- Télévision de Radio-Canada
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Type Réseau de télévision Pays Canada Disponibilité Canada (disponible dans le nord des É.-U. par câble ou antenne) Slogan « 75 ans d'avance » Siège Montréal, Québec Propriétaire Société Radio-Canada Personnages clés Louise Lantagne, directrice générale Lancement 6 septembre 1952 Site web Télévision de Radio-Canada La Télévision de Radio-Canada est un réseau de télévision publique canadien de langue française appartenant à la Société Radio-Canada. Elle diffuse partout au Canada, mais à cause de la concentration des francophones du pays au Québec, la très grande majorité de ses moyens de production et de son auditoire sont situés au Québec. Elle est identifiée à l'antenne et dans les médias comme « SRC » ou simplement « Radio-Canada » pour la distinguer de l'autre chaîne télé du groupe, le Réseau de l'information (RDI).
Sommaire
Histoire
L'histoire de la télévision de Radio-Canada débute le 6 septembre 1952 avec l'ouverture de la station CBFT-TV Montréal, diffusant les programmes en français et en anglais[2]. Une autre station, CBLT, ouvre à Toronto deux jours plus tard. La première station de télévision privée affiliée à la SRC est CKSO, située à Sudbury, dans l'Ontario, lancée en octobre 1953[réf. nécessaire].
Après 16 mois de cohabitation linguistique, critiquée tant par les anglophones que les francophones de Montréal, la station CBFT Montréal devient exclusivement francophone avec l'ouverture, le 10 janvier 1954 de la station CBMT[3], qui diffuse à ce jour en anglais. Jusqu'à l'entrée en ondes de CBOFT à Ottawa, en juin 1955, le réseau français de Radio-Canada ne diffuse qu'au Québec pendant les premières années de son existence. Outre la tête de réseau montréalaise, des stations privées affiliées rediffusent les émissions de CBFT-TV à Québec (CFCM-TV, juillet 1954), à Rimouski (CJBR-TV, novembre 1954), à Jonquière (CKRS-TV, décembre 1955), et à Sherbrooke (CHLT-TV, août 1956). En 1957, les stations du réseau rejoignent 80% de la population québécoise[2].
Dans l'ensemble, la programmation des stations du réseau français est caractérisée par la prépondérance de la station de Montréal. Jusqu'en 1957, seulement trois courtes séries sont produites dans les centres régionaux. Ce centralisme est dénoncé à plusieurs reprises dans les régions de l'extérieur de Montréal[2].
La télévision passe à la couleur le 1er juillet 1966 et le service entièrement en couleur démarre en 1974. Radio-Canada est diffuseur hôte d'Expo 67 à Montréal[réf. nécessaire].
Une nouvelle loi sur la radiodiffusion confirme en 1968 le mandat de Radio-Canada comme diffuseur pancanadien et crée le Conseil de la radiodiffusion et des télécommunications canadiennes (CRTC) chargé de la réglementation et de l'attribution des permis d'émettre. Le CRTC exige en 1970 60 % de teneur canadienne à la télévision publique et privée. Une diffusion avancée des programmes est mise en place dans les provinces maritimes en raison du décalage horaire.
En 1973, Radio-Canada inaugure sa Maison à Montréal et adopte l'année suivante un nouvel emblème représentant le «C» du mot Canada. En 1978, elle devient le premier diffuseur au monde à utiliser un satellite pour diffuser ses programmes télévisés, couvrant le Canada de l'est à l'ouest.
La Société Radio-Canada adhère en 1985 avec d'autres diffuseurs canadiens au service mondial de télévision francophone TV5.
Le 1er janvier 1995, Radio-Canada inaugure sa chaîne francophone d'information en continu, le Réseau de l'information (RDI). Le Centre de l'information à Montréal, un complexe ultramoderne destiné à la collecte de nouvelles et à la production d'émissions d'information pour la Télévision de Radio-Canada et le RDI sont inaugurés en 2001.
Identité visuelle
Organisation
La Télévision de Radio-Canada est détenu à 100 % par la Société Radio-Canada. Son siège, la Maison de Radio-Canada, est situé au 1400 boulevard René-Lévesque Est à Montréal, Québec.
