- George Onslow
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George Onslow George OnslowNaissance 27 juillet 1784
Clermont-FerrandDécès 3 octobre 1853 (69 ans)
Clermont-FerrandActivité principale Compositeur
George Onslow (prononcer onzlo) est un compositeur français, né à Clermont-Ferrand le 27 juillet 1784 et décédé dans cette même ville le 3 octobre 1853.
C'est une figure singulière de l'histoire de la musique : très largement et unanimement reconnu de son vivant, il est aujourd'hui pour ainsi dire oublié et son œuvre, essentiellement consacrée à la musique de chambre pour cordes, est quasi absente du répertoire depuis plus d'un siècle en édition moderne.
Sommaire
Biographie[1]
George Onslow est issu d'une ancienne famille de l'aristocratie anglaise, dont plusieurs membres jouèrent un rôle important dans la vie politique britannique (trois d'entre eux furent speaker à la Chambre des communes).
Son père, Édouard, est venu s'installer à Clermont-Ferrand en 1781 à la suite d'un scandale familial qui l'avait contraint à quitter son sol natal. Rapidement intégrés dans la notabilité clermontoise, les Onslow mènent une vie paisible jusqu'en 1789, date à laquelle la Révolution vient compromettre leur sécurité. Emprisonné en 1793 en raison de sa nationalité, et en dépit de sa connivence avec Couthon dont il était frère en maçonnerie, il est poussé à l'exil en 1797. Son fils aîné, George, l'accompagne dans ce qui va devenir pour lui un voyage d'étude.
Entre 1798 et 1806, il étudie le piano auprès de plusieurs maîtres, notamment Johann Baptist Cramer, Jan Ladislav Dussek et Nicolas-Joseph Hüllmandel qui enseignent à Londres ; des séjours en Allemagne et en Autriche lui permettent de parfaire sa formation d'instrumentiste. Il ne se destine pas encore à la carrière artistique, et encore moins à celle de compositeur : l'étude du piano n'est qu'un des aspects de son éducation, au même titre que les mathématiques, l'Histoire, l'escrime, l'équitation, le dessin (deux de ses frères se consacrèrent à la peinture), etc. Du point de vue de ses parents, il s'agit davantage d'un talent de salon que d'une compétence professionnelle : du reste, il ne se produisit jamais en récital en tant que pianiste, et ce n'est qu'à Clermont qu'il accepta de temps à autre de faire applaudir ses dons d'improvisateur. Il pratique également le violoncelle en amateur afin de compléter un quatuor d'amis avec qui il pratiquait le répertoire des maîtres (Mozart, Haydn, le jeune Beethoven). C'est en entendant l'ouverture de Stratonice, un opéra de Méhul, qu'il découvre sa vocation de compositeur : il est alors âgé de 22 ans. Son premier essai, un recueil de trois quintettes, remporte un tel succès que ses amis, ses interprètes et Camille Pleyel, son éditeur, l'encouragent à persévérer. Quatuors et trios suivent aussitôt, mais il mesure rapidement ses lacunes et décide de compléter ses connaissances théoriques en se remettant aux bons soins d'Anton Reicha qui fut son seul et unique maître de composition. Son influence devait se révéler décisive, tant d'un point de vue esthétique que stylistique.
Il entame alors une brillante carrière qui fait de lui rapidement un compositeur incontournable de la vie musicale de la première moitié du XIXe siècle: les plus grands interprètes l'inscrivent à leur répertoire et son nom côtoie ceux de Mozart, Haydn et Beethoven dont on estime qu'il est le digne et unique successeur. Surnommé le Beethoven français, il est le seul, du moins en France, à se consacrer à la musique de chambre : avec 36 quatuors et 34 quintettes, il laisse une production exceptionnelle qui alimente durant plus de cinq décennies les principales sociétés de concert européennes, tout en faisant les beaux jours des éditeurs jusqu'aux États-Unis (Schirmer).
