- Abbaye de la Joie
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Abbaye de la Joie Présentation Culte Catholique romain Type Abbaye cistercienne Rattaché à Spiritains Début de la construction 1693 Protection Classé MH (1928, porterie)
Inscrit MH (1995, façades, toitures et escaliers)Géographie Pays France Région Bretagne Département Morbihan Ville Hennebont Coordonnées modifier L'abbaye de la Joie, devenue le haras national d'Hennebont, est une ancienne abbaye cistercienne qui dépendait du diocèse de Vannes.
La porterie fait l'objet d'un classement au titre des monuments historiques depuis le 27 juin 1921[1].
Les façades, toitures et escaliers du logis abbatial ainsi que les façades et toitures des communs font l'objet d'une inscription au titre des monuments historiques depuis le 6 novembre 1995[1].
Sommaire
Historique
L'abbaye de la Joie a été fondée en 1275 par Blanche de Champagne, mère du duc Jean II de Bretagne.
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Gisant de Blanche de Champagne
Abbaye de la Joie-Notre-Dame à Hennebont désormais au Musée du Louvre [2]
Elle fut reconstruite au XVIIe siècle (1693), après la destruction le 25 juillet 1510 de l’église, de la sacristie, du chapitre, du dortoir au-dessus, et d'une grande partie du cloître par un incendie. De la reconstruction, il subsiste la porterie, le logis abbatial et un bâtiment d'exploitation.
L’abbesse Suzanne de Ploeuc fit construire un nouveau bâtiment ; l’édifice s'appelle encore aujourd’hui l'abbatiale. Il est constitué en trois corps de logis, formant les trois côtés d’un carré. Le jardin particulier de l’abbesse était établi à l'ouest de l'ensemble.
En 1856, elle devient la propriété du haras. En 1920, le Service des Haras installe des boxes à chevaux au rez-de-chaussée.
Notes et références
Annexes
Articles connexes
Liens externes
Catégories :- Monument historique classé en 1921
- Monument historique inscrit en 1995
- Abbaye cistercienne française
- Abbaye du Morbihan
- Monument historique du Morbihan
- Monument historique inscrit en 1928
- Hennebont
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