Bromure d'argent

Bromure d'argent
Bromure d'argent
NaCl polyhedra.png Silver-bromide-3D-vdW.png Bromid stříbrný.PNG
Structure cristalline de AgBr et échantillon
Général
Nom IUPAC Bromure d'argent
No CAS 7785-23-1
Apparence solide jaune pâle
Propriétés chimiques
Formule brute AgBr  [Isomères]
Masse molaire[2] 187,772 ± 0,001 g·mol-1
Ag 57,45 %, Br 42,55 %,
Potentiel de réduction 0,07133 V
Moment dipolaire 5,62 ± 0,03 D [1]
Propriétés physiques
T° fusion 432 °C
T° ébullition >1 502 °C décomposition
Solubilité 14 µg/100 ml (eau, 20 °C)
Masse volumique 6,473 g·cm-3, solide
Thermochimie
ΔfH0solide -99,5 kJ/mol
ΔvapH° 198 kJ·mol-1 (1 atm, 1 502 °C)[3]
Cp 0,27 J/gC
Propriétés électroniques
Bande interdite 2,5 eV
Mobilité électronique 4 000 cm2·Vs-1
Constante diélectrique 12.5
Cristallographie
Structure type NaCl[4]
Propriétés optiques
Indice de réfraction 2,253
Précautions
SIMDUT[5]
Produit non contrôlé
Unités du SI & CNTP, sauf indication contraire.

Le bromure dargent (AgBr) est un sel insoluble de couleur jaune pâle, bien connu pour sa sensibilité inhabituelle à la lumière comme les autres halogénures dargent. Cette propriété a permis aux halogénures dargent de devenir le matériau de base de la photographie moderne[6]. Le bromure dargent est largement utilisé pour les films photographiques noir et blanc. Certaines personnes avancent lhypothèse que le suaire de Turin a été fabriqué à laide de bromure dargent. À cause de ses propriétés de photosensibilité, le bromure dargent est aussi considéré comme un semi-conducteur[7]. Ce sel peut être trouvé naturellement dans le minéral bromargyrite (bromyrite).

Sommaire

Préparation

Bien que ce composé puisse être extrait dun minéral disponible dans la nature, AgBr est typiquement préparé par la réaction du nitrate dargent avec un bromure alcalin, le plus souvent le bromure de potassium[6] :

\mathrm{AgNO_3(aq) + KBr(aq) \longrightarrow AgBr(s) + KNO_3(aq)}

Bien que moins pratique, ce sel peut aussi être préparé directement à partir de ses éléments constitutifs (Ag et Br).

La préparation moderne dune surface sensible à la lumière se fait en formant une émulsion de cristaux dhalogénures dargent dans de la gélatine, avec laquelle on enduit un film ou autre support. Les cristaux sont formés par précipitation dans un environnement contrôlé afin de produire de petits cristaux uniformes (typiquement inférieurs à 1 μm de diamètre et contenant ~1012 atomes dAg) appelés grains[6]. Plus les grains sont fins, meilleure sera la résolution du film photosensible.

Réactions

Le bromure dargent réagit rapidement avec de lammoniac pour former plusieurs complexes aminés[8].

\begin{array}{rcl} \mathrm{AgBr + nNH_3} & \longrightarrow & \mathrm{Ag(NH_3)_2^{+1}} \\ ~ & ~ & \mathrm{\{AgBr(NH_3)_2\}} \\ ~ & ~ & \mathrm{\{AgBr_2(NH_3)_2\}^{1-}} \\ ~ & ~ & \mathrm{\{AgBr(NH_3)\}} \\ ~ & ~ & \mathrm{\{AgBr_2(NH_3)\}^{1-}} \end{array}

Le bromure dargent réagit avec de la triphenylphosphine pour donner un tris-(triphenylphosphine)[9]. Ce composé permet davoir une photo noir et blanc plus nette.

tris(triphenylphosphino)silver bromide

Propriétés physiques

Structure cristalline

AgF, AgCl et AgBr ont tous une structure de réseau de type cubique à faces centrées (CFC) (comme le NaCl). Les paramètres de réseau sont les suivants[10] :

Propriétés des réseaux d'halogénures d'argent
Composé Cristal Structure Réseau, a /Å
AgF cfc NaCl 4,936
AgCl, Chlorargyrite cfc NaCl 5,5491
AgBr, Bromargyrite cfc NaCl 5,7745
Structure de la maille
Structure cubique face centrée. Structure du chlorure de sodium.
cubique face centrée Structure de type NaCl


Les ions halogénures forment un empilement compact cubique, tandis que les ions dargent, plus petits, remplissent les sites octaédriques situés entre les halogénures, donnant ainsi une structure un ion Ag+ est entouré de 6 ions bromure Br et vice-versa. La structure du AgBr (type cubique NaCl) est inattendue pour largent monovalent (Ag(I)) qui forme dordinaire des complexes linéaires, trigonaux ou tétragonaux. Contrairement aux autres halogénures dargent, liodargyrite (AgI) présente une structure hexagonale.

