- La Bande à Bonnot (film)
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La Bande à Bonnot (ou Les Anarchistes) est un film français de Philippe Fourastié sorti en 1968.
Sommaire
Synopsis
Le film raconte les activités de Jules Bonnot dans les années 1910. Entourés d'asociaux et d'idéalistes, il se livre à des faits criminels qui mettent la France dans la tourmente[1].
Fiche technique
- Titre : La Bande à Bonnot
- Réalisation : Philippe Fourastié
- Assistant-réalisateur : Claude Miller
- Scénario : Jean Pierre Beaurenant, Pierre Fabre et Rémo Forlani
- Dialogues : Marcel Jullian
- Producteur : Jean-Paul Guibert
- Photo : Alain Levent
- Musique : François Rauber, Jacques Brel
- Son : Bernard Aubouy
- Montage : Jacqueline Thiédot
- Société de production : Kinesis Films
- Pays d'origine : France
- Format : Couleur
- Langue : Français
- Genre : drame / policier
- Durée : 110 min
- Date de sortie : novembre 1968
Distribution
- Bruno Cremer : Jules Bonnot
- Jacques Brel : Raymond la Science
- Annie Girardot : Marie la Belge
- Jean-Pierre Kalfon : Octave Garnier
- François Dyrek : Édouard Carouy
- Dominique Maurin : André Soudy
- Michel Vitold : Victor Kilbatchiche
- Nella Bielski : Rirette Maîtrejean
- Pascal Aubier : Eugène Dieudonné
- Anne Wiazemsky : La Vénus rouge
- Armand Mestral : Jouin
- François Moro-Giafferi : L'armurier
- Léonce Corne : Le préfet
- Jean Mauvais
- Jean-Michel Dhermay
- Jacqueline Noëlle : La patronne
- Marc Dudicourt : Le commissaire
- Fred Personne : L'encaisseur
- Adolfo Lastretti
- Eric Schlumberger
Autour du film
- Il y a au moins une erreur historique dans le film. À la fin, on n'y parle que d'un siège, celui du pavillon de Choisy-le-Roi, où furent encerclés Jules Bonnot et Octave Garnier. En réalité, seul Jules Bonnot fut assiégé dans cet immeuble, qui fut investi le 28 avril 1912, et dans lequel il trouva la mort. Un autre siège eut lieu à Nogent-sur-Marne le 5 mai 1912 à la villa Bonhoure, où Octave Garnier et René Valet se suicidèrent avant de tomber entre les mains des policiers.
Notes et références de l'article
- Une sérigraphie du groupe "Pour une critique révolutionnaire" s'en prit à l'époque à "l'anarchie spectaculaire-marchande" on ne peut plus complaisamment véhiculée, il est vrai, par Marcel Jullian (dialoguiste) et Philippe Fourastié (réalisateur)
Lien externe
Catégories :- Film français
- Film policier
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- Film sur l'anarchisme
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