Famille d'Armagnac et de Rodez

Famille d'Armagnac et de Rodez

Maison d'Armagnac

Maison de grands féodaux.

L'histoire de la Maison d'Armagnac est l'une des plus riches de la noblesse française non seulement par ses personnalités mais plus encore par l'intérêt historique de ses liens avec la Maison royale de France. Au XVe siècle, avec la Maison de Bourgogne qui est alors la plus puissante et la plus illustre maison féodale du royaume de France, elle est l'une des familles françaises qui représente le mieux l'histoire des liens compliqués entre la haute féodalité et la souveraineté des Capétiens. Elle est décrite par des historiens, tel Barrau, comme fière, orgueilleuse, belliqueuse.


Jusqu'à la fin du XIIIe siècle, les Armagnac qui vivent sur leurs territoires gascons ne sont pas encore assez puissants pour jouer un rôle politique hors de leurs possessions. La Maison de Toulouse qui rayonnait sur le grand sud-ouest français est vaincue par le pouvoir capétien avec la croisade des albigeois, mais des dynasties locales s'affermissent comme la Maison de Foix, les comtes de Comminges, les Albret, etc. Autant de rivaux pour les Armagnac qui entrent en conflit avec les comtes de Foix pour l'héritage de la vicomté de Bigorre qui a échue à ces derniers. Ce conflit perdurera jusqu'au XIVe siècle avec Gaston III de Foix-Béarn qui s'opposera victorieusement aux prétentions des Armagnac sur cette province.

Au commencement du XIVe siècle, ils accédent au rang de grands féodaux avec l'héritage du comté de Rodez. Ce patrimoine s'ajoutant aux terres gasconnes de la famille, cela lui permet de tenir un rang de première importance au sein de la noblesse et de s'allier dès lors à la Maison royale de France.

Entre le XIVe et le XVe siècle, elle entre en possession d'autres territoires parmi lesquels, le Charolais, la Marche, le Pardiac, le comté de Castres, la terre de Nemours érigée en duché, le Carladez, etc. et s'allie avec de grandes maisons étrangères. Après avoir été attachée aux rois durant le XIVe siècle, elle cherche à s'émanciper (monnaie, titre Dei gracia) de la tutelle royale au XVe siècle et prend ainsi une part très active dans les dernières luttes de la féodalité en France. Le roi Louis XI brisera ses vélleités d'indépendance par la force et les Armagnac ne se relèveront jamais de leur défaite. Ils déclineront et s'éteindront au XVIe siècle non sans avoir jeté diverses branches.

Son représentant le plus connu est Bernard VII, comte d'Armagnac et de Rodez, connétable de France, chef du parti des Armagnacs opposés aux Bourguignons durant la guerre de Cent Ans.

La Maison d'Armagnac est issue du lignage des anciens ducs de Gascogne connus depuis le VIIIe siècle ou IXe siècle.


  1. Comtes d'Armagnac : d'argent au lion de gueules
  2. Comtes d'Armagnac et de Rodez : écartelé, aux 1 et 4 d'argent au lion de gueules, aux 2 et 3 de gueules au lion ou lion léopardé d'or
  3. Comtes de Pardiac et de la Marche, puis ducs de Nemours : écartelé, aux 1 et 4 d'argent au lion de gueules, aux 2 et 3 de gueules au lion ou lion léopardé d'or au lambel d'azur sur le tout

Sommaire

Histoire

Les origines

Le duc de Gascogne Garcia II Sanche le Courbé, mort en 920, partagea son duché entre ses trois fils :

  • Sanche († 955) eut le duché de Gascogne,
  • Guillaume († 960) reçut le comté de Fézensac,
  • Arnaud Ier reçut l'Astarac.

Le comté d'Armagnac

Guillaume, comte de Fézensac, détacha de ses terres le comté d'Armagnac, pour le donner à son fils cadet Bernard le Louche, qui fonda la première maison d'Armagnac. Le petit-fils de ce dernier, Bernard II Tumapaler, fut brièvement comte de Gascogne, qu'il tenait de sa mère, mais en fut dépossédé par son cousin Guy-Geoffroy Guillaume VIII, duc d'Aquitaine. En 1140 s'éteignit la branche aînée de Fézensac, au profit des comtes d'Armagnac, héritage qui amorça la puissance de la famille.

