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Veilly
DétailAdministration Pays France Région Bourgogne Département Côte-d'Or Arrondissement Beaune Canton Bligny-sur-Ouche Code commune 21660 Code postal 21360 Maire
Mandat en coursDaniel Barbier
2008-2014Intercommunalité Communauté de communes du Canton de Bligny-sur-Ouche Démographie Population 54 hab. (2008) Densité 10 hab./km² Géographie Coordonnées Altitudes mini. 384 m — maxi. 452 m Superficie 5,39 km2 Veilly est une commune française, située dans le sud ouest du département de la Côte-d'Or et la région Bourgogne.
Sommaire
Géographie
Veilly se trouve à la croisée des pays entre l'Arrière-Côte de Beaune, le début du massif du Morvan et les plaines de l'Auxois. Bligny-sur-Ouche (6 km) et Arnay-le-Duc (10 km) sont les deux bourgs les plus proches de Veilly.
La commune de Veilly possède une superficie de 539,43 ha dont 66,34 ha de bois et forêts et 4,89 ha de propriétés bâties. Le point culminant de la commune se trouve au sommet de la colline dite du "Mont de Veilly". La rivière qui traverse Veilly provient de la source de "Vertelet" et se jette dans l'étang "Le Creux de l'Isle".
Il existe deux étangs : l’étang du Creux de l'Ile et l’étang de l'abreuvoir des gués[1]. De même, la commune de Veilly possède une source minérale ferrugineuse et légèrement purgative[2].
Histoire
Héraldique
Les armes de Veilly se blasonnent ainsi : D'or au tilleul au naturel posé sur une térasse de sinople, au chef de gueules à la croix ancrée aussi d'or.
Les armes de Veilly sont très récentes car Veilly ne possédait pas d'armoirie. Sur la commande d'un ancien maire, Veilly s'est doté des suivantes armoiries : la croix des croisés représente les armes des marquis de Damas d’Antigny et l’arbre représente le tilleul planté par Sully au XVIIe siècle et qui est situé au milieu de la commune.
L’origine
Veilly, Vely, Velly ou Vesly sont un seul et même nom de famille diversement orthographié, mais se prononçant toujours d'une façon identique Vel-ly. Il existerait plusieurs villages appelés Veilly dont Veilly sur l'Aisne près de Soissons, Veilly-sur-Avon près de Meaux, et Veilly-sur-Sauldre dans le Cher.
Les noms de village de Villey-sur-Tille (21), Villy-en-Auxois (21), Villy-le-Moutier (21), Veilly (21), Villy (89) sont probablement des formes locales de villare, un dérivé du mot villa et désigne un hameau ou une ferme, et non des noms d’hommes gallo-romains. Ce terme s’est développé à l’époque carolingienne[3].
Le nom de Veilly pourrait aussi venir de vidu qui signifie « forêt » en gaulois. Les habitants de ce village s'appellent les Vidéliens.
Veilly sous Antigny
Avant de s’appeler Veilly, le village était désigné sous le nom de Veilly sous Antigny pendant l'Ancien régime. Les premières traces du nom de Veilly se retrouvent en 985 dans les Chartes de Cluny (un village désigné sous le nom de Valelia, peut-être Veilly)[4].
Veilly est orthographié dans les anciennes cartes (dont la date est mentionné entre parenthèses) de manière différente: Veilli dans le cartulaire de Citeaux (1098-1100) ; Bernardus de Videliaco (1116) ; Villeiacum (1140) ; Villiacum (1201) ; Viellé (1210) par LA Bussière H531 ; Vileium (1229) ; Viillé (1301) ; Villegum (1312) ; Veilez (1333) ; Vilegum (1343) ; Veley (1343) ; Veilley (1424) ; Villey (1431) ; Villey près d’Antigny (1450) ; Veilly soubz Antigny (1494) ; Veylley (1494) ; Veylley (1495) ; Veilly soubz Anigny le Chastel (1646) ; Veilly (1656) ; Veilly soubs Antigny (1657) ; Vielly (1663) ; Veilly sous Antigny le château (1791).
