Escryma

Escryma

L'escrima est un art martial philippin.

L'International Society of Martial Arts propose au sein de son organisation, le dynamique art martial philippin Escryma. L'écriture phonétique particulière Escryma a été choisie par son fondateur Dai-Sifu Hans Remmel, afin de différencier ce style des autres. Escryma est une marque enregistrée utilisée par l'International Society of Martial Arts (ISMA) et est la forme préférée utilisée lors de la mention de l'organisation.
Les Arts Martiaux propres aux îles Philippines sont intimement liés aux cultures, traditions et histoire des peuples de ces iles. Leurs origines remontent bien avant l'ère chrétienne, et sous bien des aspects de leur histoire, leur développement reste encore obscur jusqu'à nos jours, fluctuant entre mythe et réalité. L'ISMA Escryma est un art martial / self-défense qui s’est développé suite à la tradition du combat libre pratiqué par les indigènes du lieu. Cet art base sur les styles Latosa Escrima et Lapunti Arnis de Abanico et le WyngTjun. Il s’agit en l'occurrence d'un style de combat complet, avec trois distances à savoir: courte, moyenne, longue.

L'Escryma est plus spécifiquement connu pour ses techniques employant des armes: le couteau ou le bâton, techniques hautement développées depuis. Ceci dans un style coulant, explosif et sans compromis, s’appuyant sur la physique du mouvement des corps. Son apprentissage, simple et bénéfique, ne connait pas d'âge limite, et peut être appris et pratiqué par tout le monde.

Sommaire

Historique de l'Escryma

Introduction

Le premier contact de ces arts avec le monde occidental coïncide avec l'arrivée en 1521 du Portugais Magellan dans l'île de Mactan. Magellan tenta de dominer les indigènes, qui étaient conduits par un certain Lapu-Lapu. C'est ce chef des guerriers Philippins qui causa la mort du conquistador, à l'arme blanche. Le navigateur Portugais envoyé par le roi espagnol Carlos V, avec une flotte de cinq bateaux, atteignit le 16 mars 1521 les îles Homonhon au sud de Samar. Les Espagnols y rencontrèrent pour la première fois les habitants de l'île de Suluan, qui les accueillirent amicalement, leur offrant du ravitaillement. Il continua son chemin à travers les îles Visayas et atteignit l'île de Cebu. Là aussi, les Espagnols furent accueillis amicalement par le Rajah Humanbon qui témoigna de sa fidélité, devenant vassal du roi d'Espagne. Les Espagnols se mirent avec zèle à convertir les indigènes au catholicisme, en baptisant, le 14 avril, une centaine de Cebuanos, et la semaine suivante pratiquement tous les habitants de Cebu.

Lapu-Lapu le héros

À cette époque, le Rajah Humanbon eut des difficultés avec un de ses vassaux, Lapu-Lapu, de l'île de Mactan. Dans l'intention d'aider Humabon et de l'impressionner avec sa force armée, Magellan décida d'aller à Mactan afin de soumettre Lapu-Lapu. À l’issue de la bataille, la défaite fut totale pour les Espagnols. Magellan y mourut et seulement 18 de ses 265 hommes retournèrent en Espagne. En s'approchant de l'île de Mactan, Magellan commit la faute de ne pas avoir tenu compte de la marée descendante, de sorte que son navire resta coincé devant l'île. La bataille eut lieu dans une eau peu profonde, les hommes de Lapu-Lapu, en tenue légère, étaient très mobiles et beaucoup plus nombreux (environ 1500). Pigafetta, le chroniqueur de l’expédition, raconte en ces termes la bataille : « Nous sautâmes dans l’eau, qui nous arriva jusqu’à la ceinture, et nous dûmes avancer ainsi, sur une longueur de deux bonnes portées de flèches, jusqu’au rivage, tandis que nos canots à cause des récifs ne pouvaient pas nous suivre plus loin. A terre nous trouvâmes quinze cents individus, partagé en trois bandes, qui fondirent sur nous en poussant des cris effroyables. Deux d’entre elles nous attaquèrent par les flancs et le troisième de face ». Quarante-quatre années plus tard, le navigateur Miguel López de Legazpi fut envoyé par le roi Espagnol Philippe II avec 380 hommes pour tenter une nouvelle conquête des Philippines. Il resta pendant une semaine devant Samar, et une partie des hommes, guidés par le capitaine Martin de Goti, explora l'île afin de trouver un embarcadère pour ses cinq navires. Goti observa les armes des insulaires de Samar qui étaient, suivant son rapport, des perches pointues (varas aguzadas), de grands boucliers (anchurosos escudos), des lances (lanzas), des espadons (alfanjes) de tailles différentes, l'arc et les flèches. Pour se protéger, les indigènes mettaient une légère armure fabriquée de roseaux tressés et d'une épaisse écorce d'arbre. Le 27 avril 1565, Legazpi réussit à soumettre l'île de Cebu. À cette époque, l'Islam s'était répandu jusqu'au nord des Philippines, mais il s’y implanta moins bien que dans le sud. Les Espagnols forcèrent les Musulmans à abandonner le sultanat de Manyla, nommé plus tard Manila. À partir de là, Legazpi conquit le nord et le centre des Philippines, où le Christianisme s'imposa par la suite. Par contre, les habitants musulmans du sud des Philippines, Mindanao et les îles Sulu, ne se plièrent jamais au règne colonial. Ils conservèrent leur religion et leur culture, en luttant avec acharnement durant une période de plus de trois cents ans.

