Jean Baptiste SENDERENS

Jean Baptiste SENDERENS

Jean-Baptiste Senderens

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Jean Baptiste Senderens, chimiste et prêtre français, et mort à Barbachen (Hautes-Pyrénées), dans le canton de Rabastens-de-Bigorre (27 janvier 1856, 26 septembre 1937). Docteur ès sciences, il fut le collaborateur de Paul Sabatier, lors de ses études déterminantes sur la catalyse. Professeur à l'Institut catholique de Toulouse et directeur de l'Ecole Supérieure des Sciences, il était docteur en philosophie. Il écrivit deux ouvrages sur l'apologie chrétienne. Il participa activement au dialogue science-foi (fides et ratio).

Sommaire

Enfance et jeunesse

Pendant sa scolarité au collège des Missionnaires de l'Immaculée Conception à Garaison à partir de la classe de 4eme, il se passionne pour l'étude des sciences. Le Père Lahaille, professeur de mathématique lui communiquera le feu sacré et discernera ses qualités scientifiques, il rentra dans la communauté des Pères. Mais il dut interrompre les études pour rentrer dans la maison familiale et subvenir à l'éducation de ses frères et sœurs du fait de la faiblesse et pauvreté de ses parents. Plus tard, les Pères l'envoyèrent à Sabart, près de Tarascon-sur-Ariège enseigner les sciences dans l'école de la congrégation tenue par les mêmes Pères de Garaison.

Les débuts de chimiste et de philosophe

Pour compléter sa formation scientifique il allait à Toulouse le remarqua le professeur Edouard Filhol professeur à la faculté d'Etat. Il commença avec lui une collaboration et obtint avec son maître une première publication en 1881 (Action du souffre sur diverses solutions métalliques, Comptes rendus hebdomadaires de l'académie des sciences, 1881, 93, 152) Il s'ensuit une collaboration jusqu'à la mort de Filhol en 1883 Senderens finit de réécrire une ouvrage sur "l'analyse des nouvelles sources minérales de Bagnères de Bigorre. Senderens, comme à l'habitude en cette époque et parce qu'il avait connu les ravages de la vigne dans sa Bigorre, aimait aussi travailler sur la chimie de la vigne et du vin. Il réalisa un nouveau procédé de chauffage des vins, analysa et proposa des traitements contre le mildiou et le phylloxera etc...En 1883, l'Institut catholique de Toulouse devant former des professeurs ayant une licence de sciences pour les écoles privées, dut ouvrir une formation scientifique, l'Ecole supérieure des Sciences, elle fut confiée à l'abbé Senderens. Il créa de bric et de broc une salle de travaux pratiques de physique et de chimie, et un enseignement de chimie. En 1888, à Pâques il soutint une thèse de doctorat de philosophie probablement à l'université Grégorienne de Rome, il l'obtint "plenis suffragiis favorabilibus".

Paul Sabatier le convainquit qu'il devait faire un doctorat d'Etat de vraie chimie et non pas de chimie du vin et il soutint son doctorat es sciences en 1892 sur l'action du soufre sur les oxydes et les sels en présence de l'eau. Pendant sa soutenance, il fut brillant quoique sa seconde thèse sur les actions chimiques de l'électricité fût plus difficile. Mais il obtint brillamment son doctorat avec les félicitations de Paul Sabatier. Son Excellence Révérendissime Monseigneur Prosper Marie Billère le fait chanoine honoraire de son chapitre cathédrale à cette occasion.

