Trilogie fantômas

Trilogie fantômas

Trilogie Fantômas

La trilogie Fantômas d'André Hunebelle est constituée des trois films : Fantômas sorti en 1964, Fantômas se déchaîne en 1965 et Fantômas contre Scotland Yard en 1967.

Ces trois longs métrages, très librement inspirés des romans d'origine (écrits à partir des années 1910), tiennent une place à part parmi les multiples adaptations cinématographiques de Fantômas. Annoncés par des slogans comme « Fantômas, l'ennemi public n°1 de vos soucis quotidiens », les films font vivre un Fantômas d'un genre nouveau, assez éloigné du génie du crime revendiqué par le surréalisme. Jouant du personnage de Fantômas avec désinvolture, certains voient dans cette trilogie souvent décriée « une sorte de chef-d'œuvre d'un genre cinématographique dont elle est quasiment l'une des seules réprésentantes : le film d'action terrifiant et burlesque[1] ».

Depuis la sortie du premier film en 1964, le succès ne s'est jamais démenti et la trilogie fait régulièrement l'objet d'une actualité : sortie en DVD (2001), restauration des négatifs, réenregistrement de la musique (2001), passages télévisés sur les chaînes nationales françaises, etc.

Sommaire

La genèse

Il existe plusieurs hypothèses quant à la genèse de la trilogie. Jean Marais rapporte que c'est lui qui, sur une suggestion de Cocteau, proposa l'idée d'une nouvelle adaptation cinématographique de Fantômas à Hunebelle. De son coté le producteur Paul Cadéac, qui dirigeait avec Hunebelle la société de production PAC, explique que c'est Alain Poiré qui est venu le voir pour produire avec lui un Fantômas sur lequel il travaillait depuis un certain temps sans aboutir. D'autres versions courent mais il semble en tout cas que Michel Audiard fut associé un temps au projet.

Quelques incertitudes subsistent aussi sur la distribution: il semble qu'Hunebelle avait d'abord choisi de recontituer le duo Bourvil/Marais qu'il avait déjà dirigé dans le Capitan et le Bossu, avant que De Funès n'obtienne le rôle sur la recommandation d'Alain Poiré. Enfin certains, comme Mylène Demongeot, affirment qu'Hunebelle avait promis le rôle titre à Raymond Pellegrin qui ne sera finalement que la voix de Fantômas.

Un Fantômas d'un genre nouveau

Reprenant les personnes principaux (Fantômas, le journaliste Fandor, le commissaire Juve, Hélène et Lady Beltham) de l'œuvre, Hunebelle et Jean Halain son fils et scénariste proposent dans la trilogie un Fantômas d'un genre nouveau, loin de la matière littéraire de Pierre Souvestre et Marcel Allain. On retrouve bien l'inquiétant criminel aux mille visages mais le climat macabre est escamoté au profit d'un mélange de fantaisie, d'humour et d'action. La formule du Fantômas selon Hunebelle : l'action (Marais) + le rire (De Funès) + le charme (Demongeot) + la menace (Marais en Fantômas masqué/Raymond Pellegrin la voix inquiétante de Fantômas) le tout imprégné de références à la culture «pop» française des années 1960 (les premiers films de James Bond, la DS, le Type H, la science-fiction, la Terrasse Martini sur les Champs-Élysées, la télévision, etc. ).

Même si plus de 50 ans séparent la parution du premier roman de cette adaptation, Marcel Allain, un des deux pères de Fantômas, a pu découvrir la trilogie et dans la préface de Sur la piste de Fantômas, Mylène Demongeot écrit : « Je me souviens avoir rencontré Marcel Allain au moment ou il achevait la lecture du scénario..., il n'était pas content du tout ! Mais, après le grand succès du film, il semble qu'il se soit résigné, et, au final, il a été satisfait de voir son Fantômas revivre de cette façon-là ». Toutefois, certains aspects des films ont passablement irrité Allain, comme la cour que fait Fantômas à Hélène dans les deux premières aventures (dans les romans, Fantômas est le père d'Hélène) ou le frère que l'on donne à Hélène dans Fantômas se déchaîne.