L'héritage du comté de Rodez

À la suite de l'acquisition par mariage du comté de Rodez entre la fin du XIIIe siècle et le début du XIVe siècle, les comtes Jean Ier et Jean II se rapprochèrent de la cour de France. Jean Ier mariant sa fille avec le duc de Berry, puis Bernard VII épousant une fille du duc de Berry, puis mariant sa fille à Charles d'Orléans. À la mort de Louis d'Orléans, il prit sa succession dans le conflit contre les Bourguignons, prenant la tête du parti qui devint celui des Armagnac. Pour accroître sa puissance, il déposséda les cadets de la famille, récupérant le Fézensaguet et le Pardiac, mais échouant avec le Comminges. Il mourut en 1418, laissant deux fils :

  • Jean IV, comte d'Armagnac et de Rodez,
  • Bernard, comte de Pardiac, auteur d'une branche cadette qui héritera par mariage de Nemours et de la Marche.

Les Armagnacs et les Bourguignons

De l'assassinat de Louis d'Orléans en 1407 au traité d'Arras en 1435, la maison d'Armagnac soutient les intérêts français contre les ducs de Bourgogne alliés aux anglais. Les Armagnacs se confondent avec l'intérêt national. Ils sont le bras armé de la France légitime.

La lutte des Armagnac contre le pouvoir capétien pour l'indépendance

Après avoir servi les capétiens durant le XIVe siècle et le début du XVème, les Armagnac cherchent ouvertement à s'émanciper. Ils tiennent pour acquis que leur rang avec le rôle qu'ils tiennent au sein du royaume de France leur donnent des droits supérieurs au reste de la noblesse. Ils s'érigent de plus en défenseurs des droits de la féodalité. Mais c'est sans compter sur la pugnacité du roi Louis XI ...

La défaite et la fin des Armagnac

À la fin du XVe siècle, le roi Louis XI détruit la puissance des Armagnac qui revendiquent alors des droits régaliens (battent monnaie, prennent la qualification de comtes par la grâce de Dieu, ...). En 1473, Jean V d'Armagnac est assiégé et tué à Lectoure par les troupes Françaises dirigées par le cardinal Jean Jouffroy archevêque d' Albi, qui massacrèrent le comte, parmi les premiers, devant sa femme, égorgèrent habitants et soldats, pillèrent et brûlèrent tout, et ne laissèrent en vie que la malheureuse comtesse Jeanne de Foix (fille du comte Gaston de Foix). Celle-ci, que Jean V avait épousée en 1468 fut dépouillée de ses bijoux et de ses joyaux et fut traînée dans le château de Buzet-sur-Tarn, devenu, pour la circonstance, prison d'État, bien qu'elle fût enceinte de sept mois, pour y être enfermée à côté du cadavre de son mari. Là, sur l'ordre de Louis XI, que les scrupules n’embarrassaient pas et qui cherchait, par surcroît, l'extinction de la Maison d'Armagnac, à la lueur des flammes, aux cris de cette soldatesque ivre de carnage, elle vit entrer le soir dans son cachot le sombre cardinal Jouffroy, qui, ne trouvant pas que les émotions de cette horrible journée fussent suffisantes, après une scène infâme que l’Histoire voile en rougissant des deux mains, donna l’ordre aux apothicaires et aux soldats qui l’accompagnaient, de contraindre l’infortunée Comtesse à absorber un breuvage pour détruire, après l’Armagnac mort, celui qui ne vivait pas encore ! Jeanne de Foix avorta d'une enfant mort-née en avril 1473. [non neutre]

D’autres disent que cette scène se passa au château de Castelnau. Tout couvert de sang et de honte, le cardinal marcha triomphalement sur Auch, où les chanoines mêmes furent obligés de payer rançon, et chargé des dépouilles de l’Armagnac, il se dirigea enfin vers le Roussillon. [non neutre]

Jeanne de Foix est morte après le 10 février 1476.

