Étude statistique de l'astrologie

Étude statistique de l'astrologie

Des études statistiques en astrologie, généralement rejetées par les scientifiques et controversées parmi les astrologues eux-mêmes, ont été conduites par des astrologues afin de déterminer si une corrélation pouvait être observée entre les phénomènes étudiés par l'astrologie (planètes, signes, domification, aspects, transits…) et des évènements objectifs dans la psychologie ou la destinée humaine.

Ces recherches, qui tentent d'établir à travers la méthode expérimentale la validité de l'astrologie, ont parfois été jusqu'à revendiquer un statut d'astrologie scientifique[1] mais elles sont généralement perçues comme une démarche pseudo-scientifique.

Sommaire

Historique

Premiers pas de Choisnard

Paul Choisnard, polytechnicien français, officier de l’armée formé aux statistiques, effectue les premières études statistiques sur l’astrologie au début du XXe siècle et présente des conclusions qui seraient favorables à la doctrine astrologique[2] au travers d’une enquête sur près de 1000 personnes ayant obtenu une réputation et chez lesquels il noterait une fréquence anormalement élevée de la présence de Jupiter à la position appelée Milieu du Ciel[3]. Il pose ainsi les bases de l'étude statistique de l'astrologie, mais ne prend pas en compte les biais astronomiques, démographiques et sociologiques dans ses calculs et tire souvent de fausses conclusions. Selon Michel Gauquelin[4], Paul Choisnard n'a pas pris en compte le fait qu'un écart statistique apparemment significatif observé peut être tout simplement dû à la « loi des écarts »[4].

Le « fait » de Paul Choisnard est ténu, sa méthode incomplète et ses résultats contestables, mais ces travaux ouvrent la voie à une étude de l'astrologie par les statistiques, assimilée à une "astrologie scientifique" qui se distingue des pratiques divinatoires et prédictives. Cette démarche est poursuivie en France par Léon Lasson dans les années 1920 et 1930 et s’étend en Allemagne. Ce sont des ingénieurs qui se penchent outre Rhin sur la question et les échecs sont fréquents, comme l’étude exposée par Hans Ritter sur 2230 naissances de musiciens qui ne révèle aucune corrélation absolue pour la composition musicale [5].

Le suisse Karl Ernst Krafft (de), reprenant l’idée, s’investit dans la recherche (70 000 naissances étudiées[6]) mais avec la particularité de se soustraire des présupposés de la tradition astrologique pour n’en garder que les principes fondamentaux[7]. Michel Gauquelin a fortement critiqué les travaux de Karl Ernst Krafft[8]. Michel Gauquelin a également critiqué les enquêtes faites par C. C. Zain (en) et The Church of Light de Los Angeles, par D. Bradley aux USA et par Herbert Freiherr von Kloeckler en Allemagne en affirmant qu'elles n'étaient « pas réellement scientifiques »[9].

Apport de Gauquelin

Effet Mars: Distribution de Mars dans le ciel de naissance d'athlètes, d'après Gauquelin.

Un psychologue français, Michel Gauquelin, travaillant avec sa femme Françoise Gauquelin, reprend les travaux de Choisnard en les critiquant et en les corrigeant dans les années 1940. Il cherche à éviter les biais statistiques en prenant ses dates de naissance dans des publications "externes" n'ayant rien à voir avec l'astrologie (exemple: l'Index biographique des académiciens de médecine 1820-1939[10]). Il publie dans les années 1950 et 1960 les premiers résultats de ses propres travaux d’où il tirerait une corrélation entre la position de Mars dans le ciel et une population de sportifs. Il ravive ainsi le débat en publiant ses résultats sur l’Effet Mars, qui voudrait que les sportifs aient une fréquence plus élevée que la moyenne de présence de Mars dans certains secteurs du ciel. Très critiqué, son « Effet Mars » fait l’objet de plusieurs vérifications scientifiques controversées jusqu’à la fin du XXe siècle.

