- Bénédictines du Sacré-Coeur de Montmartre
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Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre
Pour les articles homonymes, voir Montmartre (homonymie).La congrégation des bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre, abrégée BSCM, est la congrégation de bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre, fondée par Adèle Garnier en 1898 à Montmartre.
Ces bénédictines ont pour mission une recherche constante de Dieu dans une vie monastique associée à une vie apostolique. Elles sont en effet à la fois « contemplatives cloîtrées et actives de plein vent »[1] !
Sommaire
Historique
Fondation de la congrégation
- 1872 - Adèle Garnier (1838 - 1924), institutrice au château de l'Aulne-Montgenard à Martigné-sur-Mayenne[2] lit un article parlant de projet de construction de la future Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre et entend alors de la part de Dieu : « C'est là que Je te veux ! ». Adèle Garnier avait eu des visions intérieures du Christ à partir de 1862. En 1869, elle « voit » le Christ dans une grande hostie : le Christ lui demande de prier, expier, souffrir pour la France. En 1873, elle « voit » une église byzantine blanche, avec des domes; la basilique du Sacré-Cœur n'est alors qu'un projet. En 1874, Adèle Garnier a la révélation de l'adoration perpétuelle à Montmartre. Elle en parle à Mgr Guibert. En 1885, cette adoration 24h / 24 est établie dans la basilique[3].
- 1897 - En juin, Adèle Garnier s'installe avec trois compagnes rue du Mont-Cenis, près de la basilique en construction[4].
- 4 mars 1898[5] - La mission reçue s'accomplit : la communauté religieuse, née pour la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre, est fondée par Adèle Garnier et par le père dominicain Francis Balme et le père Jean Baptiste Lemius. L'acte de fondation est reçu par le cardinal Richard, la première communauté s'installe cité du Sacré-Cœur. Adèle Garnier prend en religion le nom de Mère Marie de Saint-Pierre. La congrégation est érigée canoniquement par l'Église. Le nombre de religieuses augmentant, elles s'installent rue du Chevalier-de-la-Barre, grâce à une aide financière des Pères Chartreux[4].
- 1901 - les lois de 1901 en France contre les congrégations religieuses en France contraignent les bénédictines à quitter Montmartre. La congrégation se réfugie en Angleterre. En quittant Montmartre, la fondatrice déclare : « Nous reviendrons au grand jour comme des filles grandies qui ont place au foyer »[5].
Départ en Angleterre et fondation d'une nouvelle congrégation
- La communauté « Montmartre d'Angleterre » se développe alors. En 1944, elle comprend 70 sœurs de huit nationalités différentes[6].
- 1930 - la congrégation devient de droit pontifical.
- 1956 - Fondation d'un prieuré en Australie.
- 1961 - Fermeture du prieuré en Belgique
- 24 janvier 1964 - Les religieuses anglaises de Montmartre sont agrégées à la confédération bénédictine[6]. Compte tenu de l'évolution des Constitutions, tant en France qu'en Angleterre, les religieuses anglaises de Montmartre forment une nouvelle congrégation appelée « Tyburn's Nunes »
- 1964 - Le noviciat de Royston est transféré à Wadhurst (Sussex) et le corps d'Adèle Garnier et celui de sa fidèle collaboratrice sont inhumés à Tyburn[5].
- 1976 - À la demande du pape Paul VI transmise par le cardinal bénédictin Basil Hume, archevêque de Westminster, un prieuré est fondé à Sechura au Pérou.
- 1991 - Le couvent de Tyburn est totalement restauré grâce à la générosité de la princesse Alexandra.
- 1992 - Demande officielle d'ouverture du procès diocésain en béatification de la fondatrice, mère Marie de Saint-Pierre[8]. Les religieuses d'un monastère écossais de Bénédictines du Saint-Sacrement en difficulté, rejoignent la congrégation.
- 1993 - Construction d'un monastère à Cobh en Irlande. Le noviciat de Wardhust (Sussex) y est transféré.
- 1995 - Construction d'un monastère en Nouvelle-Zélande.
Retour des BSCM en France
- Le prieuré des bénédictines de la branche française est situé à Louvigné-du-Désert, commune française, située dans le département d'Ille-et-Vilaine.
- 10 octobre 1961 - À la demande de Monseigneur Charles, le cardinal Maurice Feltin érige un nouveau prieuré au 13 rue Becquerel, près de la Basilique. La messe d'inauguration a lieu le 23 octobre 1961. La supérieure, Mère Madeleine-Marie du Divin Cœur évoque « un Bethléem pour la congrégation qui a désormais retrouvé une place à Montmartre, soixante ans après l'avoir quitté »[9]. Les bénédictines y resteront jusqu'en 1977, où elle vivront leur mission de prière et d'accueil. Plusieurs changements interviennent également à cette époque : changement dans les constitutions, le costume, la croix et l'office.
