Cotation (escalade)

Cotation (escalade)
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On associe généralement une cotation à une voie d'escalade. Les cotations tentent d'estimer différents aspects de la voie, l'aspect le plus important étant la difficulté.

Sommaire

Historique

L'idée d'une cotation apparaît au sein du Groupe de Haute Montagne (GHM) au début des années 1920, en même temps que se développe l'alpinisme sans guide, et la rédaction de topos[1]. La première cotation en escalade a été proposée par l'alpiniste allemand Willo Welzenbach en 1925. Il introduit une échelle de six degrés de difficulté allant du « facile » à « l'extrêmement difficile », le premier degré étant celui où apparaît la nécessité d'utiliser les mains, et le sixième la limite des possibilités humaines. Définie au départ pour les escalades calcaire des Alpes orientales, elle sera adaptée aux alpes occidentales par le français Lucien Devies en 1935 en la limitant « aux seules escalades purement rocheuses supposées en bonnes conditions »[2]. Cette idée soulèvera une controverse, la « querelle des degrés », les tenants d'un « excursionnisme cultivé » (notamment Étienne Bruhl) accusant ceux de l'« élitisme technique » de vouloir mettre la montagne en chiffres, et sous couvert de classer les escalades de hiérarchiser les alpinistes.

Devies a finalement gain de cause, et une commission du GHM, composée de lui-même, Pierre Allain, Armand Charlet, Édouard Frendo, Robert Jonquière et Maurice Laloue, entérine en 1935 l'introduction avec quelques modifications dans les termes, de l'échelle de Welzenbach pour les Alpes occidentales[3]. Elle est appliquée de façon systématique dans le topoguide des ascensions du massif du Mont-Blanc, le guide Vallot de 1946.

Mais dès 1946, René Ferlet propose d'adopter les 7ème et 8ème degrés[4], et en 1947 Pierre Allain soutenu par Lucien Devies propose d'ouvrir la cotation au-delà du sixième degré, en rajoutant une lettre, VIa, VIb et VIc remplaçant les anciens VI-, VI et VI+[5]...

À la fin des années 1970, l'UIAA entérine l'apparition du septième degré, tant pour les passages (en rajoutant le VII), que pour les voies, en rajoutant le degré Extrêmement difficile (EX), aussi parfois appelé Abominablement difficile (ABO)[6].

Escalade artificielle

L’escalade artificielle consiste à progresser en s'aidant de points que l'on place dans différentes faiblesses (trous, fissures...) du rocher. Elle utilise les cotations A0 à A6 suivant la raideur, la fiabilité des points, l'exposition et l'expérience générale nécessaire :

  • A0, tous les points sont en place et résistent à une chute. Si vous rencontrez dans une voie de plusieurs longueurs une section A0, c’est généralement une longueur dite « tire clou », qui vous aide à franchir une section difficilement réalisable en libre ;
  • A1, le grimpeur équipe lui-même la voie ou une partie de celle-ci, les points résistent à la chute. Le matériel utilisé est composé de pitons, de coinceurs, de friends, de coins de bois.
  • A2 : La cordée équipe la totalité de la voie. La majorité des points résistent à une chute. Certains passages sont plus techniques et les passages délicats correspondent entre 5 et 10 points successifs.
  • A3 : Les passages techniques sont plus longs et peuvent être réalisés sur crochets. Néanmoins des points bétons du type spits ou pitons scellés sont en place entre les passages techniques. La chute potentielle peut atteindre entre 20 et 25 mètres.
  • A4 : Très longues sections techniques, les points de progression (à opposer aux points d’assurage) peuvent avoir 10 mètres d'écart. La progression devient plus lente. Une longueur peut demander plusieurs heures. Des points solides entrecoupent ces sections très délicates. La chute potentielle peut atteindre les 50 mètres.
  • A5 : Extrême, tous les points sont des points de progression et pas des points d’assurage. La chute est interdite. L’ascension d’une longueur peut devenir interminable, de plusieurs heures à la journée.
  • A6 : Par définition, les points ne résistent qu’au poids du grimpeur. Les points et même les relais ne résistent pas à un vol. La chute est donc strictement interdite.

Escalade libre

Plusieurs systèmes de cotations existent pour l'escalade libre.