La collaboration avec Paul Sabatier

A la suite de sa thèse avec Sabatier « ils suivirent méthodiquement laction des oxydes de lazote sur les métaux et leurs oxydes, partant du fait connu de la réduction lente de lacide azotique [nitrique] par le zinc ou le fer humides, ils montrèrent que loxyde azoteux lui-même, quoique bien plus stable, était réduit dans les mêmes conditions. Ils examinèrent dautres métaux moins oxydables : le cuivre, le nickel, le cobalt et en soumettant à leur action le peroxyde dazote, ils découvrirent un fait nouveau : un phénomène daddition, produisant des corps décomposables par leau et auxquels ils donnèrent le nom de métaux nitrès. Ils leur apparaissait ainsi peu à peu que le métal agissait dautant plus activement sur les corps oxygénés quil était lui-même sous une forme plus divisée. Il leur apparaissait aussi que lhydrogène enlevé à leau se fixait, sous linfluence du métal divisé, sur loxyde dazote pour le réduire. Il leur apparaissait enfin que parmi les métaux employés, le nickel jouissait dune activité particulière. Pour réaliser le meilleur état de division du métal, ils avaient pris lhabitude de le préparer après réduction, à chaud, de son oxyde, dans un courant dhydrogène. Sur ces entrefaites, Moissan et Moureu (Comptes rendus hebdomadaires de lacadémie des sciences, 1896, 122, 1241) constatèrent que sous laction des métaux divisés (Ni, Fe, Pt) lacétylène était détruit avec incandescence et quon obtenait un mélange de charbon, dhydrogène et de benzène. Pensant à laction condensatrice bien connue du noir de platine sur les gaz, ils crurent que le fait fondamental était le dégagement de chaleur, d résultait une destruction partielle de lacétylène par pyrogénation et une polymérisation partielle en benzène, comme dans la célèbre expérience de Berthelot. Avec leur nickel réduit, Sabatier et Senderens firent lannée suivante, une expérience analogue sur léthylène, quil faisait passer sur du nickel chauffé à 300°C. Ils obtinrent le même foisonnement charbonneux que Moissan et Moureu. Mais le gaz dégagé au lieu dêtre de lhydrogène pur, comme ils sy attendaient, contenait une forte proportion déthane. La lumière allait jaillir Car il paraissait bien que lhydrogène libre, produit par la pyrogénation, sétait fixé, sous linfluence du nickel divisé, sur lexcès déthylène. » (M Palfray, Bulletin de la Société Chimique de France, Mémoire, 1939, 3-29). La catalyse était inventée, il ne restait plus quà sonder ses applications. Sabatier et Senderens développèrent jusquen 1907 leur collaboration sur cette catalyse.

Le prix Jecker, lantichambre du Prix Nobel de Paul Sabatier

En 1905 ils reçurent de lacadémie des sciences le prix Jecker (doté de 10.000 francs-or). Voici la présentation du rapport d'Albin Haller (CRHAS 1905, 1087-1088).

Le 18 décembre 1905: Commissaires: MM Troost, Gautier, Moissan, Lemoine, Berthelot, Schloesing, Carnot, Haller, rapporteur: «Létude des effets catalytiques dun certain nombre de métaux à létat divisé a été abordée à plusieurs reprises par les auteurs les plus divers. Mais aucun deux ne la poursuivie avec autant de sagacité et de persévérance que MM Sabatier et Senderens. Aucun deux na su tirer, des faits observés, une méthode pratique et sûre qui permit de réaliser avec économie soit des synthèses, soit des dédoublements, soit des transformations de fonctions. En étudiant laction catalytique spéciale quexerce sur les composés volatils, en présence de lhydrogène, le nickel très divisé par exemple, MM Sabatier et Senderens ont doté la Chimie dune méthode dhydrogénation aussi simple quélégante, des carbures non saturés, des carbures aromatiques, des cétones, des aldéhydes, des phénols, des composés nitrés etc. Grâce à cette méthode, ils nous ont même fait entrevoir la possibilité de transformer industriellement loxyde de carbone et de lacide carbonique en un gaz de combustible, le méthane. En poursuivant leurs recherches avec le cuivre divisé, ils ont, dautre part, mis à notre portée un procédé tout aussi simple et tout aussi élégant de déshydrogénation qui appliqué aux alcools primaires et secondaires nous permet de retourner aux aldéhydes et aux cétones. La mise au point de leurs méthodes, leurs vérifications sur les corps les plus variés, lanalyse rigoureuse et la caractérisation des produits obtenus ont nécessité un labeur soutenu et ininterrompu de près de huit ans. Aussi, en raison des très beaux résultats obtenus, et par suite du caractère de généralité et de la fécondité que présentent les procédés quils ont mis généreusement à la portée des chimistes, la Commission a-t-elle décidé à lunanimité, daccorder le prix Jecker à MM Sabatier et Senderens ». Lacadémie adopte les conclusions de ce Rapport. et décerne à Senderens la médaille Berthelot à cette occasion. La situation est cocasse Marcelin Berthelot, le pape de la libre pensée qui avait eu son couronnement au congrès de Rome en 1903 (sans pouvoir y participer) honore labbé Senderens dun prix et on décerne à Senderens la médaille Berthelot !