- 1962 - Les bénédictines de la communauté de Louvigné-du-Désert s'installent à Écouen, au nord de Sarcelles, alors dans le diocèse de Versailles, afin de faciliter les contact entre les deux communautés[10].
- 1963 - Les bénédictines quittent le 13 rue Becquerel et s'installent dans la partie nord de la maison d'accueil. Cette maison avait été baptisée « Ephrem » par Mgr Charles en mémoire du nom d ela localité où Jésus s'est retiré avant le séjour à Jérusalem qui allait être le dernier[11]. Mère Marie-Agnès devient prieure.
- juin 1967 - Les trois premières professions perpétuelles marquent un tournant dans la vie d ela communauté. Toutes les religieuses de la région parisienne sont invitées à venir s'en réjouir au cours d'une « heure sainte »[12].
- 1969 - Le chapitre général refond les constitutions (qui seront datées du 18 octobre 1970), change la croix, élit mère Marie-Agnès prieure générale.
- 1970 - Nouvelle profession perpétuelle[13] et fondation d'un prieuré au sanctuaire de Notre-Dame de Marienthal[14] en Alsace (commune de Haguenau), à la demande de Mgr Léon-Arthur Elchinger, évêque de Strasbourg.
- 1972 - Signature à Rome d'un contrat pour trois ans pour l'animation du centre Notre-Dame à Jérusalem : lieu d’accueil des pèlerins chrétiens, appartenant au Vatican, et situé dans le quartier chrétien, à proximité de la vieille ville. Ce contrat, reconductible, ne sera pas reconduit.
- janvier 1973 - Le Père Marie-Joseph Le Guillou o. p[15] vient prêcher la retraite annuelle, traditionnellement prêchée par Mgr Charles. Sa théologie et sa spiritualité enthousiasment les religieuses. Dès lors, il entre en communion profonde avec les valeurs de la congrégation, et aide le Chapitre Général à structurer théologiquement et spirituellement les constitutions, approuvées par Rome en 1983.
- 15 septembre 1973 - À l'occasion du 75e anniversaire de la fondation de la congrégation, la chapelle du prieuré de Blaru est bénie. Le prieuré d'Écouen est fermé et les vieilles religieuses s'installent à Blaru où elles rejoignent les novices. Le prieuré est baptisé Béthanie, du nom de la localité à trois kilomètres à l'est de Jérusalem où vivaient Marthe, Marie et Lazare, les amis de Jésus[16].
- 1975 - Les bénédictines quittent Jérusalem et fondent un prieuré à Mont Roland, sanctuaire marial près de Dôle dans le Jura. En février, les nouvelles professions perpétuelles sont reçues par le cardinal François Marty, mère Marie-Agnès est réélue pour 6 ans.
- 30 octobre 1977 - Compte tenu des difficultés croissantes dans la collaboration avec les chapelains et le recteur de la basilique, estimant qu'elles ne répondaient plus à ce que Mgr Charles attendait d'elles, les bénédictines chantent leurs dernières vêpres dans la basilique le dimanche 30 octobre et quittent le lendemain la colline qui les a vues naître 80 ans plus tôt[17]. Elles se retirent à Blaru où s'est installé le père Le Guillou, la maison Béthanie étant devenue pour lui, lors de sa convalescence, un havre de paix. En 1981, mère Marie-Agnès est réélue pour 6 ans. Théologien nommé par la Congrégation des religieux pour participer aux chapitres généraux, le père Le Guillou participe à la restructuration des constitutions qui sont approuvées en 1983 par le cardinal Eduardo Francisco Pironio[18].
- 1978 - À la demande de Mgr Mouisset, évêque de Nice, les bénédictines fondent un prieuré au sanctuaire de Notre-Dame de Laghet dans les Alpes-Maritimes.
- 1984 - À la demande de Mgr Derouet, évêque de Sées, les bénédictines fondent un prieuré au sanctuaire de La Chapelle-Montligeon dans l'Orne.
- 1984 - Les filles du Cœur de Marie ferment leur maison de la Cité du Sacré-Cœur à Montmartre, faute de vocations. Les bénédictines en accueillent sans cesse. Elles sont une cinquantaine avec les postulantes et les novices[19]. Avec l'autorisation du cardinal Jean-Marie Lustiger, elles s'installent cité du Sacré-Cœur où elles fondent le prieuré Saint Benoît. Elles organisent de multiples activités pour les enfants, les adolescents, les jeunes et les foyers. Leur dynamisme débordant est remarqué par Mgr Guy Gaucher qui vient y prêcher la retraite annuelle, par leurs voisins qui les admirent « jouant dans leur jardin comme des petites filles » que par Alain Juppé sensible à leur « charme spirituel » lorsqu'il les visite : Ce qui me frappe et même me bouleverse chez ces femmes, c'est d'abord le sourire, la joie qui irradie vraiment leurs visages. Et puis aussi leur curiosité.[20]. Jusqu'en 1995, la cérémonie annuelle durant laquelle ont lieu les professions solennelles se déroulent à Notre-Dame de Paris.