Le XVIIe siècle

Au XVIIe siècle, les arts de combat jouissaient d'une grande popularité aux Philippines. On les nommait également le "sport des rois". Les Rajahs et Maharlikas des Visayas et de la région Tagalog, ainsi que les Amandakwa de Pangasinan et les Baruwang de la région Cagay Tal, étaient renommés comme experts dans ces arts. À l'occasion de fêtes populaires on organisait des compétitions locales. Il s'agissait souvent de défis lancés d'un homme à un autre pour décider qui était le plus fort. Ces combats se déroulaient sans aucune protection, l'arme utilisée était souvent un bâton de rotin. Il n'y avait pas de règles précises, toutes les techniques étaient permises. Les luttes finissaient soit avec la mise hors de combat, soit, plus rarement, avec la mort d'un des adversaires. Au départ, les Espagnols se montrèrent impressionnés par les arts de combat Philippins, mais par la suite ils réalisèrent quel danger ceux-ci représentaient pour eux. À la fin du XVIIe siècle ils tentèrent de les supprimer. En 1764 ces derniers furent totalement prohibés. Comme raisons officielles à cette interdiction, les Espagnols prétendirent que les Philippins s'entraînaient trop, qu'ils ne travaillaient pas assez aux champs, que le nombre de personnes blessées ou tuées, lors des duels, était trop élevé. Ils déclarèrent alors que chaque indigène qui pratiquait les arts de combat serait banni. L'art de combat, jadis populaire, devint alors clandestin. Les Philippins continuèrent à s'entraîner la nuit en cachette. Les emblèmes ou sigles des associations et écoles d'art de combat Philippin comportent encore souvent aujourd'hui le dessin de la lune, d'une chandelle ou d'un manguier, indiquant que l'art fut pratiqué et transmis dans la nuit, à l'abri des arbres. Ces mouvements se sont également conservés au sein de la danse Philippine, auxquels s'étaient mélangés des éléments de danse Espagnole, introduits par des moines en 1637. Il s'agit de comédies socioreligieuses, appelées moro moro, mettant en scène le triomphe des Chrétiens Espagnols sur les maures musulmans de Grenade. La forme stylisée des danses, parodiant les combats à l'épée, reprenait les mouvements des arts de combat indigènes. Les costumes des danseurs incluaient des harnachements multicolores que portaient les soldats Chrétiens Espagnols pour aller au combat contre les maures. L'une des appellations des arts de combat Philippins, arnis de mano ou simplement arnis, dérive du mot Espagnol désignant cet harnachement: arnes de mano (protection de la main).

Fin du XIXe siècle

Les Philippins s'allièrent aux Américains lors de la guerre hispano-américaine, dans l'espoir d'obtenir leur indépendance. Mais le 10 décembre 1898, les États-Unis prirent possession des Philippines contre la somme de 20 000 000 dollars américains, fixée lors du contrat de Paris. Pendant quatre ans, les Philippins essayèrent de s'opposer à la nouvelle domination américaine. Les musulmans de Mindanao s'avérèrent les plus résistants.