La séparation et la rupture avec Sabatier

En 1907 la collaboration sarrête, quoique Senderens continue dutiliser la catalyse mais avec des oxydes et des sels, thorine, alumine, sulfate daluminium

En 1911 arriva un évènement que Senderens eut du mal à supporter. Dans une conférence devant lacadémie de chimie de Berlin Sabatier est invité le 13 mai 1911, Sabatier indique « Je vais vous entretenir de la méthode générale dhydrogénation directe par les métaux divisés, que jai instituée depuis une dizaine dannées avec la collaboration de mes élèves, M Senderens dabord, puis M Mailhe… ». En lisant ce texte dans la revue scientifique le chanoine Senderens est furieux, il écrit « M Sabatier a une tendance assez prononcée à se faire le seul auteur de ces méthodes ». Sabatier réagit dans le journal allemand est initialement paru le texte de sa conférence (Berichte der deutschen chemischen Gesellschaft 1911, 3180) en indiquant « Certains passages de mon exposé concernant la participation de Monsieur Senderens aux méthodes tracées par moi, pourraient recevoir une interprétation qui est totalement opposée au sens voulu par moi. Je tiens à préciser quil était absolument loin de moi de minimiser les mérites de Monsieur Senderens, bien connus, dans la découverte en mon laboratoire des méthodes des hydrogénations et déhydrigénations par catalyse. Ces méthodes comme cela est communément exprimé par la formulation habituelle procédé Sabatier-Senderens“, sont élaborés par un travail qui nous est commun». A partir de ce moment, peut être parce que le bruit court que Paul Sabatier va avoir le Prix Nobel, Senderens se lance dans la rédaction de trois volumineux articles de revue sur la catalyse (à limage de celui que Sabatier a fait à Berlin). Un article paru en octobre 1912 dans la revue des questions scientifique, deux articles dans les annales de physique et de chimie en 1912 et 1913, dans ces articles il met en valeur le procédé Sabatier Senderens et la part importante et originale de Senderens.

En novembre 1912, par voie de presse Paul Sabatier apprend quil partageait le prix Nobel de chimieavec Victor Grignard. Voilà ce quécrit Mary Jo Nie (Science in the Provinces: Scientific Communities and Provincial Leadership in France, 1860-1930, University of California Press, 1986), à ce sujet « Alors que Sabatier attribuait son élection à linfluence des chimistes allemands avec lesquels il avait parlé à Berlin. Il devait son prix en fait à Gaston Darboux, secrétaire perpétuel de lacadémie des sciences (qui avait nommé Sabatier et Georges Urbain) et aussi à O. Widman un membre de lacadémie royale des sciences de Suède (qui avait nommé Sabatier et Grignard). Des nominations de Sabatier avait été faites en 1907 et Clément Georges [www.annales.org/archives/x/lemoine3.html Lemoine] (membre de lacadémie des sciences) nomina Sabatier et Senderens pour un prix commun. Le prix Nobel de chimie Ernst Büchner fut le seul Allemand à nominer Sabatier en 1911. La récompense de Sabatier a été la seule occasion dans la période 1901-15 pour une protestation à lacadémie. Elle vint tranquillement de Senderens, qui envoya un dossier sur sa longue collaboration avec Sabatier en notant « M Sabatier parait marquer une tendance assez prononcée à se faire le seul auteur de ces méthodes ». Il y eut donc un froid. « Mais un jour vint ils se rencontrèrent face à face, à lAcadémie croyons nous, Sabatier tendit la main, que Senderens reçu avec son large sourire. ». Sabatier cita six fois le nom de Jean-Baptiste Senderens dans son discours à lacadémie royale des sciences de Stockholm lors de la réception du prix Nobel quil partagea avec Victor Grignard, le 10 décembre 1912.

La suite de la carrière scientifique

En 1913, Senderens fut approché par les établissements Poulenc, et il y eut une réelle amitié entre les membres de cette famille et le chanoine bigourdan. Senderens vint travailler à « Vitry sur Seine et on lui installa un laboratoire personnel il continua ses recherche de catalyse en les étendant à lhydrogénation sous pression des sucres et des polyphénols ainsi quà la synthèse des cétones les plus diverses » (CRHAS 1937, 633-635). Pendant la première guerre mondiale comme tous les chimistes français, il travailla sur les efforts de guerre chimique. Mais il était fort discret -dessus, navait-il pas écrit que les scientifiques ne devaient pas utiliser leurs talents pour faire des armes et tuer son prochain ?

