Équitation éthologique

Équitation éthologique
L'équitation éthologique inclut des méthodes pour monter à cheval sans utilisation du filet, comme ici.

L’équitation éthologique est une méthode de dressage équestre inspirée de l'éthologie équine, qui vise à interagir avec son cheval tout en prenant en compte les particularités psychologiques de l'animal. Elle est nettement influencée par une vision populaire poétique des peuples amérindiens, et connaît une vague d'engouement à la suite notamment de la diffusion du film L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux.

Elle est l'objet de fréquentes critiques, surtout de la part de Jean-Pierre Digard, en ce qui concerne son héritage revendiqué.

Sommaire

Terminologie

Le nom de « chuchoteur » a été popularisé pour désigner les connaisseurs de l'équitation éthologique, sous l'influence du terme américain « horse whisperer ». « Chuchoteur » est employé la première fois pour un dresseur irlandais, Sullivan. Cet homme illettré est réputé pour se faire souvent enfermer dans le box de chevaux indomptables. Après quelques heures, il en ressort avec un cheval calme et confiant. Comme il n'a pas laissé d'écrit, nul n'a jamais rien su de sa méthode, d'où le surnom de « chuchoteur ». En se basant sur cette légende, ce surnom est donné par la suite à tous les dresseurs de chevaux « faiseurs de miracles ».

En France, les connaisseurs de ces techniques sont également appelés les « nouveaux maîtres », sous l'influence notamment du périodique Cheval magazine, qui a inventé ce terme.

Histoire

Origine

L'équitation éthologique est influencée par la vision occidentale des peuples amérindiens.

L'origine de l'équitation éthologique est très ancienne[1], d'après Patrice Franchet d'Espèrey, cette monte « révélatrice d'un vieux rêve qui hante le plus profond de l'homme » est le résultat d'une quête de la « centaurisation » permanente chez les cavaliers. Elle est influencée par la vision occidentale populaire des amérindiens comme peuple cavalier réalisant une véritable fusion avec sa monture, et par là avec la nature[2].

La plupart des « nouveaux maîtres » revendiquent en effet l'héritage des amérindiens d'Amérique du Nord, chez qui ils auraient puisé leurs méthodes basées sur la non-violence, le consentement du cheval, et l'harmonie du couple cavalier-cheval[3]. Cet argument est contesté, Jean-Louis Gouraud évoquant le britannique John S. Rarey, qui en 1858 était parvenu, sur la base de l'observation du comportement du cheval, à venir à bout d'animaux réputés indomptables, obtenant un immense succès populaire et commercial. Jean-Pierre Digard soutient également que cet homme est précurseur des cavaliers américains, dont il applique déjà certaines méthodes[4].

L'éthologie équine suit un courant de sensibilisation envers le traitement réservé aux chevaux, entamé depuis le basculement de l'utilisation du cheval de la sphère militaire vers les activités de loisir[5], accompagnant aussi la recherche, pour les cavaliers, de contacts avec le cheval plutôt que d'exercices d'équitation. Dans ce contexte, la recherche d'une « équitation alternative » prend tout son sens[6].

Apparition et diversification des pratiques

Les premiers pratiquants connus de l'équitation éthologique sont issus du milieu du western américain. Ils développent cette méthode par réaction envers les pratiques traditionnelles des cow-boys, qui « brisent les chevaux »[7], afin de proposer une alternative à l'équitation western classique. Les Premiers cavaliers connus sont Tom Dorrance et Ray Hunt, viennent ensuite Monty Roberts, John Lyons, Buck Brannaman et Pat Parelli, le plus célèbre dans les années 2000. Certains européens s'y sont également intéressés.

Depuis les années 1980, ce courant équestre, porté par ces « nouveaux maîtres », s'impose progressivement dans le paysage équestre, et le savoir qu'il véhicule se codifie[8].Le film à succès de Robert Redford, L'homme qui murmurait à l'oreille des chevaux, popularise la pratique de l'équitation éthologique auprès d'un large public, les enseignants de ces méthodes acquièrent alors une renommée internationale[9]. L'application de méthodes marketing y est pour beaucoup, en France, Pat Parelli créé ainsi au haras de la Cense le premier centre d'équitation éthologique du pays[10],[6].