C'est surtout en Allemagne qu'il rencontre la plus grande faveur : inscrit au panthéon des gloires germaniques, il jouit d'une faveur exceptionnelle auprès des musiciens et du public, dont Mendelssohn et Schumann furent les témoins vivants. Non content de réunir les suffrages de ses contemporains, et de bénéficier d'une diffusion éditoriale peu commune, il jouit également d'une large reconnaissance institutionnelle : membre de la plupart des sociétés philharmoniques d'Europe, il fut élu en 1842 à l'Académie des Beaux-Arts, devant Berlioz notamment.
À une époque où, à Paris notamment, on cultivait surtout le goût du vaudeville et de l'opéra-comique, il incarne la continuité de la grande école classique et sert d'alibi aux tenants d'une décadence de la musique dans un contexte marqué par la « privatisation » de la vie musicale. Les soirées de quatuor de Baillot à Paris, de Lindley à Londres, et de Zimmermann à Berlin étaient considérées comme les derniers refuges de la véritable musique et il devint le héraut des défenseurs de la tradition et de l'excellence instrumentales contre les dérives que représentaient, à leurs yeux, les romances, les quadrilles et autres musiques de divertissement. Il n'en compose pas moins trois opéras, poussé à la fois par sa curiosité et le souci d'asseoir sa renommée (L'Alcade de la Véga, 1824, Le Colporteur, 1827, et Le Duc de Guise, 1837) : en dépit de leur programmation à la salle Favart, les témoins de leur création sont unanimes à considérer qu'ils auraient mérité d'être montés à l'Opéra. Ses partitions lyriques étaient d'une densité et d'une complexité inhabituelles pour le public de l'époque et, en l'absence de livret de grande qualité (critère rédhibitoire à l'époque), ils n'obtinrent qu'un succès d'estime, en dépit du fait qu'ils furent salués par la critique, et en particulier Berlioz qui défendit Le Duc de Guise avec enthousiasme.
Dans sa musique instrumentale et orchestrale, il préfigure le romantisme par la richesse de son harmonie, la prépondérance des chromatismes, le tempérament tempétueux et tourmenté de son écriture et la ferveur de ses thèmes lyriques : la difficulté d'exécution de ses quatuors et quintettes, déjà connue de son temps, constitue un des motifs de leur abandon par les interprètes.
Tout en ayant eu une brillante carrière internationale, et en dépit des sollicitations toujours plus nombreuses, il reste fidèle à l'Auvergne puisque, né à Clermont-Ferrand, il est également décédé dans cette même ville, ce qui le distingue des artistes « montés à Paris ». Très attaché à la capitale auvergnate, apprécié pour sa générosité (concerts de bienfaisance, participation aux bonnes œuvres, etc.), et son caractère courtois et affable, il fait rejaillir sur Clermont tout le prestige de son nom, sans que sa musique n'y soit jamais vraiment appréciée et comprise. Il fut un châtelain respecté et entouré de bienveillance : véritable gentleman farmer, il met autant de talent à gérer ses propriétés qu'à négocier ses contrats avec Breitkopf & Härtel ou Maurice Schlesinger.
Tout en ayant une demeure à la campagne (château de Chalendrat à Mirefleurs puis de Bellerive à Pérignat-sur-Allier), il conserva toujours ses appartements à Clermont : place Michel de l'Hospital tout d'abord (qui s'appelait encore place du Marché aux bois au début du XIXe siècle, puis rue Pascal, au numéro 2, où il décède. Il repose au cimetière des Carmes, à côté de quelques-unes des grandes familles auvergnates et on peut y lire sur une plaque la phrase d'Hector Berlioz(1829) :Depuis la mort de Beethoven, il tient le sceptre de la musique instrumentale.
