Collégiale Saint-Martin de Champeaux

Collégiale Saint-Martin de Champeaux
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Collégiale Saint-Martin de Champeaux
Image illustrative de l'article Collégiale Saint-Martin de Champeaux
Présentation
Culte catholique romain
Type collégiale
Rattaché à Archidiocèse de Paris
Début de la construction v.1160
Fin des travaux début XIVe
Style(s) dominant(s) gothique
Protection  Classé MH (1840)
Géographie
Pays Drapeau de France France
Région Ile-de-France
Département Seine-et-Marne
Ville Champeaux (Seine-et-Marne)
Coordonnées 48° 35′ 09″ N 2° 48′ 28″ E / 48.58583, 2.8077848° 35′ 09″ Nord
       2° 48′ 28″ Est
/ 48.58583, 2.80778
  

Géolocalisation sur la carte : France

(Voir situation sur carte : France)
Collégiale Saint-Martin de Champeaux

La collégiale Saint-Martin de Champeaux, située à Champeaux (Seine-et-Marne), compte parmi les plus grandes églises gothiques des XIIe siècle et XIIIe siècle siècles sises en Ile-de-France [1]. Ses stalles Renaissance et ses remarquables vitraux figurent parmi les réalisations artistiques notables des XVe siècle et XVIe siècle en région parisienne.

Sommaire

Historique

Des origines légendaires

Une tradition légendaire fait de la villa Campellis (les petits champs) le lieu de retraite de la burgonde Sainte-Fare, fille d'Hagnéric, comte de Meaux et maire du palais, sœur par ailleurs de Saint-Faron, évêque de Meaux, et de Saint-Valbert, abbé de Luxeuil.

Fondatrice de l'abbaye de Faremoutiers en 620, Fare aurait par la suite légué à celle-ci ses biens et sa part de la susdite villa, l'abbaye y établissant un prieuré prestement transformé en abbaye bénédictine[2].

Un collège de chanoines relevant de l'évêque de Paris

Doyenné de Champeaux (Vitrail de la collégiale).

Du XIIe siècle au XVIIIe siècle, Champeaux constitua une enclave du diocèse de Paris dans l'archidiocèse de Sens. Les circonstances qui amenèrent le départ des religieuses et leur remplacement par un collège de chanoines séculiers demeurent incertaines. Pour autant, il semblerait qu'Anschéric, évêque de Paris de 886 à 911, obtint du roi Charles le Simple un certain nombre d'abbayes, dont Champeaux, en compensation des désagréments subis lors des invasions normandes. En tout état de cause, au début du XIIe siècle, les paroisses de Champeaux, Saint-Méry, La Chapelle-Gauthier et Quiers étaient directement rattachées à l'évêque de Paris, indépendantes de l'archidiaconné de Brie. La collégiale était ainsi le siège d'un doyenné de quatre paroisses auxquelles furent adjointes, par démembrement de territoire, celles de Fouju et Andrezel au XIIIe siècle, puis celle de l'Étang au cours du XVIIe siècle. Un vitrail de la chapelle Saint-Pierre représente dans un hexalobe le doyenné au XVIe siècle, la collégiale étant entourée de six paroissiales (dont Notre-Dame de Champeaux), celle de l'Étang étant absente, de fait[3].

Champeaux fut aux XIe et XIIe siècles un centre de théologie réputé ainsi que le siège d'une école de chantres dans la mouvance de celle de Notre-Dame. Elle s'enorgueillit d'avoir donné le jour à Guillaume de Champeaux, philosophe et théologien, maître d'Abélard.

La collégiale atteste de ce rayonnement culturel campélien qui devait s'émousser avec les siècles, les derniers chanoines quittant définitivement les lieux en 1793. Paradoxalement, la survie du bâtiment, qui fut uniquement collégiale sous l'ancien régime, a été assurée par la destruction en 1792 de l'église voisine, Notre-Dame, et le transfert consécutif du culte paroissial.

