modèle de Karlsruhe.
Avant la première guerre mondiale, l'itinéraire du Pfälzische Maximiliansbahn constituait une partie de l'itinéraire « grande lignes » de Ludwigshafen à Strasbourg, en concurrence avec l'itinéraire badois. On y vit ainsi circuler des trains reliant Amsterdam à Bâle via Cologne, Bingerbrück, Rockenhausen, Neustadt, Wissembourg et Strasbourg. En 1914, lorsqu'a éclaté la première guerre mondiale, le trafic régulier fut stoppé, afin de permettre l'usage des voies en priorité aux militaires.
Après le retour de l'Alsace à la France suite au traité de Versailles, la ligne, exploité à partir de 1920 par la DRG (Deutschen Reichsbahngesellschaft), perdit toute raison d'être pour le trafic longue distance, ce dernier ayant basculé sur la rive droite du Rhin. Dans le Palatinat occupé par les troupes françaises, l'exploitation fut réalisée sous la forme d'une régie en 1923-1924. En 1930, le retrait des troupes françaises conduisit à la fin du trafic longue distance sur la ligne Nord-Sud.
Toutefois, à la fin des années 1930, le trafic se reporta en direction de Karlsruhe, entraînant la construction d'un pont en dur sur le Rhin entre Maximiliansau et Karlsruhe. Les liaisons Sarrebruck – Munich, qui jusque là transitait via l'Untere Queichtalbahn Landau – Germersheim, quittèrent cet itinéraire pour emprunter le nouveau pont. Début 1945, la fin de la deuxième Guerre mondiale conduisit à un arrêt du trafic commercial sur la ligne.
Texte allemand à traduire :
Die Zeit unter der Deutschen Bahn (seit 1945)
Nach dem Zweiten Weltkrieg wurde das Bahnhofsgebäude von Landau, das vom Krieg sehr stark in Mitleidenschaft gezogen worden war, allmählich durch einen modernen Bau ersetzt. Der Streckenabschnitt zwischen Winden und Wörth wurde von der französischen Besatzungsmacht auf ein Gleis zurückgebaut. 1975 kam für den Streckenabschnitt Winden–Wissembourg im ÖPNV das Aus; anschließend wurde er auf ein Gleis zurückgebaut.thumb|Szenerie am Bahnhof Wissembourg, dem südlichen Endpunkt der Maximiliansbahn; der TER wartet auf die Weiterfahrt Richtung Haguenau und Strasbourgthumb|Bf. Winden nach seiner Modernisierung 2007
Ab 1985 verkehrten im Abschnitt Karlsruhe–Landau Schnellzüge von München nach Saarbrücken. In Landau machten diese Züge Kopf, um über die Queichtalbahn den Weg nach Saarbrücken zu nehmen. Nach einem Schiffsunfall, der sich 1987 ereignet hatte, musste die Rheinbrücke Maxau neu gebaut werden. Die Brücke wurde am 29. April 1991 als eingleisige Brücke eröffnet, ab 1999 wurde ein zweiter Brückenüberbau für ein zweites Gleis errichtet, da die Brücke sich als Nadelöhr erwiesen hatte. Die Aufnahme des zweigleisigen Betriebs erfolgte am 12. Mai 2000.
Anfang der neunziger Jahre wurde das Bahnbetriebswerk in Landau stillgelegt und abgebrochen, ebenso verschwand der Landauer Rangierbahnhof. 1994 wurde für einige Jahre der durchgehende Verkehr von Karlsruhe nach Neustadt in Landau gebrochen und stattdessen die Züge der Queichtalbahn Pirmasens–Landau bis nach Neustadt durchgebunden. Außerdem wurde im März 1997 der Streckenabschnitt Winden–Wissembourg reaktiviert.
Im Jahr 2003 wurde der Hauptbahnhof von Neustadt im Zuge der Einführung der S-Bahn RheinNeckar auf der Pfälzischen Ludwigsbahn modernisiert.