La cotation française

La cotation française utilise un chiffre auquel est accolé une lettre (a, b ou c) et parfois un +. Ce système est un système ouvert, c'est-à-dire qu'il peut-être étendu si des voies plus difficiles que toutes celles qui existent sont ouvertes. Actuellement, les niveaux extrêmes d'escalade atteignent le 9a+ voire 9b. La cotation 1 correspond à un sentier escarpé tandis que la cotation 2 correspond à une progression utilisant les mains pour s'équilibrer. Les débutants en escalade progressent généralement dans le 4. Sans pratique régulière de l'escalade, il est difficile de franchir le 6a.

Ce système de cotation est l'héritier du système Welzenbach, proposé en 1924. Il s'agissait d'un système fermé, comportant 6 degrés marqués en chiffres romains et suivis d'un + ou d'un moins. L'évolution du niveau de performance des grimpeurs, à partir des années 1970, fit apparaître la nécessité d'ouvrir l'échelle de cotation. Le premier 7a a été réalisé en 1970, les premiers 8a en 1983 en France et le premier 9a en 1991[7] (Action directe par Wolfgang Güllich). Cet héritage explique que l'on peut trouver des cotations de type IV- ou IV+, ce qui est équivalent respectivement à 4a et 4c. A ce jour, la cotation la plus extrême jamais confirmée est 9b pour les voies Golpe de Estado de Chris Sharma et Chilam Balam de Bernabé Fernandez, toutes les 2 répétées par Adam Ondra.

Le système Ewbank

Le système Ewbank, utilisé en Australie et en Nouvelle-Zélande, fut développé dans le milieu des années 1960 par John Ewbank. Le système numérique Ewbank est ouvert. Il va de 1(équivalent à 1 dans le système yosémitique) à 34 actuellement.

Le système Ewbank était initialement prévu pour coter le mouvement le plus difficile de la voie, la pratique courante est de tenir compte de tous les facteurs. Les cotations dans les topos australiens et néo-zélandais ne distinguent pas les différents types de difficultés - difficulté technique ou physique, exposition, protections en place - et cotent les voies dans leur difficulté d'ensemble. Ainsi, une escalade physique et peu protégée, mais techniquement facile sans aucun mouvement ne dépassant la difficulté 14 peut être coté 17 et une voie très bien protégée et offrant de bons repos avec des mouvements de difficulté 19 ou 20 peut également être cotée 17. Le facteur commun est le niveau de compétence pour s'engager sans danger dans la voie.

Yosemite Decimal System : YDS

Le Yosemite Decimal System est un système alphanumérique de cotation de la difficulté des marches randonnées et escalade, essentiellement utilisé en alpinisme aux États-Unis.

Ce système de cotation fut d'abord développé en tant que « Sierra Club Grading System » (Système de cotation du Sierra Club) dans les années 1930 afin de coter les courses de montagne en Sierra Nevada. Auparavant, les courses de montagne étaient décrites relativement aux autres (« plus difficile que X, mais plus facile que Y »), mais il était difficile pour ceux qui n'avaient pas parcourus ces voies de comprendre la comparaison, donc le système de cotation avait pour but de codifier ceci en une échelle unique.

Actuellement, le système divise les voies en cinq classes [8]

  • classe 1 : randonnée
  • classe 2 : possible usage des mains pour l'équilibre.
  • classe 3 : escalade facile et peu exposée. Une corde est parfois utilisée.
  • classe 4 : escalade facile, exposée, une corde est souvent utilisée.
  • classe 5 : escalade libre technique.

Les cotations anglaises

Le système de cotation anglais est composé de deux parties : une correspondant à l'engagement (the adjectival grade) et l'autre à la difficulté technique (the technical grade), les deux progressant ensemble en général.

Pour bien saisir cette cotation, il faut savoir que l'escalade y est pratiquée d'une façon très différente de se qui se fait en France ou aux États-Unis. En effet, le « clean climbing » (escalade propre) est l'éthique dominante ; ce qui veut dire que l'usage des pitons, goujons et autres scellements est très réduit. La plupart des voies sont protégées à l'aide de coinceurs.

La première cotation (the adjectival grade) a pour but de mesurer la difficulté générale de la voie. Il prend en compte des facteurs tels que l'exposition, la difficulté à protéger la voie, la qualité du rocher, la longueur de la voie, la position du crux.