Classement et restauration

Au sortir de la période révolutionnaire, la collégiale présentait un état de décrépitude sérieux qui nécessitait des travaux disproportionnés au regard des ressources de la commune rurale de Champeaux. Son classement au titre des monuments historiques, par liste, en 1840[4], permit d'engager quelques premiers travaux de 1844 à 1849. Cependant, la première véritable campagne de restauration du bâtiment s'échelonna de 1891 à 1905. Pour autant, Saint-Martin de Champeaux requiert un entretien permanent. Fondée en 1946, l'Association des Amis de la Collégiale Saint-Martin de Champeaux s'emploie depuis plus de cinquante ans à la restauration de la collégiale[5]. Parallèlement, depuis 1983, l'Association Guillaume de Champeaux concourt à son animation culturelle et musicale. Outre le Festival de Champeaux, au mois de juin, la collégiale est le siège d'auditions au cours de l'Avent musical et des Pâques musicales. Un centre d'art sacré jouxte par ailleurs la collégiale[6].

Architecture

Extérieurs

L'appréhension globale de l'architecture extérieure de la collégiale de Champeaux est quasi impossible, enserrée qu'elle est dans un réseau relativement dense d'habitations privées. La situation devait être comparable sous l'ancien régime, ces habitations s'étant substituées aux bâtiments canoniaux et à l'église Notre-Dame, laquelle flanquait le côté septentrional de la collégiale. Cette paroissiale, démolie en 1792, était longue de 27 mètres, large de 10, et flanquée également d'un clocher au nord[7].

Au lointain, la ligne de crête des toits de la collégiale, discontinue, trahit une construction échelonnée de l'édifice : transept, nef, chœur puis chapelles axiales. Des défauts de raccordement entre les différentes parties de l'église sont perceptibles tant en élévation que quant au mode de couverture. Ainsi, le transept, sensiblement moins haut que la nef et le chœur, semble-t-il quelque peu assujetti à l'axe est-ouest de la collégiale, ce que distribution et circulation intérieures confirment. Par ailleurs, les contreforts et arcs-boutants épaulant la nef enserrent deux fenêtres hautes, laissant présager l'existence des voûtes sexpartites de la nef, tandis qu'au droit de chaque travée du chœur la poursuite effective du parti de la nef paraît moins évidente.

L'attention du visiteur se concentre néanmoins sur la façade occidentale de l'édifice que domine son clocher de 28 mètres. L'hétérogénéité et l'austérité de celle-ci résulte de la mise en défense de la collégiale ordonnée par Charles VI en 1405[8]. L'édifice fut alors doté de meurtrières, chemin de ronde et échauguettes, restaurés en brique au XIXe siècle. Le portail central, autrefois précédé d'un porche, présentait au trumeau une statue de Saint-Martin et au tympan un jugement dernier, éléments sculptés disparus depuis[9]. Un triplet éclairant le vaisseau central le surmonte. Un petit portail donne accès au collatéral sud tandis qu'au nord se loge une large rose dépourvue de remplages.



Seul l'étage du beffroi du clocher égaye la façade. Posée sur une souche de deux étages en calcaire taillé et moellons, il est directement inspiré des tours de Notre-Dame. De plan carré, chacune de ses faces présente deux hautes baies à triples voussures portées par des colonnettes baguées. De part et d'autre, deux baies géminées, sommées d'un oculus, prennent place sous un arc mitré. Aucune corniche ou balustrade ne prolonge cet étage. Seule une tourelle anime l'angle sud-ouest de la tour.

Intérieur

Vue intérieure de la collégiale vers l'est.

Franchi le seuil de la collégiale, le visiteur est saisi par l'ampleur du bâtiment, sa relative homogénéité stylistique, sa luminosité. Fruit pourtant de plusieurs campagnes de construction s'étant étalées de 1160 au début du XIVe siècle l'édifice n'en garde pas moins une grande cohérence dans son parti organisationnel, sa distribution interne. Par delà certaines difficultés de financement, les chanoines de Champeaux ont conduit à terme un projet ambitieux, la collégiale mesurant dans l'œuvre 65 mètres de long pour 20 de large et 15 de haut (vaisseau central)[10]. Le plan est aisément lisible : parfaitement rectangulaire, il s'organise autour du transept, l'axe est-ouest étant privilégié. La nef et le chœur, doublés pareillement de collatéraux, sont sensiblement de même longueur, un chevet plat terminant la collégiale.

La nef

La nef et les collatéraux de la collégiale ont été édifiés en une trentaine d'année (v1180-v1210) [11]. La rapidité de la campagne de construction à permis de garantir régularité et homogénéité à cette partie de l'édifice.

Le vaisseau central présente trois travées doubles, couvertes de voûtes sexpartites, conséquence logique de l'alternance des supports des grandes arcades (colonnes et colonnettes jumelées). Cette disposition procède de l'influence certaine de la proche église métropolitaine de Sens.