Michel Gauquelin, en collaborant aux vérifications de ses travaux avec des organismes scientifiques rationalistes et sceptiques, tirera de son expérience, des corrections de ses études et des règles fiables pour étudier scientifiquement l’astrologie. Il affermit les bases posées par Choisnard et fait école. Mais il se présente en homme de science et affirme ne pas défendre l'astrologie! Au contraire, à part son Effet Mars, tous ses travaux pointent vers une inexistence statistique des facteurs techniques de l'astrologie savante. Voici des citations de Michel Gauquelin tirées de son livre Le dossier des influences cosmiques[11]:

  • "On ne trouve pas de grains d'or astrologiques dans les signes du Zodiaque" (page 231)
  • "Dans cette enquête, comme dans toutes celles que nous avons menées sur les aspects, tout se passe au hasard comme si leur influence n'existait pas" (page 233)
  • "En annexant le mouvement diurne des planètes au domaine des influences astrales possibles et en insistant sur le rôle de l'axe horizon-méridien, l'astrologie a eu, une fois encore, l'intuition de quelque chose. Mais sous sa forme traditionnelle, la roulette astrologique maisons, pas plus que les deux précédentes, ne permet de martingale horoscopique" (page 237).


Avec l'« Effet Mars », c'est la communauté scientifique qui développe la controverse au travers de vérifications menées par des organismes qui luttent contre les pseudo-sciences et les superstitions. Les vérifications aboutissent à des conclusions controversées à la fin des années 80.

Les travaux de Michel Gauquelin ont ouvert la voie à une vérification scientifique des principes soutenus par l'astrologie. La démarche se développe en France principalement autour du "RAMS" (Recherche en astrologie par des moyens scientifiques [12]) et de André Barbault, et plus récemment, de Hervé Delboy et Didier Castille[13]. La recherche de nouveaux « effets » n’arrive pas à lever entièrement le doute des biais à caractères sociologiques, culturels, héréditaires et autres. Ces recherches se sont aussi étendues aux États-Unis, en Italie, en Allemagne… [réf. souhaitée]

Études récentes

Au début des années 1990 paraissent deux livres écrits par Maurice Nouvel où ce dernier soutient par des statistiques portant sur un nombre relativement restreint de personnalités qu'il convient d'utiliser, pour obtenir des résultats probants, le zodiaque sidéral[14] et la domification dite antique (avec des maisons égales et l'ascendant au centre de la maison I)[15]. Cependant, ce qu'on pense être une corrélation sur un échantillon statistique restreint peut ne plus en être une lorsqu'on élargit la taille de l'échantillon.

En 1993, parait dans « Les cahiers conditionnalistes », une étude statistique[16] qui démontrerait une corrélation entre les aspects Mercure-Saturne et les qualités de joueur d'échecs. Bien que l'objet théorique de cette étude soit fort restreint, la confirmation de sa validité contredirait le dogme de l'impossibilité d'une influence des astres. Aucune publication sceptique n'a commenté ces résultats à ce jour, seule une mise en perspective critique de cette expérimentation est proposée par S. Bret-Morel[17].

Dans les années 2000, Didier Castille, à partir de statistiques de l’Insee mène une étude sur une population de plusieurs millions de français d’où il tire une corrélation entre dates de naissance et dates de décès des individus [18] qui n'a pas été controversée, mais qui n'a pas été publiée, à ce jour, dans une revue scientifique à comité de lecture. L'auteur remarque lui-même que la corrélation obtenue pourrait s'expliquer, par exemple, par un taux de suicide plus grand le jour des anniversaires ou, plus simplement, par des accidents de voitures dus à des anniversaires trop arrosés. En somme, que des facteurs non liés aux astres mais bien reliés à la date de naissance, pourraient expliquer les corrélations mises en lumière[19].

Début 2011, l'assureur suisse Allianz a réalisé une étude statistique, sans prétention scientifique, portant sur 400 000 dossiers. Cette analyse, présentée comme un "clin d'œil", fait apparaître une variation du nombre de sinistres en fonction du signe zodiacal de naissance des conducteurs, qui peut être liée au simple hasard[20].