Programmation
Article principal : Liste des programmes diffusés par la Télévision de Radio-Canada.Le réseau a toujours été considéré comme étant plus populaire que sa contre-partie anglophone, CBC Television[4], du fait qu'il ne subit pas la concurrence immense des réseaux américains. Malgré cela, le réseau a été surpassé par TVA en termes de cotes d'écoute la plupart de ces 30 dernières années[5]. Ce n'est que récemment que la télévision de Radio-Canada est revenue plus proche de son concurrent, avec une toute nouvelle grille incluant des sitcoms, et le talk-show Tout le monde en parle[6].
Années 1950
Dans ses premières années d'existence , la télévision de Radio-Canada produit elle même la presque totalité des émissions qu'elle met à l'antenne, le plus souvent en direct. L'historien des communications Gérard Laurence de l'Université Laval explique que cette « autarcie » un peu forcée imposant aux émissions un bien particulier:
« un rythme lent, même monotone, dû à l'allongement des plans dont la gamme, par ailleurs, est très réduite, des images sans fond sonore et, surtout, une facture imparfaite avec tout un lot d'incidents qui font aujourd'hui partie de la mythologie télévisuelle. »
— Gérard Laurence, 1990[7]
Même si les contraintes techniques (langue des programmes, rareté de la post-synchronisation) ont joué un rôle dans le développement d'une télévision originale et propre au Québec, cette différence a semblé être encouragée par la direction dans les années 1950, ajoute le professeur Laurence. Ainsi, les responsables interdisent aux réalisateurs nouvellement engagés d'aller aux États-Unis, afin d'empêcher qu'ils ne s'inspirent des méthodes américaines[7].
La télévision de Radio-Canada a joué un rôle majeur dans le développement du téléroman, un genre dramatique proche du feuilleton télévisé, mais avec des particularités spécifiques au Québec. Selon l'anthropologue Jean-Pierre Desaulniers de l'Université du Québec à Montréal, le genre s'est ancré dans la culture québécoise dès La Famille Plouffe — le premier téléroman populaire diffusé à l'antenne de Radio-Canada —, entre 1953 à 1957[8],[9].
Desaulniers énumère deux grandes constantes dans le genre qui tirent leurs origines des œuvres dramatiques diffusées à la télévision de Radio-Canada pendant ses premières années d'existence : il y a d'abord « l'identification », car les personnages ont des noms familiers, leurs vies et leurs métiers ressemblent à ceux de l'auditoire. Ensuite, beaucoup de dramatiques, à l'instar du Survenant — diffusée de 1954 à 1960[10],[11] —, exploitent le thème du nomade qui ne parvient pas à se sédentariser[8].
La diffusion d'émissions sportives trouve rapidement une place dans la grille horaire. Le 13 octobre 1952, René Lecavalier décrit pour la première fois à la télévision la troisième période du match de hockey opposant les Canadiens de Montréal et les Red Wings de Detroit en direct du Forum de Montréal. La Soirée du hockey et la Soirée de lutte, animée par l'annonceur Michel Normandin, comptaient alors parmi les émissions les plus populaires et ont fait beaucoup pour mousser les ventes de téléviseurs à Montréal[12].
Bien qu'elles ne constituent que 5% des programmes au cours des premières années, les émissions d'affaires publiques vont prendre de l'importance dans la programmation. La première émission du genre est Conférence de presse, diffusée pour la première fois le 12 février 1953, suivie de Le fond de votre pensée en 1954[13]. C'est toutefois avec l'émission Carrefour, diffusée du lundi au vendredi à 18 h 45, que le format magazine prend une forme plus télévisuelle. De trois à six sujets sont traités chaque soir par le biais de reportages tournée en film ou par des interviews en studio[14]. L'émission est saluée par la critique et attire 56% des foyers équipés de télévision au printemps 1956[15].
La couverture des grandes questions internationales trouve une place dans la grille horaire à compter du 28 octobre 1956 avec la première diffusion du magazine Point de mire, animé par René Lévesque. Diffusée les dimanches soirs à 23 h 15, l'émission prend la forme d'un exposé didactique avec un tableau et une craie, d'une interview, d'un reportage filmé ou d'une combinaison dans lequel l'animateur tente de vulgariser un enjeu d'actualité. L'émission sera diffusée jusqu'en 1959 et marquera la consécration de Lévesque[16].
