- Cochenille parasite
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Coccoidea
Pour les articles homonymes, voir cochenille.CoccoideaDactylopius coccus Classification classique Règne Animalia Embranchement Arthropoda Sous-embr. Hexapoda Classe Insecta Sous-classe Pterygota Infra-classe Neoptera Super-ordre Endopterygota Ordre Hemiptera Sous-ordre Sternorrhyncha Super-famille Coccoidea
Handlirsch, 1903Cochenille sur un citronnier
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Parcourez la biologie sur Wikipédia : Les cochenilles (Coccoidea) forment la super-famille d'insectes hémiptères sternorrhynches. On en compte plus de 7 000 espèces. Ces insectes étaient autrefois nommés « poux des plantes » en raison de leurs pièces buccales transformées en rostre piqueur leur permettant d’aspirer les sèves. Les cochenilles sont des insectes communs ou devenus communs, mais dont l’écologie reste mal connue.
Sommaire
Description
Les cochenilles sont toutes parasites des végétaux. Ils sont caractérisés par un très fort dimorphisme sexuel. Le mâle adulte possède une unique paire d'ailes (antérieures), des antennes et des pattes (tarses uni-articulés) développées, alors que les femelles sont aptères. Fait rare chez les hémiptères, les femelles ne possèdent que des appendices réduits (elles vivent fixées sur des végétaux, sauf à l’état de nymphe). La femelle ressemble à une larve en forme d'écaille, de galle ou couverte de cire. Elle n'est pas mobile et se nourrit en se fixant sur les tiges ou les feuilles de certaines plantes dont elle suce la sève.
Les Coccoidea se nourrissent d'une large variété de plantes, si bien que la plupart d'entre eux sont considérés comme nuisibles. Faute d'alimentation, ils meurent au bout d'un ou deux jours[réf. nécessaire].
Les cochenilles sécrètent une matière d’apparence cotonneuse, constituée de fins filaments cireux ou d’écailles cireuses. Certaines espèces ont la réputation d’avoir une salive toxique.[réf. nécessaire]
Reproduction et cycle de vie
Le système de reproduction au sein de ce groupe est très hétérogène et comprend par exemple de l'hermaphrodisme et sept formes de parthénogenèse.
Les cochenilles connaissent trois stades de développement :
- l'œuf,
- la nymphe (mobile, avec 3 stades larvaires L1, L2 et L3),
- l’adulte (La femelle, fixée, pond de nombreux œufs très petits, déposés sous elle, dans un coussinet de cire blanche)
Le nombre de générations annuel varie selon l’espèce et le climat.
Parasitisme
Ce sont des parasites qui tuent rarement leurs hôtes, mais qui peuvent poser problème en agriculture, horticulture, sylviculture et dans les vergers. Certaines infestations d’arbres, rameaux et feuilles par des cochenilles sont en train de devenir caractéristiques des milieux urbanisés et très anthropisés. On les trouve aussi parfois sur des objets adjacents (ex : les colliers qui lient l’arbre aux tuteurs).
Ces insectes font des ravages sur les arbres fruitiers et en particulier les pommiers. Pour en venir écologiquement à bout, pulvériser une solution de savon noir dans laquelle vous aurez rajouté 1% d'alcool à brûler. On peut aussi ajouter de l'huile de soja.
Répartition
On en a par exemple dénombré 159 espèces en Sicile (dont près de la moitié au moins sont des parasites des cultures récemment introduits) On en compte 343 en Italie. Les mieux connues sont celles qui parasitent les espèces cultivées.
Ils étaient réputés peu mobiles et donc à faible risque de dissémination. Ils sont pourtant en Europe en pleine expansion sur les arbres urbains stressés par la pollution ou le contexte urbain et peut-être via les transports de plants parasités. Peut-être les oiseaux contribuent-ils à transporter des œufs ? Les larves semblent pouvoir être transportées par le vent.
Les pullulations de cochenilles hors de leur milieux naturel sont de plus en plus fréquentes, sur tous les continents, et elles sont mal comprises.