Quoi qu'il en soit, Veilly est désigné sous le nom de Villiacum par l’abbé Courtépée dans sa description générale de la Bourgogne (1780), ouvrage qui fait encore autorité.
D’un point de vue géographique, le village était à l'origine une ancienne villa gallo-romaine, suivant des sources historiques, qui était située sur l'un des flancs du Mont de Veilly[5].
Le Village se serait dès lors "déplacé" du site de la villa gallo-romaine autour du XIVe ou XVe siècle vers l’endroit où se situe le village aujourd’hui pour cause de peste semble-t-il.
Sous l’Ancienne France
Sous l’Ancien Régime, Veilly-sous-Antigny vivait principalement d'une économie agraire et forestière et était dépendante des seigneurs locaux.
Le village dispose encore d'une chapelle du XVe siècle siècle (voir ci-dessous) et d'une église du XVIIe siècle (voir ci-dessous). Il existe encore une bâtisse datant du XVe siècle mais elle est actuellement en ruine (elle est de style renaissance), et le reste des maisons du village datent des XVIIe et XVIIIe siècles et pour certaines du XIXe siècle (la mairie est plus récente et date du début XXe siècle). Deux fermes possèdent cependant des pigeonniers datant de l'Ancien Régime laissant supposer que la population du village était composée d'officiers d'Etat ou de greffiers au service des seigneurs locaux en plus d'un membre du clergé régulier (il existait une cure) et des fermiers, laboureurs et manoeuvres. Ainsi, les sources historiques mentionnent la présence d'un certain Etienne de Poigny, notaire à Veilly-sous-Antigny au XVIIe siècle[6] ou encore Biaise Gaulthier, notaire royal, demeurant à Veilly-en-Auxois[7].
Veilly est mentionné dans l’Histoire de la ville de Beaune[8] comme une « Paroiffe de l'Archiprêtré d'Arnay-le-Duc , fous le vocable de Saint Caffien, à quatre lieues oueft-nord-oueft de Beaune ; la Cure du patronage de la Collégiale de Saulku, & la Terre de la dépendance du Marquifat d'Antigny . »
On vénérait à Veilly, sous l’ancienne France, Saint Cassien[9].
Veilly a été sous la dépendance de la Seigneurie d’Antigny depuis le Moyen Âge. Antigny est situé à deux kilomètres de Veilly (Château de Foissy, village d'Antigny-le-Château et d'Antigny-la-ville). Durant plusieurs siècles, les Seigneurs d’Antigny avaient le droit de «justice haute, moyenne et basse au dit Heu de Veilly et sur ses sujets». Les habitants des environs d’Antigny, « les dits manans et habitans du dit Veilly… » devait « en personne faire le guet et garde au chastel du dit Antigny à tour de rolle et aporter pour la dite garde les armes et batons qu'ils peuvent fournir selon leurs facultés, le tout en temps de guerre et d'imminent péril». La Seigneurie d'Antigny était une des plus anciennes baronnies de Bourgogne. La Seigneurie d'Antigny fut successivement possédée par les comtes de Joigny, par les seigneurs de la Tremoille, repris par les Vienne, puis passa en 1651 aux Damas. Cette terre fut érigée en marquisat en 1654. Louis XVIII éleva Charles César de Damas à la pairie et Charles X lui accorda le titre de duc en 1827. En 1923, le château a été racheté par un diplomate américain Royall Tyler et sa femme Elisina et est resté dans sa famille depuis lors.
Il semble qu’une partie des terres de Veilly ait été sous la domination des Seigneurs de Lusigny jusqu'à la révolution. Ainsi, Le comte de Lusigny, né en 1725, était seigneur de Grammont, des Levées, de là Sarrée, de Thorey-sons-Charny, de Veilly et de Visigneux en partie[10].