Vom 1. bis 3. Oktober 2005 fanden anlässlich des 150. Jubiläums der Maximiliansbahn Dampfzugfahrten der Ulmer Eisenbahnfreunde (UEF) auf der Strecke statt. Die Dampfzüge verkehrten auf dem Ring Neustadt – Landau – Winden – Karlsruhe – Graben-Neudorf – Germersheim – Speyer – Schifferstadt – Neustadt sowie von Neustadt nach Wissembourg. Teils fuhren diese mit sogenannten „Silberlingen“ der Deutschen Bahn (DB). Pünktlich zu diesen Feierlichkeiten war der Bahnhof Kandel erneuert worden.
Betrieb
Fahrplan
Obwohl es heute auch durchgehende Züge von Neustadt nach Wissembourg gibt, gehört der Streckenabschnitt Neustadt–Winden heute betrieblich zur Strecke Neustadt–Karlsruhe. Die Strecke Karlsruhe–Neustadt ist als KBS 676 verzeichnet, die Strecke Winden–Wissembourg als KBS 679. thumb|Regionalexpress nach Neustadt im Landauer Hbf. Stündlich verkehrt je eine Regionalbahn (RB) und ein Regionalexpress (RE) von Karlsruhe nach Neustadt und jede Stunde eine Regionalbahn von Neustadt nach Weißenburg (Elsass), die jedoch zwischen Landau und Winden nicht hält. Die Regionalbahnen von Karlsruhe nach Neustadt bedienen bis auf Maximiliansau Eisenbahnstraße und Maxau alle Unterwegshalte. Alle 20 Minuten fährt die Karlsruher Stadtbahnlinie S5 (Wörth Dorschberg–Bietigheim-Bissingen) zwischen dem Bahnhof Wörth und der Ausfädelung auf die Straßenbahngleise zwischen den Haltepunkten Maxau und Knielingen auf der Maximiliansbahn. Sie bedient auch Maximiliansau Eisenbahnstraße und Maxau.
An Sonn- und Feiertagen von Mai bis Oktober verkehren fünf Regionalfern- und Ausflugszugpaare:
- Der Elsass-Express von Mainz Hbf über die Bahnstrecke Alzey–Mainz und die Pfälzische Nordbahn nach Weißenburg (Elsass).
- Der Rheintal-Express von Karlsruhe über die Pfälz. Ludwigs-, Alsenztal- und Nahetalbahn sowie die Linke Rheinstrecke nach Koblenz Hbf.
- Der Weinstraßen-Express von Koblenz Hbf mit umgekehrter Streckenfolge des Rheintalexpresses nach Weißenburg (Elsass).
- Der Bundenthaler von Mannheim Hbf über die Pfälz. Ludwigsbahn sowie der Felsenland-Express von Karlsruhe Hbf mit der gemeinsamen Route über die Queichtal- und Wieslauterbahn zu deren Endbahnhof Bundenthal-Rumbach.
Außerdem fährt ganzjährig am Wochenende ein Zugpaar unter dem Namen Strasbourg-Express umsteigefrei von Neustadt nach Straßburg Gare Centrale.
Die Pfälzische Maximiliansbahn kann im gesamten rheinland-pfälzischen und französischen Teil mit Fahrausweisen des Verkehrsverbundes Rhein-Neckar bis inkl. Maximiliansau Eisenbahnstraße genutzt werden. Der Karlsruher Verkehrsverbund gilt von Karlsruhe ausgehend auf der gesamten Strecke bis Weißenburg und bis inkl. Maikammer-Kirrweiler, wobei ein Übergangstarif für die Fahrt nach Neustadt an der Weinstraße Hbf. angeboten wird.
Fahrzeugeinsatz
Da die Rheinbrücke zwischen Karlsruhe und Wörth anfangs eine Pontonbrücke war, wurden eigens zur Querung des Flusses die Lokomotiven der Baureihe T 2.I eingesetzt.
