Personnages dans Stronghold: Crusader

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Personnages dans Stronghold: Crusader

Article principal : Stronghold: Crusader.

Sommaire

Les 8 seigneurs de base

Les 4 tyrans de Stronghold

  • Le Rat :
    • « Le Rat associe de médiocres aptitudes de gestionnaire à une certaine naïveté sur le champ de bataille, ce qui en fait l'un des adversaires les moins redoutés du jeu ! »
    • Le Rat est le plus faible des seigneurs. Ses forteresses ne dépassent jamais des proportions ridicules et sont forcément très mal construites, des rangées de murailles placées anarchiquement protégeant sommairement quelques ateliers, entrepôts, habitations et marché.

Le rat n’utilise que des lanciers et des archers, unités bon marché qu’il peu donc se permettre de recruter très tôt dans la partie en petit nombre, et plus tard en masse. Cela compense ses médiocres aptitudes de gestionnaire, et lui permet de rester offensif très longtemps au cours d’une partie qu’il aurait débuté avec beaucoup d’or.

Le Rat est un personnage très antipathique, à la fois prétentieux et couard, peureux et vantard. Vêtu d’une vieille armure salle et d’un heaume défectueux dont la visière glisse toute seule devant son visage lorsqu’il s’agite, le malheureux rongeur fait peine à voir.


  • Le Serpent  :
    • « Le Serpent n'est pas dénué de capacités pour gérer sa forteresse, mais le courage lui manque un peu au combat, et il préfère recourir à des mercenaires pour faire l'essentiel du sale travail à sa place. »
    • Le Serpent est un seigneur plutôt faible lui aussi, bien qu’il surclasse aisément le Rat. Ses châteaux sont généralement curieusement fortifiés, des pans de murs arrondis équipés de quelques tourelles défensives débordant d’archers et de vastes douves entourant ses bâtiments (les mêmes que le Rat à quelques exceptions près).

Mauvais gestionnaire, le reptile sait toutefois rester particulièrement actif sur le champ de bataille, envoyant sans relâche ses mercenaires arabes perturber l’économie adverse et attaquant inlassablement avec des armées faibles secondées par quelques catapultes et porteurs d’échelles.

Le Serpent est un personnage fourbe, pédant et maniéré. Richement habillé à l’occidentale, les cheveux propres, la barbe bien taillée, un bandeau ornant son œil droit meurtri, le sournois tyran n’aura de cesse de railler ses ennemis, imbu qu’il est de sa personne.


  • Le Porc  :
    • « Le Porc, s'il ne fait pas partie des meilleurs gestionnaires de la région, ne dédaigne pas le combat. Et son avidité pour l'or l'entraîne facilement à l'assaut, même avec la plus réduite des forces de siège... »
    • Avec le Porc, on a tendance à entrer dans la cour des grands. Ses forteresses correctement fortifiées et solidement défendues par de hautes tours abritant quelques arbalétriers, le Porc domine sans peine ses compères décrits précédemment. En outre, celui-ci se plait à surprendre ses adversaires en disposant quelques pièges à des points stratégiques, aux pieds de son corps de garde par exemple.

Comme le disent les développeurs, le Porc n’est pas un très bon gestionnaire, mais ses attaques, basée sur une redoutable combinaison arbalétriers/massiers, sont fréquentes et brutales, surtout lorsqu’elles sont appuyées par quelques armes de sièges, qui permettent au redoutable maître de guerre d’agir vite et bien.

Obèse, laid et sal, le Porc fait partie des personnages les moins charismatiques du jeu. Vêtu d’une épaisse armure aux grosses épaulettes garnies de pointes ensanglantées, le féroce tyran est constamment en train de manger pour satisfaire les besoins de sa boulimie. Sadique et sans scrupules, le Porc adore torturer ses ennemis et les voir agoniser devant lui.


  • Le Loup :
    • « Le Loup impose un joug pesant sur sa forteresse, mais son goût pour la guerre en fait un des seigneurs les plus redoutés. Avisé et malin, il utilise toutes les ruses et tactiques militaires à sa disposition pour vaincre »
    • Le Loup est sans conteste le meilleur défenseur du jeu. Exception faite d’un type de construction économique plutôt basique, ses forteresses sont généralement puissamment défendues par d’épaisses murailles, des armes de siège défensives, de nombreux pièges et un grand nombre d’unités de jet. Prendre d’assaut le Loup n’est pas choses aisée, et ses ennemis ne peuvent espérer franchir ses murailles sans un minimum de tactique.

En outre, le Loup est un assiégeant hors pairs, usant de puissantes armes de sièges et de troupes allant du simple archer aux légions d’infanterie lourde croisée, le tout soutenu par quelques mercenaires arabes. Les premiers assauts arrivent généralement tard dans la partie, mais son aptes à venir à bout d’un seigneur ennemi mal défendu. Il faut en outre ajouter à cela d’honnêtes aptitudes de gestionnaire, amplifiées par un recours massif aux instruments de torture, qui permettent aux gens du Loup d’être aussi productifs que possible au travail.