Pour autant, si Saint-Martin de Champeaux reprend le parti sénonais d'élévation à trois étages, Notre-Dame de Paris (qui elle en possédait quatre originellement) n'est pas sans marquer l'édifice. Ainsi, reprenant l'ordonnance de l'église épiscopale, les chapiteaux du rez-de-chaussée de la collégiale portent des colonnettes groupées par deux ou trois qui rythment le vaisseau central en demi-travées. Leurs chapiteaux reçoivent les arcs doubleaux, les ogives principales et intermédiaires des voûtes[12].

Par ailleurs, l'étage médian, primitivement percé d'oculi, rappelait l'exemple de la cathédrale parisienne où ceux-ci subsistent à la croisée du transept. Il est probable qu'un réseau de pierre ou de bois devait les orner mais le XVIe siècle mura ces ouvertures circulaires, les remplaçant par de simples fenêtres rectangulaires.

Des fenêtres hautes, au dessin en tiers-point très simple, garnissent enfin l'espace délimité par les arcs formerets que portent des chapiteaux et de fines colonnettes prenant appui sur les chapiteaux de l'étage moyen.



Les murs gouttereaux des nefs latérales reprennent le parti de l'alternance des supports mais les voûtes, qui ne sont plus que d'arêtes, déterminent alors six travées. L'éclairage est également assuré par des fenêtres tiers-point, qui trouvent à se loger au plus près des arcs formerets.

La sculpture se concentre sur les chapiteaux. Ornés de feuilles plates, dentées ou lobées, de crochets, ils s'apparentent à ceux du chœur de Notre-Dame de Paris[13].



Le transept

Le transept constitue la partie la plus ancienne de l'église. Édifiée vers 1160-1170, sa croisée, de plan carré, est portée par de puissantes piles composées et voûtée d'ogives contemporaines de celles de la nef. Cette partie de l'édifice se caractérise par un décor abondant et soigné qui participe d'un répertoire roman tardif : chevrons ornant l'archivolte de l'arcade orientale faisant office d'arc triomphal, chapiteaux à feuilles striées ou dentelées, culots agrémentés de masques-feuilles ou de petits personnages couronnés.



Le chœur

Chœur de la collégiale.

L'édification de la collégiale s'est achevée par la réalisation du chœur, laquelle, entamée vers 1240, devait se terminer dans les premières décennies du XIVe siècle. La lenteur des travaux témoigne des difficultés rencontrées par le chapitre, ses finances ayant été fortement obérées par l'érection du transept et de la nef[14]. Pour autant, les chanoines parvinrent à préserver l'unité architecturale de l'ensemble.

Le chœur comporte deux travées doubles à voûtes sexpartites que prolonge une travée barlongue couverte d'ogives et de liernes. L'élévation, comme dans la nef, est à trois étages, mais les oculi ont été remplacés par de simples ouvertures rectangulaires donnant sur les combles. Terminé par un chevet plat, le sanctuaire est accosté de collatéraux de cinq travées coiffés de voûtes quadripartites. Quatre chapelles basses rectangulaires prolongent vers l'est les trois vaisseaux, constituant avec les collatéraux une sorte de déambulatoire coudé. Primitivement, elles n'avaient pas été prévues. Elles sont venues prendre appui sur les contreforts du chevet au début du XIVe siècle[15].

L'ornementation du chœur trahit l'épuisement progressif des ressources à mesure que l'on s'élève. Collatéraux et grandes arcades du chœur présentent une décoration assez soignée : colonnes sommées de chapiteaux à crochets, arcades moulurées, réseaux des fenêtres d'inspiration champenoise ou dérivant de Saint-Denis (ogives géminées surmontées d'un oculus hexalobé et d'écoinçons ajourés). L'étage médian, aveugle, est rythmé par des faisceaux de trois colonnettes portant des chapiteaux feuillagés où prennent appui ogives et doubleaux ainsi que les ogives intermédiaires par le moyen d'un second groupe de colonnettes. Le clair-étage présente une suite de fenêtres géminées très simplement moulurées. Quant au mur oriental, il est constitué de deux arcades ogivales, d'une arcature formant triforium (six arcs tréflés) et quatre fenêtres hautes.



Quelques éléments sculptés (clefs de voûtes, consoles) égayent discrètement cette partie de l'édifice dont les vitraux constituent la parure essentielle.

