Irenee Bonnafous

Irenee Bonnafous

Irénée Bonnafous

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Irénée Bonnafous né le 8 avril 1865 à Saint-Laurent-de-la-Cabrerisse (Aude), décédé le 16 janvier 1947 à Montauban est un publiciste, directeur départemental de la Dépêche de Toulouse à Carcassonne puis à Montauban, directeur de l’hebdomadaire l’Indépendant du Tarn-et-Garonne puis du Démocrate ; dirigeant du Parti radical-socialiste, franc-maçon, vénérable de la loge La Parfaite Union de Montauban, dirigeant d’un réseau de renseignements en faveur de la Résistance, co-organisateur des Jacobins Montalbanais, informateur du 2e bureau de l'état-major de l'Armée secrète puis FFI de Tarn-et-Garonne, boîte aux lettres de l'état-major AS et FFI.

Sommaire

Les débuts

Petit-fils d’un meunier du Narbonnais, il fit d’abord des études au Lycée de Carcassonne, puis deux ans à l’école Jésuite de Saint-François-de-Salles à Castelnaudary. Il seconda par la suite peu de temps, son père, agent général d’assurance. En avril 1886, il s’engageait dans l’Armée. Après un bref passage par les services de l’administrations de l’intendance de Montpellier, il était transféré en Algérie.

Le directeur de journal

Libéré en 1890, Irénée qui fréquentait la rédaction du journal: « Le Radical de l’Aude », tenu par Omer Sarraut, participa à la création du nouvel hebdomadaire, « L’avenir de l’Aude ». Secrétaire de rédaction du journal, cela ne l’empêcha pas à la demande de son témoin de mariage, Maurice Sarraut, de prendre l’intérim de la rédaction départementale de « La Dépêche de Toulouse » à Carcassonne. Journaliste et homme de conviction, Bonnafous s’attachait à défendre la cause radicale.

Il devint rapidement le principal lieutenant de Jules Sauzède, qui fut plus tard élu député-maire de Carcassonne. Irénée Bonnafous fut nommé à Montauban momentanément à la direction départementale de « La Dépêche de Toulouse ». Cette suppléance temporaire dura finalement cinquante deux ans. Arrivé en 1895 à Montauban, il hérita d’une situation difficile. La concurrence était sévère et prolifique, une bonne dizaine de journaux briguaient le lectorat tarn-et-garonnais. Dans ce département conservateur où la situation des partis de gauche était à l’état d’embryon, les socialistes n’existaient que sous formes de groupuscules antagonistes. La SFIO ne se constitua que dix ans plus tard. Le parti radical-socialiste ne fut créé quant à lui qu’à partir de 1901. Militant depuis longtemps dans le radicalisme, il continua son combat politique auprès de la famille Sarraut qu’incarne à l’époque ce mouvement. Il lui fallait, dès lors, implanter le quotidien que nous connaissons aujourd’hui sous le nom de La Dépêche du Midi.

Les réseaux de correspondants locaux de La Dépêche toujours en activité furent vivifiés par Bonnafous. Ils furent à la base de l’influence du quotidien radical. Bonnafous l’avait compris pour contrecarrer l’influence de la Petite Gironde, quotidien bordelais opposé, il fallait créer un lien entre le lectorat local et le journal. Même si la Petite Gironde conserve jusque dans les années vingt, et particulièrement à Montauban, un ascendant sur La Dépêche de Toulouse, le département, lentement mais sûrement bascule. Toutefois, Irénée Bonnafous n’entendait pas céder le terrain aux journaux locaux et donc, aux publications d’expression partisane. Il créa à ce titre un autre journal : L'Indépendant du Tarn-et-Garonne, qui ne devait avoir au départ, qu’une existence éphémère et devint, le journal de campagne des radicaux. Le succès de ces derniers aux élections législatives, la victoire aux sénatoriales de Camille Delthil en 1902, durent beaucoup au travail militant de Irénée Bonnafous. À partir de cette date, l'Indépendant d’Irénée Bonnafous fut publié sans interruption jusqu’en juillet 1940.

Le Franc-maçon

Véritable chef du parti radical-socialiste dans la région Sud, constituée de quatorze départements, Irénée Bonnafous travaille à la progression du parti, sans jamais se présenter à aucun mandat. Le seul mandat qu’il ait obtenu, et conservé durant vingt sept années consécutives, fut celui de vénérable de la Loge, La Parfaite Union de Montauban, l’une des plus anciennes loges maçonniques de l’hexagone, créée en 1787. Franc-maçon, initié dans la loge les Vrais amis réunis de Carcassonne, Irénée Bonnafous rejoignit dès son arrivée à Montauban, La Parfaite Union au grade de compagnon.