Depuis le 18 mars 1920 il avait été fait membre d'honneur de la société royale de chimie de Londres. Il mena ces travaux avec un ami fidèle Jean Aboulenc, pendant 23 ans. Il maria le 21 janvier 1930, Pierre Poulenc et Eliane Ferrand. Cette amitié se continua jusquà la fin de sa vie, puisque lage aidant il se retira à Barbachen, les Poulenc lui firent construire dans sa petite maison-ferme un laboratoire de chimie afin quil y continua ses recherches « avec une soutane qui avait virée au vert ! » comme le mentionna un journaliste de La Petite Gironde venu le visiter. Il écrivit 170 publications et fut reçut, « sur la proposition [presque] unanime de la section chimie », membre correspondant de lacadémie des sciences en 1922, il sy produisait régulièrement avec sa « silhouette un peu campagnarde qui se détachait sur le tableau noir avec de grands gestes ». Il fut un des premiers directeurs de recherche de la caisse nationale des sciences. Il fut aussi lami de Charles Moureu, Joseph Achille Le Bel et Georges Urbain. Celui-ci en le visitant à Barbachen dans sa maison quil appelait sa Chartreuse indiquait « Jai conservé un souvenir lumineux de mon séjour chez lui et je lai quitté en pensant que nul navait su mieux organiser sa vie conformément à ses croyances et à ses goûts, vie calme et transparente il ny avait dautres soucis que de bien faire et de faire du bien » (Palfray). En 1923 il fut fait chevalier de la légion dhonneur. Il fonda des bourses détude pour de futurs prêtres. Le dernier à en avoir bénéficié fut le Père René Point, ils se portaient lun lautre une affection filiale et paternelle. En 1927, il se brouillait avec lInstitut Catholique de Toulouse, d il démissionna sans que sa démission fût acceptée.

Son activité dapologétique

Son époque fut troublée. En effet, congréganiste il vit linterdiction denseignement des congrégations et leur expulsion, ainsi que la loi de séparation des Églises et de l'État en 1905, il en souffrit. Prêtre catholique, il eut maille à partir contre la libre-pensée, il vécut dans la douleur la séparation des Églises et de l'État en 1905, ses modestes archives gardent des sermons enflammés et douloureux sur ces moments. Cétait aussi le temps du darwinisme et de la remise en cause du texte de la création dans la Genèse. Homme de son temps, il était concordiste, toujours cherchant un parallèle entre récit biblique et science. Après avoir eu des positions dures sur le transformisme de Lamarck et les théories de lévolution de Darwin, il sassagit et trouva des voies médianes. Il remania lapologie scientifique de la foi chrétienne de Mgr Duilhé de Saint Projet et il écrivit, sous « damicales contraintes » en 1928 et 1934 « Création et Evolution ». Dans ces deux ouvrages, il aime à citer les grands savants chrétiens de Pascal à Pasteur et à démontrer que les tenants de la lutte antichrétienne du courant de pensée dAuguste Comte, ne sont pas fondés dans leur critique exacerbée de la religion. Ainsi les ouvrages sont construits de la manière suivante, quelles sont les difficultés soulevées par les libres-penseurs, quelles sont les données de la foi (du catéchisme) et les vrais données de la science qui ne contredisent pas les données de la foi. Lapologie scientifique de la foi chrétienne remaniée par Senderens connue un réel succès (comme dailleurs les éditions entièrement dues à Duilhé de Saint Projet) puisquelle eut trois rééditions en 1903, 1908, 1921.

Comment comprendre sa réaction au sujet du prix Nobel ? Elle sinscrit dans la droite ligne de ces écrits apologétiques. En effet, elle nest pas celui du chimiste qui voue de lamitié au pieu Sabatier. Mais plutôt celui de lapologiste qui veut montrer tant dans ses écrits que la foi nexclut pas lapproche rationnelle des sciences. Sa réaction est celui du directeur de lEcole supérieure des sciences de linstitut catholique de Toulouse, qui veut que soit aussi reconnue la qualité de la recherche scientifique catholique quil a menée avec Paul Sabatier.

Références

  • MA. Duilhé de Saint Projet & Senderens, Apologie Scientifique de la foi Chrétienne, 1921, Privat
  • JB. Senderens, Création et Evolution, 1928, Bloud et Gay
  • L. Palfray, Bulletin de la Société Chimique de France, Mémoires, 1939, 3-29.
  • MJ. Nie, Science in the Provinces: Scientific Communities and Provincial Leadership in France, 1860-1930, University of California Press, 1986
  • F. Couderc, L'abbé Jean Baptiste Senderens, chimiste, collaborateur de Paul Sabatier, fondateur de l'école supérieure des sciences de l'Institut Catholique de Toulouse. Bulletin de littérature ecclésiastique[1], CX (2), Avril-juin 2009, 133-178.
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