Bilan de l'astrologie statistique

Pas de causalité prouvée

Aujourd’hui, les résultats d'expériences visant à démontrer la validité de l’interprétation des thèmes astraux par des astrologues ou des ordinateurs sont nuls. Il manque à l'astrologie l'observation formelle d'un éventuel « fait astrologique ». L'Effet Mars de Gauquelin a ouvert la voie de recherche d'un tel phénomène.

À ce jour, aucune cause rationnelle ne saurait être établie entre la position et le mouvement des astres et les évènements terrestres. Si l’identification d’une causalité devient une préoccupation des partisans d’une recherche en astrologie par des moyens scientifiques[21], à l’aune de nos connaissances actuelles, les recherches observent et discutent d’effets réputés sans cause.

Résultats de recherche

Pour ce qui est du fond, ce domaine n'a produit en un siècle d'existence que peu d'études. Les données statistiques sont assez difficile à collecter (dates, heures et lieux de naissance d'un échantillon de population « représentatif ») par rapport à un sujet d'investigation qui ne reçoit aucun financement public. Ces études sont par ailleurs très contestées. Sur le plan statistique, les analyses de corrélations sur des dates et heures de naissances contiennent de nombreux biais potentiels, généralement mal maîtrisés. Les critères de sélection de l'échantillonnage sont souvent subjectifs et facilement contestables. Enfin, l'appréciation de l'effet à mesurer (souvent un succès professionnel ou un trait psychologique) n'est pas toujours facile à caractériser.

Statut universitaire de la connaissance

Les résultats des recherches en astrologie par des moyens scientifiques semblent avoir affecté la société civile qui ré-introduirait petitement l’astrologie, non pas comme science, mais comme une discipline méritant une forme nouvelle d’attention. Ainsi l’ouvrage « Astrologie » de la collection « Que sais-je ? » des éditions PUF, initialement rédigé par un astronome ouvertement hostile à l’astrologie, a été remplacé par un ouvrage de Mme Suzel Fuzeau-Braech, fondatrice du RAMS, pour changer à nouveau en 2005[22]. Après 300 ans d’absence dans les universités, quatre actions universitaires dans le monde ayant trait à l'astrologie viennent de voir le jour, comme l’indique Jean Dommanget du Comité Para dans son article[23], regrettant un intérêt croissant des universités pour l'astrologie, notamment en France, en Inde, en Autriche et aux États-Unis.

Influence sur l'astrologie

Le XXe siècle restera le siècle de l’entrée de la démarche scientifique dans l’astrologie. Cette approche nouvelle, même si elle n’est pas reconnue par l’ensemble des astrologues, ni des scientifiques, aura considérablement fait avancer la discipline en épurant sa doctrine, grâce au développement d’arguments contradictoires à caractère astronomique, sociologique ou démographique.

Comportements pseudo-scientifiques

Thème astrologique moderne centré sur l'écliptique, avec à l'intérieur des signes astrologiques les maisons astrologiques où se trouvent les planètes
Thème astrologique d'antan (en carrés et en triangles) fondé sur les douze maisons astrologiques, avec à l'intérieur des maisons les signes et les planètes. Manuscript islandais du XVIIIe siècle.

Yves Lenoble rappelle l’influence considérable que le père de l’astrologie scientifique, Paul Choisnard, a eu sur la quasi totalité des praticiens et des chercheurs en astrologie d’aujourd’hui, en inventant la représentation graphique moderne des thèmes astraux avec leur forme astronomiquement plus claire (centrée sur l'écliptique, c'est-à-dire sur les douze signes astrologiques), loin de l’abstraction ésotérique des représentations carrées et triangulaires d’antan centrées sur les maisons astrologiques[24]. Cette représentation moderne facilite grandement les études statistiques, car l'écliptique sert de cercle de mesure des angles.

Françoise Gauquelin en notant dans une étude (non reproduite par la suite, et donc non significative) que les angles entre planètes qu’elle appelle « durs » (90° et 180°) « sembleraient plus fréquents chez les personnes ayant effectué une carrière remarquable », tend à déplacer la tradition des « mauvais » et des « bons » aspects astrologiques pour redéfinir ce facteur sur un plan moins déterministe[réf. nécessaire].