- 1985 - Les Dominicaines quittent à leur tour la Cité du Sacré-Cœur. Les Bénédictines achètent alors leur maison et y établissent la maison-mère et le noviciat sous le patronage de sainte Scholastique.
- 1994 - Fondation du prieuré Marie-Joseph au sanctuaire du Curé d'Ars, à la demande de Mgr Guy Bagnard.
- 1995 - le Cardinal Jean-Marie Lustiger, Archevêque de Paris nomme le père Patrick Chauvet, douzième responsable du Sacré-Cœur depuis 1876[21] et demande en même temps à la congrégation de participer à l'animation spirituelle et matérielle de la Basilique du Sacré-Cœur de Montmartre. L'annonce du faire-part est claire : le 17 septembre 1999, au cours de l'Eucharistie à 11 heures, sous la présidence du cardinal Lustiger, Mgr Vingt-Trois installera le père Patrick Chauvet recteur du Sacré-Cœur et une communauté de Bénédictines ... au service de la Basilique[22]. Le nouveau recteur et la congrégation sont ainsi chargés d'une nouvelle étape de la vie de la Basilique du Sacré-Cœur[23]. Dès lors, la congrégation participe aux animations et en particulier anime l'adoration perpétuelle[24]. Les quatre ans du rectorat du père Patrick Chauvet vont permettre à la congrégation de prendre en main la basilique grâce à un « bras ecclésiastique » qui vit dans la « communion des charismes » un rapport nouveau entre les religieuses et les prêtres du sanctuaire. Cette « fin de siècle » connaît là une initiative significative qui fait écho à celle du cardinal Richard, du père Lemius et d'Adèle Garnier en 1898. De l'une à l'autre, la basilique de Montmartre a adapté sa vocation, à la fois nationale et universelle, grâce aux filles de Mère Marie de Saint-Pierre. Elles portent aux quatre coins de la France et du monde, depuis Paris et Londres, le message du Sacré-Cœur 1900 actualisé au seuil de l'an 2000[25].
- 7 mars 1998, centenaire de la fondation de la congrégation - Le cardinal Lustiger préside la cérémonie annuelle au cours de laquelle ont lieu 8 professions temporaires, 6 professions perpétuelles et 3 jubilés d'argent[26],[27].
- 29 décembre 1998 - Mère Marie-Vianney est élue prieure générale et mère Marie-Agnès est assistante générale[30].
- 2000 - Fondation d'une communauté à la Basilique Saint-Martin de Tours. Les bénédictines sont installées près de la basilique Saint-Martin, après avoir quitté l'Oratoire de la Sainte-Face en septembre 2006[31].
- 2008 - Après dix années au service de l’hôtellerie de la Sainte-Baume, les bénédictines laissent la gestion des lieux aux frères dominicains de la Province de Toulouse à partir du mois de juillet 2008[32]. Elles s'installent à Notre-Dame du Laus, à la demande de Mgr Jean-Michel di Falco, évêque du diocèse de Gap[33].
- 20 septembre 2008 - Les bénédictines chantent la messe célébrée par le pape Benoît XVI pour 260 000 fidèles réunis aux Invalides à Paris[34].
- 2009 - Les bénédictines s'installent à la Basilique Notre-Dame de Pontmain, à la demande de Mgr Scherrer, évêque du diocèse de Laval[35].
Implantation géographique en 2009
La lettre (H) indique la présence d'une Hôtellerie tenue par les Bénédictines.
- 01/Ars-sur-Formans
- 05/Saint-Étienne-le-Laus au sanctuaire de Notre-Dame du Laus (depuis le 12 octobre 2008)
- 06/La Trinité
- 37/Tours
- Prieuré Saint Martin[37]
- 53/Pontmain
- Basilique Notre-Dame de Pontmain (depuis le 15 juin 2009)
- 67/Haguenau
- Prieuré Notre-Dame de Marienthal, près de la basilique (H)[38]
- 75/Paris
- Prieuré Saint Benoît (H), 3 cité du Sacré-Cœur près de la basilique
- Prieuré Sainte Scholastique (Maison-Mère et noviciat), 9 cité du Sacré-Cœur près de la basilique
- Maison Ephrem, 35 rue du Chevalier de La Barre près de la basilique (H)
- Prieuré Notre-Dame des Victoires[39], près de la basilique Notre-Dame-des-Victoires
- 78/Blaru
- Le prieuré de Béthanie (H) est une maison de retraites spirituelles des Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre[40].