Solubilité

Les halogénures dargent ont une large gamme de solubilité, il faut noter que la solubilité du AgF est denviron 6×107 fois plus grande que celle de AgI. Ces différences sont attribuées aux enthalpies relatives de solvatation des ions halogénures ; lenthalpie de solvatation du fluorure est anormalement grande[11].


Solubilité des halogénures d'argent
Composé Solubilité (g / 100 g H2O)
AgF 172
AgCl 0,00019
AgBr 0,000014
AgI 0,000003

Photosensibilité

Bien que les propriétés photographiques aient été exploitées depuis le milieu du 19e siècle, il ny avait pas dexplication théorique valable jusquen 1938 avec la publication de larticle de R.W. Gurney et N.F. Mott[12]. Cet article rassemblait de nombreuses recherches dans les domaines de la chimie et de la physique de létat solide, et plus particulièrement dans les phénomènes de photosensibilité des halogénures dargent[6]. En outre, des recherches plus approfondies ont révélé que les propriétés photographiques des halogénures dargent (en particulier AgBr) sont le résultat de déviations par rapport à la situation cristalline idéale. Des facteurs comme la taille du cristal, des impuretés et des défauts de surface contribuent tous à modifier les concentrations en défauts ioniques et déficiences électroniques, qui par conséquent affectent la sensibilité à la lumière et permettent la formation dune image latente (l'image est « imprimée » sur le film mais ne sera visible qu'après développement)[7].

Défauts Frenkel et déformation quadripolaire

Le défaut majeur des halogénures dargent est le défaut de type Frenkel, certains ions dargent quittent leur position « déquilibre » et se placent interstitiellement (Agi+) en haute concentration avec création de lacunes en ions argent (charge négative) (Agv-) à la position dorigine de lion. Ce qui est unique pour les défauts de Frenkel dans le bromure dargent, cest que lion argent interstitiel Agi+ est exceptionnellement mobile et que la concentration en défauts dans la couche près de la surface du grain est très grande par rapport à celle au centre du grain[7],[13].

Lénergie de formation de la paire Frenkel est inférieure à 1,16 eV et lénergie dactivation de migration est inhabituellement inférieure à 0,02 eV (en comparaison au NaCl : 2,18 eV pour la formation dune paire Schottky et 0,75 eV pour la migration cationique). Ces faibles énergies favorisent de grandes concentrations en défauts, lesquelles peuvent atteindre près d1 % à une température proche du point de fusion[13]. La cause de cette faible énergie dactivation dans le bromure dargent peut être attribuée à la haute polarisabilité quadripolaire des ions argent, qui peuvent se déformer dune sphère en ellipse. Cette propriété, découlant du résultat de la configuration électronique de lion argent (d9), facilite la migration aussi bien des ions argent que des lacunes, donnant ainsi une énergie de migration inhabituellement basse (pour Agv : 0,290,33 eV, comparée à 0,65 eV pour le NaCl)[13].

Des études ont démontré que les concentrations en défaut sont fortement affectées (jusquà plusieurs puissances de dix) par la taille du cristal. La plupart des défauts, comme la concentration en ions argent interstitiels, sont inversement proportionnels à la taille du cristal, alors que les défauts de lacunes sont directement proportionnels. Ce phénomène est attribué aux changements dans léquilibre chimique des surfaces et affecte chaque concentration en défaut différemment[7]. Les concentrations en impuretés peuvent être contrôlées par la croissance cristalline ou par laddition directe dimpuretés aux solutions cristallines. Bien que les impuretés dans le réseau du bromure dargent soient nécessaires pour favoriser la formation des défauts Frenkel, des études publiées par Hamilton ont montré quaprès une concentration donnée en impuretés, le nombre de défauts en ions argent interstitiels diminue fortement de plusieurs puissances de dix. Après cette concentration, seuls les défauts de lacunes des ions argent, qui augmentent de plusieurs ordres de magnitude, sont prédominants[7].