Années 1960
Deux événements bouleversent la routine établie dans les années 1950. Le 29 décembre 1958[17], les 74 réalisateurs à l'emploi du réseau français débraient afin de faire reconnaître leur droit à la syndicalisation de ce groupe de cadres. Le conflit de trois mois suscite l'indifférence des anglophones, mais rapproche les différents courants politiques au sein de la société québécoise et lancera la carrière politique de plusieurs personnalités[18],[19].
Sortie «très meurtrie» de ce conflit de travail, la télévision publique subit un nouveau bouleversement le 19 février 1961 avec l'entrée en ondes de la station privée CFTM-TV à Montréal[20]. L'arrivée d'un concurrent ne suscite pas de changements immédiats à la grille des programmes de Radio-Canada, qui poursuit la diffusion de séries comme Les Belles Histoires des pays d'en haut, adaptation télévisée du roman Un homme et son péché, des télé-théâtres, des concerts symphoniques dans le cadre de l'émission L'Heure du concert (1953-1966)[21].
Le succès de Cré Basile, que diffuse la télévision privée à compter de 1965, force toutefois Radio-Canada à se préoccuper davantage des cotes d'écoute. Certains créateurs pressent le diffuseur public de se mettre au diapason. « Ce qui distingue le plus sûrement le canal 10 du canal 2, l'entreprise privée de l'entreprise d'État, c'est que l'argent a amené ceux-là plus rapidement au vulgaire que ceux-ci », écrira Jacques Godbout en 1966[22].
Radio-Canada s'adapte graduellement à la nouvelle réalité et lance des émissions destinées à rejoindre les préoccupations plus contemporaines de ses téléspectateurs. De 1966 à 1971, la comédie de situation légère Moi et l'autre prend l'antenne[23], suivie en 1969 de Quelle famille![24]. Cette évolution se poursuivra avec le téléroman Rue des Pignons de Mia Riddez et Louis Morrisset, qui pendant onze ans, de 1966 à 1977, relatera le quotidien des familles Jarry, Marsouin et Milot[25].
À compter de 1966, la programmation culturelle de Radio-Canada trouve un nouveau créneau horaire dans l'émission Les Beaux Dimanches animée jusqu'en 1983 par Henri Bergeron. Pendant plus de 30 ans l'émission diffuse des spectacles de danse, d'opéra, des concerts symphoniques et de musique populaire ainsi que des documentaires[26].
Années 1970
Années 1980
Années 1990
Depuis 2000
Information
Tous les bulletins de nouvelles de la télévision de Radio-Canada sont diffusés sous le nom Le Téléjournal. Le bulletin principal du réseau, Le Téléjournal 22 h, est diffusé tous les soirs à 22 h (heure locale), et est retransmis à 23 h sur sa chaîne sœur, RDI, ainsi qu'avec un décalage horaire sur la chaîne internationale francophone TV5[27],[28].
Les bulletins de nouvelles locales et régionales empreintent également le nom Le Téléjournal, suivie du nom de la ville, région ou province ; ou selon l'heure de la journée (p. ex. : Le Téléjournal Grand Montréal 18 h, Le Téléjournal Midi). CBVT Québec, CBLFT et CBOFT Ontario, ainsi que CBAFT dans les provinces de l'Atlantique produisent des bulletins locaux du midi, tandis que tous les affiliés produisent des bulletins à l'heure du souper (18 h) diffusés du lundi au vendredi, à l'exception de CBVT, CBOFT et CBAFT qui diffusent un bulletin 7 jours par semaine[29],[30],[31].
Questions d'actualité
Le réseau diffuse un magazine d'investigation hebdomadaire, Enquête. De récentes émissions ont testé les niveaux de sécurité des pistolet à impulsion électrique Taser après que des préoccupations ont été soulevées alors qu'un immigrant polonais est mort suite à l'emploi de ce type d'arme par la GRC à l'Aéroport international de Vancouver[32]. D'autres émissions comme Découverte ont soulevé des questions sur la sécurité des ponts aériens à Montréal suite à l'effondrement d'un pont en 2007[33].
Il existe également un programme hebdomadaire sur les affaires politiques concernant l'Assemblée nationale du Québec et la Chambre des communes du Canada, Les Coulisses du pouvoir. Les questions sur la science et la technologie sont abordées dans Découverte et les sujets ruraux et agricoles dans La semaine verte. Les préoccupations des consommateurs sont elles analysées dans L'Épicerie et La Facture[34],[35].
