Héracle II de Polignac

Héracle II de Polignac
Page d'aide sur l'homonymie Pour les autres membres de la famille, voir : Maison de Polignac.
Ruines de son château.

Héracle II de Polignac est né en 1075[1], peut-être au château de Polignac, dans le Velay et blessé sous les murs d'Antioche, le 28 juin 1098, il y meurt le 9 juillet 1098[2].

Sidoine Apollinaire parle du château de Polignac, comme de sa maison paternelle. Héracle II de Polignac, vicomte du pays de Velay ou de Polignac, descend, à ce que l'on prétend, d'un Apollinaire, vicomte de Velay. Il a toutes les marques de souveraineté[3]. Selon la thèse de Bérangère Dumalle, Les châteaux de l'orbite des Polignac en Velay (XIIIe-XVIe siècles), les Polignac sont sans doute alors la famille la plus puissante de la contrée, la seule capable de rivaliser avec les évêques du Puy, ce dont elle ne se prive d'ailleurs pas au fil des siècles du Moyen Âge. Elle a en partie raison, et Héracle II de Polignac et son frère aîné, Pons, en sont les meilleurs exemples en se liguant, en 1087, contre Adhémar de Monteil, évêque du Puy. Mais elle oublie de remarquer Étienne IV de Polignac évêque du Puy (1073–1077), Pons de Tournon (1102–1112) et Pons II de Montboissier, évêque du Puy (1112–1128). Et puis Adhémar de Monteil, lui-même, doit leur verser une indemnité de 26 000 sous du Puy, pour qu’Héracle et son aîné se désistent de leurs droits sur l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monastier à Le Monastier-sur-Gazeille. Adhémar de Monteil a besoin aussi du soutien des vicomtes, de leurs vassaux et de leurs familles alliées pour l’accompagner à la croisade. Héracle II n’a que 20 ans quand il part à la croisade, et il n’est qu’un fils puîné. Mais, l'an 1097, le vicomte Pons, ses fils et leurs femmes approuvèrent la charte par laquelle Pierre et Pons de Fay, fils de Pons, seigneur de Fay, et d'Agnès de Polignac, aliènent une partie de leur patrimoine pour subvenir aux frais de l'expédition de la Terre-Sainte. La richesse et la puissance des Polignac ne font pas de doutes depuis trente ans. Georges Duby établit que les vicomtes de Polignac sont en même temps vicomtes du Velay et du Puy[4]. Héracle, vicomte de Polignac est porte-étendard de l'Église, lors de la première croisade. Ayant cédé son étendard à un autre et quitté son rang, il reçoit au visage une flèche, dont il meurt le 9 juillet 1098. Il a son nom et les futures armes de sa famille, qui figurent dans la cinquième des salles des croisades du château de Versailles, celle des chefs des différentes croisades. Il part à la croisade avec son beau-frère, Pons de Fay ou de Chapdeuil.

Sommaire

Biographie

Sa famille

La première Maison de Polignac

Une charte du roi Raoul de France, du 8 avril 924, dit bien positivement qu'antérieurement à cette époque les comtes du Velay possèdent le droit même de fabrication de monnaie.

Les premiers vicomtes de Polignac sont comtes héréditaires du Velay. Leur puissance est telle en Auvergne, que les chroniqueurs les surnomment les Rois des Montagnes. Le plus ancien connu est Armand de Polignac qui vit vers 886. Vital de Polignac est évêque du Puy au IXe siècle[5]. La Gallia Christiana et les archives du Puy établissement qu'il est de celle Maison.

La monnaie des vicomtes de Polignac a longtemps cours en Auvergne; on la nomme viscontine. Georges Duby nous dit que les comtes du Velay et les vicomtes de Polignac en ont fait frapper ou touchent un droit sur la fabrication des espèces. Une charte du roi Raoul de France, du 8 avril 924, dit bien positivement qu'antérieurement à cette époque les comtes du Velay possèdent le droit même de fabrication[4].