Les déficiences électroniques et les déficiences en trou

Quand de la lumière tombe sur la surface dun grain dhalogénure dargent, un photoélectron est généré quand un halogénure perd un électron de la bande de valence vers la bande de conduction[6],[7],[14].

\mathrm{X^- + h\nu \longrightarrow X + e^-}

Quand un électron est relâché, il se combine avec un Agi+ interstitiel pour créer un atome de dargent métallique Agi0 [6],[7],[14]:

\mathrm{e^- + Ag_i^+ \longrightarrow Ag_i^0}

À travers les défauts dans le cristal, lélectron est capable de réduire son énergie et dêtre capturé par latome[6]. Létendue des joints de grains et les défauts dans le cristal affectent la durée de vie du photoélectron. Les cristaux avec une grande concentration en défauts capturent plus vite un électron quun cristal pur[14].

Quand un photoélectron est capturé, un phototrou hest aussi formé, qui lui aussi doit être neutralisé. La durée de vie dun phototrou nest pas reliée à celle du photoélectron. Cela suggère un mécanisme de capture différent. Malinowski suggère que le piège à trou peut être relié aux défauts comme le résultat dimpuretés : une fois capturés, les trous attirent les défauts mobiles et chargés négativement du réseau (les lacunes interstitielles dargent Agv)[14].

\mathrm{h\centerdot + Ag_v^- \longleftrightarrow h.Ag_v}

La formation de h.Agv diminue son énergie suffisamment pour stabiliser le complexe et réduire la probabilité de léjection dun trou de retour dans la bande de valence. La constante d'équilibre entre complexe et le trou dans lintérieur du cristal est estimée à 10-4[14].

Les recherches complémentaires sur les pièges à électron et trou démontrent que les impuretés peuvent aussi être un système de capture significatif. Par conséquent, les ions dargent interstitiels peuvent ne pas être réduits. Ces pièges sont en réalité des mécanismes de perte et sont considérés comme inefficaces. Par exemple, loxygène atmosphérique peut interagir avec des photoélectrons pour former des espèces O2 qui peuvent réagir avec un trou[7]. Les impuretés sous forme dions métalliques comme le cuivre (I), le fer (II) et le cadmium (II) ont démontré leur capacité de capture de trou dans le bromure dargent.

Chimie de la surface cristalline

Une fois que les complexes-trous sont formés, ils diffusent sur la surface du grain en raison des gradients de concentration. Des études ont montré que la durée de vie des trous près de la surface des grains est beaucoup plus longue que ceux situés dans le volume, et ces trous sont en équilibre avec le brome absorbé. Leffet résultant entraîne la formation de plus de trous à la surface. De ce fait, comme les complexes-trous atteignent la surface, ils se dissocient[14] :

\mathrm{h.Ag_v^- \longrightarrow h\centerdot + Ag_v^- \longrightarrow Br \longrightarrow \frac{1}{2}Br}

Par cette réaction déquilibre, les complexes-trous sont constamment consommés à la surface, ceux-ci agissent en évier, jusquà ce quil ny ait plus de trous dans le cristal. Ce mécanisme fournit la contrepartie à la réduction de Agi+ interstitiel en Agi0, donnant une équation globale[14] :

\mathrm{AgBr \longrightarrow Ag + \frac{1}{2}Br_2}
Formation de limage latente et photographie

Maintenant quune partie de la théorie a été présentée, le mécanisme du procédé photographique peut être abordé. En résumé, quand un film photographique est soumis à une image, les photons incidents à la surface du grain produisent des électrons qui réagissent avec les ions Agi+ pour former de largent sous forme métallique. Plus il y a de photons incidents sur un grain, plus grande sera la concentration en atomes dargent (entre 5 et 50 atomes dargent sur les ~1012 atomes du grain), dépendant de la sensibilité de lémulsion. Le film a alors un gradient de concentration en atomes dargent, fondé sur la variation dintensité lumineuse traversant sa surface, et produisant une image latente[6],[14].

Pendant que ce procédé se produit, des atomes de brome sont également formés à la surface du cristal. Pour collecter le brome, une couche au-dessus de lémulsion, appelée sensibilisateur, fait office daccepteur pour le brome[14]. Pendant le développement du film, limage latente est intensifiée par laddition dun réactif chimique, lhydroquinone, qui réduit sélectivement les grains contenant déjà des atomes dargent. Lhydroquinone est le révélateur[15]. Le processus, qui est sensible à la température et à la concentration, va complètement réduire les grains en argent métallique, intensifiant limage latente dun facteur 1010 à 1011. Cette étape démontre le gros avantage et la supériorité des halogénures dargent sur dautres systèmes : limage latente, formée en quelques millisecondes, et invisible, est suffisante pour produire une image complète[6].

