- Dominique Rocheteau
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Dominique Rocheteau Pas d'image ? Cliquez ici. Biographie Nationalité France Naissance 14 janvier 1955
à Étaules, FranceTaille 1,77 m Période pro. 1972-1990 Poste Avant-Centre
Ailier droitParcours junior Saisons Club ? La Rochelle ? Étaules Parcours professionnel * Saisons Club M. (B.) 1972-1980 AS Saint-Étienne 153 (51) 1980-1988 Paris SG 204 (100) 1988-1990 Toulouse FC 60 (11) Sélections en équipe nationale ** Années Équipe M. (B.) 1975-1986 France 49 (15) * Compétitions officielles nationales et internationales.
** Matchs officiels.
modifier Dominique Rocheteau est un ancien footballeur français né le 14 janvier 1955 à Étaules en Charente-Maritime. Il évoluait aux postes d'attaquant de pointe et d'ailier droit.
Sommaire
Biographie
Carrière de joueur
La carrière de Dominique Rocheteau est indissociable de Saint-Étienne, qui est dans les années 1970 l'équipe la plus populaire de l'hexagone. Arrivé dans le Forez à l'âge de 17 ans, il ne peut prendre vraiment part aux magnifiques doublés coupe-championnat de 1974 et 1975, ne jouant que quelques matchs à cause de multiples blessures. Enfin remis, il explose littéralement l'année suivante au sein du dispositif en 4-3-3 mis en place par l'entraîneur Robert Herbin. Il devient rapidement l'une des coqueluches du public, en particulier des supportrices. Ses dribbles élégants et ravageurs sur l'aile droite conjugués à sa longue chevelure bouclée, lui valent rapidement le surnom (qu'il déteste) d’Ange Vert attribué par le rédacteur en chef du magazine Onze, Jean-Pierre Frimbois.
L'ange vert en action
En 1976, Rocheteau passe proche de l'exploit. Après un premier match de légende à Glasgow, ou il inscrit un but et fait une passe décisive pour Hervé Revelli, il va participer à l'un des plus beaux retournement de situation de l'histoire du foot français. Opposée à l'un des grands favoris de la Coupe d'Europe des clubs champions 1976, le Dynamo de Kiev, emmené par le ballon d'or Oleg Blokhine, Saint-Étienne est nettement battu, 2 à 0, au match aller. Le match retour est homérique. Alors que la première mi-temps s'est achevée sur le score de 0 à 0, Blokhine est à deux doigts d'ouvrir le score, mais se fait prendre le ballon au dernier moment. Sur le contre, Saint-Etienne ouvre la marque par Hervé Revelli, puis égalise six minutes plus tard, sur coup-franc, par Jean-Michel Larqué. Kiev, qui avait pris le contrôle du match, est sonné. Durant la prolongation, Dominique Rocheteau, blessé à la cuisse et épuisé, parvient à reprendre in extremis un centre de Patrick Revelli et marque le but de la victoire.
Le club français élimine le PSV Eindhoven au tour suivant, grâce notamment à une prestation exceptionnelle du gardien Yvan Curkovic au match retour après la victoire (1-0) au match aller sur un coup-franc obtenu par Rocheteau et transformé par Jean-Michel Larqué, et atteint la finale contre le Bayern Munich de Beckenbauer, tenant du titre, qui l'avait éliminée l'année précédente en demi-finale. Blessé durant la seconde mi-temps du match contre le PSV, Rocheteau ne jouera malheureusement que les sept dernières minutes de cette rencontre. Dominatrice, l'équipe stéphanoise se fera surprendre contre le cours du jeu sur un coup franc tiré avant le coup de sifflet de l'arbitre. Elle ne pourra refaire son retard, malgré de multiples occasions dont deux tirs sur le poteau et un sur la barre transversale du gardien allemand Sepp maier, auteur d'une remarquable partie. Cette année, Saint-Étienne remporte néanmoins son troisième titre de champion de France de rang, avant de conquérir, l'année suivante, la coupe de France face à Reims.