Homme à la forte carrure, à la voix grave et à l’air menaçant, vêtu d’une armure grise rutilante, le Loup a tout du général charismatique qui mène ses armées de victoires en victoires au terme de terribles bains de sang. Sa mauvaise humeur et son manque total de compassion font de lui un personnage peu engageant qui a tout pour être craint.

Les 4 nouveaux seigneurs de Crusader

  • Le sultan  :
    • « Le Sultan est plus... disons... poète que guerrier, et il préfère de beaucoup les distractions à la corvée ennuyeuse que constitue pour lui la gestion de sa forteresse. Ce n'est donc pas le plus redoutable seigneur du désert, mais il est très aimé de sa population et ses soldats se battront courageusement pour le défendre »
    • Le sultan fait plus la guerre parce qu’il y est contraint que par envie, mais il ne faut cependant pas le sous-estimer. Ses fortifications, disposées en forme de cercle autour de ses édifices civils, n’arrêteront pas même le plus médiocre des assiégeants, mais ses quelques soldats, en particulier son infanterie lourde arabe, dont la force est à surévaluer en raison du grand nombre d’embellissements disposés au sein de son château, sont largement à même de venir à bout d’une force d’assaut réduite avant qu’elle n’atteigne le donjon.

Comme le précisent les développeurs, le sultan n’est pas un guerrier, et il ignore donc tout des techniques de siège de rigueur pour venir à bout des structures ennemies les mieux fortifiées. Son infanterie est néanmoins à craindre en l’absence d’arbalétriers. Au niveau de la gestion, le sultan n’a rien à envier au Serpent ou au Rat, et n’a pas son pareil pour faire des économies sur le long terme.

En léger surpoids, l’air toujours souriant, affublé d’une épaisse moustache noire, le sultan, qui se fend constamment de phrases grandiloquentes plus ou moins poétiques lorsqu’il s’adresse à ses alliés ou adversaires, n’as rien d’un grand général. Son innocence et son manque de goût pour la violence font de lui un personnage plutôt sympathique, qui fera de son mieux pour être à la hauteur de la tâche.


  • Le calife :
    • « Cruel et vindicatif, le Calife est expert en souffrance, et ne se prive jamais d'accabler sa population et la vôtre. S'il a les moyens de sa tyrannie, ses tactiques sournoises seront une source d'irritation constante
    • Le calife n’a pas son égal pour utiliser le feu à la guerre. Usant de toutes les pyrotechniques existantes, des hordes d’esclaves aux fosses empoissées, le calife ne manquera jamais une occasion de réduire en cendres les ennemis qui auraient le malheur d’approcher ses murs d’un peut trop près. Sa forteresse est fortifiée d’une manière très caractéristique, avec de fines murailles crénelées garnies de tours de guet disposées en rectangle autour de sa ville. Elle n’a rien d’imprenable, mais le nombre très important de fosses empoissées qui l’entourent exclue de fait tout succès de la part de l’attaquant si celui-ci ne se munit pas d’un nombre conséquent d’armes de sièges.

Le calife est un gestionnaire correct, qui use de structure de mauvaise augure pour, comme le Loup, pousser la productivité de ses serfs à leur maximum. Les attaques du calife sont fréquentes et assez violentes, tout particulièrement à cause de la présence de nombreux archers montés et balistes incendiaires pour couvrir son infanterie.

Vêtu d’amples vêtements noirs, le visage dissimulé par un long voile ne laissant apparent que ses yeux, le calife est un personnage austère et violent dont le fanatisme religieux n’a d’égal que sa cruauté. Il n’a d’autres but que de purger le désert des « infidèles » qui s’y trouvent, et prendra un malin plaisir à leur faire regretter de s’être aventurés ici.


  • Saladin :
    • « Saladin sait exploiter mieux qu'aucun autre seigneur les ressources du désert. Il ne se rue jamais inconsidérément à l'attaque, et attend toujours d'être en position de force pour attaquer. »
    • Dans Stronghold Crusader, Saladin est en quelque sort le stratège par excellence parmi les seigneurs arabes. Ses châteaux lourdement fortifiés et particulièrement bien défendus, l’hétérogénéité de ses troupes et ses tactiques militaires soigneusement planifiées en font un adversaire redoutable. Des avantages cependant contrebalancés par une certaine lenteur au début de la partie, en raison des coûts élevés de ses infrastructures et fortifications.