Après développement, le film est « fixé », étape pendant laquelle les sels dargent restants sont enlevés pour éviter une réduction postérieure, donnant le négatif du film. Le réactif utilisé est du thiosulfate de sodium et réagit suivant léquation suivante[6] :

\mathrm{AgX(s) + 2Na_2S_2O_3(aq) \longrightarrow Na_3[Ag(S_2O_3)_2](aq) + NaX(aq).}

Un nombre infini dimages positives peut être obtenu à partir dun négatif en passant de la lumière au travers du négatif pour impressionner un papier recouvert démulsion photosensible[6].

Propriétés semi-conductrices

Quand le bromure dargent est chauffé 100 °C en dessous de son point de fusion, un graphique dArrhenius (en fonction de la température) de la conductivité ionique montre une valeur croissante et puis une augmentation très importante. Dautres propriétés physiques comme le module élastique, la chaleur spécifique et la valeur de lénergie du gap électronique augmentent également, suggérant que le cristal approche de linstabilité[13]. Ce comportement, typique des semi-conducteurs, est attribué à la dépendance en température de la formation des défauts de Frenkel et, quand le graphique dArrhenius est normalisé par la concentration en défauts de Frenkel, il devient linéaire[13].

Voir aussi

Références

  1. (en) David R. Lide, Handbook of chemistry and physics, CRC, 16 juin 2008, 89e éd., 2736 p. (ISBN 142006679X et 978-1420066791), p. 9-50 
  2. Masse molaire calculée daprès Atomic weights of the elements 2007 sur www.chem.qmul.ac.uk.
  3. (en) David R. Lide, CRC Handbook of Chemistry and Physics, CRC Press Inc, 2009, 90e éd., Relié, 2804 p. (ISBN 978-1-420-09084-0) 
  4. (en) Bodie E. Douglas, Shih-Ming Ho, Structure and Chemistry of Crystalline Solids, Pittsburgh, PA, USA, Springer Science + Business Media, Inc., 2006, 346 p. (ISBN 0-387-26147-8), p. 64 
  5. « Bromure dargent » dans la base de données de produits chimiques Reptox de la CSST (organisme québécois responsable de la sécurité et de la santé au travail), consulté le 25 avril 2009
  6. a, b, c, d, e, f, g, h, i, j et k (en) N.N. Greenwood et A. Earnshaw, Chemistry of the Elements., New York: Permagon Press, 1984, p. 11851187
  7. a, b, c, d, e, f, g et h (en) J.F. Hamilton, « Physical Properties of Silver Halide Microcrystals », dans Photographic Science and Engineering, vol. 18, no 5, 1974, p. 493500 
  8. (en) I. Leden et G. Persson, « The Solubility of Silver Chloride and Silver Bromide in Aqueous Ammonia and the Formation of Mixed Silver-Ammonia-Halide Complexes », dans Acta Chem. Scand., vol. 15, 1961, p. 607614 [lien DOI] 
  9. (en) L.M. Engelhardt, P.C. Healy, V.A. Patrick et A.H. White, « Lewis-Base Adducts of Group-11 Metal(I) Compounds. XXX. 3:1 Complexes of Triphenylphosphine With Silver(I) Halides », dans Aust. J. Chem., vol. 40, no 11, 1987, p. 18731880 [lien DOI] 
  10. (en) S. Glaus et G. Calzaferri, « The band structures of the silver halides AgF, AgCl, and AgBr: A comparative study », dans Photochem. Photobiol. Sci, vol. 2, 2003, p. 398401 [lien DOI] 
  11. (en) David R. Lide, Handbook of Chemistry and Physics, CRC, 2005, 86e éd., Cleveland
  12. (en) R.W. Gurney et N.F. Mott, « The theory of the photolysis of silver bromide and the photographic latent image », dans Proc. Roy. Soc., vol. A164, 1938, p. 151167 
  13. a, b, c, d et e (en) L.M. Slifkin, « The Physics of Lattice Defects in Silver Halides », dans Crystal Lattice Defects and Amorphous Materials, vol. 18, 1989, p. 8196 
  14. a, b, c, d, e, f, g, h et i (en) J. Malinowski, « The Role of Holes in the Photographic Process », dans The Journal of Photographic Science, vol. 16, no 2, 1968, p. 5762 
  15. Chimie de la photographie, Laëtitia Breugelmans



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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Bromure d'argent de Wikipédia en français (auteurs)

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