Seit dem Jahr 1997 verkehren auf der Maximiliansbahn Regionalexpresse (RE), die unterwegs in Wörth, Kandel, Winden und Landau halten. Zum Einsatz kamen hierfür zunächst Neitech-Züge der Baureihe 611. Da diese allerdings sehr unzuverlässig waren, wurden sie nur wenige Jahre später durch die Baureihe 612 ersetzt, die seither bei den meisten RE auf der Strecke eingesetzt wird. Seltener fahren RE auch als lokbespannte Züge mit Loks der Baureihe 218 und rot lackierten Silberlingen.
Als Regionalbahnen werden seit den achtziger Jahren in der Regel Triebwagen der Baureihe 628 eingesetzt, die die zuvor verkehrenden Schienenbusse ersetzten. thumb|Güterzug im Bf. Wörth thumb|Güterzug im Hbf. von Landau
Güterverkehr
Zwischen Karlsruhe und Wörth findet reger Güterverkehr zu den Wörther Baggerseen, dem dortigen Mercedes-Benz-LKW-Werk und dem Wörther Rheinhafen statt, weshalb dieser Streckenabschnitt seit 1974 elektrifiziert ist. Auf den übrigen Abschnitten ist der Güterverkehr allerdings inzwischen zum Erliegen gekommen, was an den stark zurückgebauten Bahnhöfen von Kandel, Winden, Rohrbach, Landau und Maikammer-Kirrweiler sowie des ehemaligen Bahnhofs Schaidt deutlich wird. Die Lage der inzwischen weitestgehend abgebauten Gütergleise ist jeweils sehr gut erkennbar. Vor allem die Bahnhöfe Kandel, Winden und Schaidt hatten im Zuckerrübentransport große Bedeutung, da dort jeweils eine Verladeeinrichtung vorhanden war, über die Zuckerrüben auf Güterwaggons verladen wurden. Anfang der neunziger Jahre gab die Deutsche Bundesbahn diesen Transportzweig auf, die Rübentransporte wurden auf die Straße verlagert.
Abgesehen vom Streckenabschnitt Wörth–Karlsruhe und dem Landauer Hauptbahnhof existieren die einzigen beiden noch angebundenen Gleisanschlüsse in Edenkoben. Diese werden allerdings auch seit Jahren nicht mehr bedient. Das Kopfgleis ins Edenkobener Gewerbegebiet Seewiesen wurde im Zuge der Modernisierung des Bahnhofes mit dem Abbau von Gleis 3 unwiederbringlich abgetrennt, da in seiner Trasse die Rampe der Fußgängerunterführung gebaut wurde.
Mit der Inbetriebnahme des neuen elektronischen Stellwerks in Neustadt wurde dort auch das Gleisdreieck eines Schenkels beraubt: Seither können Güterzüge nicht mehr direkt in Richtung Ludwigshafen einfahren, sondern müssen im Hauptbahnhof Kopf machen. Auch der bis zuletzt verkehrende Personenzug von Pirmasens Hbf. zur BASF muss seit des Umbaus in Neustadt Hbf kehren statt wie vorher ohne Halt von Maikammer-Kirrweiler bis Haßloch durchzufahren.
Darüber hinaus gab es in Landau zahlreiche Gütergleise, die bis in die Innenstadt führten. Teilweise sind heute noch die Trassen in Form von verwilderten „Wegen“ zwischen Gebäuden und Grundstücken sichtbar. Mittags fährt täglich noch ein Güterzug von Neustadt nach Landau.
Zweigstrecken
Die wichtigsten Strecken, die von der Maximiliansbahn abzweigen, sind die Queichtalbahn Landau–Pirmasens und die Bahnstrecke Schifferstadt–Wörth. Beide wurden als einzige dauerhaft im Personennahverkehr bedient.