Il fut d'abord élu orateur de la loge, en 1902, puis vénérable, en 1902. Son parcours maçonnique fut riche, puisqu’il devint chevalier Kadoch en mai 1907. Il permit également à La Parfaite Union, de fonder un Chapitre en 1906. Enfin, il fut élu membre du Conseil de l'ordre du Grand Orient de France, de septembre 1911 à septembre 1918. Il fut réélu à ce poste, de septembre 1920 à 1923. Durant près d’une demi-siècle, il fut incontestablement le principal animateur et "chef" spirituel de la maçonnerie tarn-et-garonnaise, voire régionale. Sa solidarité maçonnique s'exprima à plusieurs reprises en faveur des républicains espagnols, et ce, dès 1937. C'est probablement l'une des raisons pour laquelle Montauban devint un des centres les plus importants de l'immigration espagnole. Le vénérable émérite Bonnafous aida ses frères Espagnols à reconstituer une loge maçonnique, en leur prêtant gracieusement des locaux.

Le résistant

Mais, ce qui resta son œuvre la plus accomplie fut, l'évasion de tous les maçons internés au camp de Septfonds, arrivés en mars 1939. Environ six milles ex-militaires de l’armée républicaine espagnole furent “ parqués ” à la hâte dans le camp dit des Judes.

Bonnafous, délégué du préfet pour tout ce qui concerne les réfugiés, et grâce au soutien complice de nombreux maçons de la Parfaite Union, parvint à faire évader de nombreux internés du camp en les dissimulant dans des camions. En leur donnant des papiers et un asile, La Parfaite Union joua un rôle prépondérant dans l’accueil et l’insertion des réfugiés espagnols, qu’ils soient maçons ou profanes. Cette aide apportée aux espagnols, valut à Bonnafous le surnom élogieux de “ El Padre ”. Il cumula d’autres fonctions officielles en faveur des réfugiés espagnols. Il fut délégué du préfet au service de renseignements aux réfugiés, délégué du préfet à la direction départementale du ravitaillement des réfugiés, vice-président du comité de patronage montalbanais et de secours aux réfugiés espagnols; président d’honneur du comité des associations d’émigrés espagnols amis de la France, membre du comité départemental d’accueil aux réfugiés. Enfin, Bonnafous fut nommé chef du comité départemental du service des informations, et renseigna le Ministère sur l’état psychologique de la population tarn-et-garonnaise. Fervent républicain, il vit avec l’arrivée de La Révolution Nationale, la fin de certains de ses engagements. La Parfaite Union, dont le siège était à cette époque au 31 rue Bessières (Montauban) fut mis sous scellés, par l’application de la loi du 13 août 1940 qui interdisait les associations maçonniques. Il décida, dès lors, de circonscrire au minimum son activité journalistique, en mettant un terme à la publication de « L’Indépendant ». Il informa Maurice Sarraut qu’il souhaitait ne plus exercer son activité de correspondant de La Dépêche de Toulouse. Sur la demande de Maurice Sarraut et de Jean Baylet, il resta correspondant nominal, mais n’écrivit plus dans le quotidien. Le seul moment, où, durant l’occupation il reprit la plume, fut pour condamner l’assassinat par la Milice, de son ami Maurice Sarraut, le 3 décembre 1943 à Toulouse. Dès lors, il fut écarté par le gouvernement de Vichy, de toutes ses fonctions dans les nombreuses commissions dans lesquelles il avait été nommé. Toutefois, il garda des contacts précieux dans différents services, et son influence à la préfecture ne fut pas complètement réduite.

L'exemple en fut donné lorsque le président de la République Espagnole, Manuel Azaña, s'exila en France. Réfugié au Pyla-sur-Mer, Azaña échappa de peu à une arrestation, après l'invasion de la zone en juin 1940. Il s'exila de nouveau, cette fois-ci à Montauban, dans un appartement au 35, rue Michelet où loge l’un de ses amis, le docteur Cabello. Les circonstances le firent finalement échouer à l'hôtel du Midi. Quelques semaines plus tard, Bonnafous apprenait par ses contacts à la préfecture, qu'un groupe de phalangistes espagnols avait “ débarqué ” à Montauban. Ces derniers ayant pour mission d'enlever le président Azaña. Bonnafous informa aussitôt l'entourage du Président. Il constitua, semble-t-il, une petite garde rapprochée dans l'hôtel pour éviter à Azaña le même sort que celui du président de la Généralité de Catalogne, Lluis Companys.