L'échelle de cotation est la suivante :

  1. Easy (quelquefois abrégé par E mais il y a risque de confusion avec Extremely Severe)
  2. Moderate (M)
  3. Difficult (D, ou 'Diff')
  4. Very Difficult (VD, ou 'VDiff')
  5. Severe (S)
  6. Hard Severe (HS)
  7. Very Severe (VS)
  8. Hard Very Severe (HVS)
  9. Extremely Severe (E) : cette cotation E est ouverte et s'étend actuellement de E1 à E11. Les cotations au-dessus de E8 étant considérées comme des propositions au regard du très faible nombre de personnes ayant gravi ces voies.

On peut trouver dans certaines régions ou topos des cotations intermédiaires telles que « Mild Very Severe » (plus facile que VS), « Mild Severe », « Hard Very Difficult » (plus difficile que VD), « Hard Difficult ».

La cotation technique a pour but de coter le pas le plus difficile de la voie, sans tenir compte des conséquences d'une éventuelle chute. Cette cotation technique utilise un chiffre auquel est accolée une lettre (a, b ou c). On trouve rarement des voies en dessous de 4a.

Habituellement, les deux cotations augmentent en même temps. Cependant, un mouvement très difficile près du sol n'augmente pas la cotation correspondant à l'engagement. VS 4c est une cotation habituelle. VS 4a indique une voie très mal protégée (mais techniquement facile) et VS 5b, une voie où le crux est le premier mouvement ou une voie très bien protégée. Pour les voies en plusieurs longueurs, il est courant de donner la cotation correspondant à l'engagement pour l'ensemble de la voie et une cotation technique pour chaque longueur.

Les cotations UIAA

Le système de cotation UIAA est une tentative malheureuse de standardisation internationale. Il est utilisé principalement en Allemagne de l'ouest et en Autriche. L'échelle utilise un nombre suivi d'un + ou d'un - et s'étend actuellement de 1 à 12-.

Table de comparaison

Cotation en escalade libre[9],[10],[11],[12],[13],[14]
UUIA Drapeau : États-Unis ÉU Drapeau : France Fr Drapeau : Autriche Au Drapeau : Royaume-Uni RU Drapeau : République tchèque Tch Drapeau : Norvège Nor Drapeau : Suède Su Drapeau : Brésil Bre Drapeau : Afrique du Sud AdS
1 5.2 1 10 Easy I Isup 8
2 5.3 2 11 M II II 9
3 5.4 3 12 D III IIsup 10
4 5.5 4 HVD IV III 11
13 12
5- 5.6 MS V IIIsup
5a 13
5 5.7 14 4a S VI 5- 5- IV
5+ 5b 15 4b VS 5 5 14
5.8 VIIa IVsup
6- 5c 16 4c HVS 5+ 5+ 15
5.9 17 5a E1 VIIb V
6 6a 6- 6- 16
18 17
6+ 5.10a 6a+ 5b VIIc Vsup
19 6 6 18
5.10b VI
7- 20 5c E2 19
5.10c 6b VIIIa 6+ 6+
7 5.10d 21 VIIIb VIsup 20
5.11a 6b+ VIIIc 7- VIIa 21
7+ 6c 22
6a 7- 22
5.11b 6c+ E3
8- 23
5.11c IXa 7 VIIb
23 24
8 5.11d 7a E4 IXb 7 VIIc
6b 7+ 25
5.12a 7a+ 24 IXc VIIIa
8+ 7+ 26
5.12b 7b E5 8- VIIIb
25
9- 5.12c 7b+ Xa VIIIc 27
8 8-
26 6c
9 5.12d 7c 27 Xb IXa 28
8
5.13a 7c+ E6 Xc IXb 29
28 8+
9+ 5.13b 8a 7a IXc 30
29
E7 9- 8+
10- 5.13c 8a+ 30 XIa Xa 31
10 5.13d 8b 31 9- Xb 32
9
5.14a 8b+ 7b XIb Xc 33
10+ 32 E8 9
5.14b 8c 33 9+ XIa 34
11-
5.14c 8c+ 34 E9 XIc 9+ 35
11 5.14d 9a 35 36
E10
11+ 5.15a 9a+ 36 37
5.15b 9b 37 E11
5.15c 9b+

Bloc

Il existe trois systèmes de cotations pour l'escalade en bloc, la cotation française de Fontainebleau ou cotation de Bleau, la cotation américaine ou cotation Hueco et la cotation anglaise. Des sites de bloc, tels qu'à Annot en France ou au Peak District en Angleterre, ont choisi un système de cotation n'utilisant pas les mêmes références qu'en escalade libre, afin de réduire les confusions entre ces deux styles d'escalade très différents. Les blocs sont cotés de B1 (bloc niveau 1) à B12 (bloc niveau 12). Quand il existe des circuits la couleur des flèches peintes sur le rocher définit la difficulté globale du circuit, qui peut être augmentée d’un + ou diminuée d’un -. La progression entre ces niveaux est plus linéaire qu'en falaise.