Mission
Une recherche constante de Dieu dans une vie monastique…
La vie monastique des Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre se définit comme une conversion incessante et s'exprime par les vœux de chasteté, pauvreté et obéissance. Elles désirent être au cœur du Mystère du Christ un signe de la plénitude de vie et de sainteté de l'Église, et se dévouer à la croissance du Royaume et pour cela être transfigurées dans tout leur être par la charité du Christ.
…associée à une vie apostolique.
La vocation des Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre à la vie apostolique jaillit de leur vie monastique : l'animation spirituelle et matérielle des lieux de prière. Leurs prieurés traduisent le besoin de nos contemporains de se retrouver dans le silence, la prière, le ressourcement spirituel et la rencontre fraternelle. Portant souvent de lourds problèmes, ils espèrent réconfort et réponse à leur besoin d'absolu. Ils peuvent, s'ils le veulent, trouver un accompagnement spirituel ; particulièrement les jeunes qui souvent cherchent le sens de leur vie.
Discographie
Les Bénédictines du Sacré-Cœur de Montmartre ont enregistré 8 disques[41] :
- 2009 - La source de la vie (18 chants liturgiques écrits par Sœur Marie Agnès et composés par Philippe Robert, membre de la C.I.P.L.)
- 2008 - Aimons-nous les uns les autres (10 chants écrits par Sœur Marie Agnès et composés par Philippe Robert)
- 2007 - Attire-nous à Toi Seigneur (10 chants composés par Philippe Robert)
- 2007 - Vivre avec Toi Seigneur (8 chants écrits par Philippe Robert)
- 2007 - L'annonce de la foi dans la joie (9 chants monastiques composés par Grégoire François-Dainville)
- 2007 - Le chant au Bien-Aimé (8 chants a capella écrits par Sœur Marie Agnès et composés par Philippe Robert)
- 1997 - Marie, Mère de la Vie (18 chants écrits par Sœur Marie Agnès et composés par Philippe Robert)
- 1997 - Chantons avec toute l'église (20 chants écrits par Sœur Marie Agnès et composés par Philippe Robert)
Compléments
Articles connexes
Liens externes
Bibliographie
- Père Jacques Benoist, Le Sacré-Cœur de Montmartre de 1870 à nos jours, Les éditions ouvrières, ISBN 978-2-7082-2978-5, 1992
- Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), 110 pages, 1999, [lire en ligne]
Notes et références
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 16, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Note : ce château appartint à la famille de Crozé de Clesmes, aujourd'hui établie à Molières (Mayenne)
- ↑ Alain Denizot, Le Sacré-Cœur et la Grande guerre, p. 54 mémoire, 1998, [lire en ligne]
- ↑ a et b La dévotion au Sacré-Cœur sur spiritualite-chretienne.com. Consulté le 22 juillet 2009
- ↑ a , b et c Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 3, 1999, [lire en ligne]
- ↑ a et b Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 2, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 46, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 47, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 9, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 10, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 6, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 13, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 14, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Site de la basilique Notre-Dame de Marienthal
- ↑ Une vie pour Dieu sur Association « Père Marie-Joseph le Guillou o.p. ». Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 23, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 30, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 36, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 39, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Alain Juppé, La tentation de Venise, Grasset, Paris, 1993 p. 149 et p. 164, cité par le père Jacques Benoist p. 39
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 57, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 62, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 61, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Ferveur sur la butte (reportage vidéo) sur magazineL'Express, 10 août 2006. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 101, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), p. 97, 1999, [lire en ligne]
- ↑ LES BÉNÉDICTINES : CENT ANS SUR LA BUTTE sur actualité Paris 18e, avril 1998. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Hôtellerie de la Sainte Baume sur Site des dominicains. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Sept religieuses si près du ciel à la Sainte-Baume sur quotidien La provence, 24 juillet 2007. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Père Jacques Benoist, Mgr Charles et les congrégations féminines au Sacré-Cœur et sur la butte Montmartre (1959 - 1993), liste des dossiers 1998, 1999, [lire en ligne]
- ↑ Hauts lieux spirituels sur diocèse de Tours. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Hôtellerie de la Sainte-Baume sur diocèse de Fréjus-Toulon, 25 février 2008. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Le sanctuaire N-D du Laus accueille une nouvelle congrégation sur diocèse de Fréjus-Toulon, 16 novembre 2008. Consulté le 20 janvier 2009
- ↑ Aux Invalides, 260 000 priants sur magazine Famille chrétienne, 20 septembre 2008. Consulté le 1er mai 2009
- ↑ Sanctuaire de Pontmain sur diocèse de Laval, 17 avril 2009. Consulté le 1er mai 2009
- ↑ Prieuré Marie-Joseph
- ↑ Hauts lieux spirituels du diocèse de Tours
- ↑ Site de la basilique Notre-Dame de Marienthal
- ↑ Site de la basilique Notre-Dame-des-Victoires
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