Écouter sa musique
La musique de George Onslow est encore trop rarement à l'affiche des concerts, notamment dans ce qu'elle a de plus remarquable : la musique de chambre pour cordes. 36 quatuors et 34 quintettes forment le cœur de son catalogue musical et furent à l'origine de sa renommée partout en Europe et auprès des plus grands interprètes de son temps. De nos jours, et après la redécouverte qu'en fit Carl de Nys avec la participation du Quatuor Parrenin dans les années 1970-80, quelques ensembles ont inscrit ponctuellement quelques partitions d'Onslow à leur répertoire (Quatuor Debussy, Quatuor Coull, Quatuor d'Oxford, L'Archibudelli). Plusieurs ensembles se consacrent depuis de nombreuses années à la réhabilitation de l'œuvre d'Onslow : le Quatuor Mandelring, qui a enregistré plusieurs CD, le Quatuor Prima Vista qui est également fondateur des Soirées Onslow (un festival d'été) et de la Journée Onslow (une manifestation annuelle) où l'on peut écouter la musique d'Onslow, et le Salon Romantique. Cet ensemble a été salué par la critique française et internationale pour l'enregistrement de deux Cd chez Pierre Verany-Arion consacrés aux Quintettes à deux altos ou à deux violoncelles, les Opus 23,24,51 et 82. Le Salon Romantique a également enregistré chez Ligya Digital la transcription authentique pour Quatuor à Cordes, Opus 60, par Georges Onslow lui même de son Opéra Comique Guise ou les états de Blois, en se basant sur la première édition originale éditée par Ad Catelin à Paris, éditeurs des « compositeurs réunis ». Cette œuvre peut être écoutée, ainsi que les quintettes et les sonates pour Alto interprétées par Francois Joel Thiollier et Pierre Franck sur le site: salon-romantique.com
Dans une lettre adressée à son éditeur Kistner en date du 18 avril 1847 — collection du château d'Aulteribe (près de Sermentizon dans le Puy-de-Dôme), George Onslow indique qu'il vient d'écrire une transcription pour quatuor à cordes qui constitue son opus 60 (37e quatuor) nommé Le Duc de Guise.
Voici un extrait du Trio par le Quatuor Prima Vista (Premier enregistrement mondial).
Catalogue de ses œuvres
Opéras Titre Librettistes 1re représentation Composition Commentaires Les deux Oncles (Opéra) 1806 un exemplaire daté du 6/12/1806 L'Alcade de la Vega (Drame lyrique) Bujec Opéra, 10 août 1824 1822-1824 Le Colporteur ou l'Enfant du bûcheron (Opéra-comique) Planard Opéra-Comique, 22 novembre 1827 1826 Guise ou les États de Blois (Drame lyrique) Planard, Saint-Georges Opéra-Comique, 8 septembre 1837 1835-1836 Quatuors à cordes Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 à 3 Si bémol Majeur; Ré Majeur, La mineur 4 1810 N° 4 à 6 Do mineur, Fa Majeur, La Majeur 8 1815 N° 7 à 9 Sol mineur, Do Majeur, Fa mineur 9 1815 N° 10 à 12 Sol Majeur, Ré mineur, Mi bémol Majeur 10 1815 N° 13 à 15 Si bémol Majeur, Mi mineur, Mi bémol Majeur 21 1823 N° 16 à 18 Mi mineur, MI bémol Majeur, Ré Majeur 36 1828 arrangement des trois trios de l'opus 14 N° 19 à 21 Fa dièse mineur, Fa Majeur, Sol Majeur 46 1833 N° 22 Do Majeur 47 1833 N° 23 La Majeur 48 1834 N° 24 Mi mineur 49 1834 N° 25 Si bémol Majeur 50 1834 N° 26 Do Majeur 52 1834 N° 27 Ré mineur 53 1834 N° 28 Mi bémol Majeur 54 1835 N° 29 Ré mineur 55 1835 N° 30 Do mineur 56 1835 N° 31 Si bémol Majeur 62 1841 N° 32 Ré mineur 63 1841 N° 33 Do mineur 64 1841 N° 34 Sol mineur 65 1842 N° 35 Ré Majeur 66 1844 N° 36 La Majeur 69 1845 Duc de Guise 60 1838 arrangé en deux suites Quintettes Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 à 3 Mi