Courtépée précise dans son histoire du duché de la Bourgogne que la paroisse de Veilly est sous le vocable de Saint Cassien, dispose d’une « Petite église neuve dépendant du marquisat d’Antigny et d’une Chapelle rurale autour de laquelle un cimetière »[11].
Lieux et monuments
- Le tilleul de Sully : situé derrière l'église, c'est un tilleul du XVIIe siècle qui fut planté sous le règne d'Henry IV. La particularité de ce tilleul est qu'il est creux à l'intérieur et qu'il est possible de rentrer dedans. Il mesure 25 m de hauteur et 10 m de circonférence.
- L'église Saint-Cassien est une église dédiée à saint Cassien bâtie aux XVIIe et XIXe siècles. Elle a dû être rénovée en 1999 suite à un violent orage qui a endommagé le clocher de l'église. Au sud du village, sur un tertre, l'église forme un ensemble bâti au XVIIIe siècle avec la tour du clocher-porche en façade. Sa nef rectangulaire est couverte d’un plafond lambrissé. Elle est séparée du chœur par un arc triomphal en plein cintre. Ce chœur est couvert d'un plafond bordé d'une corniche à modillons. L'autel majeur est également du XVIIIe siècle avec un tabernacle surmonté d'un dais d'exposition. Sur le mur du chevet, le tableau de saint Cassien, dont l'église porte le nom était entouré de statue du XVIe siècle. L’église de Veilly possède une statue représentant un saint évêque (hauteur de 0,85 cm). Suivant Jacques Baudoin, ce « saint évêque de Veilly » est la réplique agrandie de l’évêque du cortège de Champmol. Coiffé d’une haute mitre perlée, le saint de Veilly possède des traits burinés qui l’apparentent à un portrait[12]. Ce saint personnage serait une réplique agrandie de l’évêque du cortège funèbre du tombeau de Philippe le hardi. On peut supposer que la statue sort de l’atelier de Claux de Werve[13].
- La chapelle du XVe siècle dite Notre-Dame-de-Consolation est vouée à l'assomption de la Vierge Marie. Selon la tradition, ce sanctuaire a remplacé un très ancienne chapelle. La chapelle s'ouvre par une porte panier avec accolade. À l’intérieur se remarquent deux bancs de bois sculpté du XVe siècle surmontés « d'une crête à lobes flamboyants découpés à jours ».
La Vierge au Manteau de la Chapelle Notre-Dame de Consolation
Une statue de la vierge au Manteau datant du XVe siècle se trouve sur l’autel de la chapelle Saint-Claude à Veilly et invoquée sous le nom de Notre-Dame de Consolation.
Cette statue est originale et est entourée d’une légende expliquant son apparition. Cette représentation de la Vierge présente des similitudes avec d’autres vierges au manteau présente dans des localités avoisinantes en Bourgogne. Il existe également des similitudes entre la légende née autour de la statue de Veilly et des légendes similaires dans les paroisses avoisinantes
Description
Dans cette chapelle du XVe siècle, il y a un groupe en pierre représentant la Sainte Vierge de Miséricorde, grandeur nature, avec deux anges soulevant son manteau royal sous lequel viennent s'abriter en suppliant quatorze petits personnages. Au-dessous de cette statue, il y a un sacrarium (lieu où l'on garde les hosties consacrées) hexagonal en bois sculpté du XVe siècle.
Un faste royal environne Marie : couronne ciselée, vaste manteau de cour doublé et moucheté d'hermine, longue robe déployée en éventail à la base, surtout d'apparat.
Marie est représentée debout, son manteau ouvert protégeant les autres personnages. Un couple d'anges soulève les bords du grand manteau de la Vierge. Parmi ces personnages figurent, des saints, des priants parmi lesquels souvent le donateur ou le commanditaire.
Aux pieds de Marie, s'ordonne la double hiérarchie des grands de l'église et des grands de la terre : pape, cardinal, religieux ; rois, reine et gentilshommes. Dans l'affaiblissement général du modelé, se détache par la modestie de l'attitude et la ferveur de l'oraison, un chevalier.