Sports
De 1952 jusqu'à 2004, le réseau était le diffuseur hôte en langue française des matches hebdomaires de hockey sur glace impliquant les Canadiens de Montréal, sous la programmation La Soirée du hockey. L'émission a été annulée lorsque les droits de diffusion sont revenus à RDS[36]. Les téléspectateurs l'extérieur du Québec ont été en mesure de continuer à regarder les matches sur les stations de Radio-Canada jusqu'en 2006, lorsque RDS en est devenu le diffuseur en francophone exclusif[37]. Radio-Canada était de plus le diffuseur hôte des Alouettes de Montréal, avant que les droits reviennent eux aussi à RDS[38].
En 2011, Radio-Canada a été le diffuseur de la Coupe du monde de soccer féminin 2011, diffusant les 32 rencontres sur son réseau ainsi que sur son site web[39]. Le réseau est également le diffuseur des matchs du week-end (quarts de finale, demi-finale et finale) de la Coupe Rogers, et en concerve les droits jusqu'au moins 2015[40].
Enfin, en plus des segments sports diffusés au Téléjournal Midi et au Téléjournal 18 h (diffusé dans la région du Grand Montréal), Radio-Canada produit un bulletin de nouvelles sportives quotidien de quinze minutes, Les nouvelles du sport, diffusé après Le Téléjournal 22 h (à 22 h 47 du lundi au vendredi et à 22 h 27 le dimanche). Le samedi, le réseau diffuse un magazine sportif d'une demi-heure à 22 h 39, Tellement Sport[41].
Divertissement
Les émissions de divertissement les plus populaires sur le réseau sont des émissions de variété telle que Tout le monde en parle, Les chefs!, ainsi que des dramas comme Les Parent[42],[43].
Bien que la majeure partie des émissions diffusée en prime-time est produite au Québec, quelques émissions américaines figurent aussi en heure de grande écoute, comme Beautés Désespérées, Perdus ou Chère Betty[44],[45],[46].
Le soir du réveillon du nouvel an, Radio-Canada présente une comédie spéciale en direct, le Bye Bye, faisant figurer des invités musicaux et comédiens qui se produisent en direct.
Audience
Diffusion
Stations détenues et opérées
La Société Radio-Canada détient et opère plusieurs stations de télévision locales :
- CBFT-DT (Montréal, Québec) : cette station est la première station de télévision créée au Canada, le 6 septembre 1952 pour desservir Montréal. À l'époque bilingue, elle diffuse exclusivement en français à partir du 10 janvier 1954[3] ;
- CBOFT-DT (Ottawa, Ontario), inaugurée le 24 juin 1955[3], dessert les Franco-Ontariens de l'Ontario-Outaouais à Ottawa et dans l'est de l'Ontario ainsi que l'ouest du Québec (Gatineau) ;
- CBAFT-DT (Moncton, Nouveau-Brunswick), inaugurée le 21 décembre 1959, dessert les Acadiens de Moncton et de Caraquet, ainsi que les Provinces atlantiques ;
- CBWFT (Winnipeg, Manitoba), inaugurée le 24 avril 1960, dessert les Franco-Manitobains et le nord de l'Ontario ;
- CJBR-DT (Rimouski, Québec), inaugurée le 21 novembre 1954, était un affilié privé de Jules Brillant vendu à la Société le 1er août 1977 ;
Pendant les années 1970, suite à l'engagement du gouvernement fédéral à appliquer le bilinguisme et la Loi sur les langues officielles, la Télévision de Radio-Canada a vu sa zone de couverture s'étendre à tout le Canada en étant relayée par chacune des stations locales anglaises de CBC Television ou par des réémetteurs dans chaque province pour distribuer son signal. C'est le seul réseau national francophone au Canada.