mineur, Mi bémol Majeur, Ré mineur 1 1806 à deux altos (celui en Mi b à deux violoncelles) N° 4 Sol mineur 17 1821 N° 5 Ré Majeur 18 1821 N° 6 Mi mineur 19 1821 N° 7 Mi bémol Majeur 23 1821 N° 8 Ré mineur 24 1824 N° 9 Do Majeur 25 1824 N° 10 Fa mineur 32 1828 avec contrebasse N° 11 Si bémol Majeur 33 1824 avec contrebasse N° 12 La mineur 34 1824 avec contrebasse N° 1 3 Sol Majeur 35 1824 avec contrebasse N° 1 4 Fa Majeur 37 1829 à deux violoncelles N° 15 Do mineur 38 1829 dit « La Balle » à deux violoncelles N° 16 Mi Majeur 39 1829 à deux violoncelles N° 17 Si mineur 40 1830 à deux violoncelles N° 18 Mi bémol Majeur 43 1832 à deux violoncelles N° 19 Do Majeur 44 1832 à deux violoncelles N° 20 Ré mineur 45 1832 à deux violoncelles N° 21 Sol mineur 51 1834 à deux violoncelles N° 22 Mi bémol Majeur 57 1835 à deux violoncelles N° 23 La mineur 58 1836 à deux violoncelles N° 24 Ré mineur 59 1837 à deux violoncelles N° 25 Fa mineur 61 1839 à deux violoncelles N° 26 Do mineur 67 1844 violoncelle et contrebasse N° 27 Ré Majeur 68 1845 à deux violoncelles N° 28 Sol mineur 72 1847 à deux violoncelles N° 29 Mi bémol Majeur 73 1847 à deux violoncelles N° 30 Mi mineur 74 1848 à deux violoncelles N° 31 La Majeur 75 1848 à deux violoncelles N° 32 Ré mineur 78 1848 à deux altos N° 33 Do mineur 80 1851 à deux altos N° 34 Mi Majeur 82 1851 à deux altos Sonates pour violon et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 à 3 Ré Majeur, Mi bémol Majeur, Fa mineur 11 18 N° 4 Fa Majeur 15 18 N° 5 Mi Majeur 29 18 N° 6 Sol mineur 31 18 Sonates pour violoncelle et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 à 3 Fa Majeur, Do mineur, La Majeur 16 18 partie violoncelle prévue pour alto Trios pour violon, violoncelle et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 à 3 La Majeur, Do Majeur, Sol mineur 3 18 N° 4 à 6 Mi mineur, Mi bémol Majeur, Ré Majeur 14 18 N° 7 Ré mineur 20 1822 N° 8 Do mineur 26 1823 N° 9 Sol Majeur 27 1823 N° 10 Fa mineur 83 1851-1852 Œuvre pour hautbois et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires Andantino sans opus 1843 inédit (album de G. Vogt) Quintettes pour violon, alto, violoncelle, contrebasse et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 Si mineur 70 1846 partie second violoncelle prévue (à la place de la contrebasse) N° 2 Sol Majeur 76 1847 arrangement de la symphonie n° 4 N° 3 Si bémol Majeur 79 bis 1851 partie second violoncelle prévue (à la place de la contrebasse) Quintette à vent (flûte, hautbois, clarinette, cor et basson) Titre Tonalités Opus Composition Commentaires Fa Majeur 81 1851 Sextuors pour flûte, clarinette, cor, basson, contrebasse et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 Mi bémol Majeur 30 1824 N° 2 La Majeur 77 bis 1848 arrangement de Nonette Septuor pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson, contrebasse et piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires Si bémol Majeur 79 1849 Nonette pour flûte, hautbois, clarinette, cor, basson, violon, alto, violoncelle et contrebasse Titre Tonalités Opus Composition Commentaires La mineur 77 1848 Œuvres pour piano Titre Tonalités Opus Composition Commentaires Sonate Do mineur 2 1806 Airs écossais varié Mi bémol Majeur 5 1810 Toccata Do Majeur 6 1810 Duo n° 1 pour piano à quatre mains Mi mineur 7 1816 Variations sur l'air Charmante Gabrielle La mineur 12 1816 Introduction, variations et finale Sol mineur 13 1816 sur l'air Aussitôt que la Lumière Duo n° 2 pour piano à quatre mains Fa mineur 22 1823 Thème anglais varié