Conclusion

Ce domaine de recherche est généralement rejeté par les scientifiques, en particulier les astronomes. Ainsi, Ph. Zarka et F. Biraud, chercheurs à l'Observatoire de Paris, critiquent les expériences de Michel Gauquelin, en raison de leurs biais expérimentaux qui conduisent, selon eux, à la production d'artefacts statistiques[25].

Les réactions d'astrologues à cette approche sont mitigées. Tout en revendiquant les indices positifs parfois obtenus comme des « preuves de l'astrologie », certains d'entre eux soulignent que l'approche statistique ne peut que noyer dans la masse le contenu nuancé et personnalisé d'une analyse astrologique « réelle ». Selon certains astrologues, des résultats statistiques positifs ne pourraient donc donner qu'une image très réductrice de l'astrologie, alors que des résultats négatifs ne remettent pas en cause l'astrologie traditionnelle.

Les chercheurs de ce domaine, qui ont revendiqué des résultats positifs alimentent cette polémique, se posant souvent à la fois comme victimes de l'hostilité scientifique et pourfendeurs de l'obscurantisme astrologique traditionnel[26].

Notes et références

  1. Voir notamment l'ouvrage de Paul Choisnard: Langage astral : Traité sommaire d'astrologie scientifique (1902), Éditions traditionnelles, 1983 (ASIN B0014JXN14)
  2. Histoire de l'astrologie de Wilhelm Knappich, ed. Vernal/Philippe Lebaud, 1986, ISBN 978-2-86594-022-6, page 261
  3. Michel Gauquelin, C'est écrit dans les astres, ed. Pardès, 1991, ISBN 2-86714-101-X, page 313
  4. a et b Michel Gauquelin, C'est écrit dans les astres, ed. Pardès, 1991, ISBN 2-86714-101-X, page 308
  5. Revue l'Astrologue n° 97, 1er trimestre 1992, page 9, compte-rendu par André Barbault, rédacteur en chef de cette revue, qui affirme: « Il n'y a pas de signe musical en soi; il n'y a que des tempéraments musicaux, ce qui est une autre affaire »
  6. Histoire de l'astrologie de Wilhelm Knappich, ed. Vernal/Philippe Lebaud, 1986, ISBN 978-2-86594-022-6, page 262
  7. Ellic Howe a consacré plus de 150 pages à Karl Ernst Krafft dans son livre Le monde étrange des astrologues, ed. Robert Laffont, 1968
  8. Michel Gauquelin, C'est écrit dans les astres, ed. Pardès, 1991, ISBN 2-86714-101-X, pages 314-320
  9. Michel Gauquelin, Les horloges cosmiques, ed. Denoël, 1970, p. 94
  10. Yves Haumont, L'astrologie, ed. Cerf/fides, ISBN 978-2-204-04456-1, page 105
  11. ed. Denoël, 1973
  12. http://www.aureas.org/rams/
  13. Dans les actes d'un congrès tenu sur la Croix des signes cardinaux à Paris le 24 et 25 mars 2001, André Barbault a affirmé que Didier Castille aurait étudié 6 498 658 mariages français des années 1976 à 1997 (fichiers informatiques de l'INSEE) et qu'on observerait un surnombre élevé de mariages entre époux ayant un anniversaire (retour du Soleil à une longitude écliptique donnée) voisin (conclusions publiées dans le numéro 8 (mars 2000) des cahiers du RAMS). André Barbault affirme dans les actes de ce congrès que cela est à ce jour« le témoignage le plus important de la véracité du fait astrologique », les unions étant basées selon lui sur l'attraction du semblable. N.B: André Barbault a repris les conclusions de cette étude dans son livre L'astrologie certifiée: connaissances, statistiques et prévisions, ed. Seuil, 2006, ISBN 978-2-02-089916-1, p. 118-121.
  14. Le vrai zodiaque est sidéral, ed. Pardès, 1991, ISBN 2-86714-087-0
  15. La vraie domification en astrologie, ed. Pardès, 1991, ISBN 2-86714-103-6
  16. cfr. Article « Preuves statistiques » sur le site astrologue.org
  17. Analyse de l'étude sur les joueurs d'échecs sur le site de lastrologie-et-la-raison.net
  18. Voir Astrologie et Statistiques-Un Lien entre la Naissance et le Décès
  19. Voir aussi : Laurent Toulemon, « Nouvelles données sur les variations du nombre des naissances selon les rythmes lunaires et circadiens », Population, revue de l'INED, 4-5, juillet-octobre 1986, pp. 847-853
  20. Coupure de presse sur le site du journal Les Échos
  21. La seule hypothèse dont les recherches actuelles font état concernait des phénomènes magnétiques dont le RAMS fait un exposé très fugace et exploratoire sur son site Internet Astrologie et Science – Magnétisme. Cette hypothèse avait été observée par Michel Gauquelin qui avait noté dans ses recherches sur l’hérédité planétaire que « l’intensité de l’effet planétaire en hérédité dépend de l’agitation magnétique ». Voir Michel Gauquelin, L'hérédité planétaire, notre naissance et l'horloge cosmique sur Google Livres.
  22. Une nouvelle version éditée en 2005 écrite par des astronomes également hostile à l’astrologie manifeste néanmoins un retour de la réticence du milieu universitaire scientifique français à l'astrologie
  23. L’Astrologie à l’assaut de l’Université
  24. Article d'Yves Lenoble intitulé "Paul Choisnard, son influence cent ans après chez les astrologues" paru dans la revue Urania magazine n° 45 (février 2001), p. 48-52
  25. Obpsm
  26. (en) Suzel Fuzeau-Braesch, Astrology off the beaten track: A scientific study of planets and personality, Anomalist Books, 2009, ISBN 9-781933-665368, p. 27-56. Les pages 27 à 44 ont pour titre de chapitre: The Beaten Track: Astrologers'Errors et les pages 45 à 56: The Beaten Track: Skeptics's Errors. Ce livre, le testament de Suzel Fuzeau-Braesch, résume et synthétise à lui seul cette volonté de refonder l'astrologie comme une science à partir des statistiques, l'auteur revendiquant des résultats statistiques positifs assez récents.