Esprit James Bond

Les deux premiers Fantômas de Hunebelle subissent l'influence des films de James Bond, phénomène cinématographique, sociologique et culturel majeur de l'époque. Le premier film de la série, James Bond 007 contre Dr. No sort deux ans auparavant et Hunebelle propose, selon l'expression du premier assistant sur Fantômas se déchaîne Jean-Pierre Desagnat, « une version pleine de bonhomie des films de James Bond » qui déferlaient alors sur les écrans. La référence est même explicite dans les dialogues lorsque le commaissaire Juve/Louis de Funès tance ses policiers dans Fantômas se déchaîne : « De quoi auriez-vous l'air si Fantômas était arrêté par un zéro-zéro-quelconque ?/.../ Nous sommes à l'époque des agents secrets et des gadgets/.../ Vous n'allez jamais au cinéma ? »

Pensant l'intérêt du public émoussé pour ce genre, les scénaristes et le metteur en scène décident de revenir aux sources pour le dernier volet de la série. Hunebelle déclare dans le journal Combat en mars 1967 : « Nous allons nous rapprocher du Fantômas traditionnel, celui des romans de Marcel Allain, et renoncer à l'esprit James Bond ». S'il est vrai que cet épisode est plus macabre que les deux précédents (un cadavre apparaît puis disparaît, etc.), on retrouve encore dans le film quelques ingrédients du cooktail « bondien » comme les gadgets (la moviebox), les véhicules extraordinaires (une fusée), les cascades, etc.

Fantômas, méchant à la James Bond

Alors que dans les romans, Fantômas ne cherche qu'à amasser les richesses, chez Hunebelle, Fantômas devient un méchant à la James Bond, ayant un « objectif » comme dominer ou détruire le monde. Ainsi, dans Fantômas se déchaîne, il affirme qu'il sera bientôt le maître du monde et se propose d'asservir les masses en utilisant un rayon hypnotique alors que dans Fantômas contre Scotland Yard, il annonce être dans la capacité de faire sauter la planète.

Ce Fantômas, contrairement au personnage de Allain et Souvestre, s'intéresse à la Science. Par exemple, dans Fantomas et Fantômas se déchaîne, le « Dr Fantômas » désire se livrer à des expérimentations sur les cerveaux de Fandor et Juve. Le savant se double d'un technicien de génie inventant des gadgets dignes de la science-fiction. Certes le héros négatif des origines avait parfois recours à des accessoires simples, mais rien de comparable à la sophistication atteinte dans les films, à tel point que dans Fantômas se déchaîne, on nous montre le criminel dans un laboratoire où il dirige une armée de savants à sa solde sans doute chargés de lui fournir les moyens d'accomplir sa « mission ».

Finalement, comme beaucoup des adversaires de James Bond, le Fantômas high-tech possède des repaires vastes et ultra-modernes, inspirés de la science-fiction. Le décorateur Max Douy responsable du décor du repaire de Fantômas se déchaîne deviendra le décorateur d'un James Bond, Moonraker.

Les gadgets

Comme dans les James Bond, les personnages de la trilogie ont recours à des gadgets élaborés pour les tirer d'un mauvais pas ou simplement pour obtenir un avantage significatif.

Les gadgets de Fantômas

Les masques

Les gadgets les plus décisifs de Fantômas sont ses masques qui lui permettent de se composer n'importe quelle tête. Il declare dans le premier film : « un procédé de mon invention me permet de reconstituer à la perfection la peau humaine. J'ai réalisé la plupart de mes forfaits avec les visages de mes propres victimes ». Le Fantômas de Hunebelle « n'a plus recours à des postiches de théâtre/.../Il utilise de véritables masques-peaux, qu'il enfile comme des gants »[2] par dessus un autre masque, le masque qui dissimule ses traits.

La DS volante

L'apparition de la DS volante constitue l'un des grands moments de Fantômas se déchaîne. Poursuivi par Fandor et Juve à la fin du film, Fantômas ne doit son salut qu'à cet incroyable gadget qui lui permet de s'échapper par la voie des airs. Ailes déployées, réacteurs jaillis de derrière la plaque minéralogique, la DS, élément de la mythologie des années 1950/60 selon Barthes, conforte le Fantômas de Hunebelle dans son « statut d'icône sixties ».

La moviebox

Dans Fantômas contre Scotland Yard, Fantômas utilise « un petit gadget de son invention », la moviebox, pour exposer ses capacités de nuisance et terroriser Lord Mac Rashley. Grâce à cet appareil, une sorte de lecteur vidéo portable improbable à l'époque, le criminel présente des images de ses méfaits, en fait des extraits des deux premiers films, à son interlocuteur pour le convaincre de coopérer.

Les gadgets de Juve

Le policier n'utilise des gadgets que dans le second épisode de la trilogie. Inspiré par James Bond, «Nous sommes à l'époque des agents secrets et des gadgets/.../ Vous n'allez jamais au cinéma ?» dit-il à ses hommes, le commissaire se dote dans Fantômas se déchaîne de « petite[s] invention[s] destinée[s] à surprendre l'adversaire ».