- CBLFT-DT (Toronto, Ontario), créée le 23 mars 1973. Elle dessert les Franco-Ontariens de la province ;
- CBKFT-DT (Regina, Saskatchewan), desservant les Fransaskois de Saskatchewan. Initialement, elle n'était qu'un réémetteur de la station de Winnipeg jusqu'en septembre 1976, lorsqu'elle devient une station à part entière avec ses studios à Saskatoon ;
- CBUFT-DT (Vancouver, Colombie-Britannique), inaugurée en septembre 1976. Elle dessert les Franco-Colombiens de la province ;
Après avoir refusé de renouveler les contrats de trois stations régionales affiliées de longue date Québec et propriété du groupe Cogeco — alors propriétaire du réseau TQS[47] —, la Société Radio-Canada a acquis ces licences le 1er septembre 2008 pour les intégrer à son réseau de stations régionales[48] :[pas clair]
- CKTM-DT (Trois-Rivières, Québec), fondée le 15 avril 1958 ;
- CKSH-DT (Sherbrooke, Québec), fondée le 19 septembre 1974.
Stations privées affiliées
Un certain nombre[Combien ?] de stations possédées par des intérêts privés rediffusent les émissions de la télévision de Radio-Canada dans les régions du Québec. À la différence des stations privées affiliées à CBC Television, qui diffusent souvent plusieurs sources de programmes[réf. nécessaire], celles de la Télévision de Radio-Canada sont contraintes de redistribuer tel quel le signal de CBFT tout au long de la journée[réf. nécessaire], à l'exclusion des quelques programmes et annonces publicitaires locaux et régionaux.
- CKRT-DT (Rivière-du-Loup, Québec), fondée en 1955 et détenue par Télé Inter-Rives, Inc.
- CKRN-DT (Rouyn-Noranda, Québec), inaugurée le 25 décembre 1957, propriété de RNC Média, Inc.
Notes et références
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- Laurence 1990, p. 24
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- Audience télé : la plus grande part à TVA chez les Québécois « de souche », Media Mosaique, 16 juin 2009. Consulté le 14 août 2011
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- Perdus sur Radio-Canada.ca. Consulté le 14 août 2011
- Chère Betty sur Radio-Canada.ca. Consulté le 14 août 2011
- Olivier Bourque, « Difficultés chez TQS: Cogeco blâme Radio-Canada », dans La Presse, 18 décembre 2007 [texte intégral (page consultée le 13 août 2011)]
- Dès le 1er septembre - CKSH Sherbrooke, CKTM Trois-Rivières et CKTV Saguenay deviendront des stations régionales de Radio-Canada » sur CNW-Telbec, 25 juin 2008. Consulté le 12 août 2011 Société Radio-Canada, «
Bibliographie
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- Jean-Pierre Desaulniers, De La famille Plouffe à La petite vie, Musée de la civilisation du Québec / Fides, 1996, 120 p. (ISBN 2-7621-1937-5)
- Richard Garneau, À toi Richard..., Montréal, Stanké, 1992, 492 p. (ISBN 2-7604-0400-5)
- Jean-Paul Lafrance, La télévision, un média en crise, Montréal, Québec/Amérique, 1982, 313 p. (ISBN 2-89037-084-4)
- Articles
- Yves Beauregard, « Une société distincte… par ses téléromans : entrevue avec Jean-Pierre Desaulniers », dans Cap-aux-Diamants : la revue d'histoire du Québec, no 68, 2002, p. 40 [texte intégral]
- Christine Eddie, « Le téléroman : un genre sensible aux transformations sociales? Une analyse de Rue des Pignons », dans Études littéraires, vol. 14, no 2, 1981, p. 307-332 [texte intégral (page consultée le 14 août 2011)]
- Jacques Godbout, « La télévision est immorale », dans Liberté, vol. 8, no 5-6, 1966, p. 152-156 [texte intégral (page consultée le 14 août 2011)]
- Christiane Lahaie, « Les classiques à la télévision de Radio-Canada : l’ancien et le nouveau », dans Québec français, no 100, 1996, p. 91-93 [texte intégral (page consultée le 14 août 2011)]
- Gérard Laurence, « Le début des affaires publiques à la télévision québécoise 1952-1957 », dans Revue d'histoire de l'Amérique française, vol. 36, no 2, 1982, p. 213-239 [texte intégral (page consultée le 14 août 2011)]
- Gérard Laurence, « La télévision québécoise au temps de «l’indien» », dans Cap-aux-Diamants : la revue d'histoire du Québec, no 23, 1990, p. 22-25 [texte intégral (page consultée le 12 août 2011)]
Annexe
Articles connexes
Liens externes
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