- Psychogénéalogie
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La psychogénéalogie est une théorie développée dans les années 1970 par le Pr Anne Ancelin Schützenberger (Université de Nice) selon laquelle les événements, traumatismes, secrets, conflits vécus par les ascendants d'un sujet conditionneraient ses troubles psychologiques, ses maladies, et ses comportements étranges ou inexplicables.
Pour élaborer cette théorie, Anne Ancelin Schützenberger s'est fondée sur ses propres observations, et sur des concepts issus de la psychanalyse, de la psychologie, de la psychothérapie et de la systémique. Aujourd'hui, cette approche a donné lieu à de nombreuses pratiques psychothérapiques très différentes, certaines étant l'objet de vives critiques.
Sommaire
Les différentes approches tenant compte de la dimension transgénérationnelle en dehors de la psychogénéalogie
L'hypothèse de la transmission psychique entre les générations suscite des réflexions depuis longtemps, et les tenants de plusieurs écoles de pensée, notamment psychanalytique et systémique, se sont penchés sur cette question.
L'approche psychanalytique
Nicolas Abraham et Maria Török
Les psychanalystes Nicolas Abraham, d'origine hongroise, et sa compagne Maria Török ont publiés en 1978 un ouvrage intitulé L'Écorce et le Noyau qui met en exergue les concepts de "crypte" et de "fantôme". Leurs recherches leur ont permis d'étudier les cas de personnes ayant fait certains actes ou prononcé certaines paroles « comme si quelque chose ou quelqu'un avait agi à travers elles à ce moment ». Ils émirent l'hypothèse qu'un "fantôme transgénérationnel" s'exprimait à travers eux, fantôme d'un ancêtre ayant créé lors de son existence une "crypte" : un secret, un non-dit, un acte inavouable, un traumatisme, etc, qui n'aurait pas été métabolisé dans le psychisme de celui qui l'a vécu et serait resté du domaine du refoulé. Les membres des générations successives verraient à certains moments un "fantôme psychique" se manifester par des actes ou des paroles manquées. Nicolas Abraham et Maria Török parlent de transmission psychique transgénérationnelle. Les descendants de porteurs de cryptes seraient, selon eux, les "lacunes laissées en nous par les secrets des autres".
Didier Dumas
Après avoir été psychanalyste d'enfants dans un hôpital de jour pendant plus de dix ans, Didier Dumas étudie l'acuponcture et la sexologie chinoise. Son travail clinique et de recherche psychanalytique se situe dans le prolongement de celui de Françoise Dolto (préfaçant "L'Ange et le Fantôme" aux Editions de Minuit), de Maria Torok et de Nicolas Abraham.
Selon Didier Dumas, le mutisme de l'adulte, l'autisme de l'enfant ou la phobie sont l'œuvre du Fantôme. Le fantôme, en opposition à l'Ange, interdit, telle une structure psychique transgénérationnelle de l'inconscient familial, l'accès à la résolution de l'oedipe. Didier Dumas définit l'Ange comme une énergie psychique, refoulée par l'adulte et conservée par l'enfant fou, visant l'intégration au monde des adultes.
Il développera une clinique de l'Autre, une clinique des parents et des ancêtres en soi. Se basant sur les apports des traditions anciennes et chamaniques, sur la clinique des enfants et les théories psychanalytiques de ses prédécesseur, il cherchera à répondre aux manques freudiens notamment par l'apport du transgénérationnel. Rappelons que questionné sur les curieux symptômes dont souffre celui qui est hanté, Freud répondit qu'il "espérait ne pas avoir à s'occuper de cela de son vivant".
Didier Dumas n'aura de cesse de rappeler l'importance de la place du père dans l'équilibre psychique de l'enfant comme tiers séparateur de la bonne ou de la mauvaise mère. Parmi ces ouvrages, certains en témoignent tout particulièrement : "Sans père et sans parole", "Et si nous n'avions toujours rien compris à la sexualité", "Et l'enfant créa le père", "La Bible et ses Fantômes" et "La sexualité masculine".