À partir de 1978, l'AS Saint-Étienne, gavée de succès durant tant d'années, opére un changement radical de politique. Le vivier formé par le centre de formation du club est de plus en plus délaissé au profit d'un recrutement onéreux de stars comme Zimako, Lacombe, Platini, Rep, Battiston. Saint-Étienne amorce alors son lent déclin. Après une très bonne saison 1978-1979 durant laquelle il marquera 21 buts et adressera 12 passes décisives, Rocheteau vivra un exercice 1979 - 1980 plus difficile. Malgré un bon départ (meilleur buteur du club après 15 journées) il se blesse gravement en Championnat de France contre Angers. Éloigné de longues semaines des terrains, son absence coïncide avec une période euphorique de l'ASSE (élimination du PSV Eindhoven en coupe de l'UEFA après un match retour historique) et à contrario son retour avec un passage à vide des Verts dans la saison. St-Étienne se fait alors éliminer de la Coupe de l'UEFA par Moenchengladbach puis de la Coupe de France par l'équipe de Montpellier alors en seconde division. Lors de ses deux confrontations, Dominique Rocheteau manquera des buts qui auraient peut-être changé la tournure des événements et certains au club ne manquent pas de lui en faire la remarque. Bien qu'il garde la confiance de Robert Herbin, Rocheteau sent une réserve à son égard au sein de la direction du club et préfère partir au Paris Saint-Germain qui lui propose de plus de quitter son aile droite pour un poste d'avant-centre. Lui qui se sentait bloqué dans son rôle d'ailier voit là l'occasion de donner un tournant à sa carrière.
Paris Saint-Germain, un nouveau départ
En 1980, Rocheteau quitte l'AS Saint-Étienne et son poste d'ailier droit pour rejoindre le jeune club du Paris Saint-Germain, où il retrouve la position fétiche de sa prime jeunesse, celle d'avant-centre, qu'il avait dû céder à Hervé Revelli, puis à Jonnhy Rep, chez les verts. Mais son style reste très atypique. Très mobile, peu enclin à jouer dos au but ou en pivot, Rocheteau préfère user de son arme la plus efficace, le dribble, pour semer la panique dans les défenses adverses. Bon passeur, il ne se montre cependant pas trop individualiste (parfois même pas assez).
Le PSG a beau être ambitieux, il obtient des résultats irréguliers. Rocheteau lui-même accusera plusieurs baisses de forme dues à de fréquentes blessures (il n'est guère épargné par les défenseurs) et à une certaine fragilité psychologique. Avec son nouveau club, il remporte néanmoins plusieurs titres. Il gagne la Coupes de France en 1982 après une finale épique disputée face à Saint-Étienne, alors emmené par Michel Platini, qui joue là son dernier match pour un club français. Le PSG l'emporte 6 à 5 aux tirs aux buts après un match nul 2 buts partout, Rocheteau inscrivant un but pour Paris, Platini deux buts pour les verts. En 1983, Paris conserve son titre en l'emportant face au nouveau champion de France, Nantes (victoire 3 à 2).
Dominique Rocheteau acquiert également un dernier titre de champion de France en 1986 (le premier pour le club parisien), après une première partie de saison hallucinante (plus de vingt match d'affilé sans défaite), sous la direction de Gérard Houllier. Cette année-là, il sera même vice roi des buteurs du championnat, avec 19 buts, derrière le goleador de Metz, Jules Bocandé, qui deviendra deux mois plus tard son coéquipier. Avec Paris, Rocheteau atteint également la finale de la coupe de France en 1985 (défaite 1 à 0 face à Monaco), et dispute un quart de finales de coupe d'Europe.