La pratique de l'équitation éthologique fait l'objet d'un important engouement en France depuis les années 2000[11], au point que son succès populaire pousse la fédération française d'équitation à l'intégrer parmi ses examens fédéraux et ses disciplines équestres[6]. Elle entraîne une nouvelle curiosité envers les pratiques équestres des peuples amérindiens[3]. Une grande part du succès de cette équitation réside dans le fait que les nouveaux maîtres sont capables de « redresser en douceur » les chevaux difficiles ou souffrant de troubles du comportement. Or, les cavaliers ont toujours été à la recherche de ce type de méthodes s'ils sont confrontés à un cheval récalcitrant. Jean-Pierre Digard en conclut aussi que son succès s'explique parce qu'elle est « dans l'air du temps »[6], les cavaliers souhaitant un cheval qui montre son plaisir d'obéir en toute liberté.

Description

En équitation éthologique, l'homme doit apprendre à « penser cheval ».

L'éthologie équine, étude du comportement du cheval, inspire une équitation prenant en compte les particularités psychologiques de l'animal, et donne un nouvel éclairage sur la relation homme-cheval[12]. Elle apparaît comme une « pratique sportive qui tient compte de cette science », et ce dès la prise en compte des techniques d'approche du cheval[13].

Un autre point important de cette méthode est que les chuchoteurs conseillent particulièrement le travail à pied, avec des exercices et des jeux entre le cheval et son cavalier. ce travail inclut des manipulations, et se révèle plus proche de l'agility canin que de la pratique traditionnelle de l'équitation[3]. Il comprend, entre autres, un dressage permettant de faire venir librement le cheval à soi grâce à la voix ou à un signe, et la monte du cheval sans utilisation d'une bride, tête nue ou avec en licol, voire une corde autour de l'encolure. Bon nombre de cavaliers souhaitent ainsi monter leurs chevaux en liberté et les éduquer au licol, ou avec une ficelle autour de l'encolure. D'après les enseignants de ces méthodes, il n'est pas rare de voir les cavaliers monter leur chevaux avec un licol dit « éthologique » et une longe en corde, voire sans rien du tout après plusieurs mois de travail[14].

Débourrage

Article principal : débourrage.

Les nouveaux maîtres s'intéressent d'abord au débourrage, et leur méthode consiste à se placer comme leader dominant par rapport au poulain (ou au cheval adulte non débourré ou récalcitrant). Ce dernier doit comprendre que la sécurité se trouve près de son maître (dans la nature, les chevaux ont l'instinct grégaire et n'aiment pas rester seuls). Lorsque le cheval montre qu'il veut fuir, le dresseur le laisse faire, mais l'oblige à rester éloigné jusqu'à ce qu'il se décide lui-même à venir, et qu'il montre (par son attitude corporelle) un souhait de se rapprocher. C'est au cheval de prendre les décisions et non d'être contraint.

Lorsque le cheval a décidé d'arrêter de fuir, le dresseur le laisse venir à lui en adoptant une attitude calme et non intimidante. Il le caresse, d'abord avec les mains sur tout le corps, puis avec la longe, le filet, le tapis de selle, etc, afin de le désensibiliser à ce qui l'effraie. Le dresseur envisage ensuite de lui poser une selle sur le dos, toujours en inspirant confiance et respect à l'animal. Généralement, le dresseur peut monter sur le dos du cheval dès la première séance si tout ce qu'il a entrepris précédemment s'est déroulé dans le calme.

Matériel utilisé

Licol de corde mis en place.
Éperons à molette de type western.

Les dresseurs utilisent généralement des matériaux légers et doux pour approcher le cheval, comme des licols de corde, dits « éthologiques », l'incitant à ne pas s'appuyer dessus (car la section de la corde est plus fine derrière les oreilles que pour les licols en nylon ou en cuir). Cependant, les dresseurs ne rejettent pas obligatoirement toutes les méthodes de l'équitation classique. Aussi, ils peuvent également utiliser un filet, munit d'un mors le plus simple possible. Plus le mors de filet est sophistiqué, plus il est douloureux et contraignant pour le cheval. Concernant le choix de la selle, il n'y a pas de recommandation particulière, tout dépend de la discipline.

