- Syndicat national des lycées et collèges
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Syndicat National des Lycées et Collèges Contexte général Zone d’influence France Fiche d’identité Fondateur Albert Fedel Forme juridique loi du 21 mars 1884 Fondation 21 avril 1905 Siège central 4, rue de Trévise
75009 ParisPrésident(e) François Portzer Membres 14 000 adhérents revendiqués Slogan Le syndicat par excellence modifier Le syndicat national des lycées et collèges (SNALC) est un syndicat d'enseignants du second degré, affilié à la Confédération syndicale de l'Éducation nationale (CSEN).
Le SNALC-CSEN se veut indépendant de toute attache politique, confessionnelle ou idéologique[1]. Il est parfois classé à droite par certains observateurs, bien que le syndicat ne revendique d'aucune manière ce rapprochement[2].
Sommaire
Historique
Lors de sa fondation le 21 avril 1905 dans la salle des fêtes du lycée Louis-le-Grand, le SNALC porte le nom de Fédération nationale des professeurs des lycées de garçons et de l’enseignement secondaire féminin. Au nom de la « valeur de l'enseignement secondaire », il s'oppose d'abord à la transformation des « professeurs adjoints » (simples bacheliers) en professeurs à part entière, ensuite à la surveillance par les professeurs des « récréations d'inter-classe », tâche jusqu'alors dévolue aux répétiteurs[3]. Ce n'est alors qu'une association professionnelle, déclarée le 23 mai 1910 avec pour but « études relatives à l’enseignement secondaire, défense de ses membres » (voir Journal officiel du 10 juin 1910). Craignant pour son indépendance, elle refuse en 1911 d’adhérer à la Fédération générale des fonctionnaires.
En 1925, le syndicalisme étant autorisé aux agents de l'État, la fédération se transforme en Syndicat national des professeurs des lycées de garçons et du personnel de l’enseignement secondaire féminin. En juin 1927, pour protester contre la situation financière des professeurs, il organise une grève du baccalauréat qui lui vaut des critiques d'une partie de la presse[4].
Certains voudraient aller plus loin et souhaitent que le syndicat adhère à la CGT réformiste. Des consultations sont organisées en avril 1920, en avril 1933 et en mars 1934. À chaque fois, la majorité requise des deux tiers n'est pas atteinte. Ces refus provoquent une crise au sein du syndicat. Une nouvelle direction favorable à l'indépendance est mise en place. Cependant, un certain nombre d'adhérents font le choix de la double appartenance en étant à la fois membre du syndicat de la CGT voire de la CGTU.
En mars 1936, la réunification de la CGT modifie la situation. Le congrès de 1937 refuse une nouvelle fois l'adhésion à la CGT. Les minoritaires, favorables à l'affiliation confédérale quittent le syndicat et participent à la création du SPES (Syndicat du Personnel de l'Enseignement Secondaire, ancêtre du SNES), au sein de la confédération. Le syndicat se transforme alors en Syndicat national des lycées, collèges et cours secondaires et interdit l'appartenance individuelle à une confédération. Avec plus de 5 000 adhérents, il est alors très majoritaire : aux élections du Conseil supérieur de l'instruction publique de 1938, il obtient 51% des suffrages, plus de 60% chez les professeurs agrégés[5]. En 1938, avec l'Amicale de la magistrature et la Société des agrégés de l'Université, il participe à la constitution de la Fédération nationale des corps de l’État et des cadres des administrations publiques (FNCA) qui compte, en 1938, 16 440 adhérents[6].
Le 15 octobre 1940, le syndicat est interdit par le régime de Vichy. Beaucoup de ses adhérents et de ses dirigeants sont prisonniers en Allemagne. A la Libération, une nouvelle tentative de rapprochement entre syndicats du second degré au sein de la CGT aboutit à la création du SNES. Le futur SNALC refuse de participer à ce processus. Il est alors devenu minoritaire (en 1956, il compte environ 2 500 adhérents)[7].