Il est possible qu’un manque d’eau, que certains polluants urbains ou un couple thermo-hygrométrique anormal favorisent cet insecte parasite. Une autre explication peut être à chercher dans la régression ou disparition des prédateurs naturels des cochenilles, en particulier les micro-hyménoptères qui les parasitent et les contrôlent dans la nature, suite à l’augmentation du taux de pesticides dans l’air. Comme tous les insectes piqueurs-suceurs, ces espèces (notamment introduites) sont potentiellement dangereuses pour les plantes, à cause des virus qu'elles pourraient apporter, mais aussi en raison de l'absence de prédateur spécifique dans le pays d'accueil. Les larves ou œufs ou individus adultes sont fréquemment introduits avec les plantes vertes, fruits et légumes.Ennemis naturels
Leur principaux prédateurs semblent être certaines espèces de coccinelles et de micro-hyménoptères parasites. Les guêpes ou les fourmis sont réputées les épargner et consommer leur miellat, mais divers hyménoptères dont Metaphycus helvolus ou Metaphycus lounsburyi parasitent les stades larvaires ou à l’état adulte.
Diversinervus elegans parasite l’adulte ou la larve[1]. Quelques prédateurs de cet insecte ont été utilisés en lutte biologique, dont par exemple Chilicorus renipustulatus et Chilicorus nigritus, deux petites coccinelles qui attaquent diverses espèces de cochenilles (diaspines et lécanines).Traitements horticoles
Le bouclier, la cire qui protège ces insectes et leurs œufs les rendent peu accessibles aux pesticides externes. Ces derniers sont des solutions aqueuses qui glissent dessus. On peut y ajouter des agents mouillants (savon noir, liquide vaisselle...) ou utiliser directement des huiles insecticides. Un autre moyen très efficace (mais qui n'empêche pas l'existence de formes résistantes) est l'utilisation de produits systémiques. Il s'agit de substances qui vont pénétrer la plante et circuler dans tout le système (d'où le nom) vasculaire, autrement dit la sève. Tout insecte qui consommera n'importe quelle partie de la plante (y compris racines) mourra. Il faut tenir compte du fait que les oeufs ne consomment rien jusqu'à l'éclosion : il faut donc retraiter une semaine à 10 j après contre la deuxième génération.
Évidemment, il est important d'être sûr de traiter toutes les plantes concernées. En cas de récidive il faut penser à toutes les examiner, y compris parfois les "mauvaises herbes"...Intérêt économique
Certains types ont joué un rôle économique important mais il a considérablement décliné depuis l'invention des substances de synthèse. La cochenille est utilisable pour produire :
- des laques, comme le shellac issu de l'espèce kerria lacca et utilisé pour fabriquer des dragées pharmaceutiques, l'enrobage de certains chocolats "qui ne fondent pas dans la main" et autrefois parmi les premières matières plastiques (premiers disques 78 tours);
- du carmin de cochenille, produit à partir de Dactylopius coccus vivant sur le chêne kermès en Espagne puis une autre espèce vivant sur un cactus au Mexique).
Nota : la manne qui aurait permis aux Hébreux de traverser le désert pourrait être le miellat d’une cochenille.
Taxinomie
Taxons inférieurs : familles :
- Aclerididae
- Asterolecaniidae
- Beesoniidae
- Carayonemidae
- Cerococcidae
- Coccidae
- Conchaspididae
- Dactylopiidae
- Diaspididae
- Electrococcidae
- Eriococcidae
- Grimaldiellidae
- Halimococcidae
- Inkaidae
- Jersicoccidae
- Kermesidae
- Kerriidae
- Kukaspididae
- Labiococcidae
- Lecanodiaspididae
- Margarodidae
- Micrococcidae
- Ortheziidae
- Phenacoleachiidae
- Phoenicococcidae
- Pseudococcidae
- Putoidae
- Stictococcidae
Trois grands types de cochenilles
Celles qui ont un corps mou, sans bouclier protecteur.