L'ange plane aussi en bleu
Rocheteau est certainement le joueur français qui a été sélectionné le plus rapidement en équipe de France. Après une démonstration en match de préparation à la saison 1975-1976 contre Leeds (il entre en seconde mi-temps et renverse à lui tout seul la situation en marquant deux buts), le sélectionneur des bleus Stefan Kovacs présent ce jour-là au stade Geoffroy Guichard lui lance comme une boutade : « On se voit en sélection, hein petit ? ». Mais quelques jours plus tard, associé à Emon et Molitor en attaque et servi par son coéquipier Larqué, il joue son premier match amical en bleu face au Réal de Madrid et y inscrit encore deux buts. Malgré l'apport du jeune prodige, l'équipe de France, déjà mal engagée dans les qualification de l'euro 1976 se fait finalement éliminer par la Belgique et la R.D.A. La donne change avec l'arrivée de Michel Hidalgo. Les Bleus vont connaître un vrai renouveau grâce à l'arrivée de cet entraîneur atypique, Michel Hidalgo et à celle d'une exceptionnelle génération de joueurs, emmenée par Michel Platini. L'attaquant stéphanois participe ainsi activement à la Coupe du monde de football 1978 disputée en Argentine, après avoir inscrit le premier but du France-Bulgarie (3-1) décisif pour la qualification. Cette compétition est l'occasion pour Rocheteau d'afficher une véritable conscience politique, chose plutôt rare dans le milieu du football, en exprimant ouvertement ses réticences quant au fait de disputer une compétition sportive dans un pays alors sous le joug d'une dictature militaire. Conscience qu'il saura mettre un temps sous le boisseau quand il s'agira de jouer dans les dictatures du bloc communiste...
Parallèlement, au sein d'une équipe de France arrivée à maturité, il dispute deux nouvelles Coupe du monde. En 1982, évincé des titulaires après un très mauvais match initial face à l'Angleterre (défaite 3 à 1), il remplace Bernard Lacombe, blessé, face à l'Autriche, lors du premier match du second tour, pour lequel les bleus se sont qualifiés in extremis, grâce à un sauvetage sur sa ligne à la dernière minute de manuel Amoros face à la Tchécoslovaquie. A peine entré en jeu, Rocheteau obtient le coup franc victorieux tiré par Genghini, la doublure de Platini. Il ne lâchera plus le poste. Il prendra donc part, en demi-finale, au terrible France-Allemagne de Séville, quelques jours après un magnifique doublé marqué contre l'Irlande du Nord. Son tir au but réussi, après la prolongation, n'empêchera pas les Allemands de l'emporter, après que Maxime Bossis et Didier Six auront échoué sur le gardien Harald Shumacher.
En 1986, au Mexique, il dispute peut-être son plus beau mondial. Bien que légèrement blessé avant le match du Canada et laissé au repos lors du second contre l'U.R.S.S. pour se soigner, il entre à nouveau en jeu lors du troisième match contre la Hongrie. Il marque un but et fait une passe décisive. Qualifiée pour les huitièmes, la France domine ensuite copieusement le champion du monde italien, l'emportant 2 à 0 sur un rythme effréné, Rocheteau réussissant deux nouvelles passes décisives pour Platini et Stopyra. Il en réussira une dernière pour Platini, portant son total à quatre, ce qui fait de lui l'un des meilleurs passeurs de la compétition, lors de la rencontre d'anthologie qui oppose en quarts de finales les artistes français au Brésil de Zico, Socrates et Careca, qui comptent parmi les meilleurs techniciens de la planète. Cette rencontre exceptionnelle (qualifiée de plus beau match de l'histoire du football par Pelé lui-même) s'achèvera aux pénaltys par une victoire française, après des retournements de situation incroyables.
Blessé durant cette rencontre et remplacé par Bruno Bellone, il ne pourra malheureusement pas participer à la demi-finale face à l'Allemagne. Il verra ses coéquipiers, épuisés par le quart de finale d'anthologie disputé face au Brésil, perdre 2 buts à 0. Rocheteau ne prendra pas part au match pour la troisième place (remporté par la France 4 à 2 face à la surprenante Belgique), et mettra, à l'issue de la compétition, un terme à sa carrière internationale.
Entre les deux, il remporte l'Euro 1984 disputé en France. Cette compétition lui laissera un arrière-goût amer, puisqu'il ne prendra part qu'à deux rencontres, Michel Hidalgo lui préférant Bernard Lacombe et hésitant à associer les deux hommes à la pointe de l'attaque. remplaçant lors du premier match face au Danemark (1 à 0), il entre en cours de jeu face à la Belgique (5 à 0). Mais lors du match suivant, face à la Yougoslavie, Dominique Rocheteau, positionné en pivot dans un rôle qu'il déteste, peine et finit par être remplacé par Thierry Tusseau. Il ne reviendra plus sur le terrain de la compétition et verra ses coéquipiers l'emporter en demi face au Portugal (3 à 2) puis en finale face à l'Espagne (2 à 0).