En 1949, il adopte son sigle actuel de SNALC pour Syndicat national des lycées et collèges[8]
En 1954, le syndicat adhère à la Confédération générale des cadres, qu'il quitte en 1978 en raison de divergences sur la loi Haby, le SNALC s'étant opposé dès 1975 à la réforme du « collège unique »[9].
En 1982, une partie des responsables du SNALC décide de rejoindre les syndicats Force ouvrière qui viennent de se créer dans l'éducation nationale à partir d'une scission de la FEN. En janvier 1984, le SNALC est à l'origine de la création de la CSEN.
Le SNALC soutient le transfert de l'EPS du ministère de la Jeunesse et des Sports vers l’Éducation nationale en 1981 et la loi Carraz du 23 décembre 1985 instituant les baccalauréats professionnels. Il combat la loi dite d'orientation du 10 juillet 1989.
Le 23 janvier 1992, il occupe la salle du Conseil national des programmes pour protester contre les projets qui menacent l’enseignement des langues vivantes. Il est en pointe dans les actions menées contre les décrets de Robien du 12 février 2007 qui alourdissaient le temps de travail des personnels et encourageaient la bivalence des professeurs de l'enseignement général. Grâce à cette mobilisation, ces textes ont été abrogés (décret n°2007-1295 du 31 août 2007).
Le SNALC-CSEN est affilié à la Fédération générale autonome des fonctionnaires depuis que le Conseil national de la FGAF a approuvé à l'unanimité l'entrée de la CSEN en son sein, le 4 juin 2008[10].
Le 5 janvier 2011, François Portzer est élu président du SNALC, fonction à laquelle il succède à Bernard Kuntz[11] qui déclare vouloir, dans le cadre de la préparation aux élections professionnelles d'octobre 2011, « recentrer ses activités sur la CSEN ». Bernard Kuntz quitte la CSEN le 16 mai 2011 pour rejoindre Force ouvrière.
Présidents du SNALC[12]- 1905-1920 : Albert Fedel (1870-1961)
- 1920 : Paul Fouquet (1876-1920)
- 1920-1931 : Victor Cope (1877-1932)
- 1931-1934 : Edmond Lackenbacher (1901-1940)
- 1934-1939 : André-Marie Gossart (1889-1961)
- 1939-1940 : Raoul Binon (1885-1973)
- 1947-1952 : André Pétrus (1900-1957)
- 1952-1961 : Hector Mériaux (1901-1996)
- 1961-1966 : Irénée Barbance (1901-1980)
- 1966-1980 : Gérard Simon (1928- )
- 1980-1992 : Jean Bories (1933-2008)
- 1992-1997 : Françoise Angoulvant (1940- )
- 1997-2011 : Bernard Kuntz (1951- )
- 2011- : François Portzer (1959- )
Congrès du SNALC- 20-21 avril 1905 1er Congrès national à Paris
- 20-21 avril 1906 2ème Congrès national à Paris
- 5-6 avril 1907 3ème Congrès national à Paris
- 24-25 avril 1908 4ème Congrès national à Paris
- 16-17 avril 1909 5ème Congrès national à Paris
- 1er-2 avril 1910 6ème Congrès national à Paris
- 21-22 avril 1911 7ème Congrès national à Paris
- 12-13 avril 1912 8ème Congrès national à Paris
- 28-29 avril 1913 9ème Congrès national à Paris
- 17-18 avril 1914 10ème Congrès national à Paris
- 19-20 mai 1918 11ème Congrès national à Sceaux
- 25-26 avril 1919 12ème Congrès national à Paris
- 7-9 avril 1920 13ème Congrès national à Strasbourg
- 19-22 avril 1921 14ème Congrès national à Paris
- 20-22 avril 1922 15ème Congrès national à Paris
- 5-6 avril 1923 16ème Congrès national à Paris
- 24-26 avril 1924 17ème Congrès national à Paris
- 16-18 avril 1925 18ème Congrès national à Paris
- 29-30 avril 1926 19ème Congrès national à Paris
