Grande pyramide de Tenochtitlan

Grande pyramide de Tenochtitlan

Templo Mayor

Le Templo Mayor (« Grand Temple » en espagnol), était le nom de la grande pyramide à degrés de Tenochtitlan, la capitale des Aztèques, ainsi que, par synecdoque, du centre cérémoniel dans lequel elle se situait[s 1] (également appelé Recinto sagrado en espagnol, c'est-à-dire « Enceinte sacrée »). Après la conquête espagnole, au XVIe siècle, le Templo Mayor fut détruit et son emplacement exact fut oublié, suite aux multiples chantiers de construction de la ville moderne, Mexico, jusqu'à ce que des fouilles archéologiques en mettent à jour les fondations à partir de 1978. Pour exhumer le site du Grand Temple, les archéologues ont fait raser des immeubles, des magasins et coupé une artère de la capitale mexicaine.

Maquette du Templo Mayor (reconstitution d'Ignacio Marquina exposée au Musée National d'Anthropologie de Mexico).

Sommaire


Historiographie et archéologie

Site archéologique du Templo Mayor en 2008.

Le Templo Mayor ne nous a longtemps été connu que par les témoignages des chroniqueurs du XVIe siècle (en particulier Bernal Díaz del Castillo et Bernardino de Sahagún).

Après la conquête espagnole, le temple avait été littéralement oblitéré par la ville coloniale et l'on avait oublié jusqu'à son emplacement exact.

Les premières découvertes furent celles des monolithes de Coatlicue, en 1790, et de la Piedra del Sol en 1791[1]. Leopoldo Batres dirige les premières fouilles archéologiques en 1900 et vers 1913 Manuel Gamio trouve l'angle sud-ouest du Templo Mayor[1].

Ce n'est que le 21 février 1978 que des ouvriers faisant des travaux pour la Companía de Luz y Fuerza ont mis au jour un disque de pierre, de 3,10 mètres, sur lequel était sculpté le corps démembré de la déesse Coyolxauhqui[2], déesse des Ténèbres. L'INAH (Institut National d'Anthropologie et d'Histoire) transforma alors son projet de création d'un musée de Tenochtitlan en un programme de fouilles de grande envergure, le Programme Templo Mayor, qui, sous la coordination d'Eduardo Matos Moctezuma, permit d'excaver les ruines monumentales du Templo Mayor[2] sur 5 000 à 7 000 m²[réf. nécessaire].

Le Musée du Templo Mayor fut inauguré le 12 octobre 1987 dans le centre historique de Mexico pour exposer les résultats de ces travaux archéologiques. En mai 1992 est créé le programme d'archéologie urbaine (PAU)[2].

Situation

Le Templo Mayor se situait au nord de la place centrale de Tenochtitlan, qui coïncidait à peu près avec l'actuel Zócalo de Mexico[s 2].

Ce centre religieux était fortifié par une enceinte crénelée de têtes de serpents (Coatepantli, « muraille de serpents ») de 300 mètres de large sur 400 de long, qui longeait le nord de la place centrale et le flanc du palais de l'empereur (actuelle rue de la Moneda) et dont les portes étaient protégées par une garnison d'élite[s 3].

Édifices

D'après Soustelle, la chronique la plus crédible est celle de Cortés, qui indique que le centre cérémoniel du Templo Mayor comportait une quarantaine de bâtiments publics[s 4].

La grande pyramide

Maquette du templo Mayor
La grande pyramide a été construite en sept étapes, chaque couche se superposant à la précédente.
Représentation du Templo Mayor dans le Codex Tovar

La grande pyramide (huey teocalli), à l'ouest, était dédiée à Huitzilopochtli et Tlaloc.

Huitzilopochtli étant le dieu tribal originel des Mexicas, ce temple avait une importance fondamentale aux yeux des souverains[s 5] et du peuple aztèques.

Construction

Les fouilles ont révélé qu'il y avait eu sept étapes[3] dans la construction de l'édifice, chaque bâtiment venant se superposer au précédent. Découverte conforme à ce que l'on sait de la coutume des peuples mésoaméricains d'élever leurs nouveaux sanctuaires sur des édifices antérieurs. Les Aztèques avaient procédé comme le faisaient les Mayas de l'Époque classique, à la grande joie des archéologues qui ont pu reconstituer l'histoire du temple.