Alle übrigen Bahnlinien sind oder waren zeitweise stillgelegt. Den Anfang machte hierbei die Klingbachtalbahn Rohrbach-Steinweiler–Klingenmünster im Jahr 1957, die inzwischen vollständig abgebaut ist. Zwischen 1981 und 1995 gab es keinen Reisezugverkehr auf der Kurbadlinie von Winden nach Bad Bergzabern, 1983 die Nebenbahn von Landau nach Herxheim, ein Jahr später schließlich auch die 1999 bzw. 2002 reaktivierte Bienwaldbahn und die Untere Queichtalbahn. thumb|Stadtbahn am Haltepunkt „Maximiliansau West“ Auf der unteren Queichtalbahn findet seit 2006 zwischen Bornheim und Lingenfeld ein Draisinenverkehr nach dem Vorbild der Glantalbahn statt. Die Strecke nach Herxheim wird in naher Zukunft zwar nicht reaktiviert werden, allerdings ist sie durch einen Trassensicherungsvertrag geschützt.
Im September 1997 wurde die Karlsruher Stadtbahnlinie S5 von Karlsruhe nach Wörth Dorschberg verlängert. Bis zum Karlsruher Stadtteil Knielingen fährt sie auf den Gleisen der Straßenbahn, von wo sie kurz vor dem Haltepunkt Maxau in die Maximiliansbahn einfädelt, der sie bis zum Haltepunkt Wörth Alte Bahnmeisterei folgt. Anschließend fährt sie erneut als Straßenbahn durch das Wörther Wohngebiet „Dorschberg“. 2003 wurde die Strecke zum Wörther Badepark verlängert. Ab der Haltestelle „Wörth Badallee“ führt diese Linie auf der Länge von etwa einem Kilometer parallel zur Maximiliansbahn bis zum Endpunkt „Wörth Badepark“.
Unterwegshalte
Weil die Maximiliansbahn als Transitstrecke geplant war, baute man wenige Bahnhöfen und Unterwegshalte. Manche dienten zwei Ortschaften, was an den Namen deutlich wurde: Maikammer-Kirrweiler, Knöringen-Essingen, Rohrbach-Steinweiler, Schaidt-Steinfeld. Insheim erhielt erst 1877 einen eigenen Bahnhalt, Steinfeld 1928. Der Bahnhof Schaidt-Steinfeld wurde damals in „Schaidt“ umbenannt. Dieser Bahnhof wurde bei der Reaktivierung des Abschnitts Winden–Wissembourg 1997 nicht wieder in Betrieb genommen, sondern durch einen Haltepunkt wesentlich näher an der Ortsmitte von Schaidt ersetzt. 1997 erhielt Schweighofen erstmals einen Haltepunkt. Im Zuge des Baus der Stadtbahn nach Wörth wurde zwischen der Rheinbrücke und Wörth ein zweites Gleis, ein zweiter Bahnsteig am Haltepunkt Maximiliansau Eisenbahnstraße und der neue Haltepunkt Maximiliansau West errichtet. thumb|left|Regionalbahn im Bf. Wörth Da sich die Bebauung von Steinweiler in den neunziger Jahren immer weiter in die Nähe der Bahnstrecke entwickelt hatte, bekam der Ort 1999 einen eigenen Haltepunkt; der rund zwei Kilometer von der Gemeinde entfernt gelegene Bahnhof Rohrbach-Steinweiler wurde anschließend in „Rohrbach (Pfalz)“ umbenannt.
Zwischenzeitlich wurden außerdem die Bahnhöfe Edesheim, Edenkoben und Maikammer-Kirrweiler modernisiert und die Bahnsteige angehoben; gleiches wurde von 2005 bis 2007 in Winden vorgenommen.
Im März 2009 ging der Haltepunkt Wörth Mozartstraße in Betrieb. Somit dürften Pläne für eine Option, die Linie S5 der Stadtbahn Karlsruhe hinter dem Haltepunkt Wörth Badepark wieder in die Maximiliansbahn einzufädeln und sie über diese zumindest bis nach Winden, eventuell sogar bis nach Landau oder Neustadt zu verlängern, in absehbarer Zeit nicht realisiert werden. In diesem Zusammenhang ist auch eine Elektrifizierung der gesamten Maximiliansbahn fraglich. Momentan sind noch zwei weitere Haltepunkte an der Maximiliansbahn geplant: Kandel West und Neustadt Süd.
Literatur
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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