Origine de la représentation
Cette statue est datée du XVe siècle. Cette partie de la Bourgogne a connu à cette époque de nombreuses calamités causées par les guerres et les épidémies et la peur de la mort était omniprésente. Parmi tous les intercesseurs spirituels invoqués, la Vierge avait alors la faveur des Bourguignons.
Ainsi de nombreuses vierges de miséricorde, de consolation, de réconfort ou de salvation furent érigées dans cette partie de la Bourgogne. Elles désignent les figurations de la Vierge abritant sous son manteau une foule de fidèles. Généralement on y reconnait les représentants de la hiérarchie religieuse et civile.
Légende
La statue aurait été trouvée par un paysan qui surveillait ses vaches en train de paître. La journée avançant, il remarqua qu'un carré d'herbe vert repoussait dès qu’il fut arraché et mangés par ses vaches. Sur ce point l’histoire à une variation différent : il s’agirait d’un carré d'herbe verte et fraiche à laquelle les bêtes n'avaient jamais touché qui attira l’attention du paysan.
S’interrogeant sur cette mystérieuse circonstance, il creusa, pensant trouver une source ou du moins quelque chose sous ce carré de terre…et il trouva une statue de Marie.
Il creusa et sortit cette statue de la terre. Puis, aidé par d’autres villageois, il tenta de transporter la statue à l'église de Bessey-la-Cour, renommée d'antiquité, consacrée aux saints Celse et Nazaire. Les chevaux ou les vaches chargés de transporter la statue jusqu’à bon port, refusèrent d’avancer et les paysans durent s’arrêter dans le village le plus proche qui était alors Veilly appelé à l’époque Veilly-sous-Antigny. De meme, sur ce point la légende à une variante : la terre, sur laquelle le paysan avait trouvé la statue appartenait à un riche propriétaire d'un village voisin. Celui-ci ordonna que la statue soit ramenée dans son village mais les bœufs n'étant pas de cet avis cessèrent d'avancer. Las d'attendre, le riche propriétaire leur laissa prendre le chemin qu'ils souhaitèrent, alors les bœufs tirèrent leur charrette jusqu'au village de Veilly.
Développements antérieurs à la légende
Cette statue de la Vierge aurait des dons de protection. À la fin du XIXe siècle, les pèlerinages reprirent et en 1873, plus de quatre mille personnes étaient présentes le 8 septembre (fête nationale de la vierge). Notre-Dame de Consolation, représente par cette vierge de miséricorde, est, selon la tradition, une vierge trouvée miraculeuse. On dit que les mobilisés de la Première guerre mondiale sont venus avant de partir demander sa protection ; ils sont tous revenus sains et saufs à l'exception de l'un d'eux qui ne l'avait pas implorée.
Dans les années d'après-guerre, ce pèlerinage rassemblait près d'un millier de fidèles, venant des environs et de plus loin encore. Plusieurs prêtres célébraient autrefois l'office et il était de tradition que le prédicateur fût un prêtre extérieur à la paroisse. Parmi eux, on peut se souvenir d'évêque, archiprêtre, doyens des alentours sans omettre le chanoine Kir qui aimait faire étape à Veilly.
Le 15 août de chaque année, les paroissiens se réunissent pour assister à une messe qui se déroule sous le vénérable Sully et se rendent en procession dans la ravissante chapelle qui est édifiée dans le cimetière voisin. Notre Dame de Consolation protège les fidèles, dit-on de mémoire d'anciens.
Administration
Liste des maires successifs Période Identité Étiquette Qualité mars 2001 en cours Marcel Lechenault Toutes les données ne sont pas encore connues. Veilly ne dispose d'aucun commerce. L'école communale fut fermée de fait du manque d'élève. La population est constituée pour la plupart d'agriculteurs possédant des terrains tout autour de la commune.