Un an plus tard, en revanche, ses prestations avec Paris lui assurent une place de titulaire lors de la finale de la coupe intercontinentale disputée en 1985 contre l'Uruguay d'Enzo Francescoli. Il marque l'un des deux buts de la brillante victoire française, l'autre étant inscrit par José Touré, avec lequel il forme un duo d'attaque prometteur, qui sera brisé quelques mois plus tard, le jeune attaquant nantais ayant été grièvement blessé lors du quart de finale de coupe de l'UEFA face à l'Inter de Milan.
Fin de carrière à Toulouse
Après une dernière saison délicate avec le PSG, dont il devient néanmoins le meilleur buteur de l'histoire avec cent réalisations (il ne sera dépassé que par Pauleta bien des années plus tard), Rocheteau, désireux de s'éloigner de la pression médiatique de la capitale, rejoint en 1987 les rangs du Toulouse Football Club. Il y retrouve son ancien coéquipier stéphanois Jacques Santini, devenu entraîneur, et Yannick Stopyra, avec lequel il avait formé un duo redoutable lors de la coupe du monde 1986. Il y effectuera deux saisons mitigées, et deux dernières participations à la coupe d'Europe.
Usé par dix-sept ans de professionnalisme, au cours desquels il aura été souvent la cible préférée de rugueux défenseurs, il raccroche définitivement les crampons après une ultime rencontre contre le Racing Club de Paris, au sein duquel son ancien coéquipier de l'équipe de France, Maxime Bossis, semble jouer lui, coïncidence, aussi son dernier match de professionnel (en fait, Bossis sortira de sa retraite deux ans plus tard pour jouer une saison avec son club formateur de Nantes). Rocheteau termine sa carrière avec seulement trois cartons jaunes à son palmarès : un avec Saint-Étienne en Coupe d'Europe contre le C.S.K.A. Sofia et deux avec l'équipe de France (contre la Hollande lors des éliminatoires du Mondial 1982 et le dernier contre la Hongrie en coupe du Monde 1986).
Reconversion
Pendant quelques numéros, Dominique Rocheteau, alors qu'il joue encore, livrera des chroniques au mensuel de football Onze. Papiers au contenu plutôt personnel, où il parlera de ses passions, évoquant notamment ses liens avec la musique...
Reconverti un temps dans la fonction d'agent de joueur, il arrêtera suite à des problèmes avec David Ginola. Il est actuellement Président de la Commission d'éthique de la FFF.
Dominique Rocheteau s'est également un temps laissé tenter par le cinéma. On a pu ainsi le voir tenir un rôle important dans le film Le Garçu de Maurice Pialat, où il partageait notamment l'affiche avec Gérard Depardieu. Il apparaît également dans le film Casablanca Driver où il joue son propre rôle. Il a aussi fait publier son ouvrage On m'appelait l'ange vert…, aux éditions Le cherche midi, en avril 2005.
Dominique Rocheteau a créé le centre de stages de football Footatlantic, où il y encadre des jeunes de 8 à 16 ans à Pâques et l'été. Il leur inculque la pratique du football et ses valeurs essentielles, pour les faire progresser sur le terrain mais aussi en dehors. On peut le rencontrer tous les mercredis matin sur la plage de Vallières (St Georges de Didonne) durant les vacances d'été.
Le 29 juin 2010 il est nommé vice-président du conseil de surveillance de l'AS Saint-Etienne.
