- Le Français au New Hampshire
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Le français au New Hampshire
Sommaire
Minorité francophone
Après l'anglais, la deuxième langue de l'État est le français qui est parlé particulièrement dans le nord, près de la frontière québécoise. Selon le recensement de 2000, les Franco-Américains (d'origine française ou franco-canadienne) composent le plus grand pourcentage de la population du New Hampshire avec 25,2 % et plus de 16 % de la population parle le français à la maison dans le comté de Coos.
Gouvernement
La Commission des échanges culturelles américaine et canadienne française
Établi en 1973[1], cette commission s'occupe des liens entre le New Hampshire et les pays et régions francophones du monde. Elle est composée de onze membres, nommé par le gouverneur et conseil pour un terme de sept ans, qui habitent dans l'état et qui parlent le français[2].
Membres actuels
Joseph Dion de Manchester est le président actuel.
- Adele Boufford Baker de Manchester
- Emile D. Beaulieu de Goffstown
- Paul R. Boucher de Lebanon
- Helen Pelletier Closson de Manchester
- Eric Drouart de Nashua
- Albert W. Hamel de Chester
- J. Claude Laroche de Manchester
- Benoit L. Lamontagne de Colebrook
- Lucie Therrien de Portsmouth
- Robert W. Therrien Sr. de Keene
Relations avec le Canada francophone
Depuis 1964, le New Hampshire et le Québec ont conclu au moins 5 ententes directes dans les cadres suivants: la sécurité publique, le culture, l'environnement et les transports[3]. Le New Hampshire participe aussi à la réunion annuelle entre le Conférence des Gouverneurs de la Nouvelle Angleterre et les Premiers Ministres de l'Est du Canada, où le Québec et le Nouveau-Brunswick utilisent le français par statut officiel.
Commerce
Domestique
La Caisse Populaire Ste. Marie
Aux États-Unis, La Caisse Populaire Ste. Marie de Manchester a la distinction comme la première caisse populaire. Grâce à une sollicitation du monseigneur Pierre Hevey de l'église St-Marie, inquiet par la situation financière des membres de sa congrégation d'ouvriers canadiens-français, Alphonse Desjardins est allé à Manchester pour décrire le mouvement des caisses populaires. À la fin de son conférence, son audience a décidé de former « La Caisse Populaire Ste. Marie » qui a suivi le modèle des caisses Desjardins. Elle s'est ouvert le 24 novembre 1908 à la maison de Joseph Boivin, l'homme voté comme le directeur bénévolat, et l'America's Credit Union Museum (en français, Le Musée des États-Unis des Caisses Populaires) s'y trouve aujourd'hui. Depuis cette époque, Ste. Marie grandissait, par La Grande Dépression où elle restait ouvert pendant les fermetures bancaire déclaré par le président Roosevelt, à son 100e anniversaire avec l'actif bancaire de 652,287 millions de dollars.[4] [5] [6] [7]
Voir aussi
- Démographie des États-Unis
- Français d'Amérique
- Franco-Américains
- Immigration française aux États-Unis d'Amérique
- Le français aux États-Unis d'Amérique
Liens externes
- La Commission des échanges culturelles américaine et canadienne française
- St. Mary's Bank (La Caisse Populaire Ste. Marie)
Notes et références
- ↑ Purpose – English, site web officiel de la commission
- ↑ http://www.sos.nh.gov/redbook/first%20section.htm#canada
- ↑ Engagements internationaux, Ministère des Relations internationales du Québec
- ↑ http://www.stmarysbank.com/about-st-marys-bank/our-history.asp (en anglais)
- ↑ http://www.stmarysbank.com/100years/Video.aspx?id=61 (video en anglais)
- ↑ http://www.stmarysbank.com/100years/Video.aspx?id=60 (video en anglais)
- ↑ http://www.stmarysbank.com/about-st-marys-bank/whats-new-details.asp?id=155 (en anglais)
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