- Équipe des États-Unis de basket-ball
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Équipe des États-Unis Couleurs blanc, bleu, rouge Surnoms Dream Team
(1992, 94, 96)
Nightmare Team (2002)
Redeem Team
(2007, 08)Zone FIBA FIBA Amériques Classement FIBA 1e (2010) Sélectionneur Mike Krzyzewski Record de sélections - Meilleur marqueur
sur un matchKevin Durant : 38 pts
(11/09/2010 vs Lituanie)[1]Meilleur scoreur
en carrière- Jeux olympiques Phases finales : 15
(1936, 1948, 1952, 1956, 1960, 1964, 1968, 1976, 1984, 1992, 1996,2000, 2008)Championnat du monde Phases finales : 14
(1954, 1986, 1994 et 2010)
(1950, 1959, 1982)
(1974, 1990, 1998, 2006)L'équipe des États-Unis de basket-ball, aussi connu sous l'appellation Team USA, est la sélection des meilleurs joueurs américains. Elle est placée sous l'égide de la Fédération des États-Unis de basket-ball (USA Basketball).
Championne olympique en 2008, l'équipe des Etats-Unis est également championne du Monde en titre depuis sa victoire sur la Turquie en finale du Mondial 2010 (81-64). La sélection de Mike Krzyzewski a pour l'occasion mis un terme à 16 ans de disette, puisque son dernier titre mondial remontait à 1994[2].
Le Team USA possède le plus beau palmarès du basket international, avec treize médailles d'or olympiques et quatre titres de champion du Monde.
Historique
1936-1968 - Domination des premières joutes internationales
Berceau du basket-ball, principal acteur du développement de ce sport, les États-Unis possédaient un avantage certain sur les autres nations lors des toutes premières rencontres internationales. Les Américains dominèrent la première édition du tournoi olympique de basket-ball qui se déroula à Berlin en 1936 en remportant la médaille d'or tout en restant invaincus. Avec un bilan de cinq victoires et aucune défaite, ils montèrent sur la plus haute marche du podium, accompagnés de leurs deux voisins du continent américain : le Canada et le Mexique.
Les six tournois olympiques suivants virent les Américains décrocher l'or à chaque édition, tout en préservant leur invincibilité. Ils ne concédèrent aucune défaite lors des tournois organisés à Londres, Helsinki, Melbourne, Rome, Tokyo et Mexico. Ces compétitions étaient réservées aux joueurs amateurs. Toutefois, durant cette période, les équipes américaines alignèrent dans leurs rangs des joueurs qui devinrent ensuite de grandes vedettes du sport professionnel comme les légendaires Bill Russell, Oscar Robertson, Jerry West et Jerry Lucas.
Ces trois derniers firent partie de l'équipe qui joua à Rome en 1960 et que beaucoup considèrent comme la meilleure équipe américaine avant la formation de la Dream Team en 1992.
1972 - Controverses aux Jeux de Munich
Les États-Unis se présentèrent au tournoi olympique de Munich en 1972 avec un palmarès très enviable de sept médailles d'or consécutives, compilant un total de 63 victoires pour aucune défaite. L'équipe remporta les huit premiers matchs du tournoi de manière convaincante, s'assurant une place en finale contre l'URSS.
La finale des jeux de Munich fut sans aucun doute la rencontre la plus controversée[3] de l'histoire des Jeux olympiques. Les États-Unis essuyèrent par la même occasion leur première défaite dans un match olympique. À trois secondes de la fin du match, l'ailier américain Doug Collins marqua deux lancers-francs pour placer les États-Unis en tête, 50-49. La sirène retentit cependant juste avant que le deuxième lancer franc de Collins ne soit rentré.
Aussitôt le deuxième lancer de Doug Collins marqué, l'équipe soviétique s'empressa de réaliser la remise en jeu mais ne réussit pas à marquer. Un arbitre avait entre temps arrêté la partie avec une seconde restant à jouer. Il avait entendu le coup de sirène précédent le second lancer franc de Collins et d'après lui la table de marque avait été perturbée. Les arbitres décidèrent de remettre 3 secondes au chronomètre et de faire rejouer la dernière action. Malheureusement, l'arbitre remit la balle en jeu avant que le chronomètre ne fût réinitialisé à 3 secondes. Les Soviétiques tentèrent une longue passe sans succès, la sirène retentit et les Américains commencèrent à fêter leur victoire.