La première Maison de Polignac est établie en Velay, au château éponyme, dès le XIe siècle au moins, et possède à cette date, depuis peut-être un certain temps déjà, le titre vicomtal. La butte de Polignac est une position défensive très forte. Ses rebords abrupts font office de murailles d'enceinte. Des mouches percées dans la muraille permettent aux sentinelles de voir sans être vues. Par conséquent, les seigneurs de Polignac, à l'abri dans leur forteresse, finissent par devenir les maîtres du pays, les rois de la montagne.

Selon la thèse de Bérangère Dumalle, Les châteaux de l'orbite des Polignac en Velay (XIIIe-XVIe siècles), possédant une solide assise foncière et la charge vicomtale, les Polignac occupent le premier rang de la noblesse dans la gestion politique du pays de Velay. La vicomté est la première des dix-huit baronnies aux États particuliers de Velay.

Cette famille prend une part active dans les évènements de l'histoire locale, par les désordres qu'elle suscite en raison de ses luttes incessantes avec les évêques du Puy ou des guerres privées qui l'opposent à des familles rivales, ou au contraire en défendant la contrée face aux troubles venus de l'extérieur. Leur caractère belliqueux et conquérant fait d’eux les vedettes des chroniques religieuses des XIe et XIIe siècle.

Les comtes d’Auvergne sont assez complaisants à leur égard[6]. Certains des membres de la première Maison de Polignac sont respectables et respectés, comme le vicomte Héracle II, qui participe à la première croisade et y laisse la vie en 1098, à 23 ans. D'autres commettent excès et brigandages.

Ses parents

Blason de la Première Maison de Polignac : Fascé d'argent et de gueules.
Blason de la famille de sa mère, les seigneurs de Tournon-sur-Rhône.
Blason des Montboissier.

La première Maison de Polignac grâce à une politique matrimoniale habile, et qui dépasse de loin les frontières vellaves avec des possessions en Auvergne, Gévaudan, Vivarais accroît sa puissance et sa richesse au fil des siècles et devant sans cesse défier le pouvoir des évêques du Puy, ils se font élire évêques du Puy ou favorisent leurs proches parents. Étienne IV de Polignac est évêque du Puy (1073-1077). À sa mort Adhémar de Monteil lui succède.

Guillaume de Polignac (1030-1075), père d’Héracle II, est souscripteur des deux chartes des années 1056 et 1062. Il paraît être décédé peu de temps après son père, et avant l'année 1078[7]. Ce vicomte épouse Auxilende de Tournon, originaire du Vivarais. La maison de Tournon prend son nom de la ville de Tournon-sur-Rhône, située en Vivarais, avec un château fort qu'elle a possédé de temps immémorial[8]. Elle est la sœur de Pons, l'un des abbés de l'abbaye de la Chaise-Dieu. D'après les sources historiques, c'est en 1100 qu'Anselme de Cantorbéry séjourne dans cette abbaye, donc à la fin de l'abbatiat de Pons de Tournon (1094-1102), cinquième abbé de Casa Dei. Or celui-ci est amené à maintes reprises à passer à Lyon où se trouve Anselme de Cantorbéry en ce moment en exil. Nous sommes en pleine époque des préparatifs de la première croisade, décidée par le pape Urbain II, ami et admirateur d'Anselme de Cantorbéry, croisade dans la préparation de laquelle l'abbaye de Casa Dei avec ses nombreux prieurés prend une part très active. La visite du pape dans cette abbaye n'en est que l'illustration éloquente. Pons de Tournon est évêque du Puy (1102-1112) et succède à Adhémar de Monteil, mort en même temps que son neveu Héracle II lors du siège d'Antioche.