Au sein de son association "Le jardin d'idées", il formera comme psychanalystes transgénérationnels (parmi d'autres) : Bruno Clavier, Cédric Aupetit ou Christian Freund.
Serge Lebovici
Serge Lebovici a travaillé sur ce qu'il a nommé les mandats transgénérationnels, et l'arbre de vie des patients.
Serge Tisseron
Serge Tisseron qui est psychanalyste a par ailleurs étudié la question de la transmission des images mentales entre les générations. Il a développé une hypothèse de l'ordre de la psychogénalogie à propos de l'œuvre d'Hergé dans son ouvrage Tintin et le secret d'Hergé[1].
Les travaux d'Ivan Boszormenyi-Nagy
Psychiatre hongrois né en 1920 et l'un des pères de la thérapie familiale, Ivan Boszormenyi-Nagy a introduit le concept de "loyauté familiale invisible". Il a travaillé sur les notions de "justice", d'"équité" au sein de la famille, de "légitimité constructive et destructive" des enfants envers leurs parents et de "parentification".
Le système familial demeure en équilibre tant que la justice et l'équité régissent les relations entre les membres du clan. Ces règles permettent à l'affection et au respect d'exister. Mais, si cette justice vient à manquer, si elle est remplacée par la mauvaise foi ou une exploitation quelconque de l'autre, alors apparaissent les sentiments d'injustice, de ressentiment, de compétitivité. Des dettes émotionnelles restent impayées, et la culpabilité sous-jacente vient saper l'équilibre familial, tandis que d'autre part surviennent rancœurs et colères refoulées. Le "grand livre des comptes" des crédits et débits n'est pas en balance et, selon la loi des loyautés familiales, une série de problèmes peut survenir, transmis de génération en génération, comme des accidents, maladies, haines ataviques, etc.Anne Ancelin Schützenberger et la psychogénéalogie
Anne Ancelin est à l'origine une psychologue de l'université de Nice[réf. nécessaire] et aurait été la principale créatrice, avec l'américain Jacob Levy Moreno de la psychogénéalogie dans les années 1970, bien que le terme ne soit utilisé que depuis les années 80[réf. nécessaire]. Ses thèses "transgenerationelles" sont diffusées par le livre "Aïe, mes aïeux!". Elle invente aussi le concept du syndrome d'anniversaire, supposant que les individus sont la résultante de leur histoire familiale sur plusieurs générations, les faits marquants de la vie des ancêtres rejaillissant sur les génération suivantes. Elle affirme que les individus sont dans une boucle de répétition des évènements dont seule l'analyse des arbres généalogiques permettrait de comprendre les agissement et d'en sortir. Elle a publié avec Ghislain Devroede: "Ces enfants malades de leurs parents"
Autres approches de la psychogénéalogie
Alejandro Jodorowsky et les actes psychomagiques
Alejandro Jodorowsky, poète, cinéaste, scénariste de BD et agitateur culturel inclassable, a, en dehors des sentiers de la psychologie et des études universitaires, trouvé le chemin du transgénérationnel au travers de ses propres expérimentations. Il est l'inventeur du terme "Psychogénéalogie" qu'il utilise publiquement dans ses conférences hebdomadaires du mercredi à l'Ecole des Mines puis à l'Université de Jussieu, dès le début des années 1980. À cette époque, fort de son expérience de metteur en scène, il organise pendant ces conférences de véritables théatralisations de l'arbre généalogique au cours desquelles il demande à un(e) consultant(e) de choisir les membres de sa famille dans le public et permet ainsi à tous les spectateurs présents de visualiser les quatre générations d'une famille sur l'estrade de l'amphithéâtre.
Pour lui, l'arbre généalogique est vivant en nous, et pour enrayer la chaîne des répétitions, c'est le langage de l'inconscient, c’est-à-dire celui des symboles, qu'il faut utiliser, car la prise de conscience et la verbalisation sont insuffisantes à la guérison.