À cet instant, R. William Jones, le secrétaire de la FIBA, fit son apparition pour demander aux arbitres de remettre une seconde fois le chronomètre à 00:03 et de rejouer à nouveau la dernière action du match. Cette fois-ci, la longue passe de l'équipe soviétique fit mouche. La passe de Ivan Edeshko fut captée par Aleksandr Belov au niveau de la ligne des lancers-francs américaine. Belov se joua de Kevin Joyce et Jim Forbes pour filer marquer le panier victorieux juste avant que la sirène ne retentisse.
L'équipe américaine posa une réclamation après le match en signe de protestation. Un jury de cinq hommes dut alors prendre position. Dépassant le cadre sportif, le vote fut avant tout un vote politique[réf. nécessaire]. Les trois votes des membres du jury du monde communiste donnèrent raison à l'équipe soviétique qui remporta ainsi sa première médaille d'or olympique.
Les joueurs de l'équipe des États-Unis refusèrent de recevoir leur médaille d'argent. Kenny Davis alla plus loin en décidant de faire figurer dans son testament qu'il ne souhaitait pas que ses héritiers acceptent la médaille, même à titre posthume[4].
1976-1984 - reconquête de l'or olympique sur fond de boycotts
Après la défaite controversée de Munich, l'équipe américaine coachée par Dean Smith renoua avec l'or olympique en 1976, à Montréal, en remportant 7 victoires et en ne concédant aucune défaite. Ce succès porta le bilan de l'équipe américaine à 78 victoires et 1 défaite.
L'invasion de l'Afghanistan par l'Union soviétique poussa différents pays, dont les États-Unis, à boycotter les Jeux olympiques de Moscou en 1980. L'équipe américaine de 1980 participa toutefois à une tournée à travers les États-Unis nommée « Gold Medal Series ». L'équipe, composée de jeunes talents, futurs joueurs de National Basketball Association (NBA), fut opposée à différentes sélections de NBA et remporta cinq victoires pour une défaite.
En réponse au boycott américain de 1980, la plupart des pays du monde communiste boycottent les Jeux olympiques de Los Angeles de 1984. Michael Jordan fait ses débuts dans le tournoi olympique, huit ans avant la naissance de la première Dream Team. Avec 17,1 points par match, Jordan termine meilleur marqueur de son équipe, entraînée par Bobby Knight. Invaincus, enregistrant huit victoires, les États-Unis décrochent une nouvelle médaille d'or.
1988 - revanche perdue contre les Soviétiques
Avec un effectif dans lequel figuraient plusieurs futures vedettes de la NBA comme David Robinson et Mitch Richmond, l'équipe américaine dut se contenter d'une médaille de bronze aux Jeux olympiques de Séoul.
Les Américains, qui avaient encore en tête la défaite controversée de leurs aînés lors de la finale de 1972, eurent l'occasion de prendre leur revanche sur les Soviétiques. Ils furent finalement défaits en demi-finale par une équipe d'URSS exceptionnelle (Kurtinaitis, Sabonis, Chomičius, Marčiulionis, etc.) sur le score de 82-76.
Une victoire 78-49 sur les Australiens assura aux Américains la troisième place. Le meilleur marqueur de l'équipe des États-Unis fut Dan Majerle.
1992 - la Dream Team
Article détaillé : Dream Team.Lors d'une assemblée générale exceptionnelle le 6 avril 1989, la Fédération internationale de basket-ball décida d'ouvrir, pour la première fois, les compétitions internationales aux joueurs professionnels[5].
L'équipe alignée par les États-Unis pour le tournoi olympique de Barcelone en 1992 fut alors peut-être la plus fameuse collection de talents qu'une équipe sportive ait jamais assemblés. Parmi les 12 joueurs de l'effectif américain, 10 figureront sur la liste des 50 plus grands joueurs de NBA, liste établie en 1996 à l'occasion des 50 ans de la ligue nord-américaine.
L'équipe américaine affronta l'Angola lors du match d'ouverture du tournoi olympique. Barkley marqua 24 points dans ce match qui vit les États-Unis l'emporter sur le score de 116 à 48. Barkley se fit remarquer en donnant un coup de coude à un joueur angolais, joueur qui lui rendait plus de 20 kilos.