La Majeur 28 1824 Andante pour piano sans opus 1824 album de M. Szymanouwska Allegro agitato pour piano Sol mineur sans opus sans date inédit (album de F. Mendelssohn) Allegro agitato pour piano Si bémol mineur sans opus sans date inédit Allegro moderato Fa dièse mineur sans opus sans date inédit Andantino con moto pour piano Mi mineur sans opus 1844 inédit (album de J.P. Dantan) Mijmering sans opus 1844 Edition particulière hollandaise six pièces Mi bémol Majeur, La Majeur, La bémol Majeur, Si bémol Majeur, Mi Majeur, Mi Majeur sans opus sans date Flaxland Fantaisie composée sur l'Ange gardien Si bémol Majeur sans opus 1849 romance d'Adolphe Favre (1847) Sonate n°2 sans opus sans date inédite Pièce en trio sans opus 1841 inédite Symphonies Titre Tonalités Opus Composition Commentaires N° 1 La Majeur 41 1830 N° 2 Ré mineur 42 1831 N° 3 Fa mineur 32 1833 arrangement du quintette opus 32 N° 4 Sol Majeur 71 1846 Œuvres vocales Titre Tonalités Opus Composition Commentaires La Garde du corps, (romance) 1815 La jeune Grecque, (romance avec chœurs) 1826 Paroles de Jean-Joseph Vaissière Le premier Baron chrétien, (nocturne) 1826 Paroles de Charles Hubert Millevoye Ave Maria à quatre voix 1838 Paroles de J. J. Vaissière Caïn ou la mort d'Abel pour basse et orchestre 1846 grande scène dramatique - paroles de Saint-Hilaire Cantique à la Sainte-Vierge sans date partition au château d'Aulteribe Le Printemps, nocturne 1826 Accompagnement d'une romance Souvenirs d'Auvergne 1841 Les Regrets; romance sans opus sans date Mme Guérin Le Dante dans le Paradis, ballade vocale sans opus 1835 inédit (album de Rossini) Œuvres principales
Référence
- Baudime Jam pour le site de George Onslow Ce résumé biographique reprend in extenso la notice rédigée par
Bibliographie
(ordre chronologique)
- Franks Richard Nelson. George Onslow, A Study of His Life and Works. Ph.D. Dissertation, Musicology. University of Texas Press, 1981
- Nobach Christiana, Untersuchungen zu George Onslows Kammermusik. Bärenreiter, Kassel, 1985
- Teillard Cirice, George Onslow, l'homme et le musicien. Tequi, Paris, 1889
- Luguet H., Étude sur Onslow. Mont-Louis, Clermont-Ferrand, 1889
- Faivre Gérard, Le compositeur Georges Onslow. Santa Maria & Gazelle, Cannes, 1994
- Jam Baudime. George Onslow. Les Éditions du Mélophile, Clermont-Ferrand, septembre 2003. (ISBN 2-9520076-0-8) (560 pages ; Annexes : catalogue de l'œuvre, liste thématique des dédicataires, arbre généalogique, testament, trois textes de T. et A. Bardoux, bibliographie et discographie critique)
- Niaux Viviane, George Onslow, gentleman compositeur. Presses universitaires Blaise-Pascal, Maison de la Recherche, septembre 2003. (ISBN 2-84516-233-2) [435 p. ; Annexes : généalogie du compositeur, publication de 88 lettres inédites et annotées, catalogue complet de l´œuvre, bibliographie et discographie exhaustives.
- Silvertrust R.H.R. The String Quartets of George Onslow. Edition Silvertrust. 2005
- Collectif, sous la dir. de V. Niaux, George Onslow : un « romantique » entre France et Allemagne. Symétrie, Lyon, 2010, 408 pages.
- Jam Baudime. George Onslow & l'Auvergne. Les Éditions du Mélophile, Nîmes, juillet 2011. (ISBN 978-2-95200-767-7) (400 pages + cahier iconographique en couleurs de 72 pages)
Liens externes
- George Onslow : site de l'Association
- Le site de George Onslow
- Le Quatuor Prima Vista et George Onslow
- Partitions libres de George Onslow dans International Music Score Library Project
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