  • La première phase, qui pourrait correspondre à la fondation mythique de Tenochtitlan en 1325, ne nous est pas accessible à cause du niveau de la nappe phréatique à Mexico[4].
  • La deuxième phase, par contre, a été presque entièrement conservée et corrobore, en plus petit, les descriptions du Templo Mayor par les Conquistadors en 1521. Au sommet de l'édifice se trouvent deux sanctuaires, l'un consacré à Tlaloc, l'autre à Huitzilopochtli. Devant le sanctuaire de Tlaloc, on peut encore voir un Chac Mool qui a conservé ses couleurs d'origine. Face à celui d'Huitzilopochtli, moins bien conservé, se dresse la pierre de sacrifice. À l'intérieur se trouve un petit autel qui devait porter la statue du dieu. On y a retrouvé un glyphe « 2 Lapin », qui correspondrait à l'année 1390[5].
  • S'il reste peu de choses de la troisième phase, elle mérite d'être mentionnée, parce qu'on y a retrouvé une série de statues, qui pourraient représenter les Centzon Huitznaua, ainsi qu'une date « 4 roseau », sans doute 1431, ce qui correspond au règne d'Itzcoatl.
  • De la phase IV subsistent des éléments spectaculaires : de grands braseros qui portent le visage de Tlaloc du côté de son sanctuaire, d'autres qui portent un nœud, symbole d'Huitzilopochtli, du côté opposé. D'une phase IVb, correspondant à un agrandissement de la seule façade principale, datent des têtes monumentales de serpent, ainsi que le bas-relief représentant le corps démembré de Coyolxauhqui, dont la découverte fut, rappelons-le, à l'origine des fouilles. La phase IV serait contemporaine des empereurs Moctezuma Ier et Axayacatl.
  • De la phase V il ne subsiste quasi rien.
  • De la phase VI, qui daterait de l'empereur Ahuitzotl, subsistent des constructions annexes: trois petits bâtiments au nord, appelés temples A, B et C, dont l'un, le temple B comporte un tzompantli, ainsi qu'un ensemble appelé «enceinte des chevaliers-aigles». Au sud se trouve un bâtiment appelé le «temple rouge».
  • Comme nous l'avons dit, il ne subsiste quasiment rien de la phase VII, excepté une partie du dallage.

La chronologie du Templo Mayor pose néanmoins encore des problèmes, car il subsiste des contradictions entre ce que nous apprend l'archéologie et les sources écrites, c'est-à-dire les nombreux codex du XVIe siècle, qui parlent de l'achèvement définitif et de l'inauguration du Templo Mayor sous Ahuitzotl.

Ainsi, Soustelle indique que la première pyramide de grande taille fut érigée sous Moctezuma Ier, grâce au soutien, pendant deux ans, de plusieurs cités voisines[s 6], le temple au sommet de cette pyramide étant inauguré en 1455 après la victoire sur les Huaxtèques, et qu'elle fut ensuite agrandie principalement sous le règne de Tizoc, puis inaugurée sous sa forme finale en 1487, un an après la mort de cet empereur.

Le temple de Quetzalcoatl

Le temple rond de Quetzalcoatl se situait au centre de l'enceinte sacrée, en face de l'escalier principal de la grande pyramide et dans l'axe du jeu de paume.

Les autres lieux de cultes

  • Le temple de Tezcatlipoca (pyramide bordant la muraille du sud de l'enceinte, face au palais impérial d'Auitzotl).
  • Le temple du soleil (au sud-ouest, face au palais d'Axayacatl).
  • Le temple du serpent (coateocalli) et celui de Ciuacoatl (au nord-ouest).
  • Les monastères (calmecac) rattachés à chaque temple.
  • Une multitude de lieux de prière et de sacrifice.
  • De nombreuses sources et des bassins rituels.

Les bâtiments profanes

  • Le palais impérial d'Auitzotl (en face du temple de Tezcatlipoca).
  • Le palais d'Axayacatl.
  • Des arsenaux (tlacochcalco, « maison des javelines »).
  • Le mecatlan (école et salle de répétition des musiciens cérémoniels).

Interprétation

Statues de la Phase III
Chac mool du Templo Mayor

L'interprétation de ce sanctuaire n'est possible qu'à la lumière des conceptions religieuses mésoaméricaines en général et de celles des Aztèques en particulier.

Dans la cosmographie mésoaméricaine, le monde est un carré divisé en quatre quartiers, correspondant aux points cardinaux, avec un centre qui est le pivot de l'univers (un «axis mundi») et met en contact verticalement la terre avec les différents niveaux du monde souterrain et des cieux. Cette conception est illustrée par la première page du Codex Fejérváry-Mayer. Symboliquement, Tenochtitlán, avec ses quatre quartiers, est une image du monde, et le Templo Mayor, à l'intersection des quatre quartiers en est le centre[6]. Cette vision est illustrée encore plus explicitement par la première page du Codex Mendoza qui représente symboliquement Tenochtitlan. Au centre de l'image, l'aigle représente à la fois Huitzilopochtli et son sanctuaire. Les deux sanctuaires au sommet correspondraient au dernier niveau des cieux aztèques ; l'«Omeyocan» (c'est-à-dire l'«endroit de la dualité»).