La cotation Bleau

La cotation pour l'escalade en bloc en France est issue de Fontainebleau. Elle est appelée cotation de Bleau, et est en général le même qu'en escalade libre. Il faut cependant nuancer car la hauteur du bloc ou la réception en cas de chute peut influencer la cotation, et les cotations en bloc sont généralement plus sèches qu’en falaise, c'est-à-dire qu'a cotation égale, une voie en bloc sera plus difficile qu'une en falaise. Elle va de 1 à 8 suivi de la lettre A, B ou C et parfois d'un +. Les lettres majuscules sont utilisées pour différencier les blocs des voies d'escalade qui sont cotées avec des lettres minuscules.

La cotation Vermin

La cotation aux États-Unis est appelée cotation Vermin (provenant de John Sherman). Les blocs sont cotés de V0 à V16, et tout comme la cotation Bleau, c'est une cotation ouverte.

La cotation anglaise

La cotation anglaise est très proche de la cotation Hueco, sauf que les blocs sont cotés B0 à B16.

Tableau de comparaison

Cotation bloc
Bleau Hueco Anglais
4 V0 B1
4+ V0+ B2
5 V1 B2/3
5+ V2 B3
6A V3 B3/4
6A+ V3/4 B4
6B V4 B4/5
6B+ V4/5 B5
6C V5 B5/6
6C+ V5/6 B6
7A V6 B7
7A+ V7 B8
7B V8 B8/9
7B+ V8/9 B9
7C V9 B10
7C+ V10 B10/11
8A V11 B11
8A+ V12 B12
8B V13 B13
8B+ V14 B14
8C V15 B15
8C+ V16 B16

Notes

  1. Viviane Seigneur Socio-anthropologie de la haute montagne: biographie des hauts-lieux p.139 - Olivier Hoibian Les alpinistes en France, 1870-1950: une histoire culturelle p.241
  2. Olivier Hoibian Les alpinistes en France, 1870-1950: une histoire culturelle p.242
  3. Hoibian p.318 qui cite la revue Alpinisme 1947 « mise au point de la graduation des difficultés pour les Alpes occidentales »
  4. René Ferlet, « À propos de la graduation des difficulté », Le Bleausard, n°418, octobre 1946, p. 18, cité par Hoibian p. 318
  5. Pierre Allain et Lucien Devies, « Où en est la graduation des difficultés », Alpinisme', 1947, pp. 128-130, cité par Hoibian p. 318
  6. Pierre Bossus, « Appréciation des degrés de difficulté » dans Bulletin de l’Union internationale des associations d’alpinisme, 1978, 84, 5
  7. FFME
  8. (en)Mountaineering: The Freedom of the Hills
  9. [PDF] Comparison between UIAA grades and other grading systems sur http://www.theuiaa.org/. Consulté le 16 mai 2011
  10. Tableau de cotations d'escalade : Comparaison des systèmes de cotation sur http://www.belclimb.net/. Mis en ligne le 6 juillet 2009, consulté le 16 mai 2009
  11. C.Larcher, « Les cotations en escalade » sur http://www.kairn.com/. Mis en ligne le 23 mars 2007, consulté le 16 mai 2006
  12. (en) Jens Larssen, « Grade Conversion » sur http://www.8a.nu/. Mis en ligne le 30 octobre 2010, consulté le 16 mai 2011
  13. (en) Grade conversions sur http://www.rockfax.com/. Consulté le 16 mai 2011
  14. (en) The American Alpine Journal - Grades sur aaj.americanalpineclub.org. Mis en ligne le 12 avril 2004, consulté le 14 novembre 2011

Bibliographie

  • Reinhold Messner, Le 7ème degré, Arthaud, 1975
  • Georges Livanos, Cassin - Il était une fois le sixième degré, Arthaud - Paris 1983
  • David Chambre et Jean-Baptiste Tribout, Le huitième degré - Dix ans d'escalade libre en france, Denoël, 1987
  • Portail de l’alpinisme et de l’escalade Portail de l’alpinisme et de l’escalade

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