Le cheval est invité à céder aux points de pressions qui sont répartis sur des endroits stratégiques de sa tête. S'il prend appui sur le licol et résiste, il s'infligera lui-même la pression de la corde derrière ses oreilles. Toute action abusive de traction du licol par le cavalier devient contraignante pour le cheval et il n'avancerait alors plus de son plein gré. La « légèreté » du licol de corde n'est évidente que si l'utilisateur s'en sert à bon escient.

Est également utilisé un stick ou cravache longue de dressage (rigide, le plus souvent en fibre de verre, d'environ 1,50 m) comme prolongement du bras lors des exercices au sol avec l'animal. Le stick a la même fonction que les cravaches classiques. Il est utilisé de différentes manières suivant l'effet demandé: prolongement du bras pour faciliter une demande gestuelle à distance, simple toucher à un endroit précis pour souligner un ordre ou encore tapotement plus énergique pour l'imposer, il peut être aussi utilisé pour caresser ou même chasser les mouches. Le stick peut aussi être utilisé dans le cadre d'un renforcement négatif (punition) pour éviter des comportements indésirables, cependant ce mode doit rester exceptionnel et pondéré.

Les éperons peuvent être utilisés dans certains cas, à conditions de ne pas être trop pointus. Pat Parelli s'en sert comme prolongement de la jambe, et uniquement lors de sa 4ème phase de demande. Bien souvent, il n'est nécessaire de les utiliser qu'une seule fois. Le cheval choisira par la suite d'obéir sans être contraint de le faire[15].

Méthodes d'approche

Les chuchoteurs ont chacun une technique d'approche différente.

Méthode Monty Roberts

Monty Roberts exerçant sa méthode dite du consentement (« join-up »«  ») en public.
Article connexe : Monty Roberts.

Monty Roberts est connu notamment pour ses démonstrations en public de la technique du consentement (en anglais « join-up »[16]), qui consiste à proposer au cheval de venir rejoindre son maître de son plein gré, démontrant ainsi sa confiance.

Méthode Parelli

Article connexe : Pat Parelli.

La méthode de Pat Parelli repose plus particulièrement autour de sept jeux que le cavalier se doit de proposer à sa monture, afin d'éveiller son intérêt et sa complicité[17].

Lorsqu'il demande au cheval quelque chose (comme faire un pas en avant), l'animal est libre de choisir à quelle phase il va obéir, car la demande se déroule sur une « échelle de fermeté » : douce à la première phase (position du corps du cavalier favorable à l'exécution), puis de plus en plus ferme (voix, pression des jambes), jusqu'à l'utilisation mesurée des éperons (ou parfois d'une claque sur la croupe si le cheval refuse toujours d'obéir)[18] en dernière phase (4ème phase).

Examens fédéraux

Face au succès de cette pratique, la fédération française d'équitation a organisé la formation et l’évaluation de pratiquants licenciés en équitation éthologique. Cette formation est déclinée en 5 « Savoirs » visant à affiner la communication homme-cheval aussi bien en selle qu'à pieds[19]

Critiques

L'équitation éthologique fait l'objet de nombreuses critiques, l'une des plus fréquentes est d'y voir une pratique en réalité dépourvue de bases scientifiques[20], ce qui explique que chaque enseignant ait « sa » méthode : méthode Parelli, méthode Blondeau, etc. Le recours à l’étiquette scientifique que recouvre le terme d'« éthologie » est abusif, d'après Jean-Pierre Digard, « dès que le corpus de connaissances et de pratiques des « nouveaux maîtres » n’est rien d’autre qu’empirique, le plus souvent un habillage remis au goût du jour de connaissances et de pratiques qui sont familières à la plupart des praticiens du cheval »[3]. La fédération française d'équitation tient à rappeler que l’éthologiste est un scientifique du comportement animal, et que le recours au terme d'« éthologique » ne peut s'appliquer à de simples stages équestres encadrés par des enseignants diplômés d’équitation[21]. Les publications à ce sujet sont, toujours d'après lui, généralement dépourvues de rigueur scientifique[3]

Une autre critique concerne l'illusion donnée par certains « nouveaux maîtres », grâce à une mise en scène apparentée à la prestidigitation, que le cheval n'est pas dominé par l'homme, et garde le libre choix de réaliser ou pas les exercices qui lui sont demandés. Jean-Pierre Digard révèle à ce sujet que l’« équitation à mains nues » de Pat Parelli focalise l'attention du public sur la conduite du cheval sans les mains, en omettant la présence d'éperons à molette fixés sur les bottes[3].