Saladin est sans aucun doute le meilleur gestionnaire du jeu. Nourriture, bière, armes, fer, pierre, braie sont produits chez lui en grandes quantités, dotant sa ville d’un nombre impressionnant de structures économiques. Saladin, s’il a l’occasion de se développer sans peine en début de partie, devient vite très riche et peut ainsi se permettre de mettre en marche d’immenses armées, composées de quantités d’unités arabes différentes, contre les forteresses de ses adversaires. Redoutable aussi bien en attaque qu’en défense, Saladin a toutes les clefs en main pour dominer ses ennemis sur le long terme.

Saladin est un personnage historique, qui s’est illustré en unissant les royaumes islamiques sous son règne et en remportant d’éclatantes victoires face aux croisés lors des seconde et troisième croisades. Décrit comme un seigneur chevaleresque par les écrits de l’époque, Saladin est aussi connu pour ses batailles épiques face à Richard Cœur de Lion, les deux seigneurs se portant vraisemblablement une grande estime réciproque. Dans le jeu, Saladin est fidèle à son homologue historique : élégamment vêtu, portant une barbe noire fournie, n’intervenant le plus souvent que d’une manière posée et sereine, il transpire la sagesse et la grandesse d’âme.


Portrait de Richard Cœur de lion (le vrai)
  • Richard Cœur de lion :
    • « Richard Cœur de Lion fait preuve d'honnêtes aptitudes économiques, mais c'est évidemment sur le champ de bataille qu'il est le plus dans son élément. Courageux comme un lion, il n'est pas moins habile et n'a pas son égal pour fortifier sa forteresse »
    • Le roi d’Angleterre est, dans Stronghold Crusader, l’assiégeant suprême, celui qui est capable de faire tomber les murs les plus résistants. Se dotant souvent d’une défense passable, un carré de murs fins et trois à quatre tour entourant son donjon, et d’une économie qui n’a pour but que de lui permettre de financer son armée, Cœur de Lion mise tout sur l’attaque, déployant d’impressionnantes armées d’infanterie lourde croisée, secondées par quelques groupes d’archers et surtout par un large éventail d’armes de siège.

Richard est très rapide et attaque généralement très tôt en début de partie. Sa forteresse à l’architecture simpliste et son économie minimaliste pour un seigneur de sa classe lui permettent en effet de déclarer les hostilités dans les plus brefs délais, ce qui oblige ses ennemis à mettre rapidement sur pied une défense solide et endurante.

Richard Ier d’Angleterre est, lui aussi, un personnage historique, reconnu pour ses grandes qualités de chef militaire. Il manquera de reprendre Jérusalem à Saladin, mais échouera au terme de la Troisième croisade face à ce dernier, délaissé par Philippe-Auguste, rentré en France, et par Frédéric Barberousse, qui trouvera la mort avant d’arriver en terre sainte. Dans Crusader, Richard Cœur de Lion est un homme robuste, à la chevelure et à la barbe dorées, coiffé d’une couronne en or et armé d’une hache de guerre. Souriant et très confiant en ses capacités, il agit toujours avec honneur et bravoure, dans le but de rétablir ce qu’il considère être l’ordre légitime en écrasant les mécréants qui s’opposent à lui. On le retrouvera souvent en tant qu’allié au cours de la Piste du croisé.

Les 3 personnages bonus

  • Philippe-Auguste :
    • « Le roi Philippe Auguste est surtout en quête de gloire et de prestige dans ce désert perdu. Mais l'imprudente habitude qu'il a de faire des chevaliers sa force militaire principale est aussi son talon d'Achille »
    • Le roi de France est en effet un bien piètre général. Outre ses chevaliers qui seront une source constant d’irritation pour l’économie adverse développée loin des remparts, il ne représente pas un grand danger et se trouve être à peine plus dangereux que le Rat. Les forteresses de Philippe sont pour le moins étranges : une partie se trouve être un épais pan de mur flanqué de tours carrées équipées de balistes, tandis que l’autre partie n’est rien de plus que de minces douves longeant les ses écuries. Dans ces conditions, toute attaque par la partie la plus faible ne peut qu’être facilement remportée.

Philippe-Auguste n’a recours qu’à quelques lanciers et archers pour seconder ses chevaliers et ses catapultes occasionnelles, ce qui en fait un des plus mauvais attaquants du jeu, et ce bien que ses troupes disposent d’une force de frappe accrue procurée par un abus de structures de bon augure.

Le roi Philippe II de France était en réalité tout sauf un incompétent notoire. Contemporain de Richard Cœur de lion, il mènera avec lui la Troisième croisade avant de lui disputer les territoires de la couronne d’Angleterre situés en France. Philippe-Auguste reste l'un des monarques les plus admirés et étudiés de la France médiévale, en raison non seulement de la longueur de son règne, mais aussi de ses importantes victoires militaires et des progrès essentiels accomplis pour affermir le pouvoir royal et mettre fin à l'époque féodale. Dans le jeu, Philippe est coiffé d’une haute couronne dorée, porte une coiffure plutôt efféminée et une épaisse moustache. L’air pédant lorsqu’il vante les exploits de ses chevaliers, il se fait poltron quand l’ennemi approche de son château.