Elles se protègent sous des filaments cireux- Pseudococcidés et Margarodidés :
- Exemples :
- Cochenille farineuse des serres (Pseudococcus adonidum)
- Cochenille australienne (Icerya purchasi)
Celles qui ont un corps durci par imprégnation de cire ou de laque (lécanines, ou lécanies, de la famille des Lécanidés, autrefois) Maintenant les cochenilles de cette famille s'appelle les Coccidés
- Exemples :
- Cochenille du cornouiller (Parthenolecanium corni)
- Cochenille du pêcher (Eulecanium persicae)
- Cochenille des serres (Saissetia hemisphaerica)
- Cochenille de l’olivier (Saissetia oleae)
- Cochenille floconneuse de la vigne (Pulvinaria vitis)
- Lécanie du chêne (Parthenolecanium quercifex)
- Lécanie de Fletcher (Parthenolecanium fletcheri)
- Lécanie de la vigne (Parthenolecanium corni)
Celles qui ont un corps mou, couvert d’un boulier protecteur cireux (Diaspididés) dont la forme rappellerait une minuscule coquille d’huître.
- Exemples :
- Pou de san José (Diaspidiotus perniciosus)
- Cochenille des arbres fruitiers à pépins (Diaspidiotus piri et D. ostraeiformis)
- Cochenille virgule du pommier (Lepidosaphes ulmi)
- Cochenille du poirier (Epidiaspis leperii)
- Pou de l’oranger (Chrysomphalus aonidum et C. dictyospermi)
- Cochenille noire des agrumes (Parlatoria zizyphii), Cochenilles serpette des agrumes (Lepidosaphes citricola et L. gloweri)
- Cochenille du mûrier (Pseudaulascaspis pentagona)
Exemples d'espèces
Famille Ortheziidae
- Orthezia urticae (Linnaeus, 1758)
Famille Margarodidae
- Guerriniella serratulae (Fabricius, 1775)
- Icerya purchasi (Maskell, 1879)
- Matsucoccus pini (Green, 1925)
- Neomargarodes europaeus (Goidanich, 1969)
- Porphyrophora italica (Goidanich, 1963)
Famille Pseudococcidae
- Asphodelococcus asphodeli (Bodenheimer, 1927)
- Balanococcus santilongoi (Mazzeo, 1996)
- Chaetococcus phragmitis (Marchal, 1909)
- Delottococcus euphorbiae (Ezzat & McConnell, 1956)
- Dysmicoccus brevipes (Cockerell, 1893)
- Dysmicoccus neobrevipes (Beardsley, 1959)
- Dysmicoccus pietroi (Marotta, 1992)
- Euripersia tomlini (Newstead, 1892)
- Hypogeococcus pungens (Granara de Willink, 1981)
- Nipaecoccus nipae (Maskell, 1893)
- Peliococcus cycliger (Leonardi, 1908)
- Peliococcus vivarensis Tranfaglia, 1981
- Phenacoccus aceris (Signoret, 1875)
- Phenacoccus graminicola (Leonardi, 1908)
- Phenacoccus interruptus (Green, 1923 )
- Phenacoccus madeirensis (Green, 1923 )
- Phenacoccus mespili (Signoret, 1875)
- Phenacoccus neohordei (Marotta, 1992)
- Phenacoccus silvanae (Longo & Russo, 1989 )
- Phenacoccus yerushalmi (Ben-Dov, 1985 )
- Planococcus citri (Risso, 1813)
- Planococcus ficus (Signoret, 1875)
- Pseudococcus affinis (Maskell, 1894)
- Pseudococcus calceolariae (Maskell, 1878)
- Pseudococcus longispinus (Targioni Tozzetti, 1867)
- Puto palinuri (Marotta e Tranfaglia, 1993)