Certaines caractéristiques du bâtiment sont associées au mythe spécifiquement aztèque de la naissance de leur dieu tribal, Huitzilopochtli, sur une montagne appelée « Coatepec[6] » ( en nahuatl la «montagne des serpents»). Dans ce mythe, la grossesse miraculeuse de Coatlicue indispose sa fille Coyolxauhqui et ses quatre cents fils, les Centzon Huitznahua. Ils décident de tuer leur mère, lorsqu'elle accouchera au sommet du Coatepec, mais Huitzilopochtli sort tout armé du ventre de sa mère, tue sa sœur, la démembre et précipite les morceaux au bas de la montagne. Ensuite il poursuit ses frères et les extermine. Le sanctuaire d'Huitzilopochtli au sud du Templo Mayor symbolise le Coatepec. On comprend parfaitement de cette manière la présence au bas de l'escalier qui y mène de la fameuse sculpture représentant Coyolxauhqui démembrée. Lorsqu'une victime est immolée au sommet du temple et que son corps est précipité vers le bas, c'est cet épisode du mythe qui est répété symboliquement.

Par ailleurs, le Templo Mayor traduit la soif de légitimité des Aztèques: certains auteurs pensent[7] que les derniers arrivants dans la vallée de Mexico souffraient d'un «complexe d'infériorité» et voulaient se poser en successeurs des grandes civilisations mésoaméricaines, dont les ruines se trouvaient encore sous leurs yeux: Teotihuacan et les Toltèques, que ce soit sous la forme d'offrandes enterrées sous le Templo Mayor (masques de Teotihuacan) ou l'imitation consciente de détails architecturaux : (talud-tablero de Teotihuacan ou chac mool de Tula).

Comme nous l'avons dit plus haut, le Templo Mayor était une pyramide double, avec un double escalier et deux sanctuaires à son sommet, l'un consacré à Huitzilopochtli, l'autre à Tlaloc. Selon Ester Pasztory, cette forme architecturale, présente en d'autres endroits, permettait aux Aztèques d'associer leur dieu tribal Huitzilopochtli à la principale divinité locale[8]. A Tenochtitlan, capitale de l'empire, c'est à la grande divinité panmésoaméricaine Tlaloc qu'on associe Huitzilopochtli. Dans ce binôme riche en symbolique certains voient l'association de la petite tribu nomade arrivée récemment dans la vallée de Mexico avec les vieilles populations sédentaires du Plateau central. L'archéologue mexicain Matos Moctezuma y voit l'expression sacralisée de deux fonctions économiques : Huitzilopochtli préside à la guerre qui permet d'obtenir le tribut des vaincus, tandis que Tlaloc préside aux activités agricoles. On peut aussi y voir l'association du Nord aride représenté par Huitzilopochtli et de l'Est humide et aquatique représenté par Tlaloc. Aucune de ces associations n'est d'ailleurs exclusive des autres.

Le Templo Mayor était le lieu par excellence du sacrifice humain sous sa forme la plus courante : la cardiectomie. Le mythe aztèque du Cinquième Soleil offre la clé de cette pratique : dans un univers instable qui dépend de la marche du soleil, et qui serait détruit si celui-ci s'arrêtait, les hommes se doivent d'imiter les dieux qui se sont sacrifiés à Teotihuacan pour que le soleil se mette en mouvement. Si le sacrifice humain a toujours existé en Mésoamérique, on peut se demander pourquoi il a pris un caractère tellement massif chez les Aztèques : selon les chroniqueurs, entre 3 000 et 84 000 personnes furent sacrifiés sur les quatre jours que dura la reconsécration du Templo Mayor par Ahuitzotl en 1487 - des chiffres qui ont d'ailleurs paru tellement élevés à certains auteurs qu'ils contestent la possibilité matérielle de tuer autant de personnes en aussi peu de temps[9]. Une des théories les plus répandues pour expliquer ces hécatombes est qu'un tournant idéologique a eu lieu lors d'une gigantesque famine vers 1450 : on attribue à Tlacaelel l'idée qu'elle aurait été due à la colère des dieux parce qu'on ne leur fournissait pas assez de sang humain, que les Aztèques désignaient par une métaphore : «Chalchiuatl» («eau précieuse»). Pour assurer l'approvisionnement régulier du soleil en victimes, on aurait inventé l'institution de la «guerre fleurie», une forme de guerre rituelle, où l'on s'efforce non pas de tuer mais de capturer les guerriers adverses pour les sacrifier. Par ailleurs, l'empire aztèque étant lui-même un édifice instable, perpétuellement agité par les révoltes des cités tributaires, la répression de celles-ci donnait lieu également au sacrifice d'une partie de la population révoltée.