Jacques d' Armagnac, duc de Nemours, comte de Pardiac et de La Marche, vicomte de Carlat et de Murat, fils de Bernard d' Armagnac, comte de Pardiac et d' Éleonore de Bourbon duchesse de Nemours, cousin germain au 1er degré de Jean V d'Armagnac qui fut assassiné par les troupes françaises de Louis XI à Lectoure le 5 mars 1473, est exécuté en 1477 aux Halles à Paris pour conspiration contre la personne du roi.

Jacques d'Armagnac, duc de Nemours et Jean V d'Armagnac, comte d'Armagnac, tous deux objets de la mortelle vindicte du roi Louis XI de France contre la Maison d'Armagnac étaient deux des trois derniers petits-fils et héritiers mâles de Bernard VII, comte d'Armagnac, (décédé en 1418 marié en 1393) et de Bonne de Berry (1367-1435).

Le roi de France Louis XI, qui les fit mettre à mort, était leur cousin au 4° degré, puisqu'il avait Jean II Le Bon, de Valois, roi de France (1319-1364) et Bonne de Luxembourg (1315-1349) comme trisaïeux communs avec Jacques d'Armagnac, duc de Nemours et Jean V d'Armagnac, comte d'Armagnac, ainsi que bien d'autres aïeux.

Le seul rescapé mâle de la Maison d'Armagnac fut, semble-t-il, Charles Ier d'Armagnac qui ne dut sans doute la vie qu'au fait de ne pas avoir de descendants.

Charles Ier d'Armagnac était particulièrement incommode et le roi Louis XI le poursuivit de sa vindicte anti-Armagnac en le faisant enfermer treize longues années en prison, de 1472 à 1485 jusqu'au point de détruire sa santé mentale qui fut très affectée par la détention. Ayant cédé son comté à Alain d'Albret, il finit misérablement, aux mains des curateurs. Charles Ier d'Armagnac, comte d'Armagnac, vicomte de Fézensaguet, était né en 1425 et décéda sans postérité le 3 juin 1497 à Castelnau-de-Montmiral, à l'âge de 72 ans . Il s'était marié le 26 novembre 1468 à Castelnau-de-Médoc avec Catherine de Foix-Candale († 1510), fille de Jean de Foix, comte de Benauges et de Kendall, vicomte de Castillon et de Meilles Captal de Buch, (1410 - † 1485) et de Margaret Kerdeston de La Pole Suffolk (1426-1485).

Généalogie simplifiée

Nous attirons l'attention sur le fait que cette généalogie est tirée de la Foundation for Medieval Genealogy. Elle ne correspond pas aux travaux d'Hippolyte de Barrau, historien, auteur d'un ouvrage sur les anciennes familles de la province du Rouergue. Nous renvoyons ainsi les lecteurs à la Bibliographie ci-dessous présentée.


 
 
 
 
 
 
Garcia II le courbé
comte de Gascogne
(† 926)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Guillaume Garcès
comte de Fézensac
(† 960)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Odon
comte de Fézensac
(† 985)
 
Bernard Ier
le Louche

comte d'Armagnac
(† 995)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bernard-Odon
comte de Fézensac
(† 1020)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Géraud Ier
Trancaléon

comte d'Armagnac
(† 1020)
 
 
Arnaud Ier
vicomte de Lomagne
 
 
 
 
Aymeric Ier
comte de Fézensac
(† 1032)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Astanove Ier
comte de Fézensac
(† 1064)
 
Bernard II
Tumapaler

comte d'Armagnac
(† 1090)
 
 
Odon Ier
vicomte de Lomagne
(† 1085)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Aymeric II
comte de Fézensac
(† 1103)
 
Géraud II
comte d'Armagnac
(† 1103)
 
 
Odon II
vicomte de Lomagne
(† 1091)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Astanove II
comte de Fézensac
(† 1140)
 
Bernard III
comte d'Armagnac
(† 1110)
 
 
Vézian Ier
vicomte de Lomagne
(† 1137)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bernard III
comte de Bigorre
(† 1112)
 
Anicelle
comtesse de Fézensac
 
Géraud III
comte d'Armagnac
(† 1160)
 
 
Odon III
vicomte de Lomagne
(† 1178)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bernard IV
comte d'Armagnac
(† 1193)
 