Âgé de 76 ans en 1941, il n’entendait pas en rester là. Il constitua un réseau de renseignements, dont il fit bénéficier sans ostracisme tant la résistance civile que militaire. À partir de son bureau et de La Dépêche de Toulouse au 33, rue de la République, siège actuel de La Dépêche, désormais du Midi, il organisa son réseau de renseignements. Aidé dans cette tâche par ses contacts fraternels, il tissa un réseau dans toutes les administrations susceptibles de lui fournir des informations. Les inspecteurs de police Mallet et Gamel, le brigadier chef Grenaille, l’adjudant de gendarmerie Henri Eychenne et bien d’autres encore, viennent à tour de rôle au 33, rue de la République, informer Bonnafous. Parallèlement à ce service de renseignements, il créa un groupe clandestin qui réunissait amis politiques et fraternels : Les Jacobins montalbanais.

En mai 1941, Les Jacobins montalbanais regroupaient en grande majorité des éléments du parti radical-socialiste hostiles à la politique du gouvernement de Vichy, et des francs-maçons. Cette organisation proto-résistante, diffusa la presse clandestine et organisa plus tard, un certain nombre de sabotages. Il coordonnait les mouvements clandestins, servait de relais, de boîte aux lettres à la Résistance dans son ensemble. Absent de tout mandat politique durant l’entre-deux-guerres, il ne voulut pas moins exercer de magistère dans la Résistance. Acteur anonyme, au point que l’on oublie volontiers son action, probablement pour des raisons d’ordre politique, Bonnafous était, nous pouvons le dire, la pierre angulaire d’un service de renseignements qui a informé tous les résistants du département, quelles que soient leurs étiquettes politiques ou ambitions personnelles. S’il collabora étroitement avec le 2e bureau de l'état-major AS, puis FFI, nous ne pouvons dans cette biographie succincte mettre en lumière toute l’activité clandestine de Bonnafous.

Arrêté le 9 juin 1944 par la Gestapo en compagnie de son gendre, Roger Delnondedieu, de Mgr Théas — évêque de Montauban — de Émile Bousquet, notaire et père de René Bousquet, du préfet de Moselle Bourrat, du colonel de gendarmerie Hiriart, de l’instituteur Elie Villeneuve et d’un officier du CAT du nom de Pitray, il fut toutefois relâché 48 heures plus tard en “ raison de son âge ”. On retiendra de cet emprisonnement éphémère - il est relâché le 10 juin à 11 heures -, la rencontre de Bonnafous avec l’évêque de Montauban, Mgr Théas. En effet, il ressort plusieurs témoignages de cette rencontre qu’il est intéressant de signaler. D’après le chanoine Loubers la discussion aurait commencé ainsi : « Monsieur Bonnafous, on m’avait dit beaucoup de mal de vous ; mais je vois qu’on m’avait trompé », à quoi il fut répondu « Monseigneur, on m'avait dit beaucoup de bien de vous; mais je vois qu'on était en-dessous de la vérité. Ceci prouve bien que vos amis sont plus charitables que les miens ». À presque 80 ans, Bonnafous n’ignorait pas que la Libération allait relancer la vie civique, donc l’activité politique.

Le témoignage de Marcel Foussard, chef du Mouvement Unifiés de la Résistance (MUR) est intéressant à ce propos :

« En plus des réunions du Directoire, avaient lieu également celles du Comité consultatif départemental, (…) Les séances du comité consultatif furent assez laborieuses, or il était parfois difficile de concilier les désirs des partis politiques, avec certaines ambitions personnelles. Ce Comité était tout particulièrement chargé, au jour de la Libération, de l’organisation des pouvoirs publics et administratifs du département ; c’est ainsi que devaient être désignés les conseillers généraux et les maires des chefs-lieux de canton. (…) Les difficultés pour la nomination des conseillers généraux et des maires, il faut bien l’avouer, provinrent tout particulièrement de l’intransigeance du parti radical, qui tenait absolument à conserver sa prédominance dans le département, et qui entendait qu’un dosage serré soit établi pour les postes de conseillers généraux et de maires. Une liste de conseillers généraux (est) établi sous la dictée de Bonnafous (…) De nombreuses conversations eurent lieu avec Bonnafous à ce sujet. Il n’en démordit pas et fut sur le point de retirer ses représentants au Comité. Bien que Guiral présida le comité, il n’en est pas moins vrai qu’il me fallut, soutenu par Allamelle, une grande patience et pas mal de diplomatie pour arriver à maintenir la cohésion du comité ; ce qui fut fait. On donna satisfaction aux radicaux dans le sens du dosage résultant des élections de 1935. Coïncidence à signaler, c’est que la plupart des hommes désignés par le Comité comme conseillers généraux furent élus en Octobre 1945 »