Les juramentados

Particulièrement redoutables, les "juramentados", des guerriers musulmans fanatiques, jurant vengeance pouvaient tuer, à l'arme blanche, dans un excès de frénésie, toute personne qui semblait étrangère ou chrétienne. Cette course à l'Amok se poursuivait jusqu'à la mort de l'assaillant lui-même. Selon leur foi, un maximum de Chrétiens tués pouvaient leur assurer une place au ciel. Avant de passer à l'acte, un tel guerrier se rasait le crâne, mettait un bandeau rouge autour de la tête et s’enveloppait les testicules dans un morceau de cuir mouillé. En séchant, le cuir causait de telles douleurs, que le guerrier se laissait entraîner au massacre. Pendant la Seconde Guerre mondiale, les Philippins luttèrent ensemble avec les Américains, dans une guerre de guérilla contre l'invasion japonaise. De nombreux Philippins s'engagèrent dans les forces américaines, mais eurent de grandes difficultés à utiliser les fusils modernes et les armes automatiques. Après de nombreuses pétitions et démonstrations, prouvant l'efficacité de leurs techniques de combat traditionnelles, l'armée américaine leur distribua leurs armes de prédilection: le bolo. Les patrouilles de guérilla Philippines avancèrent dans la jungle en forme de triangle. Le meilleur homme marchait à la tête de la formation. À la rencontre de l'ennemi, il mettait celui-ci hors de combat et continuait d'avancer tandis que les hommes derrière lui étaient chargés de tuer le blessé.

Indépendance des Philippines

Après la déclaration d'indépendance de la République des Philippines le 4 juillet 1946, les Philippins voulurent oublier la guerre et les arts de combat perdirent de leur importance. C'est seulement chez quelques rares familles que l'art du combat philippin a continué à être pratiqué et enseigné, non plus dans un contexte de guerre, mais en tant que technique de self-défense. De nombreux Philippins s'établirent après la Seconde Guerre mondiale en Californie du sud, dans la région de Stockton, ainsi qu'à Hawaï, où ils continuèrent à pratiquer et à transmettre l'art de combat

Thèmes de l'Escryma

Le style contient entre autres:

  • Combat au bâton simple (solo baston)
  • Combat avec deux bâtons (doblo baston)
  • Combat à la machette et au couteau (daga)
  • Combat à mains nues (mano mano)
  • Combat et utilisation d’objets courants/contemporains
  • Combat kampilan bouclier
  • Combat Tonfa (PR24)
  • Combat bâton couteau (espada y daga)

Les Maîtres

  • Maitre Hans Remmel
  • Maitre David Chenut

Le concept spécifique à l'ISMA Escryma

Le système dit : «boîte » est typique à l’ISMA Escryma. Ce concept est basé sur le principe suivant que «En faire moins c’est mieux (moins égal plus) ». Le système de la boîte ne contient que 5 bloques (attaques) utilisées selon différents concepts dépendamment de la situation. Il est typique aussi de savoir, que le système n’utilise pas de numéros spécifiques aux frappes de bases pour indiquer l’angle de la frappe. L’ISMA Escryma divise le corps en 4 parts égales et prend en considération tout ce qui est frappes centrales (piques). Afin d’être efficace nous utilisons la simplicité. Les concepts les moins compliqués sont, les plus faciles et ils peuvent être appliqués. En d’autres mots nous simplifions l’idée de bloquer et d’attaquer et fusionnons les 2. Nous utilisons une seule idée, afin d’accomplir notre but, une technique et une idée et non 2 mouvements. (Bloquer puis contrer)

Les distances

Le système de la boîte base sur trois distances :

  • Courtefrappes directes
  • MoyenneFrappes aux bras
  • LongueBâton contre bâton

Le terme de bloquer base sur des anciens styles dit traditionnels. L’ISMA Escryma ne se base pas sur ces anciennes idées, mais utilise des concepts modernes et réalistes.

En ISMA Escryma « bloquer veut dire attaquer » et ceci dans le but d’éliminer complètement les temps de réactions et le phénomène de surcompensation dû à celui-ci suite à une reconnaissance optique de l’attaque. Le fait de vouloir bloquer une attaque nous oblige à reconnaître l’angle d’attaque, nous met dans une position défensive et passive c.à.d. en position de victime, nous subissons les mauvais traitements de notre adversaire. En utilisant une idée d’attaque lors de nos « bloques » nous confrontons notre adversaire avec une frappe puissante et de qualité, c.-à-d. nous nous débarrassons complètement de l’image de victime et évitons complètement les effets de surcompensation dû à des temps de réactions trop longs. L’attaque est la meilleure défense, pour ceci nous utilisons les lignes droites. Nous nous focalisons comme en tir, sur notre cible. En contrattaquant il se peut que nous touchions le bâton de notre adversaire si celui-ci croise la ligne droite d’attaque. Ceci donne une impression de bloque mais n’en est pas un.

Une maxime dit que le risque de se faire blesser lors d’un combat augmente proportionnellement avec le nombre de techniques utilisées afin de terminer le combat, respectivement avec la durée du combat.

