Glos-la-Ferriere

Glos-la-Ferriere

Glos-la-Ferrière

Glos-la-Ferrière
Administration
Pays France
Région Basse-Normandie
Département Orne
Arrondissement Argentan
Canton La Ferté-Frênel
Code Insee abr. 61191
Code postal 61550
Maire
Mandat en cours
Paul Delmotte
2008-2014
Intercommunalité Communauté de communes du Canton de la Ferté-Frênel
Démographie
Population 563 hab. (2006)
Densité 45 hab./km²
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 28″ Nord
       0° 36′ 07″ Est
/ 48.8577777778, 0.601944444444
Altitudes mini. 208 m — maxi. 261 m
Superficie 12,63 km²

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Glos-la-Ferrière est une commune française, située dans le département de l'Orne et la région Basse-Normandie.

Sommaire

Toponymie

Glos viendrait de Glothi qui signifie homme d'origine germanique[1]. Glotis mot celtique signifierait aussi rivière (d'après le Héricher), mais pour Gravelle des Ulis ce serait la déformation de Gloris lieu éminent où l'on travaille le fer d'où le dicton « Glos : glorieux ». La Ferrière vient du latin Ferraria (gisement de fer).

Orthographe
  • Vers 1050 : Gloth
  • Vers 1136 : Glos
  • Vers 1790 : Glos sous l'Aigle
  • Depuis 1800 : Glos-la-Ferrière

Géographie

Situé au nord-est du département de l'Orne et limitrophe de l'Eure, Glos-la-Ferrière est à 10 km au nord de L'Aigle et à 75 km de la ville cotière la plus proche, Trouville-sur-Mer. Le bourg se situe à une altitude de 228,5 mètres (NGF) voire 234 mètres environ au niveau de l'église. Glos-la-Ferrière est traversé par le Val-Vernet, le Val Coulé et la Barne.

Histoire

L'occupation humaine de Glos remonterait à l'époque gauloise. Il existe en effet, sur la route Glos-L'Aigle dans le petit bois situé face au Boulay-Filleul, une pierre d'assez grande dimension. Ce menhir, élevé là, servait probablement de point de repère pour les réunions gauloises. En 1878, un instituteur effectuant une fouille à sa base y aurait découvert des haches de silex et un percuteur[2]. De plus, on a trouvé près de l'église des monnaies et des bagues de fabrication romaine. On peut supposer que les romains installés à Rugles (à 9 km de Glos) et aux environs (Condé-sur-Iton) aient établi leur surveillance jusqu'à Glos-la-Ferrière puisqu'ils convoitaient le fer[3].

Au haut Moyen Âge, le riche bourg de Glos, qui n'est pas encore "la Ferrière", est un lieu de passage puisque situé au croisement de plusieurs routes. Ceci est donc source de dangers. Le village est bientôt entouré de murailles, mais du Guesclin (1320-1380) les fera abattre, imposant ainsi l'autorité royale. Les défenses consistent en un fossé circulaire et au centre une butte de terre énorme, puis un château tout en bois de plusieurs étages comportant tous les systèmes les plus élaborés de l'époque. Un seul passage descendant de la "Butte" au fond du fossé puis rejoignait ce qu'on appelle la « basse-cour », emplacement fortifié par une épaisse palissade de bois qui protégeait ainsi notamment les troupeaux, les réserves et les habitants d'alentours. Si le siège mis par l'adversaire tournait au désastre, on se réfugiait dans le château qui dominait la "Butte". Aujourd'hui encore, on se rend compte de l'importance de Glos au Xe siècle en allant voir l'impressionnante "Butte" et d'imaginer le château fait de poutres énormes sur vingt mètres de haut. Une telle organisation, basée sur le bois, montre que la civilisation de Glos semble être différente de celle de Verneuil qui a un château de briques dont il reste le donjon du Xe siècle. Glos est peut-être à la charnière de deux mondes : le monde romain et le monde des peuples du Nord[4]. Des monnaies d'un Jean duc de Bretagne seigneur de l'Aigle furent trouvées dans les environs du château fort[5].