Le match suivant opposa la Dream Team à une talentueuse équipe de Croatie. Jordan, avec 21 points, emmena les Américains vers une large victoire (103-70). Les États-Unis enregistrèrent ensuite une victoire contre l'Allemagne avec une bonne performance de Larry Bird (19 points) et Karl Malone (18). Puis sept joueurs américains marquèrent plus de dix points lors de la victoire 127-83 contre le Brésil. Dans ce match, Barkley établit le nouveau record de points pour un joueur américain en sélection avec 30 unités. Le dernier match de poule vit la Dream Team battre l'Espagne et, encore une fois, de manière spectaculaire avec un score de 122 à 81.
Lors des quarts-de-finale, les États-Unis rencontrèrent l'équipe de Porto Rico avec une victoire à la clé sur le score de 115-77. La demi-finale se conclut par une écrasante victoire de la Dream Team sur l'équipe lituanienne 127-76. Neuf joueurs américains marquèrent plus de dix points. La finale fut le match le plus difficile du tournoi pour la Dream Team qui s'imposa de 32 points, 117-85, contre la Croatie.
Avec un écart moyen de 43 points par match, l'équipe américaine a écrasé la compétition tout au long de ce tournoi.
1994 - la Dream Team 2
La deuxième Dream Team participa aux championnats du monde 1994, à Toronto, au Canada. L'effectif fut totalement remanié dans le but de présenter des joueurs différents de ceux présents à Barcelone en 1992. La Dream Team 2 ne possédait pas de noms aussi prestigieux que sa grande sœur la Dream Team 1 mais elle sut se montrer tout aussi redoutable. Composée de jeunes talents de la NBA, elle ramena la médaille d'or en étant dominatrice tout au long de la compétition.
1996 - la Dream Team 3
La troisième équipe américaine composée de joueurs de NBA participe aux Jeux olympiques d'Atlanta en 1996. Encore une fois, l'effectif ne manque pas de vedettes avec cinq membres de la Dream Team 1 (Barkley, Malone, Pippen, Robinson, et Stockton) et deux joueurs élus parmi les 50 plus grands joueurs de la NBA : Hakeem Olajuwon et Shaquille O'Neal.
Les États-Unis décrochent à nouveau la médaille d'or en s'imposant avec une marge moyenne de 32 points par match. Ils s'imposent en finale, devant leur public, contre la Yougoslavie sur le score de 95 à 69.
1998 - lockout de la NBA
L'équipe américaine qui se présente au championnat du monde d'Athènes en 1998 n'est pas considérée comme une Dream Team car aucun joueur de l'effectif n'évolue en NBA à cette période. L'équipe est baptisée « the dirty dozen » (en référence au film Les Douze Salopards) car ses joueurs sont très tenaces et n'hésitent pas à travailler dur pour le bien du collectif.
À cause d'un conflit entre le syndicat des joueurs de la NBA et la direction de la ligue américaine qui mène au lockout, aucun joueur de NBA n'est autorisé à participer au tournoi mondial. Cette équipe de « seconds couteaux », composée de joueurs évoluant en université, dans les ligues mineures américaines et en Europe, remporte tout de même une très honorable médaille de bronze.
Suite à ce tournoi, Brad Miller se révéle être le seul joueur de l'effectif à réellement s'imposer en NBA.
2000 - courte victoire à Sydney
Au cours des années 1990, de plus en plus de joueurs non-américains s'imposent dans la NBA. Dans ce contexte de mondialisation du basket-ball, l'équipe américaine participant aux Jeux olympiques de Sydney, en 2000, a la lourde tâche de prouver que le basket-ball made in USA est toujours le meilleur. L'effectif est composé à nouveau de joueurs de NBA mais la plupart des vedettes déclinent l'offre.
L'équipe coachée par Rudy Tomjanovich remporte très facilement ses deux premiers matchs mais rencontre plus de difficultés par la suite. Le match de poule contre la Lituanie se solde par une mince victoire 85-76. Deux matchs plus tard, lors de la victoire 106-94 contre la France, Vince Carter réalise ce que certains considèrent comme le plus beau dunk de tous les temps en sautant par dessus le pivot français de 2 m 18 Frédéric Weis.
La demi-finale contre la Lituanie se révèle extrêmement serrée. Les États-Unis remportent le match 85-83, la star lituanienne Šarūnas Jasikevičius manquant un tir à 3 points à la dernière seconde du match. En définitive, les Américains ramenent tout de même l'or olympique en s'imposant 85-75 en finale contre la France.
Même si les États-Unis restent invaincus lors ce tournoi, le sentiment d'invincibilité s'est envolé et plusieurs équipes internationales semblent en mesure de rivaliser.