- 11-13 avril 1927 20ème Congrès national à Paris
- 3-4 avril 1928 21ème Congrès national à Paris
- 26-27 mars 1929 22ème Congrès national à Paris
- 15-16 avril 1930 23ème Congrès national à Paris
- 31 mars-1er avril 1931 24ème Congrès national à Paris
- 22-23 mars 1932 25ème Congrès national à Paris
- 11-12 avril 1933 26ème Congrès national à Paris
- 27-28 mars 1934 27ème Congrès national à Paris
- 21 mai 1934 Congrès exceptionnel à Paris
- 16-17 avril 1935 28ème Congrès national à Paris
- 7-9 avril 1936 29ème Congrès national à Paris
- 22-24 avril 1937 30ème Congrès national à Paris
- 15 juillet 1937 Congrès extraordinaire à Paris
- 12-13 avril 1938 31ème Congrès national à Paris
- 4-5 avril 1939 32ème Congrès national à Paris
- 17-18 mars 1940 33ème Congrès national à Paris
- 34ème Congrès national
- 30 mars 1947 35ème Congrès national à Paris
- 28 mars 1948 36ème Congrès national à Paris
- 11 avril 1949 37ème Congrès national à Paris
- 3 avril 1950 38ème Congrès national à Paris
- 19 mars 1951 39ème Congrès national à Paris
- 7 avril 1952 40ème Congrès national à Paris
- 29-30 mars 1953 41ème Congrès national à Paris
- 11 avril 1954 42ème Congrès national à Paris
- 3-4 avril 1955 43ème Congrès national à Paris
- 25 mars 1956 44ème Congrès national à Paris
- 14-15 avril 1957 45ème Congrès national à Paris
- 30-31 mars 1958 46ème Congrès national à Paris
- 22-23 mars 1959 47ème Congrès national à Paris
- Juillet 1959 Congrès extraordinaire à Paris
- 3-4 avril 1960 48ème Congrès national à Paris
- 23-24 mars 1961 49ème Congrès national à Paris
- 30 juin 1961 Congrès extraordinaire à Paris
- 12 avril 1962 50ème Congrès national à Paris
- 31 mars-1er avril 1963 51ème Congrès national à Paris
- 8-9 avril 1964 52ème Congrès national à Paris
- 12 avril 1965 53ème Congrès national à Paris
- 31 mars-1er avril 1966 54ème Congrès national à Paris
- 5-6 avril 1967 55ème Congrès national à Paris
- 4-6 avril 1968 56ème Congrès national à Paris
- 31 mars-2 avril 1969 57ème Congrès national à Paris
- 22-24 mars 1970 58ème Congrès national à Paris
- 4-6 avril 1971 59ème Congrès national à Paris
- 26-28 mars 1972 60ème Congrès national à Paris
- 7-8 avril 1973 61ème Congrès national à Paris
- 20-22 mars 1974 62ème Congrès national à Paris
- 20-22 mars 1975 63ème Congrès national à Paris
- 18-20 mars 1976 64ème Congrès national à Paris
- 24-26 mars 1977 65ème Congrès national à Paris
- 8 mars 1978 Congrès extraordinaire à Paris
- 16-18 mars 1978 66ème Congrès national à Paris
- 25-27 janvier 1979 67ème Congrès national à Paris
- 27-29 mars 1980 68ème Congrès national à Paris
- 4-6 mai 1981 69ème Congrès national à Paris
- 8-10 octobre 1981 Congrès extraordinaire à Paris
- 2 décembre 1981 Congrès extraordinaire à Paris
- 10-12 mai 1982 70ème Congrès national à Paris
- 5-6 mai 1983 71ème Congrès national à Paris
- 8 décembre 1983 Congrès extraordinaire à Paris
- 25-28 avril 1984 72ème Congrès national à Paris
- 24-27 avril 1985 73ème Congrès national à Paris
- 23-26 avril 1986 74ème Congrès national à Paris
- 1er-2 avril 1987 75ème Congrès national à Vichy
- 20-22 avril 1988 76ème Congrès national à Paris
- 26-28 avril 1989 77ème Congrès national à Nice
- 2-4 mai 1990 78ème Congrès national à Paris
- 15-17 mai 1991 79ème Congrès national à Limoges
- 12 février 1992 Congrès extraordinaire