Économie

Dès l'époque gallo-romaine, Glos est une ville de forgerons, "les Ferrons". Pendant près d'un millénaire, le commerce du fer et des armes enrichit la ville qui a une population considérable pour l'époque. On peut estimer que derrière ses remparts, plus de 10 000 habitants vivent de cette industrie et de ce commerce[6]. C'est Guillaume le Conquérant qui demandera des soldats équipés de "piques" de Glos pour la bataille d'Hastings qui lui ouvre les portes de l'Angleterre. Ces piques redoutables sont figurées avec trois gaulois sur l'autel de Nantes trouvés sous la cathédrale Notre-Dame de Paris, l'inscription rappelle qu'ils sont de la région d'Évreux. Les coutumes des ferrons sont codifiées par la royauté en 1224. Ils sont "Bourgeois" donnant cette noblesse à toute la commune. Ils auront une charte qui est reconnue pour les défendre par l'abbaye de Saint-Évroult tandis que l'abbaye Notre-Dame de Lyre les soutient. Toutes les communautés des Ferrons du Pays d'Ouche dépendent de celle de Glos. Cette unification dépend de la protection accordée par le Roi. Vers 1300, il semble qu'il y ait plus de deux cents forges[6]. Tant que les bas fourneaux et les forges à bras dominent, la ville de Glos est un centre important. La modernisation, les forges hydrauliques entament le déclin. Vient alors la Révolution, les tréfileries ont pris la suite des forges, produit raffiné avec secret de fabrication des aiguilles. Seule reste aujourd'hui la maison Bohin. Cette industrie s'éteint vers 1880 et peu après un Allemand achète le laitier par millions de tonnes car il est encore riche en fer et, il l'emploie dans des hauts fourneaux de son pays[6]. Le dernier signe visible aujourd'hui est la présence de centaines de clous plantés dans la façade de l'église.

Découpage

À la suite de la Révolution, Glos-la-Ferrière est nommé chef-lieu de canton dans le district de L'Aigle. Mais la commune de La Ferté Fresnel revendique cette position et envoie donc au Sénat, avec copie à Messieurs les commissaires du Roi et à l'Assemblée administrative du département de l'Orne une réclamation. Le premier argument est la position centrale de bourg de La Ferté-Fresnel alors que plusieurs paroisses du canton sont éloignées de plus de 3 lieues de Glos. De plus, La Ferté-Fresnel invoque qu'elle possède un « marché assez considérable » et « une très forte halle à blé » que n'a pas Glos-la-Ferrière. Le mémoire continue de citer d'autres avantages que possède La Ferté-Fresnel comme par exemple l'existence d'un bureau de contrôle des actes, d'un bureau des aides, d'un bureau des recettes de régie qui n'existent pas à Glos-la-Ferrière. Enfin, la commune offre un dernier argument : les « eaux très belles et très limpides » de la Ferté-Fresnel opposé à « la sécheresse » de sa rivale. Finalement, la flatterie et l'obséquiosité viennent couronner la démonstration : « La commune du bourg de la Ferté Fresnel ose se flatter que Messieurs les Administrateurs du Département de l'Orne, dont les connaissances sublimes vont journellement opérer le bonheur des citoyens de leur Département, et dont le zèle à remplir scrupuleusement les grandes fonctions qui leur ont été, à juste titre, confiées par leurs concitoyens et compatriotes, voudront bien (...) lui accorder la translation ». Glos-la-Ferrière n'a pu qu'objecter en vain d'autres arguments, soutenant notamment que sa population était doublement plus élevée[7]. La Ferté-Fresnel deviendra ainsi le chef-lieu de canton en lieu et place de Glos-la-Ferrière.

La justice

Dès 1279, Glos-la-Ferrière fut le siège d'une sergenterie comptant alors vingt-cinq paroisses et elle le demeure jusqu'à la Révolution. Elle se rattachait à la vicomté de Breteuil dont un lieutenant tenait audience à Glos de dix en dix semaines pour la haute et basse justice. Les moines et leurs sujets avaient le droit, encore en 1472, d'y plaider en première instance, mais leurs appels étaient portés au siège de Breteuil puis à l'échiquier de Rouen. À partir de 1747, la vicomté de Breteuil eut son siège à Glos-la-Ferrière. Nous ne savons ce qu'il en advint par la suite[8].

Devises et dictons

« Bourg de L'Aigle, ville de Glos » (ancien)

Administration

Liste des maires successifs
Période Identité Parti Qualité
1876 1884 Désiré Georges Gastine - -
1884 1904 Marin Gastine - -
1904 1908 Emile Colette - -
1908 1911 Jules Guerin - -
1911 1919 Arsène Bertin - -
1919 1924 Félix Frimois - -
1924 1935 Emile Louveau - -
1935 1947 Joseph Goment - -
1947 1965 René Chevallier - -
1965 1983 André Boucher - -
1983 1986 Jacques Nicolas - -
avril 1986 juin 1995 Roger Moreau - -
juin 1995 mars 2001 Monique Jouvencel - -
mars 2001 mars 2008 René Laurendeau - Retraité (police et sécurité)
mars 2008 → en cours Paul Delmotte SE Retraité (transport de voyageurs)
Toutes les données ne sont pas encore connues.