Les vitraux

Des cinquante-deux fenêtres de la collégiale, moins d'une vingtaine présentent aujourd'hui des fragments des vitraux originaux qui dataient des XVe et XVIe siècles. Nonobstant cet état de conservation lacunaire, certains comptent parmi les chefs-d'œuvre du gothique flamboyant finissant ou de la Renaissance. Le chartrier de la collégiale mentionne les noms de deux maîtres-vitriers de Melun ayant œuvré à Champeaux : Nicolas maçon et Allain Guijon[16].

Il convient de signaler particulièrement dans le bas-côté nord du chœur des verrières figurant Saint-Nicolas et Saint-Georges, une Crucifixion, ou illustrant l'adoration des mages, la vie de la Vierge.



La chapelle du Saint-Sacrement conserve quant à elle une Annonciation ainsi qu'un arbre de Jessé.

Par ailleurs, une seconde Crucifixion et une charité de Saint-Martin, patron de la collégiale, ornent la paroi orientale du chevet, tandis qu'un vitrail du bas-côté nord de la nef représente Saint-Michel et Sainte-Geneviève.

Mobilier

Les stalles

Détail d'une jouée aux motifs renaissance

La collégiale présente un ensemble exceptionnel de 54 stalles réparties de part et d'autre du transept. On compte ainsi 26 stalles basses et 28 stalles hautes, œuvres sculptées dans le chêne par le menuisier parisien Richard Falaise.

Ces stalles, datant de 1522, ont fait l'objet d'une mesure de classement le 11 avril 1902[17].

Si par leurs thèmes burlesques ou satyriques les miséricordes participent encore du répertoire du Moyen Âge finissant, les jouées qui portent les dais des stalles, de même que le couronnement de ces derniers, trahissent l'influence de l'art de la Renaissance italienne.

Les miséricordes présentent entre autres un cycle intéressant, tiré de l'Ancien Testament, qui narre l'histoire de Job. Par ailleurs, la figuration de proverbes et de jeux de mots, de scènes de la vie quotidienne, témoigne de la verve de l'artiste qui frise parfois la truculence sinon la trivialité.


Les dalles funéraires

Largement moins connues que les stalles, souvent ignorées des visiteurs, les dalles funéraires de Saint-Martin de Champeaux constituent néanmoins un ensemble gravé de tout premier plan témoignant de l'art funèbre aux XIIIe et XIVe siècles et de la célébration du culte des morts au Moyen Âge. Les plus beaux spécimens sont regroupés dans les chapelles du chevet, dalles de chanoines, diacres ou sous-diacres voisinant avec celles de chevaliers ou nobles dames. Quelques inscriptions, épitaphes et plaques commémoratives de fondations de l'époque moderne complètent heureusement cette évocation de la mémoire des défunts[18]. La majeure partie de ces œuvres a été classée au titre d'objet le 17 mars 1955.



Il convient tout spécialement de mentionner:

  • la dalle funéraire de Rose des Marets, décédée en 1333, entourée de son mari Pierre et de son fils, vêtus tels des chevaliers, sa fille étant représentée à ses pieds[19].
  • la dalle funéraire du chanoine Rigaud d'Aurillac, mort en 1347. L'œuvre, en pierre de liais, est enrichie de marbre (tête aux traits effacés). Coiffé de l'aumusse, les pieds reposant sur un épagneul, symbole de fidélité, le défunt est représenté dans une architecture du gothique rayonnant, entouré de deux anges thuriféraires et de dix anges musiciens jouant de la trompette, de la cornemuse, du tambour, de la vièle ou encore de l'orgue portatif[20].

Autres œuvres d'art

Maître-autel de la collégiale.
  • Maître-autel et grand retable de bois datant du XVIIe siècle, situé autrefois au fond du chœur et relégué depuis 1954-1955 dans le transept sud. Classé le 09/05/1967, il est orné d'une Sainte-Marie-Madeleine au pied du Christ en Croix[21].
  • Statues de Saint-Martin et Sainte-Fare, du XVIIIe siècle, placées de part et d'autre du maître-autel.
  • Lutrin en forme d'aigle, de l'époque baroque.
  • Statue de Saint-Denis céphalophore (XIIIe siècle), classée le 10/11/1928 [22].
  • Cycle de peintures très dégradées, du XVIe siècle, ayant pour thème la Passion (Mur de clôture des stalles), qui a été classé le 28/02/1948 [23].