Guillaume de Polignac et Auxilende de Tournon sont les parents de :

  • Pons de Polignac (1065-1112), bienfaiteur de l'abbaye de Saint-Chaffre-le-Monastier à Le Monastier-sur-Gazeille en 1080. Il se ligue avec Héracle II, en 1087, contre Adhémar de Monteil, évêque du Puy, au sujet de la troisième partie du revenu de cette église, que réclament les deux frères. Après quelques hostilités, les deux partis négocient la paix, et, au moyen d'une indemnité de 26 000 sous du Puy, les deux vicomtes se désistent de leurs droits. L'an 1097, le vicomte Pons, ses fils et leurs femmes approuvent la charte par laquelle Pons et Pierre de Fay, fils de Pons de Tournon, seigneur de Fay, et d'Agnès de Polignac, aliènent une partie de leur patrimoine pour subvenir aux frais de l'expédition de la Terre-Sainte. L'année suivante, le même vicomte, du consentement de Pons, évêque du Puy, son oncle, de sa femme Élisabeth, et de leur fils Armand, fait une donation à l'abbaye de Pébrac, au diocèse de Saint-Flour, que gouverne alors l'abbé Bertrand de Ghasnac. En 1106, ces époux en font une seconde à l'abbaye de Conques, au diocèse de Rodez. Le vicomte Pons Ier accompagne à Rome, en 1112, Pons-Maurice de Montboissier, évêque du Puy, nouvellement élu. Étant mort dans cette ville le 5 septembre de cette année, on lui fait de magnifiques funérailles, et le pape Paul II le fait inhumer dans l'église de Saint-Jean de Latran[9]. Pons se marie avec Élisabeth Montboissier fille de Vir nobilis princeps Hugues Maurice III, père de Pons II de Montboissier, évêque du Puy (1112-1128) et grand-père de Pierre le Vénérable[10], de cette famille de Montboissier, est le neuvième abbé de Cluny dès 1122. Ils sont les ancêtres des membres de la première Maison de Polignac.
  • Agnès de Polignac mariée à Pierre de Fay, croisé.
  • Alix de Polignac mariée à Giraudet Adhémar de Monteil, le 18 avril1107. Giraudet est allé à la première croisade[11] et est le frère d'Adhémar de Monteil[12]. Troisième fils de Giraud, seigneur de Grignan, de Monteil, de la Garde, etc., il a par le partage qu'il fait avec ses frères, le 26 décembre 1095, la moitié de Monteil, la seigneurie de la Garde[13].
  • Héracle II.

Ses exploits à la croisade

Adhémar de Monteil, après son arrivée au Puy, ayant trouvé que les deux vicomtes de Polignac, Pons et Héracle, s'étaient, ainsi que plusieurs autres laïcs, emparés en 1087 de biens possédés par l'Église, a recours à la force, lève des troupes et déclare la guerre aux deux vicomtes, et qu'il oblige enfin après divers combats de se désister, moyennant la somme de vingt-cinq mille sous, monnaie du Puy, qu'Adhemar leur compte, de toutes leurs prétentions sur l'Église de cette ville. Les autres seigneurs abandonnent aussi la dîme de diverses églises, sur lesquelles ce prélat impose un cens pour l'entretien de ses chanoines[14]. Héracle n’est qu’un fils puîné, mais il est très proche de son frère qui subventionne son expédition en Orient. Après s'être combattus, les Polignac et les Adhémar de Monteil préparent ensemble la première croisade. Héracle, vicomte de Polignac est certes porte-étendard de l'Église, lors de la croisade, mais l’Église c’est Adhémar de Monteil.

Le pape Urbain II vient présider le concile de Clermont ; la première croisade est résolue. Aymard de Monteil part à leur tête, avec le titre de légat ou vicaire du Pape. Héracle de Polignac et Pierre de Fay, chefs des deux plus puissantes maisons du pays, se croisent à son exemple[15] . M. En effet, au nombre de ceux qui se croisent, à l'exemple d'Aymar ou Adhémar de Monteil et de Raymond de Saint-Gilles, sont Héracle, frère puîné de Pons, avec lequel il possède par indivis la vicomté de Polignac ; Pierre et Pons de Fay ou de Fayn, -qui vendent une partie de leur patrimoine pour fournir aux frais du voyage. Mais il n'y a que le premier qui l'entreprend ; l'autre décède auparavant. Ils font cette vente en 1097, de l'avis de Pons, vicomte de Polignac, de ses fils et de leurs femmes[16].