Ainsi préconise-t-il des actes psychomagiques aux personnes qui viennent le voir (auxquelles il ne demande d'autre rétribution qu'une lettre expliquant le déroulement et les conséquences de l'acte psychomagique préconisé). L'acte est une sorte de rituel personnalisé, "sur mesure", a priori parfois absurde ou choquant, mais que la personne se doit d'accomplir au détail près. Chacune de ses composantes s'adresse à l'inconscient et c'est pour cela qu'il doit être scrupuleusement respecté, sous peine de perdre son efficacité ou, même, d'aller contre les effets escomptés.- Un exemple: Un jeune garçon se plaint de vivre dans sa tête, explique qu'il ne parvient pas à "prendre pied dans la réalité" et à avancer en direction de son autonomie financière. Jodorowky le prend au mot et lui propose de se procurer deux pièces d'or et de les coller sous les semelles de ses chaussures, de sorte qu'il se retrouve toute la journée à marcher sur de l'or. "A ce moment, dit Jodorowsky, il sort de sa tête, prend pied sur la réalité et avance... Voilà un exemple où je m'empare des termes utilisés par le consultant."
La Bio-Psychogénéalogie
La bio-psychogénéalogie est une approche qui utilise à la fois la psychogénéalogie et la Biologie Totale des Êtres Vivants (BTEV), pratique considérée comme sectaire[2].
Cette dernière approche, développée par Claude Sabbah, veut que les maladies soient une solution du cerveau à un stress donné, et qu'à chacune de ces maladies corresponde un stress ou "conflit" intrapsychique spécifique.
La bio-psychogénéalogie reprend ce qu'on pourrait croire être un postulat de base (énoncé par ses partisans comme étant une "loi" ou axiome) en ajoutant une composante transgénérationnelle : ainsi, les conflits (conflictus en latin = choc) qui engendrent le déclenchement des maladies pourraient avoir été vécus plusieurs générations au-dessus de celle du malade: le déclenchement de la maladie surviendrait à l'instant où la mémoire de ce stress serait ravivée à la faveur d'un conflit personnel : la maladie apparaît alors comme la traduction biologique d'un conflit psychique non résolu, rejoignant ce qui concerne la psychobiologie, le conflit est alors de nature psychobiologique.
Signalons toutefois que le Dr Claude Sabbah, s'il ne parle jamais dans ses écrits de bio-psychogénéalogie, cite cependant les travaux d'Anne Ancelin Schützenberger.
En parlant de psychosomatique ou de psychobiologie (bien que Hamer récuse ces disciplines) et non pas de psychogénéalogie, Richard Sünder cite le Dr Ryke Geerd Hamer[3],[4], ancien médecin allemand interdit d'exercer la médecine. Mais ce dernier n'en parlerait jamais dans ses écrits et est même farouchement opposé à celle-ci, ainsi qu'à d'autres approches (PNL, etc.)[5].
Le témoignage
Jacqueline Léger dans : Un autisme qui se dit... Fantôme Mélancolique, Éditions L'Harmattan (1997) explore son arbre généalogique. Pour y trouver sa place d'enfant autiste "au croisement des lignées". Quand le deuil des enfants morts précocement n'a pu se faire...
Précédents
Quelques psychanalystes et médecins avaient déjà développés des théories imputant l'origine des maladies a des causes psychologiques (Georg Groddeck, Richard Sünder, Henri Laborit)[réf. souhaitée], précédents non cités par le fondateur de la psychogénéalogie.
Les Constellations familiales
Article détaillé : Constellation familiale.La constellation familiale est issue d'une méthode développée dans les années 1990 par Bert Hellinger, psychanalyste et psychothérapeute allemand. Celui-ci a travaillé pendant une quinzaine d'années comme «missionnaire-enseignant» en Afrique du Sud, chez les Zoulous[6]. Par après il s'est intéressé à la Gestalt, à l'analyse transactionnelle selon les travaux d'Éric Berne[7].