2002 - flop à domicile
L'équipe américaine de 2002 participe au championnat du monde 2002 organisée aux États-Unis, à Indianapolis. De manière encore plus marquée qu'en 2000, les superstars de la NBA boudent ce championnat. L'effectif est tout de même constitué de solides joueurs de la NBA.
Entraînée par George Karl, l'équipe est extrêmement décevante, terminant seulement à la sixième place. Cette campagne désastreuse est considérée comme la pire déroute de l'équipe des États-Unis.
2004 - désillusions olympiques
Se sentant humiliés par le triste résultat de 2002, un grand nombre de vedettes de la NBA décident de faire partie de l'équipe olympique de 2004. Le tournoi des Amériques de 2003, qualificatif pour les Jeux olympiques, voit les Américains écraser la compétition et gagner leur ticket pour les Jeux olympiques d'Athènes l'année suivante.
Malheureusement, le corps de l'équipe dominante de 2003 ne peut pas être conservé pour le tournoi olympique. Pour différentes raisons, 10 des 12 membres de l'équipe renoncent à participer à la compétition. L'effectif final fait figurer de jeunes talents de la NBA comme LeBron James, Dwyane Wade et Carmelo Anthony mais aussi les récents meilleurs joueurs de la NBA Tim Duncan et Allen Iverson.
Après avoir souffert lors des différents matchs de préparation, l'équipe américaine confirme sa vulnérabilité lors de la défaite dans le premier match du tournoi olympique d'Athènes 95-73 contre le voisin Porto Rico. Cette défaite est seulement la troisième de l'histoire de l'équipe des États-Unis aux Jeux olympiques, après les deux défaites contre les Soviétiques en 1972 et 1988. Mais c'est avant tout la première défaite d'une équipe de joueurs de la NBA. Cette large défaite (22 points d'écart) confirme la progression du basket international, qui peut désormais rivaliser avec les joueurs américains.
Après avoir battu la Grèce et l'Australie, les États-Unis subissent une deuxième défaite, cette fois-ci contre la Lituanie. Une victoire lors du dernier match du premier tour contre l'Angola permet aux Américains de se qualifier pour les quarts-de-finale en terminant quatrièmes de leur poule (bilan de trois victoires et deux défaites).
Le quart-de-finale est un succès pour les États-Unis qui battent l'Espagne, encore invaincue, 102-94. Toutefois, l'aventure américaine s'arrête en demi-finale, battus par l'Argentine 89-81. C'est la troisième fois que les Américains laissent échapper la médaille d'or, mais la première fois pour une équipe composée de joueurs de NBA.
Avant le début de ce tournoi, les États-Unis n'ont perdu que deux rencontres olympiques dans leur histoire. Ils s'inclinent à trois reprises dans ce tournoi.
2006-2008 - objectif Pékin
Après les déceptions de 2002 et 2004, les États-Unis décident de changer leur manière de préparer les compétitions internationales. Jerry Colangelo, brillant manager en NBA, est débauché pour prendre en main l'équipe. Il met en place un règlement intérieur plus strict en imposant aux joueurs de s'engager pour trois ans, jusqu'aux Jeux olympiques de Pékin en 2008.
Le staff sélectionné est prestigieux avec au poste de coach Mike Krzyzewski, de l'université Duke, avec comme assistants Jim Boeheim de l'université de Syracuse, Mike D'Antoni des Phoenix Suns et Nate McMillan des Portland Trail Blazers. Alors que quelques joueurs dominants de la NBA comme Kevin Garnett annoncent qu'ils ne participeront pas, d'autres vedettes s'associent officiellement au projet, à l'image de Kobe Bryant, Dwayne Wade et LeBron James. Allen Iverson, capitaine de l'équipe de 2004, n'est pas invité. Dwyane Wade, LeBron James et Carmelo Anthony sont nommés co-capitaines de l'équipe américaine pour le championnat du monde de 2006 au Japon.
L'équipe gagne aisément une place en demi-finale en battant leurs adversaires par une moyenne de 25 points par match. Cependant, en demi-finale, contre la Grèce, championne d'Europe en titre, les Américains essuient une défaite 101-95. La défense des États-Unis lors de cette rencontre est extrêmement passive, permettant à l'équipe de Grèce de tirer à plus de 62 % de réussite. Cette nouvelle déconvenue représente le troisième échec de suite pour l'équipe des États-Unis lors des rencontres internationales après 2002 et 2004. Une victoire contre les Argentins, qui les ont battus en 2002 et 2004, permet tout de même de ramener le bronze du Japon.