Enfin, il voit dans l'équitation éthologique un « flagrant sous-emploi du cheval inscrit dans un processus de régression des usages du cheval et de sa transformation en animal de compagnie », ajoutant qu'il est issu d'un « mythe du bon sauvage » façonné par les occidentaux à propos des Indiens, lesquels étaient historiquement loin du « modèle d’harmonie et de non-violence entre l’homme et ses frères animaux ». Il qualifie cet héritage amérindien revendiqué d'argument marketing au vernis d'exotisme, ajoutant qu'il véhicule une fascination pour le néo-paganisme, et le rejet du matérialisme[22],[23].

Notes et références

  1. Julie Deutsch, Le comportement du cheval, Les Équiguides, Éditions Artemis, 2006 (ISBN 2844166407 et 9782844166401), p. 121
  2. Patrice Franchet d'Espèrey, La main du maître: réflexions sur l'héritage équestre, Odile Jacob, 2007, (ISBN 2738120334 et 9782738120335), p. 150
  3. a, b, c, d, e et f Digard 2004, p. 5
  4. Digard 2004, p. 7
  5. Digard 2004, p. 3
  6. a, b, c et d Digard 2004, p. 4
  7. Version originale : To break horses.
  8. Carlos Henriques Pereira, Étude du premier traité d’équitation portugais: Livro da ensinança de bem cavalgar toda sela, du roi Dom Duarte, Editions L'Harmattan, 2001, (ISBN 2747506789 et 9782747506786), p. 74
  9. La Cense 2004, p. présentation éditeur
  10. Carlos Pereira, Parler aux chevaux autrement: Approche sémiotique de l'équitation, Éditions Amphora, 2009, (ISBN 2851807757 et 9782851807755), 160 p.
  11. Digard 2004, p. 2
  12. de Corbigny 2002, p. présentation éditeur
  13. Blondeau 2004, p. présentation éditeur
  14. Vidéo de Pat Parelli sur YouTube
  15. Méthode en détail dans le livre "Natural Horse-Man-Ship" de Pat Parelli, cité en bibliographie.
  16. La méthode du join-up par Monty Roberts
  17. Les 7 jeux de Pat Parelli
  18. Méthode de Pat Parelli sur les chevaux têtus, d'après son livre "Natural Horse-Man-Ship", cité en bibliographie.
  19. Les Savoirs sur FFE.com. Consulté le 21 novembre 2011
  20. Fédération internationale des professeurs de français, Le Français dans le monde, Numéros 343 à 348, Librairies Hachette et Larousse, 2006, p. 51
  21. L’Éperon, n° 224, juin 2003, p. 6.
  22. Jean-Pierre Digard, « Des manèges aux tipis » dans Techniques et culture, numéros 42 à 45, Éditions de la Maison des sciences de l'homme, 2003, p. 135
  23. Digard 2004, p. 6