Démographie

Évolution démographique
(Source : INSEE[9])
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004
554 525 540 556 567 521 558
Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes
2004 : Population provisoire (enquête annuelle).

Lieux et monuments

L'église

L'église du village mesure 45 mètres long ; une grandeur impressionante, étant donnée la taille du village. Cela s'explique par le fait que lorsqu'elle fut érigée, Glos-la-Ferrière était une ville importante. À tel point qu'il existait à l'origine deux églises.

Extérieur

Il y a un dénivelé de 3,5 mètres entre le niveau du terrain autour de l'église et celui sur lequel repose celle-ci. Traditionnellement, le cimetière se trouvait autour de l'église. Au cours des siècles, de la terre a été rapportée pour recouvrir les anciennes tombes et permettre de nouvelles sépultures, ce qui explique cette dénivellation. Les fondations de l'église sont certainement bien antérieures à l'édifice actuel, tel qu'il fut bâti aux XIe et XIIe siècles. Il est probable, en effet, qu'un lieu de culte chrétien existait là vers le VIe siècle et si des fouilles étaient faites, on trouverait certainement les bases de cet ensemble. Avant cette époque, le site était peut-être un lieu de culte des Romains puisqu'on sait qu'ils sont venus dans cette région, des tombes datant de cette époque ayant été trouvées. Les fenêtres percées dans la façade de l'église sont de la fin du XVIe siècle, mais on peut apercevoir dans la muraille de la façade sud des fenêtres obturées dont on distingue bien les contours et qui sont des XIe, XIIe, et XIIIe siècles. Il existe églament des contreforts sur la façade mais qui ne servent en fait qu'au décor. En effet, il n'y a pas de poussée latérale puisque la structure de la toiture en carène de bateau (typiquement normande) est posée sur le mur. On en déduit que l'église est beaucoup plus ancienne que les autres églises romanes que l'on peut voir dans la région. D'ailleurs, à l'extrémité est, côté chœur, le chevet est carré, alors qu'un peu plus tard l'abside des églises romanes sera arrondie. On aperçoit également dans la façade du chevet deux arrondis en brique qui sont tout simplement des oculi, qui se voient au début de l'époque romane. La façade de l'église est parsemée de centaines de clous dans les interstices des briques. Le travail du fer a été pendant près de 2 000 ans la richesse de la ville, et devant l'église une vingtaine de commerçants "les Ferrons", avaient un étal de clous et dans la façade du monument chacun exposait les modèles de sa production et espérait une protection divine. Dans la façade sud, on voit une porte qui n'est plus utilisée de nos jours. Autrefois, on entrait dans léglise non pas par l'extrémité ouest comme aujourd'hui mais par cette porte du sud qui était la porte de la lumière, et on sortait au nord par la petite porte des morts. Cet ensemble assez exceptionnel a été respecté et gardé intact au fil des siècles[10]. L'illumination nocturne dont bénéficie l'église permet de mettre en valeur ce patrimoine.

Intérieur

À l'intérieur se trouve la table de communion qui date de la fin de l'époque Louis XIII. Le lutrin est fait d'un aigle couronné. L'autel latéral gauche est surmonté d'un tableau rappelant l'importance accordé au rosaire et à l'ordre de saint Dominique. La statue en bois creux de ce dernier, ainsi que celle de sainte Catherine de Sienne entourent l'autel. Ces deux statues sont antérieures à la fin du XVIe siècle. Elles proviennent de la chapelle du château du Boële d'où elles ont été retirées avant démolition[11]. L'autel latéral de droite est surmonté d'un autre tableau dont l'enfant Jésus qui y figure représente en fait Louis XIV bébé, rappelant ici les œuvres du peintre Largillière. À gauche de ce tableau se trouve la statue de saint Jacques. Glos est en effet une ville étape d'une des routes de Saint-Jacques-de-Compostelle qui se trouve à 1 800 km de là. À droite se trouve saint Jean Baptiste accompagné d'un agneau symbolisant la douceur et la gentillesse. Devant le maître-autel se trouve un retable de la fin du XVIIe siècle. Au-dessus se trouve une statue de saint Agnan (le patron du village) qui fut évêque d'Orléans, et à ce titre, il a fait reculer Attila. Il faut aussi signaler la présence d'une statue en bois en très mauvais état représentant saint Thibault, le patron des lépreux. Elle séjourna fort longtemps dans la léproserie (la maladrerie) de Glos-la-Ferrière, où étaient isolés et soignés par des religieux, les gens qui avaient été en croisade et qui avaient rapporté la lèpre avec eux. Quant au baptistère, il s'agit d'une pièce rare à 8 pans, le 8 étant le chiffre de la perfection céleste. Le sacristie, qui se trouve derrière le chœur, date du XVIIIe siècle, fermée par deux portes Louis XV. Le lutrin est doté d'un aigle orné d'une couronne. Cet ornement rare signifie que les habitants de Glos n'avaient pas de "suzerain" et qu'ils étaient "Bourgeois" depuis environ l'an 1200[12]. Au niveau du sol de la voûte, il y a une énorme pierre rectangulaire qui bouche probablement l'entrée de la crypte. Il y avait là-dessous des sarcophages de plomb, qui ont disparus pour faire des balles pour les fusils de la bataille de Valmy notamment[13]. Il y a peut-être d'autres choses à y découvrir. Enfin, l'église possède un orgue réputé datant de la fin du XVIIIe siècle. Des concerts y sont encore donnés aujourd'hui.