- Puto superbus (Leonardi, 1907)
- Puto tauricus (Borchsenius, 1948)
- Rhizoecus cacticans (Hambleton, 1946)
- Rhizoecus falcifer (Kunckel d'Herculais, 1878)
- Rhizoecus lelloi (Mazzeo, 1996 )
- Spilococcus mammillariae (Bouché, 1844 )
- Spinococcus multispinus (Siraiwa, 1939)
- Trionymus perrisii (Signoret, 1875)
- Trionymus tomlini (Green, 1925 )
- Vryburgia rimariae (Tranfaglia, 1981)
Famille Eriococcidae
- Acanthococcus araucariae (Maskell, 1879)
- Acanthococcus cactearum (Leonardi, 1908)
- Acanthococcus coccineus (Cockerell, 1894)
- Acanthococcus cynodontis (Kiritchenko, 1940)
- Acanthococcus devoniensis (Green, 1896)
- Acanthococcus rosannae (Tranfaglia & Esposito, 1985)
- Ovaticoccus agavium (Douglass, 1888)
- Rhizococcus insignis (Newstead, 1891)
Famille Cryptococcidae
- Cryptococcus fagisuga Lindinger, 1936
Famille Micrococcidae
- Micrococcus silvestrii Leonardi, 1907
Famille Kermesidae
- Kermes bacciformis (Leonardi, 1908)
- Kermes gibbosus (Signoret, 1875)
- Kermes roboris (Fourcroy, 1785)
- Kermes vermilio (Planchon, 1864)
- Nidularia pulvinata (Planchon, 1864)
Famille Cerococcidae
- Pollinia pollini (Costa, 1857)
Famille Coccidae
- Ceroplastes rusci (Linnaeus, 1758)
- Ceroplastes sinensis (Del Guercio, 1900 )
- Coccus hesperidum (Linnaeus, 1758)
- Coccus pseudomagnoliarum (Kuwana, 1914)
- Eucalymnatus tessellatus (Signoret, 1873)
- Eulecanium tiliae (Linnaeus, 1758)
- Filippia follicularis (Targioni Tozzetti, 1867)
- Lecanopsis formicarum (Newstead, 1893)
- Lichtensia viburni (Signoret, 1873)
- Nemolecanium graniformis (Wünn, 1921)
- Parthenolecanium corni (Bouché, 1844)
- Parthenolecanium persicae (Fabricius, 1776)
- Parthenolecanium rufulum (Cockerell, 1903)
- Pulvinara mesembryanthemi (Vallot, 1830)
- Pulvinaria floccifera (Westwood, 1870)
- Pulvinaria vitis (Linnaeus, 1758)
- Rhizopulvinaria grassei (Balachowsky, 1936)
- Saissetia coffeae (Walker, 1852)
- Saissetia oleae (Olivier, 1791)
- Scythia aetnensis Russo & Longo, 1990
Famille Aclerididae
- Aclerda berlesei (Buffa, 1897 )
Famille Asterolecaniidae
- Asterodiaspis bella (Russell, 1941)
- Asterodiaspis ilicicola (Targioni Tozzetti, 1888)
- Asterodiaspis roboris (Russell, 1941)
- Bambusaspis bambusae (Boisduval, 1869)
- Planchonia zanthenes (Russell, 1941)
Famille Phoenicococcidae
- Phoenicococcus marlatti Cockerell, 1899
Famille Diaspidiade
- Abgrallaspis cyanophylli (Signoret, 1869)
- Acanthomytilus intermittens (Hall, 1924)
- Acanthomytilus sacchari (Hall, 1923)
- Aonidia lauri (Bouché, 1833)
- Aonidiella aurantii (Maskell, 1879)
- Aonidiella taxus (Leonardi, 1906)
- Aspidiotus hedericola (Leonardi, 1920 )
- Aspidiotus nerii (Bouché, 1933)
- Aspidiotus spinosus (Comstock, 1883 )
- Aulacaspis rosae (Bouché, 1833)
- Carulaspis carueli (Signoret, 1869)
- Carulaspis juniperi (Bouché, 1851)