Membre du Comité de Libération (CDL) au titre des personnalités devant y figurer, Bonnafous milita ardemment en faveur de la réconciliation nationale. Membre de la commission de la presse, président de la commission administrative chargée de la constitution des municipalités, il fut rapidement en désaccord avec les mesures ayant trait à l’épuration politique. Il faut signaler que le 20 août 1944, un jour après la Libération de Montauban, un groupe de jeunes FTP selon certains témoins - ou peut-être de jeunes exaltés des Milices patriotiques - firent intrusion dans les bureaux de La Dépêche de Toulouse dont celui de Bonnafous. Ils lui enjoignirent de quitter les lieux. Une violente discussion s’en suivit, et les jeunes maquisards durent clamer leur ardeur. Il se rapprocha dès lors, de plus en plus des positions de Mgr Théas, qui condamna lourdement les exécutions de l’après Libération. Il se retira finalement un mois après sa nomination du CDL, et refusa plus tard, la médaille de la Résistance. À cette polémique s’ajoute celle qui s’organisait contre La Dépêche de Toulouse. Irénée Bonnafous n’entendait pas se laisser faire sur cette question qui le touchait profondément.

Entre temps, il avait remis sur pied « L’Indépendant de Tarn-et-Garonne », sous le nom de Démocrate Indépendant, puis finalement de Démocrate. Le journal L’Indépendant, en accord avec l’ordonnance du 30 septembre 1944 fut dissout. Bonnafous créa immédiatement un nouvel hebdomadaire, Le Démocrate, sur les presses de l’imprimerie coopérative. Le journal portait le sous-titre suivant : « Journal républicain radical, radical-socialiste et d’Unité française ». Par l’intermédiaire d’une lettre ouverte dans le numéro du Démocrate du 13 décembre 1944, il plaida contre les détracteurs de La Dépêche de Toulouse, et s'attaqua aux diffamateurs dans un numéro d'avril 1945 : “ La meilleure réponse à faire aux calomniateurs bénéficiaires de la spoliation de la Dépêche, est de citer un autre journal de la région, dont le directeur fut arrêté par la Gestapo, puis lâchement assassiné par les sbires de Darnand et de Doriot, qui a eu son second directeur, son administrateur technique, et un de ses collaborateurs, déportés en Allemagne dans un camp d’extermination.

Ce fut là, nul ne l’ignore, le sort du regretté Maurice Sarraut, de son frère Albert Sarraut et de ses amis Jean Baylet et Roger Delnondedieu. Le parti radical-socialiste insiste énergiquement pour qu’il soit mis fin sans retard à ce déni de justice injurieux pour tous les vrais démocrates ”. Le combat d’Irénée Bonnafous pour la reparution, sous son titre d’origine La Dépêche de Toulouse, devenue La Démocratie, ne cessa qu’à son décès le 16 janvier 1947, Il ne connut pas l’issue de sa lutte par la création de La Dépêche du Midi. Homme d’avant-garde, Irénée Bonnafous, a marqué l’histoire du département, bien que nos contemporains aient oublié son action, et parfois jusqu’à son nom. Il nous faudrait encore de nombreuses colonnes pour présenter l’activité de l’homme. Rappelons en guise de conclusion, qu’il fut l’initiateur de l’imprimerie coopérative ouvrière de Montauban, de l’union coopérative montalbanaise (dix-sept magasins), de la bibliothèque populaire, du Petit Versailles, qu’il reprit en main le Cercle des travailleurs, et participa à la réussite de la coopérative ouvrière de verrerie d’Albi, et, que nous passons sous silence des dizaines de fonctions bénévoles qu’il exerça dans le département.

Sources

  • Archives départementales de Tarn-et-Garonne, 1188W7, 1188W12 ;
  • Carnets d’Irénée Bonnafous ;
  • Mémoires de Georges Tibes ;
  • Le Démocrate, 10 avril 1945 ;
  • La Démocratie, 20 janvier 1947 ;
  • Lucien Étienne, « Au-delà des différences », la Dépêche du Midi, 9 juin 1984, p. 21 ;
  • Enrique de Rivas, « Azaña à Montauban », in Azaña et son temps sous la direction de Jean-Pierre Amalric, Montauban, 1999, p. 408-409 ;
  • Max Lagarrigue, Esquisse prosopographique de l’état-major AS et FFI de Tarn-et-Garonne », revue Arkheia. Histoire, Mémoire du Vingtième siècle, Montauban, no 2-3, 2001, p. 72-107.
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