Le 23 mai 2007, sept joueurs de l'équipe américaine doivent renoncer à participer au tournoi des Amériques, disputé lors de l'été 2007, à cause de blessures. Ces joueurs sont Gilbert Arenas, Joe Johnson, Brad Miller, Lamar Odom, Chris Paul, Paul Pierce et Dwyane Wade. Par conséquent, huit nouveaux joueurs sont ajoutés à l'effectif de l'équipe nationale. Ces derniers sont Carlos Boozer, Tyson Chandler, Kevin Durant, Jason Kidd, Mike Miller, Tayshaun Prince et Deron Williams.
Le 24 août 2008, les États-Unis battent l'Espagne en finale du tournoi olympique.
2010 – une « équipe B » championne du monde
Les États-Unis alignent une « équipe bis » pour le Mondial, puisqu'aucun joueur de l'équipe des Jeux de 2008 n'y participe.
Cependant, un peu à la surprise générale, l'équipe termine le tournoi invaincue (9 victoires) et s'impose en finale face à la Turquie, qui évolue pourtant à domicile (81-64)[6]. Grand artisan de ce parcours sans faute, le jeune ailier Kevin Durant est élu meilleur joueur du tournoi[7].
Effectif actuel
Sélectionnés pour les Jeux olympiques de Pékin 2008
L'effectif suivant est l'équipe qui est devenue championne olympique.
Nom Numéro Poste Taille Date de naissance Équipe[8] Carmelo Anthony 15 3 2 m 03 29/05/1984 Denver Nuggets Carlos Boozer 4 4 2 m 06 20/11/1981 Utah Jazz Kobe Bryant 10 2 1 m 98 23/08/1978 Los Angeles Lakers Chris Bosh 12 4/5 2 m 08 24/03/1984 Toronto Raptors Dwight Howard 11 4/5 2 m 11 08/12/1985 Orlando Magic LeBron James 6 3 2 m 03 30/12/1984 cleveland Cavaliers Jason Kidd 5 1 1 m 93 23/03/1973 Dallas Mavericks Chris Paul 13 1 1 m 83 06/05/1985 New Orleans Hornets Tayshaun Prince 14 3 2 m 06 28/02/1980 Detroit Pistons Michael Redd 8 2 1 m 98 24/08/1979 Milwaukee Bucks Deron Williams 7 1 1 m 91 26/06/1984 Utah Jazz Dwyane Wade 9 2/1 1 m 93 17/01/1982 Miami Heat Équipe dirigeante
Coach Mike Krzyzewski Université Duke Assistant Jim Boeheim Université de Syracuse Assistant Mike D'Antoni New York Knicks Assistant Nate McMillan Portland Trail Blazers Supervision des adversaires Rudy Tomjanovich Manager général Jerry Colangelo Parcours aux Jeux olympiques
- 1936 : Champion
- 1948 : Champion
- 1952 : Champion
- 1956 : Champion
- 1960 : Champion
- 1964 : Champion
- 1968 : Champion
- 1972 : 2e
- 1976 : Champion
- 1980 : ne participe pas
- 1984 : Champion
- 1988 : 3e
- 1992 : Champion
- 1996 : Champion
- 2000 : Champion
- 2004 : 3e
- 2008 : Champion
Parcours aux Championnats du monde
- 1950 : 2e
- 1954 : Champion
- 1959 : 2e
- 1963 : 4e
- 1967 : 4e
- 1970 : 5e
- 1974 : 3e
- 1978 : 5e
- 1982 : 2e
- 1986 : Champion
- 1990 : 3e
- 1994 : Champion
- 1998 : 3e
- 2002 : 6e
- 2006 : 3e
- 2010 : Champion
Joueurs marquants
Références
- (en) "Durant's 38 points sets U.S. record, propels Americans into title game" Article du Washington Post
- (fr)Forts comme... des Américains sur lequipe.fr
- (en) 10 controverses olympiques, point n°6
- A Few Pieces Of Silver sur sportsillustrated.cnn.com, 15 juin 1992. Consulté le 2 août 2010
- (en) l'histoire de la FIBA sur le site de USA Basketball
- (en)« Durant Lifts Americans Back to Top at Worlds », compte-rendu de la finale par le New York Times, 13 septembre 2010.
- (fr)« Kevin Durant MVP du Mondial », lequipe.fr, 12 septembre 2010.
- Les équipes sont les équipes où jouent le joueur au moment de la compétition.
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