Le cigare-pistolet

Ce gadget se présente sous l'aspect d'un banal cigare mais offre la possibilité de tirer un projectile lorsque par exemple on en mord la tête.

La gabardine-gadget

La gabardine-gadget, la gabardine ne servant qu'à cacher le mécanisme, est un bras artificiel qui se substitue à un bras de celui qui la porte tout en étant solidaire des mouvements de son bras opposé. Lorsque le commissaire Juve, mis en joue par un des hommes de Fantômas, lève les deux mains en l'air, il dispose en fait de sa seconde vraie main cachée sous son manteau et prête à surgir armée d'un pistolet. Ce gadget s'inspire peut-être du roman Juve contre Fantômas dans lequel Juve tente d'agripper un Fantômas qui s'échappe en lui laissant un, puis deux bras postiches.

La jambe de bois-mitraillette

Le commissaire Juve s'invite au bal masqué donné par Fantômas avec l'espoir d'arrêter le criminel. Costumé en pirate avec un cache sur l'œil et une fausse jambe de bois, le policier un moment menacé par quatre séides de Fantômas les met hors d'état grâce à son pilon-mitraillette. Marcel Allain, qui n'était parfois pas tendre avec l'adaptation de Hunebelle, notera dans Fantômas ? c'est Marcel Allain à propos de ce gadget : « il y a une certaine jambe de bois-mitraillette [...] Çà, c'est du Fantômas - et du meilleur. ».

Les courses-poursuites

Dans Fantômas et Fantômas se déchaîne, la course-poursuite finale des 2 opus fut réglée par le cascadeur de l'époque Gil Delamare qui engagea dans le premier épisode Rémy Julienne pour réaliser des acrobaties en motos. Cette course-poursuite finale est un morceau d'anthologie, car elle rend en quelque sorte un hommage aux moyens de transport du XXe siècle (voitures, motos, train à vapeur, criss kraft, sous-marin, hélicoptère, canot pneumatique...). De plus, toutes les cascades sont réalisées par Jean Marais lui-même, mis à part dans le deuxième épisode dans lequel il se fait doubler pour de la chute libre. Rémy Julienne participera par la suite à de nombreux James Bond.

Dans les 3 épisodes, les bagarres ont été réglées par Claude Carliez, maître d'armes et cascadeur hors pair, spécialiste des duels à l'épée et des combats dans le cinéma français.

Dans Fantômas contre Scotland Yard une seule poursuite à cheval a lieu. Cette séquence fut réglée par le conseiller équestre François Nadal qui participa notamment à plusieurs films cultes tels que : Le Bossu (1959), Le Capitan (1960), La Tulipe Noire[3] (1964) ou La Folie des grandeurs (1971).

Les lieux exotiques

Rome [..] Vésuve [..] Écosse [..]

En réalité le chateau écossais de Lord Mc Rashley se situe dans le Sud-Ouest de la France. Il s'agit du château de Roquetaillade implanté sur la commune de Mazères (Gironde).

L'homme au masque

Lorsqu'il apparait sous sa propre identité, l'apparence du Fantômas de Hunebelle ne peut qu'impressionner le spectateur. Dans les trois films, le monstre ne dissimule pas son visage par une cagoule comme souvent le personnage des romans mais sous un masque qui lui compose un second visage, sans trait et qui semble continuellement esquisser un sourire sarcastique. Ce masque, dont Jean Marais s'attribue l'invention et qui fut développé par le décorateur Gérard Cogan, donne au personnage un coté inquiétant et presque inhumain. Pour le reste, le nouveau Fantômas n'est plus habilllé en maillot de gymnaste et cape noire, mais il est vêtu très élégamment, chemise et cravate sombre sur costume sombre, cédant aux canons de la mode la plus hype des années soixante.

Au-delà de l'apparence, il y aussi la voix de Fantômas, cette voix inquiétante et belle qui ajoute à l'étrangeté du criminel. D'ailleurs ce n'est pas Jean Marais, son incarnation, qui lui prête sa voix, mais un autre, Raymond Pellegrin. Aussi comme le remarquent les auteurs de Fantômas, style moderne, « il faut donc désormais deux acteurs (un pour l'image, un pour le son) pour représenter Fantômas. Après avoir pris les apparences de tout le monde, il devient lui même sujet clivé qui ne tient plus ensemble, pure construction figurale faite de fragments d'autres corps ».