Mascarose
 
Odon
seigneur
de Firmacon
 
Vezian II
vicomte de Lomagne
(† 1221)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Géraud IV
comte d'Armagnac
(† 1215)
 
 
 
Bernard Ier
vcte de Fézensaguet
(† 1202)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Roger
vicomte
de Fézensaguet
 
 
 
 
 
 
 
Géraud V
comte d'Armagnac
(† 1219)
 
 
 
Odon IV
vicomte de Lomagne
(† 1240)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Pierre Gérard
cte d'Armagnac
(† 1241)
 
Bernard V
cte d'Armagnac
(† 1243)
 
Mascarose Ire
ctesse d'Armagnac
(† 1255)
 
Arnaud Odon
cte d'Armagnac
(† 1265)
 
Escaronne
de Blaziert
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Géraud VI
cte d'Armagnac
(† 1285)
 
 
 
 
 
 
 
Eskivat de Chabanais
comte d'Armagnac
et de Bigorre
(† 1283)
 
Mascarose II
comte d'Armagnac
(† 1256)
 
Vezian III
vicomte de Lomagne
(† 1280)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Bernard VI
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1319)
 
 
 
 
 
 
 
Gaston
cte de Fézensaguet
(† 1326)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean Ier
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1373)
 
 
 
 
 
 
 
Géraud III
cte de Fézensaguet
(† 1339)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean II
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1384)
 
 
 
 
 
 
 
Jean Ier
cte de Fézensaguet
(† 1390)
 
Géraud IV
cte de Pardiac
et de Fézensaguet
(† 1401)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean III
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1391)
 
Bernard VII
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1418)
 
 
 
 
 
 
 
Jean II
cte de Pardiac
et de Fézensaguet
(† 1402)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean IV
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1450)
 
 
 
Bernard
cte de Pardiac
de la Marche
duc de Nemours
(† 1462)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean V
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1473)
 
Charles Ier
cte d'Armagnac
et de Rodez
(† 1497)
 
Jacques
cte de Pardiac
de la Marche
duc de Nemours
(† 1477)
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
Jean
comte de Pardiac
duc de Nemours
(† 1500)
 
Louis
cte de Pardiac et de Guise
duc de Nemours
(† 1503)

Filiation actuelle, débats

  • Au XXIe siècle, seule subsisterait la Maison d'Armagnac de Castanet. Cette famille, noble d'extraction, ne peut pas prouver son origine au sein de la Maison d'Armagnac (dont elle porte les armes écartelées Armagnac/Rodez à tort), mais elle est cependant présumée en être issue. Pour l'y rattacher, une hypothèse pourrait être une filiation issue de la branche d'Armagnac de Fésenzaguet au XIVe siècle, soit en filiation légitime[1], soit en filiation naturelle.

Cette filiation commence avec Pierre d'Armagnac, que l'on pense[réf. nécessaire] être le second fils de Jean d'Armagnac, vicomte de Fézensaguet et de Creyssel, et de Margueritte d'Euze (Duèze). L'aîné étant Géraud III d'Armagnac, volontairement noyé par Bernard VII d'Armagnac, en 1403 à Rodelle avec ses deux fils Jean et Arnaud-Guilhem, dans une citerne d'eau glacée. Pierre d'Armagnac a épousé avant 1377 Reale de Faudoas, dame de Castanet, qui lui donna au moins une fille Jeanne et une fils Arnaud, seigneur de Castanet et de La Bastide-Nantel, qui fait la souche de la famille de Castanet[2] établie au château de Cambayrac, près de Castanet, en Aveyron.

  • Il y a aussi des Armagnac en Béarn qui seraient aussi issus[réf. nécessaire] de la Maison d'Armagnac par une branche cadette et naturelle. A noter qu'au XVIIe siècle, l'un d'entre eux fut bayle du roi.

Notes et références

  1. La famille de Castanet, devenue au XVIIIe siècle d'Armagnac de Castanet, n'apparaît pas dans la généalogie de la Maison d'Armagnac qui figure dans l'ouvrage d'Hippolyte de Barrau sur les familles du Rouergue.
  2. Eugène Vasseur, Les nobles aïeux de trois seigneurs rouergats au XVIIème siècle.

Bibliographie

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