Démographie
Évolution démographique
(Source : INSEE[14])1962 1968 1975 1982 1990 1999 2007 52 66 61 60 59 64 51[15] Nombre retenu à partir de 1962 : population sans doubles comptes Galerie de photos
Annexes
Bibliographie
- articles du journal de Côte d'or Le Bien public,
- ouvrages divers : Chapelles rurales de côte-d'or de Bernard Viry (2005) ; La Sculpture flamboyante en Bourgogne et Franche-Comté de Jacques Baudoin (1996) ; Bulletin d'histoire, de littérature et d'art religieux du Diocèse de Dijon (1895) par J. Mersch à Dijon ; Mémoire de la Commission des antiquités du département de la Côte-d'Or, Académie des sciences, arts et belles lettres de Dijon (1856) ; De Sluter à Sambinessai critique sur la sculpture et le décor monumental en Côte d'Or de Henri David publié en 1933 par Ernest Leroux ; Bourgogne et Morvan de Albert Colombet - Morvan (1969)
Notes et références
- Joseph Garnier, Nomenclature historique des communes, hameaux, écarts, lieux détruits, cours d'eau et montagnes du Département de la Côte-d’Or, E. Jobard, 1869
- p. 351 Dictionnaire géographique universel: contenant la description de tous les lieux du globe intéressants sous le rapport de la géographie physique et politique, de l'histoire, de la statistique, du commerce, de l'industrie, etc, A. J. Kilian, 1833,
- p. 158 Gérard Taverdet, Noms de lieux de Bourgogne plus de 1200 noms expliqués Noms de lieux, Christine Bonneton, 2007,
- p. 194 ou peut-être en 868 suivant le Dictionnaire topographique du département de la Côte-d'Or : comprenant les noms de lieux anciens et modernes par Alphonse Roserot, publié par Imprimerie nationale, 1924) Bulletin de la Société de l'histoire de France, par Société de l'histoire de France, publié par J. Renouard, 1856,
- « L'est de la montagne sur laquelle est situé le château d'Antigny, (où se trouve) la métairie du Mont de Veilly, qui n'offre rien de remarquable que l'emplacement d'une ancienne villa gallo-romaine. » (M. LOIDREAU, Antigny et ses environs, Mémoires de la commission des antiquités du département de la Cote-d'Or, 1847 : 149)
- p. 145 Dictionnaire de la noblesse, publié par Chez la veuve Duchesne, 1784,
- p. 205 Mémoires de la Société bourguignonne de géographie et d'histoire, par Société bourguignonne de géographie et d'histoire, Dijon, Armand Cornereau, 1913,
- p. 248 L. Gandelot, Publié par Chez Frantin, 1772,
- p. 477 L'encadrement religieux des fidèles au Moyen-âge et jusqu’au Concile de Trente: la paroisse, le clergé, la pastorale, la dévotion, par Collectif, Congrès national des sociétés savantes 109, Dijon Section d'histoire médiévale et philologie, Comité des Travaux Historiques et Scientifiques, France. Publié par Ministère de l'éducation nationale, Comité des travaux historiques et scientifiques, 1985,
- p. 24. Nobiliaire universel de France, publié par Au bureau du Nobiliaire universel de France, Réimprimé à la Librairie Bachelin-Deflorenne, 1816,
- Description générale et particulière du duché de Bourgogne: Bailliages de Dijon, Beaune, Nuits, Auxonne, Saint-Jean-de-Losne, et Autun, par Claude Courtépée, Edmé Béguillet, Pierre Gras, Jean Richard, 1780
- p. 132 Jacques Baudoin, La sculpture flamboyante en Bourgogne et Franche-Comté, 1996,
- XVe siècle, par Claux de Werve, Musée de Dijon, 1976, p. 46 Claux de Werve et la sculpture bourguignonne dans le premier tiers du
- Veilly sur le site de l'Insee
- Résultats du recensement de la population - 2007
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
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