Clubs
- Étaules Charente-Maritime
- ES La Rochelle
- 1972-80 : AS Saint-Étienne
- 1980-87 : Paris SG
- 1987-89 : Toulouse FC
Statistiques détaillées
Saison Club Division Championnat Coupe d'Europe Équipe de France 1972 - 1973 AS Saint-Étienne 1 2 matchs - - 1973 - 1974 AS Saint-Étienne 1 4 matchs - - 1974 - 1975 AS Saint-Étienne 1 4 matchs - - 1975 - 1976 AS Saint-Étienne 1 22 matchs / 11 buts 8 matchs / 3 buts (C1) 3 matchs 1976 - 1977 AS Saint-Étienne 1 27 matchs / 3 buts 6 matchs (C1) 4 matchs / 1 but 1977 - 1978 AS Saint-Étienne 1 26 matchs / 5 buts 2 matchs (C2) 5 matchs / 2 buts 1978 - 1979 AS Saint-Étienne 1 37 matchs / 21 buts - 3 matchs 1979 - 1980 AS Saint-Étienne 1 31 matchs / 11 buts 5 matchs (C3) 1 match 1980 - 1981 Paris SG 1 37 matchs / 16 buts - 4 matchs 1981 - 1982 Paris SG 1 22 matchs / 10 buts - 8 matchs / 3 buts 1982 - 1983 Paris SG 1 26 matchs / 11 buts 3 matchs (C2) 3 matchs / 2 buts 1983 - 1984 Paris SG 1 30 matchs / 9 buts 3 matchs (C2) 8 matchs / 2 buts 1984 - 1985 Paris SG 1 31 matchs / 15 buts 3 matchs / 3 buts (C3) - 1985 - 1986 Paris SG 1 35 matchs / 19 buts - 10 matchs / 5 buts 1986 - 1987 Paris SG 1 23 matchs / 3 buts 2 matchs (C1) - 1987 - 1988 Toulouse FC 1 26 matchs / 4 buts 4 matchs / 2 buts (C3) - 1988 - 1989 Toulouse FC 1 34 matchs / 7 buts - - Palmarès
- 1 sélection (et 1 but) dans l'équipe FIFA, en 1984 face au Cosmos de New York en compagnie de Beckenbauer, Keegan, Kempes, Magath, etc. pour la lutte contre le cancer
- 1 sélection dans l'équipe FIFA, en 1986 face aux Amériques, pour l'UNICEF
Équipe de France
- 49 sélections et 15 buts en équipe de France A entre 1975 et 1986.
- Vainqueur de l'Euro 1984 avec l'équipe de France A.
- Vainqueur de la Coupe Intercontinentale 1985 avec l'équipe de France A [1 but en finale].
- Demi-finaliste des Coupes du monde 1982 et 1986 - France A.
- Finaliste des Jeux Méditerranéens en 1975 (amateurs).
Clubs
- Finaliste de la Coupe d'Europe des Clubs Champions 1976 avec St-Étienne.
- 418 matchs de championnat disputés (145 buts).
- Champion de France 1974, 1975 et 1976 avec St-Étienne
- Champion de France 1986 avec le PSG
- Vainqueur de la Coupe de France 1977 avec St-Étienne
- Vainqueur de la Coupe de France 1982 et 1983 avec le PSG
- (Divers saisonnier: tournoi international de Paris (1981, 1984 et 1986 - PSG), et international de Troyes (1980 - PSG).)
Distinctions personnelles
- Onze de bronze : 1976.
- Quatrième meilleur buteur du championnat de France 1979 avec 21 buts.
- Second meilleur buteur du championnat de France 1986 avec 19 buts.
- Il est resté recordman pendant 20 ans (1988-2008) du nombre de buts marqués dans l'histoire du Paris Saint-Germain (100 buts), avant d'être dépassé par Pedro Pauleta.
- Deuxième meilleur passeur derrière Diego Maradona de la Coupe du Monde 1986 avec 4 passes décisives.
- Chevalier de l'ordre national du Mérite (29 avril 1985)
- Il dernier joueur a avoir inscrit un triplé en equipe de France le 30 octobre 1985
Bibliographie
- Georges Dirand & Pierre Joly, Rocheteau, Calmann-Lévy, 1976.
- Christian Deville-Cavelin, Dominique Rocheteau, PAC, 1984.
- Gérard Le Scour, Football raconté par Dominique Rocheteau, Hatier & Rageot, 1986.
- Dominique Rocheteau & Christophe Quillien, On m'appelait l'Ange Vert, le Cherche-Midi, 2005.
- Patrice Burchkalter, Le Rocheteau, Jacob Duvernet éditions, Collection Album Miroir, 2010.
Liens externes
- Statistiques de Dominique Rocheteau sur footballdatabase.eu
- Fiche et parcours de Dominique Rocheteau sur www.anciensverts.com
- Fiche de Dominique Rocheteau sur le site de la FFF
- Biographie de Dominique Rocheteau sur afterfoot.fr
- Site personnel de Dominique Rocheteau
Catégories :- Footballeur international français
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