Héracle II de Polignac est le porte-étendard de l'Église.

Toute la noblesse de la Gascogne, du Languedoc, de la Provence, du Limousin et de l'Auvergne part nombreuse à la croisade. Les historiens contemporains nomment parmi les chevaliers et les seigneurs qui prennent la croix : le comte Héracle de Polignac; Pons de Balazun, Guillaume Ier de Sabran, Éléasar de Montredon, Pierre Bernard de Montagnac, Éléasar de Castries, Raymond de Liste, Pierre Raymond d'Hautpoul, Gouftiers de Lastours, Guillaume V, seigneur de Montpellier ; Roger, comte de Foix ; Raymond de Narbonne-Pelet, seigneur d'Alais; Isard, comte de Die; Rambaud II d'Orange; Guillaume, comte de Forez; Guillaume, comte de Clermont; Gérard, fils de Guillabert, comte de Roussillon; Gaston, vicomte de Béarn ; Guillaume Amanjeu d'Albret; Raymond Ier de Turenne; Raymond, vicomte de Castillon ; Guillaume d'Urgel, comte de Forcalquier. A l'exemple d'Adhémar de Monteil, les évêques d'Apt, de Lodève, d'Orange, l'archevêque de Tolède, prennent la croix et conduisent une partie de leurs vassaux à la guerre sainte[17]. Héracle est l'un des chefs qui commandent l'avant-garde de l'armée chrétienne, lors de sa marche sur Antioche

Nous ignorons si Héracle de Polignac partage le vœu formé par le comte de Toulouse, Raymond de Saint-Gilles, de ne plus revenir dans sa patrie, et d'employer le reste de ses jours à combattre les infidèles ; mais la destinée dispose de sa vie dans cette expédition lointaine. Les croisés, bloqués dans Antioche par le Sultan de Nicée, dit M. Arnaud, historien du Velay, tombent dans un grand abattement, et les chefs de l'année sentent la nécessité d'employer des moyens extraordinaires pour relever leur courage. Or, un prêtre provençal déclare que saint André, dans une apparition nocturne, lui a appris que la lance dont les Juifs s'étaient servis pour percer le sein de Jésus-Christ se trouve renfermée dans le principal autel de la basilique de Saint-Pierre d'Antioche, et que sa possession doit protéger les chrétiens contre tous les efforts des musulmans, si ce fer, selon le vœu de la Providence, est remis au comte de Toulouse, pour le porter dans les combats. La lance, cherchée avec une fervente solennité, se trouve, comme on le pense bien, au lieu indiqué, cachée dans la terre, à douze pieds de profondeur. La vue de ce précieux talisman ranime le courage des soldats de la foi. Ils demandent à grands cris le combat. Raymond de Saint-Gilles profite de cette sainte exaltation. Le 29 juin 1098, l'armée est distribuée en douze corps; dans le quatrième, commandé par Adhémar de Monteil, l’évêque du Puy. Raymond d'Agiles, chapelain du comte de Toulouse, porte cette arme déicide, qui doit donner la victoire aux croisés. Il a en tête le sarrasin Kerboga, roi de Mozul, dont l'armée est, dit-on, une fois plus nombreuse que la leur. Malgré cette supériorité numérique, l'infidèle est défait, et les pieux guerriers ne dédaignent pas de recueillir un butin immense dans le camp des mécréants. On dit que la division de l'évêque fait, dans cette journée, des prodiges de valeur, sans avoir ni tués ni blessés, excepté pourtant Héracle de Polignac, qui tombe frappé mortellement sur l'étendard de l'église du Puy, qu'il porte. Comment donc, dit le Sarrasin vaincu en apprenant cette sinistre exception, la Providence des chrétiens a donc ses caprices! C'était bien le moins que la sainte lance sacrée protège la bannière d'un évêque[18]. Lors de cette bataille, Héracle ayant cédé son étendard à un autre et quitté son rang, reçoit au visage un coup de flèche, dont il meurt le 9 juillet 1098.