Notes et références

  1. a  et b (es) Site officiel du Museo del Templo Mayor, description de la salle 1. Consulté le 23 juin 2008 (cliquer sur sigue, en bas à droite).
  2. a , b  et c cf. (es) Présentation officielle du musée du Templo Mayor. Consulté le 23 juin 2008 (cliquer sur proyecto arqueológico, dans le corps du texte).
  3. Eduardo Matos Moctezuma, The great Temple of the Aztecs, Thames & Hudson, 1994, p. 62
  4. Eduardo Matos Moctezuma, The great Temple of the Aztecs, p. 64
  5. Eduardo Matos Moctezuma, Le Templo Mayor, in Les Aztèques - Trésors du Mexique ancien (ouvrage collectif), Bruxelles, 1987, p. 109
  6. a  et b Paul Hosotte 2001, p. 157
  7. Esther Pasztory (cf. Carrasco 1999, p. 71).
  8. Esther Pasztory, Aztec Art, Harry N. Abrams, Inc, Publishers, p. 123
  9. Wolfgang Haberland, «La vallée de Mexico», in Les Aztèques - Trésors du Mexique ancien (ouvrage collectif), Bruxelles, 1987, p. 80
  • Jacques Soustelle, Les Aztèques à la veille de la conquête espagnole, Hachette Littératures, coll. Pluriel, 2002, 318p. (ISBN 2012790801)
  1. Page 45 : « Sahagún ne dénombre pas moins de soixante-dix-huit édifices ou catégories d'édifices faisant partie du templo mayor, c'est-à-dire de ce quartier religieux délimité par le coatepantli. »
  2. Page 39.
  3. Pages 44-45 : « De la porte méridionale partait la chaussée d'Iztapalapan et de Coyoacán ; de la porte nord, la chaussée de Tepeyacac ; de la porte occidentale, la chaussée de Tlacopan » (« suivant à peu près le tracé de l'actuelle rue de Tacuba », p.40).
  4. Note 49 page 285 : Soustelle montre la confusion du témoignage de Sahagún et se base donc plutôt sur celui de Cortés, qui écrit dans ses Cartas de relación (p.152) que la principale « mosquée » (temple) ne comporte pas moins de « quarante tours très élevées et bien construites ».
  5. La note 36 de la page 41 cite ce discours adressé à Itzcoatl : « N'oubliez pas que tous vos ancêtres[...] se sont fait un devoir de gouverner et de rendre la justice avec impartialité, et de défendre le temple de Huitzilopochtli », rapporté vers 1598 par Don Alvaro Tezozomoc (cf. Histoire du Mexique, vol.1, page 26, traduction de H. Ternaux-Compans éditée par P. Jannet, 1853, Paris).
  6. Page 41 : Colhuacán, Cuitlahuac, Coyoacán, Mizquic et Xochimilco.

Bibliographie

  • (es) Eduardo Matos Moctezuma, Excavaciones del programa de arqueología urbana, Instituto Nacional de Antropología e Historia, Mexico, 2003, 326 p. (ISBN 9703504426) 
  • (es) Eduardo Matos Moctezuma, Templo mayor: Guía oficial, Salvat, 1993, 131 p. (ISBN 968692714X) 
  • (en) Esther Pasztory, Aztec Art, University of Oklahoma Press, 1998 (ISBN 0806125365) 
  • (en) Eduardo Matos Moctezuma, The Great Temple of the Aztecs. Treasures of Tenochtitlan, Thames & Hudson, 1994 (ISBN 0500277524) 
  • (en) David Carrasco, City of Sacrifice. The Aztec Empire and the Role of Violence in Civilization, Beacon Press, Boston, 1999, 288 p. (ISBN 9780807046432) [présentation en ligne] 
  • Paul Hosotte, L'Empire aztèque. Impérialisme militaire et terrorisme d'État., Economica, Paris, 2001, 332 p. (ISBN 2717841946) 
  • Jacques Soustelle, Les Aztèques à la veille de la conquête espagnole, Hachette Littératures, coll. Pluriel, 2002, 318p. (ISBN 2012790801)
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