- 13-15 avril 1992 80ème Congrès national à Paris
- 16 décembre 1992 Congrès extraordinaire à Paris
- 6-8 avril 1993 81ème Congrès national à Toulouse
- 17-19 mai 1994 82ème Congrès national à Paris
- 24-26 janvier 1995 Congrès extraordinaire à Levallois-Perret
- 23-27 mars 1995 83ème Congrès national à Levallois-Perret
- 25-29 mars 1996 84ème Congrès national à Saint-Raphaël
- 1er-4 avril 1997 85ème Congrès national à Levallois-Perret
- 23-27 mars 1998 86ème Congrès national à Périgueux
- 23 septembre 1998 Congrès extraordinaire
- 13-17 mars 2000 87ème Congrès national à Paris
- 16 mai 2001 Congrès extraordinaire à Brive
- 22-26 octobre 2001 88ème Congrès national à Vannes
- 11 septembre 2002 Congrès extraordinaire à Besançon
- 19-23 mai 2003 89ème Congrès national à Saint-Raphaël
- 4 février 2004 Congrès extraordinaire à Levallois-Perret
- 5-8 avril 2005 90ème Congrès national à Paris
- 3-7 avril 2006 91ème Congrès national à Montbéliard
- 22-26 octobre 2007 92ème Congrès national à Dijon
- 11-15 mai 2009 93ème Congrès national à Sevrier
- 15-19 novembre 2010 94ème Congrès national à Toulouse
- 5 janvier 2011 Congrès extraordinaire à Paris.
Organisation
Le SNALC-CSEN est organisé en sections d'établissement (S1), sections départementales (S2), sections académiques (S3) et direction nationale (S4). Chacun des niveaux est chargé des relations avec les autorités correspondantes: chefs d'établissement, inspecteurs d'académie, recteurs d'académie, ministre de l'Education nationale.
Le Bureau National est qui est élu en Congrès National pour trois ans au scrutin secret comprend vingt et une personnes : un président (François Portzer), trois vice-présidents (Michèle Houel,Claire Mazeron et Albert-Jean Mougin), un administrateur général, un trésorier, des secrétaires nationaux et de simples membres. Les instances nationales du SNALC-CSEN siègent à Paris : 4, rue de Trévise, dans le 9ème arrondissement. Le syndicat édite La Quinzaine Universitaire dont le premier numéro remonte à septembre 1919.
Le SNALC et la CSEN ne reçoivent aucune subvention d’Etat[13]. La seule aide que les pouvoirs publics accordent au SNALC consiste en heures de décharges dont le nombre est calculé, comme pour ses concurrents, en fonction de ses résultats aux élections professionnelles[14].
Représentativité
Le SNALC-CSEN revendique aujourd'hui 14 000 adhérents[15].
Il a recueilli tous corps confondus 16.569 voix lors des élections professionnelles du 6 décembre 1993[16], 17.579 suffrages lors du scrutin du 12 décembre 1996, puis 19.234 les 7 et 16 décembre 1999, soit un gain de 1.655 bulletins. Le 3 décembre 2002, le SNALC rassemble alors sur son nom 20.481 voix (7,86%)[17].
Lors des élections professionnelles du 6 décembre 2005, il a obtenu 7,65% (19.657 voix)[18], soit un recul de 0,21%. Il a néanmoins conservé ses 6 commissaires paritaires nationaux : 2 professeurs de chaire supérieure, 2 professeurs agrégés, 2 professeurs certifiés, et accru son nombre de commissaires paritaires académiques ou territoriaux (titulaires ou suppléants) qui sont désormais 252 au lieu de 226.
Au scrutin du 2 décembre 2008, le SNALC obtient 20.669 voix (7,95%) soit une progression, de 976 suffrages[19]. Il perd cependant un siège de commissaire paritaire national pour les professeurs de chaire supérieure.