Barberousse habillé en croisé
Miniature de 1188
  • L'empereur Frederic :
    • « L'Empereur Frédéric est le plus grand stratège du désert, et il n'a pas vraiment de talon d'Achille. Alors, si on le laisse tranquille, avec le temps, il deviendra très puissant »
    • L’empereur aurait pu être un redoutable adversaire s’il n’était pas affligé d’une lenteur défiant toute concurrence. Bien que ses forteresse soient relativement bien défendues et qu’il ne recrute des troupes au fort potentiel offensif, Frederic est affligé d’une lenteur sans égal, et il est bien peu probable qu’il parvienne à se remettre des sièges les plus éprouvants au terme d’une même partie.

Voulu stratège par les développeurs, Barberousse use et abuse de trébuchets et de légions entières de spadassins, efficacement couverts par quelques groupes d’arbalétriers et d’occasionnels chevaliers. Ses attaques n’ont rien d’insurmontables puisqu’elles mettent très longtemps à arriver, laissant aux ennemis de l’Empire le soin de planifier leur défense à leur guise.

Dernier personnage historique du jeu, Frédéric Ier de Hohenstaufen (1122-10 juin 1190) dit Frédéric Barberousse fut empereur romain germanique, roi d'Allemagne (Rex Romanorum), roi d'Italie, duc de Souabe et duc d'Alsace et comte palatin de Bourgogne. À la tête de la plus grande armée croisée jamais rassemblée, il prend part à la Troisième croisade, précédant Philippe et Richard, mais se noie accidentellement en traversant la rivière Saleph en Asie Mineure. Son armée se disloquera ensuite rapidement. Dans Stronghold Crusader, l’empereur Frederic est un homme d’apparence assez âgée (ce qui correspond plutôt bien à la réalité historique, puisqu’il était âgé de plus de 65 ans lorsqu’il se mit en route pour Jérusalem), calme et lisant régulièrement de grands parchemins dans lesquels il dresse les plans de ses stratégies d’attaque et de défense. Simplement vêtu d’une tenue de chevalier croisé, il contraste avec les deux autres souverains européens au niveau du style.


  • Le sheriff :
    • « Le Shérif est le plus cruel et le plus sournois des seigneurs de la région. Il utilise indifféremment les sarrasins ou les croisés associés à tous les moyens de défense à sa disposition, même les plus fourbes, dès lors que cela peut servir ses intérêts »
    • Le sheriff est un seigneur d’assez faible niveau. Peu compétent en matière d'architécture, il entreprend systématiquement de laisser l’ensemble de ses structures civiles avec une protection aussi bon marché que possible, tandis qu’il fortifie lourdement son donjon et ses bâtiments de stockage. Quelques pièges attendront les assaillants, mais ceux-ci n’auront pas grand-chose à craindre du malheureux tyran s’ils prennent soin de mettre le feu à sa ville.

Au niveau de l’attaque, les choses sont différentes, le sheriff n’hésitant pas à envoyer quelques mercenaires arabes, parmi lesquels des assassins, pour seconder ses massiers et ses arbalétriers, ainsi que quelques armes de siège.

Ce curieux personnage est en fait un alter-ego du Shérif de Nottingham, ennemi juré de Robin des Bois, un héros folklorique du Moyen Âge. Dans le jeu il prend l’apparence d’un homme moustachu et mal rasé, coiffé d’un massif casque argenté et vêtu d’une vieille tunique croisée jaunie. D’un calme toujours déconcertant, il rend les armes sans enthousiasme lorsqu’il est vaincu, se contentant d’un ultime « encore perdu… »

Les 5 seigneurs de Warchest

Parmi ces 5 nouveaux personnages se trouvent 3 seigneurs arabes : le Wazir, d'apparence proche du calife, use de stratégies proches de celles de Saladin, tandis que l'émir est plus une variante guerrière du sultan. Le Nizar recours quant à lui à des techniques de défense et de combats inédites, n'envoyant au combat que de nombreuses hordes d'assassins et préfèrant les douves aux murs pour isoler sa ville. Les 2 autres seigneurs sont des croisés : le marchéchal, vieux général à la retraite, déjà vu sous les trais de Sir Longarm dans Stronghold, est un adversaire de niveau plutôt moyen qui use de troupes similaires à celles de Richard Cœur de Lion mais est affligé d'une lenteur comparable à celle de L'empereur Frederic. Reste enfin l'abbé, original en ce sens que son infanterie est exclusivement composée de moines noirs. Le joueur aura l'occasion de croiser ces personnages très régulièrement au cours de la seconde piste du croisé, elle aussi uniquement disponible dans la version Warchest du jeu.

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