Les identités multiples

Incarnations des personnages dans la trilogie

Les films reprennent et amplifient le jeu de masques et d'identités déjà présent dans les romans ainsi que les quiproquos, ici parfois sur le mode comique, qui en découlent. La liste des incarnations de quatre personnages principaux (Fantômas, le journaliste Fandor, le commissaire Juve et Hélène) est donnée dans le tableau suivant:

Fantômas Fantômas se déchaîne Fantômas contre Scotland Yard
Fandor  Fantômas  Le professeur Lefebvre
Un homme du monde 1900*
Fantômas  Lord Geoffroy Shelton  Le professeur Lefebvre  Sir Walter Browne
 Fandor  Le marquis de Rostelli  Lord Mac Rashley
 Commissaire Juve  Giuseppe
 Un gardien de prison
Juve  Un clochard  Un colonel de l'armée italienne  Un fantôme
 Un employé des wagons-lits
 Un valet de chambre de l'hôtel Cavaliere Hilton
 Un évêque
 Un pirate*
Hélène Lady Dorothée Mac Rashley

L'ubiquité de Jean Marais

Dans la trilogie, Jean Marais joue à la fois le rôle de Fandor et celui de Fantômas. Suivant les scènes, il est à la fois le bourreau et la victime, le poursuivant et le poursuivi, etc. Dans Fantômas se déchaîne, Jean Marais joue un troisième rôle, celui du professeur Lefebvre. Comme Fandor et Fantômas vont prendre l'identité du savant, Jean Marais est donc dans le film à la fois Fantômas, Fandor, le professeur, Fantômas en professeur Lefebvre et Fandor en professeur Lefebvre. Tous se courent après et se tapent dessus, ce qui permet à Azoury et Lalanne d'écrire : « On frôle alors le film fantômassien absolu, où un seul acteur se serait emparé de tous les personnages et peuplerait à lui seul tous les plans dans toutes ses métamorphoses »[4].

Dérive comique : un Juve/De Funès trépidant

Le Juve incarné par Louis de Funès dans les trois films est loin du Juve de Souvestre et Allain. Dans les romans, le policier est un calculateur qui établit des plans extraordinaires et qui possède une étonnante puissance de déduction à la Sherlock Holmes. Le Juve de Hunebelle est très différent, râleur et gaffeur, et l'interprétation trépidante de De Funès, génial dans Fantômas contre Scotland Yard selon Jean Tulard dans son Dictionnaire du cinéma, entraîne la trilogie vers le comique. De plus, entre le premier et le dernier Fantômas, De Funès accumulant les succès avait changé de stature et Michel Wyn, le réalisateur de la seconde équipe sur Fantômas contre Scotland Yard confie: « Le rôle de Jean Marais était escamoté au profit des pitreries de De Funès, au fur à mesure des films. Marais éprouvait une certaine amertume, il dépassait les cinquante ans et avait du mal à effectuer les cascades ».

Autour de la trilogie

Pourquoi la saga s'arrêta là

Jean Marais et Louis de Funès auraient demandés des salaires exorbitants, et par conséquent, les producteurs décidèrent de ne pas donner suite comme Mylène Demongeot l'a déclaré à différentes reprises, notamment lors de son interview du 18 août 2009 par Julia Baudin pour TVMag.com :

« — TVMag : On dit que l'ambiance sur les tournages s'est dégradée, et que la production a renoncé à un quatrième épisode.
Mylène Demongeot : Le génie comique de Louis de Funès faisait de l'ombre à Jean Marais. De Funès ne pouvait pas faire autrement, Marais l'a mal pris. On le sent dans le troisième épisode. Après, la question des salaires a définitivement réglé le problème. »

Bande originale des films

Michel Magne est le compositeur de la bande originale des trois films. Cette musique n'a pratiquement pas fait l'objet d'exploitation discographique, puisque seul un 45 tours de quatre titres a été pressé lors de la sortie de Fantômas se déchaîne. Lorsqu'en 1969, un incendie dans le studio du château d'Hérouville détruit une bonne partie des archives, bandes et partitions du compositeur, la musique de la trilogie semble définitivement perdue. Pourtant, en 2001, soit 15 ans après la mort du musicien, Raymond Alessandrini, arrangeur et pianiste de Magne, recontitue la partition à partir des éléments encore disponibles et de repiquages sur les films. Suite à ce patient travail, la musique est réenregistrée en une seule journée le 18 janvier 2001[5] par une vingtaine de musiciens, comme en 1964, et trouve enfin sa consécration discographique.

Slogans

Les slogans choisis pour le lancement des films insistent sur l'aspect comique:

Fantômas, l'ennemi public n°1 de vos soucis quotidiens.

Voir Fantômas et mourir de rire.