Abbé, chanoines et prieurs

(liste non exhaustive)

Visiteurs célèbres

Sources

  • Collectif, Le guide du patrimoine. Ile-de-France., Hachette, Paris, 1992, 750p., ISBN 2-01-016811-9, pp.160-162.
  • Michel Lheure, Le rayonnement de Notre-Dame de Paris dans ses paroisses :1170-1300., Éditions Picard, Paris, 2010, 244p., ISBN 978-2-7084-0853-1, pp.144, 158, 162-167.
  • Jean Dufour, Le chartrier de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Droz, Genève, 2009, 418p., ISBN 978-2-600-01348-2.

Notes et références

  1. Les dimensions de l'édifice sont les suivantes: L: 65m, l: 20m, h: 15m. Marcel Lacroix, La collégiale Saint-Martin de Champeaux, Notice éditée par l'Association des amis de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Paris, s.d., 17p., p.7.
  2. Jean Dufour, Le chartrier de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Droz, Genève, 2009, 418p., ISBN 978-2-600-01348-2, pp.1-2.
  3. Bernard Plongeron (dir.), Paris. Une histoire religieuse des origines à la révolution., Éditions Beauchesne, Paris, 1987, collection Histoire des diocèses de France, n°20, 492p., ISBN 2-7010-1132-9, p.127.
  4. Notice no PA00086860, sur la base Mérimée, ministère de la Culture
  5. Marcel Lacroix, La collégiale Saint-Martin de Champeaux, Notice éditée par l'Association des amis de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Paris, s.d., 17p., pp.15-17.
  6. Site de la collégiale St-Martin (Histoire, architecture, Patrimoine et Festival
  7. Jean Dufour, Le chartrier de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Droz, Genève, 2009, 418p., ISBN 978-2-600-01348-2, p.29.
  8. Michel Lheure, Le rayonnement de Notre-Dame de Paris dans ses paroisses :1170-1300., Éditions Picard, Paris, 2010, 244p., ISBN 978-2-7084-0853-1, p.167.
  9. Jean Dufour, Le chartrier de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Droz, Genève, 2009, 418p., ISBN 978-2-600-01348-2, p.48.
  10. Marcel Lacroix, La collégiale Saint-Martin de Champeaux, Notice éditée par l'Association des amis de la collégiale Saint-Martin de Champeaux, Paris, s.d., 17p., p.7.
  11. Collectif, Le guide du patrimoine. Ile-de-France., Hachette, Paris, 1992, 750p., ISBN 2-01-016811-9, p.160.
  12. Michel Lheure, Le rayonnement de Notre-Dame de Paris dans ses paroisses :1170-1300., Éditions Picard, Paris, 2010, 244p., ISBN 978-2-7084-0853-1, p.158.
  13. Michel Lheure, Le rayonnement de Notre-Dame de Paris dans ses paroisses :1170-1300., Éditions Picard, Paris, 2010, 244p., ISBN 978-2-7084-0853-1, p.164.
  14. Collectif, Le guide du patrimoine. Ile-de-France., Hachette, Paris, 1992, 750p., ISBN 2-01-016811-9, pp.160-162.
  15. Michel Lheure, Le rayonnement de Notre-Dame de Paris dans ses paroisses :1170-1300., Éditions Picard, Paris, 2010, 244p., ISBN 978-2-7084-0853-1, pp.144, 158, 162-167.
  16. G. Leroy, Vitraux de la collégiale Saint-Martin à Champeaux-en-Brie restitués d'après d'anciens documents, Bulletin archéologique du Comité des travaux historiques, Année 1896, Ernest Leroux éditeur, Paris, 1896, pp.101-115.
  17. Notice no PM77001912, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  18. Ferdinand de Guilhermy et Robert de Lasteyrie, Inscriptions de la France du Ve siècle au XVIIIe siècle. Ancien diocèse de Paris., Imprimerie nationale, Paris, 1873-1883, V volumes in 4°.
  19. Notice no PM77000286, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  20. Notice no PM77000285, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  21. Notice no PM77000295, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  22. Notice no PM77000275, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  23. Notice no PM77000277, sur la base Palissy, ministère de la Culture
  24. Jacques-Gabriel Bulliot: " Essai historique de l'Abbaye de Saint-Martin d'Autun " chap.V., p. 82.

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