- Carulaspis silvestrii Lupo, 1966
- Carulaspis visci (Schrank, 1781)
- Chionaspis pinifoliae (Fitch…)
- Chionaspis salicis (Linnaeus, 1758)
- Chrysomphalus aonidum (Linnaeus, 1758)
- Chrysomphalus dictyospermi (Morgan, 1889)
- Diaspidiotus distinctus (Leonardi, 1900)
- Diaspidiotus osborni (Newell & Cockerell, 1898)
- Diaspidiotus viticola (Leonardi, 1913)
- Diaspis boisduvalii (Signoret, 1869)
- Diaspis bromeliae (Kerner, 1778)
- Diaspis coccois (Lichtenstein, 1882 )
- Diaspis echinocacti (Bouché, 1833)
- Duplachionaspis berlesei (Leonardi, 1898)
- Duplachionaspis sicula (Lupo, 1938)
- Dynaspidiotus britannicus (Newstead, 1898)
- Epidiaspis gennadii (Leonardi, 1898)
- Epidiaspis leperii (Signoret, 1869)
- Evallaspis ampelodesmae (Newstead, 1897)
- Fiorinia fioriniae (Targioni Tozzetti, 1867)
- Furchadaspis zamiae (Morgan, 1890)
- Gonaspidiotus minimus (Leonardi, 1896)
- Hemiberlesia lataniae (Signoret, 1869)
- Hemiberlesia rapax (Comstock, 1881)
- Howardia biclavis (Comstock, 1883)
- Ischnaspis longirostris (Signoret, 1882)
- Lepidosaphes beckii (Newmann, 1869)
- Lepidosaphes conchiformis (Gmelin, 1789)
- Lepidosaphes destefanii (Leonardi, 1907 )
- Lepidosaphes gloverii (Packard, 1869)
- Lepidosaphes granati Koronéos, 1934
- Lepidosaphes newsteadi (Sulc, 1895)
- Lepidosaphes pinnaeformis (Bouché, 1851)
- Lepidosaphes ulmi (Linnaeus, 1758)
- Leucaspis loewi (Colvée, 1882 )
- Leucaspis pini (Hartig, 1839)
- Leucaspis pusilla( Loew, 1883)
- Leucaspis riccae Targioni Tozzetti, 1881
- Lindingaspis rossi (Maskell, 1891)
- Melanaspis inopinata (Leonardi, 1913)
- Mercetaspis sphaerocarpae Gomez Menor, 1927
- Nuculaspis abietis (Schrank, 1776)
- Pallulaspis retamae (Hall, 1926)
- Parlatoria camelliae (Comstock, 1883 )
- Parlatoria oleae (Colvée, 1880)
- Parlatoria pergandii (Comstock, 1881 )
- Parlatoria ziziphi (Lucas, 1853)
- Pinnaspis aspidistrae (Signoret, 1869)
- Pinnaspis strachani (Cooley, 1899)
- Pseudaulacaspis cockerelli (Cooley, 1897)
- Pseudaulacaspis pentagona (Targioni Tozzetti, 1886)
- Quadraspidiotus cecconii (Leonardi, 1908)
- Quadraspidiotus lenticularis (Lindinger, 1912)
- Quadraspidiotus ostraeformis (Curtis, 1843)
- Diaspidiotus perniciosus (Comstock, 1881)
- Quadraspidiotus zonatus (Frauenfeld, 1868)
- Rungaspis capparidis (Bodenheimer, 1929)
- Saharaspis ceardi (Balachowsky, 1928)
- Suturaspis archangelskyae (Lindinger, 1929)
- Targionia nigra (Signoret, 1870)
- Targionia vitis (Signoret, 1876)
- Unaspis euonymi (Comstock, 1881)
Voir aussi
Références
Liens externes
- site USDA,
- cohenille vue au microscope électronique, face ventrale lien mort
- cochenille, microscopie électronique lien mort
- Les cochenilles (1) - par Imre Foldi - parue dans Insectes n°129
- Les cochenilles (2) - par Imre Foldi - parue dans Insectes n°130
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