Jeanne, nommée aussi Déave ou Déesse de Montboissier, femme d'Héracle II, ne semble pas avoir eu d'enfants de cette union. Ce Polignac est mort à 23 ans après deux années de guerres en traversant les Balkans et en Orient.

Notes et références

  1. la forteresse de Polignac
  2. Le concile de Clermont de 1095 et l'appel à la Croisade : actes du Colloque universitaire international de Clermont-Ferrand (23-25 juin 1995), Par Conseil régional d'Auvergne, Collaborateur Conseil régional d'Auvergne, Publié par École française de Rome, Palais Farnèse, 1995, p.52 et Annales, Par Académie royale d'archéologie de Belgique, v.56 (1904), p.491 et Dictionnaire biographique de la Haute-Loire, Par Gaston Joubert, Publié par Éditions "Per Lous Chamis", 1982, p.309.
  3. Dictionnaire de la noblesse, contenant les généalogies, l'histoire & la chronologie des familles nobles de la France, l'explication de leurs armes, & l'état des grandes terres du royaume ... On a joint ... le tableau généalogique, historique, des maisons souveraines de l'Europe, & une notice des ..., Par François-Alexandre Aubert de la Chesnaye des Bois, Badier, Publié par Chez la veuve Duchesne ... et l'auteur, 1776, Vol. 11 = Noa – Raz, p.388.
  4. a et b Monnaies féodales de France, Par Faustin Poey d'Avant, Publié par Bureau de la Revue Numismatique Française, 1858, p.343.
  5. La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par Derache, 1845, p.185.
  6. 1095, le clair obscur: roman de la croisade, Par Jacques Céron, Publié par Éditions CREER, 2005, p.244.
  7. Hist. de Languedoc, t. II, p. 54g.
  8. Nobiliaire universel de France ou Recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Par Nicolas Viton de Saint-Allais, Publié par au bureau du Nobiliaire universel de France, 1814, Vol. 2, p.447.
  9. (Histoire de Languedoc, t. II, pp. 271,; Preuves, col. 8, 308, 345, 349 ; Gallia Christiana, t. 11, col.59.
  10. Surnom attribué par l'empereur Frédéric Barberousse ; Agnès Gerhards, L'abbaye de Cluny, éditions Complexe, 1992, (ISBN 2870274564), p.74
  11. 1ère Croisade
  12. La noblesse de France aux croisades, Par Paul André Roger, Publié par Derache, 1845, p.166 et Nobiliaire universel de France, ou recueil général des généalogies historiques des maisons nobles de ce royaume, Par Nicolas Viton de Saint Allais, 1816, p484.
  13. Revue numismatique, Par Société française de numismatique, Publié par Blois, 1863, ser.1:t.8, p.418.
  14. Histoire du Velay jusqu'à la fin du règne de Louis XV, Par Jean-André-Michel Arnaud, Publié par J.B. La Combe, 1816, VOL. 1, p. 96.
  15. Description statistique du département de la Haute-Loire Par Deribier de Cheissac, Publié par Belin-Leprieur, 1824, p.192.
  16. Histoire du Velay jusqu'à la fin du règne de Louis XV, Par Jean-André-Michel Arnaud, Publié par J.B. La Combe, 1816, VOL. 1, p. 98.
  17. Histoire des croisades, Par Joseph Fr Michaud, Jean-Louis-Alphonse Huillard-Bréholles, Publié par Furne, 1867, v.1, p.94.
  18. La Loire historique, pittoresque et biographique: pittoresque et biographique ..., Par Georges Touchard-Lafosse, Publié par Suireau, 1851, p.128 et 129.

Articles connexes

Liens externes


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