Les constellations sont la mise en jeu spontanée de la configuration familiale d'un membre d'un groupe par les autres participants. Cette méthode est basée sur la théorie que l' inconscient collectif groupal peut faire émerger la solution aux maux de la famille, et c'est l' inconscient qui est sollicité comme étant le lieu de la solution. Chacun des participants sollicités laisse monter en lui les mots, mouvements corporels, émotions, et les manifeste sans les jouer, menant ainsi le groupe familial vers la source du mal et, de ce fait, vers sa solution. Le thérapeute accompagne ce qui se passe avec le moins de directivité possible et laisse les participants, guidé par leur intuition, s'exprimer au travers de ressentis, d'émotions, de verbalisations, de changements de position dans l'espace etc.
A signaler cependant : au départ, le concept des constellations familiales serait éloigné de la psychogénéalogie. Dans la pratique, les constellations familiales s'occupent de mémoires transgénérationnelles et sont très proches, dès lors, de la psychogénéalogie. Elles constituent des actes plus que symboliques qui permettraient alors de résoudre rapidement les conflits transgénérationnels, libérant ainsi les générations futures qui ne les reproduiront plus selon la "loyauté familiale invisible" [8] suivant ce que Anne Ancelin Schützenberger a découvert (cf. "Aie mes aïeux"). Cette loyauté devenant visible, elle permet à celui qui en est le gardien de choisir consciemment ce qui lui convient et de ne plus exprimer à ses dépens des programmes familiaux souffrants qui y sont liés.
Critique
La psychogénéalogie est citée par des organisations antisectes comme étant parfois détournée par des praticiens sectaires[9].
Géraldine Fabre, dans une perspective zététique à travers l'analyse des travaux de Anne Ancelin Schützenberger[10] et de Salomon Sellam[11] met en question les démonstrations de la psychogénéalogie. Notamment, elle démontre que la probabilité mathématique de trouver des correspondances de dates avec ses ancêtres peut être élevée et conteste que les exemples avancés seuls puissent avoir valeur de démonstration.
Nicolas Gauvrit, mathématicien et psychologue membre de l'AFIS (Association française pour l'information scientifique), reprend ces arguments et les développe dans la revue Science... et Pseudo-sciences n°282 (juin 2008) [12]. En décortiquant les bases de la psychogénéalogie, il montre qu'elles sont à chercher dans la psychanalyse et dans la numérologie. Selon Gauvrit, les inspirateurs de la psychologénéalogie seraient Jung et Ryke Geerd Hamer. Enfin, il déclare qu'après 40 ans d'existence, la psychogénéalogie n'a pas fait la preuve de son efficacité, et que les seuls arguments avancés sont des témoignages informels.
La psychogénéalogie, se développant depuis quelque temps en France, est à l'origine d'affaires impliquant des psychothérapeutes ayant une "formation" minimaliste sanctionnée par des diplômes non reconnus par le Conseil de l'Ordre, n'ayant donc pas le droit d'exercer aux termes de la loi du 1er juillet 2010; ces affaires portent sur les faux souvenirs induits et les dégâts qu'ils occasionnent dans les familles : rejet de la famille, des parents, procès pour viol, divorces, ... Ces pratiques participent dans la plupart des cas de la dérive sectaire.
Le rapport 2007 de la Mission interministérielle de vigilance et de lutte contre les dérives sectaires (Miviludes) met en garde contre la pratique des faux souvenirs induits, un dévoiement des méthodes psychothérapeutiques qui serait en progression en France.
Bibliographie
- Didier Dumas, L'Ange et le fantôme, introduction à la clinique de l'impensé généalogique, éd. Minuit, Paris, 1985
- Boszormenyi-Nagy et Framo, Psychothérapies familiales, Paris, Puf, 1980
- Catherine Ducommun-Nagy, L'agenda invisible : le couple. Perspective contextuelle, Autrement, Paris (1989)
- C I., Fundation of contextual therapy, New York, Brunner Mazel, 1987
- Le Goff, J.F. (2001). Boszormenyi-Nagy and Contextual Therapy: An Overview, ANZJFT, 22:3 (Sept); 147–157.