Clocher

La construction du clocher débuta vers 1610. Il est constituté d'énormes poutres en chêne permettant au clocher de culminer à 45 mètres. Celles-ci sont ainsi à même de supporter le poids très important des cloches (3,5 à 4 tonnes). On peut se rendre compte de la taille des cloches en observant sur le sol carrelé de l'allée centrale, deux cercles tracés par l'oxyde de cuivre laissés là par elles quand elles y furent déposées à l'occasion de travaux importants. Les pieds de la voûte soutenant le clocher ne sont pas tous à la même hauteur. Ceci s'explique par le déplacement du clocher au XIIIe siècle, qui était auparavant devant l'église à l'emplacement de la rue d'aujourd'hui selon toute vraisemblance[13].

Personnalités liées à la commune

  • Paul Cornu (Glos-la-Ferrière 1881-Lisieux 1944), inventeur. Auteur du premier vol d'un hélicoptère avec pilote en novembre 1907. Un lycée de Lisieux porte son nom.
  • Marcel Piche (L'Aigle 1885- Glos-la-Ferrière 1973) photographe, violoniste de talent, marchand de cycles à Glos-la-Ferrière puis facteur. Il fut brancardier durant la totalité de la Première Guerre mondiale. Il réalisa de nombreuses cartes postales de la commune.
  • Lucien Lambert (né en 1932), scénariste. Il a participé notamment à l'écriture de la série Belphégor et de Mima. Les réalisateurs Claude Zidi et James Cameron ont été condamnés pour contrefaçon en juin 2004 par la cour d'appel de Paris, celle-ci ayant jugé que le film La Totale ! (de Zidi, 1991) et son remake américain True Lies (de Cameron, 1994), étaient inspirés d'un travail de Lucien Lambert, auteur d'un scénario similaire intitulé Émilie achevé en 1981.
  • Samuel Turpin (né en 1973), reporter photographe. Auteur de reportage notamment sur la crise humanitaire et le drame des enfants soldats au Congo ainsi que l'esclavage et exclusion au Laos.

Voir aussi

Notes et références

  1. Info-Glos n°9
  2. "Histoire locale" in Vivre à Glos, novembre/décembre 2003
  3. Monique Jouvencel "Histoire locale"in Vivre à Glos, juillet/août 2003
  4. Père Paul Wargny "Un peu d'Histoire in Info-Glos n°1
  5. "Histoire locale" in Vivre à Glos-la-Ferrière, novembre/décembre 2003
  6. a , b  et c Père Paul Wargny "Un peu d'Histoire"in Info-Glos n°2
  7. Bernard Gaume"Un peu d'Histoire" in Info-Glos, 2e semestre 2002 n°15
  8. "Histoire locale" in Vivre à Glos-la-Ferrière, janvier/février 2004
  9. Glos-la-Ferrière sur le site de l'Insee
  10. Père Wargny,Un peu d'Histoirein "Info-glos" n°13 2e semestre 2001
  11. Père Paul Wargny, Visite commentée de l'église de Glos-la-Ferrière in Info-Glos n°10
  12. Père Paul Wargny "Un peu d'Histoire" in Infos-Glos n°3
  13. a  et b "Un peu d'Histoire" in Info-Glos 1er semestre 2001 n°12

Liens externes

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