Annexes

Articles connexes

Bibliographie

  • Ray Hunt, L'Homme et le cheval en harmonie: Pour approfondir la relation entre le cheval et l'homme, Miller Hunt Porter, 1978, 154 p. (ISBN 2742741003 et 9782742741007) 
  • Marthe Kiley-Worthington, Le Comportement des chevaux. Pour une amélioration du bien-être des chevaux, de leurs conditions d’élevage et d’entraînement, Paris, Zulma, 1999 (1re éd. 1989) 
  • Pat Parelli, Natural Horse-Man-Ship, Zulma, 1999 (1re éd. 1993) (ISBN 2843040442) 
  • Nathalie Pilley-Mirande, Le Secret des Chuchoteurs américains, Zulma, 2000 (ISBN 2843041015) 
  • Ray Hunt, Penser en harmonie avec les chevaux: une étude approfondie des relations entre le cheval et l'homme, Actes Sud, 2002 (ISBN 2742741003) 
  • Elisabeth de Corbigny, Équitation éthologique: Éducation en liberté, à pied et à cheval, vol. 1, Vigot, 2002, 150 p. (ISBN 2711415171 et 9782711415175) 
  • John Lyons, Dressage des chevaux, Vigot, 2002 (ISBN 2711415422) 
  • Nicolas Blondeau (ill. Marine Oussedik), Équitation éthologique: tout pour réussir les savoirs fédéraux 1 à 5, Belin, 2004, 127 p. (ISBN 2701140234 et 9782701140230) 
  • La Cense, Les savoirs d'équitation éthologique: Tome 1, Savoir 1 & 2, vol. 1, Le Cherche Midi, 2004, 87 p. (ISBN 2749102081 et 9782749102085) 
  • Jean-Pierre Digard, « Des manèges aux tipis. « Équitation éthologique » et mythes indiens », dans Techniques et cultures, no 43-44, 2004, p. 2-10 [texte intégral] 
  • Tom Dorrance, True Unity, Zulma, 2005 (ISBN 2843043336) 
  • Portail du monde équestre Portail du monde équestre

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Équitation éthologique de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Поможем сделать НИР

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Équitation douce — Éthologie équine Il est toujours instructif d observer le comportement d un cheval en liberté. L éthologie équine est le terme que l on emploie couramment pour désigner l étude du comportement du cheval dans son environnement naturel. Il existe… …   Wikipédia en Français

  • Cheval — Pour les articles homonymes, voir Cheval (homonymie). Cheval …   Wikipédia en Français

  • Éthologie équine — Il est toujours instructif d observer le comportement d un cheval en liberté. L éthologie équine est la branche de l éthologie, science du comportement, qui étudie les chevaux, aussi bien en ce qui concerne le comportement en milieu naturel que… …   Wikipédia en Français

  • Comportement du cheval — Éthologie équine Il est toujours instructif d observer le comportement d un cheval en liberté. L éthologie équine est le terme que l on emploie couramment pour désigner l étude du comportement du cheval dans son environnement naturel. Il existe… …   Wikipédia en Français

  • Éthologie du cheval — Éthologie équine Il est toujours instructif d observer le comportement d un cheval en liberté. L éthologie équine est le terme que l on emploie couramment pour désigner l étude du comportement du cheval dans son environnement naturel. Il existe… …   Wikipédia en Français

  • Galop (diplome) — Galop (diplôme) Pour les articles homonymes, voir Galop. En France, on nomme Galop un diplôme fédéral d équitation délivré par la Fédération Française d Équitation (FFE) qui atteste d un certain niveau équestre du cavalier. Il existe neuf niveaux …   Wikipédia en Français

  • Galop (diplôme) — Pour les articles homonymes, voir Galop. En France, on nomme Galop un diplôme fédéral d équitation délivré par la Fédération française d équitation (FFE) qui atteste d un certain niveau équestre du cavalier. Il existe neuf niveaux de Galops de… …   Wikipédia en Français

  • Hippophagie — Boucherie chevaline à Pézenas, dans le Languedoc. L hippophagie est une pratique alimentaire consistant à consommer de la viande de cheval. Connue depuis la préhistoire et pratiquée par de nombreux peuples eurasiatiques durant l Antiquité, à l …   Wikipédia en Français

  • Pat Parelli — est né en 1954 en Californie[1]. Plongé dès 9 ans dans le monde du cheval, il est considéré aujourd hui comme un des plus célèbres nouveaux maîtres américains, les « chuchoteurs », qui approfondissent la relation homme cheval à travers… …   Wikipédia en Français

  • Comportement animal — Le comportement animal est l ensemble des activités de l animal qui se manifeste à un observateur extérieur (par opposition à la physiologie qui s intéresse aux mécanismes organiques ou intérieurs à l organisme). La science qui étudie le… …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”