Annexes

Bibliographie

  • Paul Choisnard, Langage astral : Traité sommaire d'astrologie scientifique (1902), Éditions traditionnelles, 1983 (ASIN B0014JXN14)
  • Paul Choisnard, L'influence astrale et les probabilités. Origine, bilan, et avenir de la question, Alcan, 1924 (ASIN B0000DQUS8)
  • Paul Choisnard, La méthode statistique et le bon sens en astrologie scientifique, Alcan, 1930 (ASIN B0000DQUKD)
  • Karl-Ernst Krafft, Traité d'astro-biologie, (avec des contributions de E. Budai et de Adolphe Ferrière) Paris-Lausanne-Bruxelles, 1939.
  • Revue La Tour Saint Jacques no 4, mai-juin 1956
    • Jean Porte, L'influence des astres et la statistique pp. 86-105
    • Michel Gauquelin, La critique de M. Porte pp. 106-121
  • Michel Gauquelin, Le verdict de la statistique in L'astrologie devant la science, pp. 135-148, Encyclopédie Planète (vers 1965) (ASIN B004BMTHHA)
  • Louis MacNeice, L'Astrologie, Tallandier, 1966, pp. 262-267 (ASIN B00443EHHQ)
  • André Barbault, Le pronostic expérimental en astrologie, Payot, 1973 (ISBN 978-2-228-17150-2)
  • Jacques Sadoul, Statistiques et tests in L'énigme du zodiaque, J'ai lu no  A299, 1973 pp. 228-253
  • Jean Barets, L'astrologie rencontre la science, Dervy Livres, 1977 (ISBN 978-2-85076-043-3)
  • Suzel Fuzeau Braesch, Astrologie : la preuve par deux, Robert Laffont, 1992 (ISBN 978-2-221-07090-1)
  • André Barbault, L'astrologie certifiée : Connaissances, statistiques et prévisions, Seuil, 2006 (ISBN 978-2-02-089916-1)
  • (en) Suzel Fuzeau-Braesch, Astrology off the beaten track: A scientific study of planets and personality, Anomalist Books, 2009 (ISBN 978-1-933-66536-8)

Lien externe

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