Le SNALC-CSEN participe aux organismes consultatifs, notamment au Conseil Supérieur de l’Éducation (CSE) et au Comité Technique Paritaire Ministériel (CTPM). Il siège en outre au C.L.E.M.I. (Comité de Liaison entre l'Education et les Moyens d'Information), à l'Observatoire de la Sécurité, dans les Commissions Professionnelles et Interprofessionnelles Consultatives, au Conseil d'Administration de l'ONISEP (Office National d’Information sur les Enseignements et les Professions). Enfin, il est présent en Commission Interprofessionnelle Consultative (CIC) et dans toutes les Commissions Consultatives Professionnelles (CPC).
Idées
Depuis sa création, le SNALC-CSEN est attaché à un enseignement public de qualité, fondé sur la transmission des connaissances, dans le respect des disciplines, avec des programmes et des horaires nationaux, des examens anonymes afin de donner aux jeunes générations une meilleure compréhension du monde et par là même, une plus grande maîtrise de leur avenir (les méthodes ne peuvent se substituer aux contenus).
Le SNALC-CSEN est favorable à la laïcité de l'Ecole, à sa neutralité politique, à son indépendance à l'égard de tous les pouvoirs afin que les adolescents puissent développer un esprit critique et une réflexion personnelle.
Il souhaite réhabiliter les notions d'effort et de mérite sans lesquelles aucune promotion sociale n'est possible (fin du passage automatique des élèves dans la classe supérieure).
Il est favorable à la création de parcours scolaires diversifiés à la mesure de la variété des goûts, des projets et des aptitudes des élèves (suppression du collège unique).
Il défend la liberté pédagogique, la revalorisation du métier d'enseignant, le respect des biens et des personnes dans tous les établissements scolaires.
Il est attaché enfin au pluralisme syndical.
Notes et références
- http://www.snalc.fr/page.tpl?sku_ed=0103 Article 1er des statuts du SNALC consultable en ligne à l'adresse
- LeMonde.fr : La grève dans l'éducation mobilise au-delà des syndicats de gauche Cette analyse politique de certains commentateurs s'appuie souvent sur une lecture un peu rapide du livre publié en juin 2000 par Bernard Kuntz sous le titre Prof de Droite ? Le crépuscule scolaire et idéologique de la Gauche
- http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsp_0035-2950_1977_num_27_4_393743?_Prescripts_Search_isPortletOuvrage=false
- http://www.unige.ch/aijjr/ische26/fr/Resumes_Ische26.pdf
- http://books.google.fr/books?id=xywCstyQ5hoC&printsec=frontcover&dq=%22gr%C3%A8ve+du+bachot%22#PPA175,M1
- http://books.google.fr/books?id=xywCstyQ5hoC&pg=PA162&dq=%22syndicat+national+des+professeurs+%22&lr=&as_brr=3&as_pt=ALLTYPES#PPA162,M1
- http://www.persee.fr/web/revues/home/prescript/article/rfsp_0035-2950_1965_num_15_2_418429
- La Quinzaine universitaire , n° 419, octobre 1949, p. 1
- http://www.cahiers-pedagogiques.com/article.php3?id_article=2093 ou http://www.istravail.com/article108.html
- EFP-217.indd
- http://www.vousnousils.fr/2011/01/05/francois-portzer-nouveau-president-du-snalc-csen-470158
- Histoire du SNALC
- Arrêté du 5 juillet 2007
- Mieux Gérer, Mieux Éduquer, Mieux Réussir
- Quid, 2007
- Le Monde, 21 décembre 1993
- http://www.education.gouv.fr/presse/2002/resultat.pdf
- ftp://trf.education.gouv.fr/pub/edutel/actu/2005/election_professionnelles2005.pdf
- http://media.education.gouv.fr/file/12_decembre/06/9/CAPN_enseignant_education_orientation_2008_40069.pdf
Articles connexes
Liens externes
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- Syndicat enseignant français
- Organisme fondé en 1905
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