- Pierre Michard, La thérapie contextuelle de Boszormenyi-Nagy, une nouvelle figure de l'enfant dans le champ de la thérapie familiale, éd. de Boeck, Bruxelles, 2005
- Anne Ancelin Schützenberger, Aïe, mes aïeux !, Paris, Desclée de Brouwer, 1993 (17e. éd. complétée 2004)
- Nina Canault, Comment paye-t-on la faute de ses ancêtres, éd. Desclée de Brouwer, Paris, 1998
- Elisabeth Horowitz et Pascale Reynaud, Se libérer du destin familial, éd. Chemins de l'Harmonie, 2000
- Evan Imber-Black, Le poids des secrets de famille, éd. Robert Laffont, Paris, 1999; éd. J'ai Lu, Paris, 1999
- Chantal Rialland, Cette famille qui vit en nous, éd. Robert Laffont, Paris, 1994; éd. Marabout, 2000
- Hervé Scala, Mireille Scala, Des ancêtres encombrants ? Se réconcilier avec son histoire familiale, éd. Le Souffle d'Or, 2004
- Patrice Van Erseel et Catherine Maillard, J'ai mal à mes ancêtres: la psychogénéalogie aujourd'hui, éd. Albin Michel, Paris 2002
- Emilie Pécheul Réenchanter son histoire familiale, petite introduction à la psychogénéalogie éd. Arsis, 2008
- Alejandro Jodorowsky, Le Théâtre de la Guérison, entretiens avec Gilles Farcet, Albin Michel, coll. "Espaces libres", 1995
- Gérard Athias, Les racines familiales de la "mal-a-dit", éd. Pictorus 2002
- Bert Hellinger - Gabriele Ten Hövel, Constellations familiales, comprendre les mécanismes des pathologies familiales, éd. Le Souffle d'or, 2001
- Potschka-Lang, Constanze, Constellations familiales, Guérir le transgénérationnel, comprendre les dynamiques qui handicapent notre vie, éd. Le Souffle d'or, 2001
- Christophe Botti et Stéphane Botti - Distorsions, pièce de théâtre, Alna éditeur 2010
- Richard Sünder — Médecine du mal, médecine des mots , Editions Quintessence, 2006.
Références
- Presses de la Cité 110 pp. 1993
- http://www.prevensectes.com/medical.htm#biologie
- http://www.pansemiotique.com/e107_plugins/content/content.php?content.199
- Richard Sünder, Médecine du mal, médecine des mots, p6.
- 2003, p. 122 Hamer, Testamento per una nuova medicina (Médecine nouvelle germanique), éd. Amici di Dirk,
- Patrice Van Eersel et Catherine Maillard, J'ai mal à mes ancêtres, pp. 55-57 - Interview de Bert Hellinger
- Patrice Van Eersel et Catherine Maillard, J'ai mal à mes ancêtres, pp. 57-58 - Interview de Bert Hellinger
- Ivan Boszormenyi-Nagy Signalons que la loyauté familiale invisible est un concept issu des travaux d'
- Psychosectes et psychotérapie, petit dictionnaire critique sur prevensectes.com
- Psychogénéalogie (I) - Aïe, mes aïeux ! par Géraldine Fabre
- Psychogénéalogie (II) - Le syndrome du Gisant par Géraldine Fabre
- Psychogénéalogie dans l'étrange lucarne par Nicolas Gauvrit
Liens internes
- Anne Ancelin Schützenberger
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- Jacob Levy Moreno
- Systémique
- Psychanalyse
- Génogramme
- Archétype transgénérationnel
Liens externes
- Voyage en Psychogénéalogie, Alternatives Santé L'Impatient, juillet-août 2001
- Bibliographie plus fouillée de psychogénéalogie sur le site de l'association internationale de psychogénéalogie
- Exposé critique détaillé sur le site de l'Observatoire zététique
Wikimedia Foundation. 2010.