Voir aussi

Articles connexes

Bibliographie

  • Marc Lemonier, Sur la piste de Fantômas, Édition Hors Collection/Gaumont, 2005 (ISBN 2-2580-6852-5)
Retour sur la trilogie parodique d'André Hunebelle.
  • Philippe Azoury et Jean-Marc Lalanne, Fantômas, style moderne, Centre Pompidou/Yellow Now, 2002 (ISBN 2-8442-6121-3)
Comment Fantômas a su inspirer les cinéastes tout au long du siècle dernier, et comment son image est perçue aujourd'hui.
  • Fantômas ? c'est Marcel Allain, La tour de Feu N°87-88, 1965

Discographie

  • Michel Magne, Fantômas / Fantômas Se Déchaîne / Fantômas Contre Scotland Yard

Notes et références

  1. Marc Lemonier, Sur la piste de Fantômas, p. 45.
  2. Fantômas, style moderne, p. 66.
  3. Ne pas confondre avec Fanfan la Tulipe auquel il n'a pas collaboré.
  4. Fantômas, style moderne, p. 77.
  5. Sauf pour les grandes orgues qui sont enregistrés en février 2001 à l'église Saint-Nicolas de la Varenne
  • Portail du cinéma Portail du cinéma
Ce document provient de « Trilogie Fant%C3%B4mas ».

Wikimedia Foundation. 2010.

Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Trilogie fantômas de Wikipédia en français (auteurs)

Игры ⚽ Нужно решить контрольную?

Regardez d'autres dictionnaires:

  • Trilogie Fantomas — Trilogie Fantômas La trilogie Fantômas d André Hunebelle est constituée des trois films : Fantômas sorti en 1964, Fantômas se déchaîne en 1965 et Fantômas contre Scotland Yard en 1967. Ces trois longs métrages, très librement inspirés des… …   Wikipédia en Français

  • Trilogie Fantômas — La trilogie Fantômas d André Hunebelle est constituée des trois films : Fantômas sorti en 1964, Fantômas se déchaîne en 1965 et Fantômas contre Scotland Yard en 1967. Ces trois longs métrages, très librement inspirés des romans d origine… …   Wikipédia en Français

  • Fantomas contre Scotland Yard — Fantômas contre Scotland Yard Fantômas contre Scotland Yard est un film franco italien réalisé par André Hunebelle et sorti en 1967. Après Fantômas en 1964 et Fantômas se déchaîne en 1965, c est le troisième et dernier volet de la trilogie d… …   Wikipédia en Français

  • Fantômas Contre Scotland Yard — est un film franco italien réalisé par André Hunebelle et sorti en 1967. Après Fantômas en 1964 et Fantômas se déchaîne en 1965, c est le troisième et dernier volet de la trilogie d André Hunebelle consacrée à Fantômas, le génie du crime.… …   Wikipédia en Français

  • Fantômas contre Scotland Yard — est un film franco italien réalisé par André Hunebelle et sorti en 1967. Après Fantômas en 1964 et Fantômas se déchaîne en 1965, c est le troisième et dernier volet de la trilogie d André Hunebelle consacrée à Fantômas, le génie du crime.… …   Wikipédia en Français

  • Fantômas contre scotland yard — est un film franco italien réalisé par André Hunebelle et sorti en 1967. Après Fantômas en 1964 et Fantômas se déchaîne en 1965, c est le troisième et dernier volet de la trilogie d André Hunebelle consacrée à Fantômas, le génie du crime.… …   Wikipédia en Français

  • Fantômas se déchaîne — La voiture de fantomas. Données clés Titre original Fantô …   Wikipédia en Français

  • Fantomas (film, 1964) — Fantômas (film, 1964) Fantômas Titre original Fantomas Réalisation André Hunebelle Acteurs principaux Jean Marais Louis De Funès Mylène Demongeot Jacques Dynam Robert Dalban Marie Hélène Arnaud Christian Toma Scénario Jean Halain …   Wikipédia en Français

  • Fantomas se dechaine — Fantômas se déchaîne Fantômas se déchaîne Titre original Fantômas se déchaîne Réalisation André Hunebelle Acteurs principaux Louis De Funès Jean Marais Mylène Demongeot Jacques Dynam Robert Dalban Olivier de Funès Scénario Jean Halain …   Wikipédia en Français

  • Fantomas se déchaine — Fantômas se déchaîne Fantômas se déchaîne Titre original Fantômas se déchaîne Réalisation André Hunebelle Acteurs principaux Louis De Funès Jean Marais Mylène Demongeot Jacques Dynam Robert Dalban Olivier de Funès Scénario Jean Halain …   Wikipédia en Français

Share the article and excerpts

Direct link
Do a right-click on the link above
and select “Copy Link”