L’ISMA Escryma base sur l’idée d’attaquer et non de d’abord bloquer puis contrattaquer (2temps) De plus nous attaquons notre adversaire et non son arme, c.-à.-d. nous protégeons les limites de notre corps et attaquons ce qui se trouve dans notre ligne de mire (le corps de notre adversaire) Si son arme est hors de ces limites corporelles nous arrivons à avoir une frappe directe. (Idée d’attaquer et de terminer le combat le plus vite possible.)

Types de « bloques » dû à une frappe interférée :

  • Roof block (toit) : Il s’agit du haut de la boîte.
  • Cross block (côté opposé) Il s’agit d’un côté de la boîte.
  • Side ou Shoulder block (côté) Il s’agit d’un côté de la boîte.
  • Down ou Bottom block (bas) Il s’agit de la base de la boîte.
  • Stab block (milieu) Il s’agit du centre de la boîte.

Ces bloques ont pour but de frapper notre adversaire aux mains, côtes, corps, ou tête. Si le contact s’effectue bâton contre bâton, ceci veut dire que le défendant a ou hésité, réagi trop tard ou est simplement physiquement plus lent.

Chaque fois que le bâton est réarmé, de la distance est perdue. Afin de compenser ceci il faut utiliser simultanément un jeu de jambe adapté, afin d’avancer constamment et de garder la « pression » sur l'adversaire. Il s’agit du même principe que le « combat shooting. »

Afin de générer continuellement une puissance maximale, dans toutes les distances, nous nous plaçons frontalement envers notre adversaire et nos épaules se trouvent face à l’attaquant. Il s’agit du principe dit « nez à nez ». Notre corps forme ainsi un triangle dont la pointe est focalisée sur notre adversaire et la base est formée par notre corps. Notre position est similaire à un sprinteur qui se trouve dans ses starting bloques attendant le coup de feu du départ. Notre genou avant est fléchi, poids du corps sur la jambe avant, la jambe arrière est également fléchie et nous voulons nous pousser vers l’avant avec le ballon de notre pied.

Tout notre corps, jambes, pieds pointe en direction de notre adversaire, tel un pitbull en laisse attendant qu’on le lâche.

La boîte est un outil simple de concept, mais très sophistiqué en application.

Afin de réduire les distances et le temps d’actions et de réactions pour frapper et ainsi créer une vitesse se basant sur la technique, nous suivons optiquement avec notre bâton la position de l’arme de notre adversaire. Notre arme se trouve en position croisée vis-à-vis de l’arme de l’adversaire, et forme ainsi un bouclier entre l’adversaire et nous même et force ainsi celui-ci à changer son angle d’attaque (et ainsi à créer une ouverture) afin de nous attaquer.

Quelques questions qui sont toujours posées :

  • Que faire si notre adversaire feinte
  • Que faire s’il est plus rapide que nous ?
  • Que faire s’il est plus fort que nous ?
  • Etc ?
  • La réponse : Et alors !

La théorie du « Et alors » réponds à toutes les questions susmentionnées avec un simple concept. Elle stipule : qu’elle que soit la force, rapidité, grandeur, etc... notre adversaire à ces termes :, « Et alors ! » Si tu n’as pas été touché – frappe-le en premier. Ceci enlève tous tes doutes et tes peurs, de plus l’attaquant devient la propre victime de son attaque. Ainsi il ne peut plus utiliser ses atouts, tels la force, vitesse, feintes, etc car maintenant il essaye de se protéger de tes « bloques » et il ne peut plus faire son jeu. C’est pour cela : « Et alors !!!!! »

Lors de l’utilisation de la boîte et de la théorie du « Et alors » les 3 distances de combat majeures sont pris en considération :

  1. Courtefrappes au corps ou directes. Être à même de frapper le corps ou directement la cible.
  2. MoyenneFrappes aux bras. Plus près du corps, être capable de passer le bâton et de frapper le bras ou la main.
  3. LongueBâton contre bâton. Être hors de porté de notre adversaire. Ou ne pas être capable de passer bâton.

En réalité il existe 5 distances : il s’agit en plus des distances de projection et celle du combat au sol. Cependant dans un but de simplification nous prenons 3 distances de bâtons en considération.

Les raisons pour lesquelles nous prenons en considérations les 3 distances de combat au bâton sont les suivantes :

Notre adversaire n’est pas un mannequin qui se laisse volontairement frapper, mais celui-ci bouge constamment afin de ne pas se faire blesser.

C’est pour cela que le système de la boîte est utilisé avec un jeu de jambe adapté.

Nous devons considérer le jeu de jambe en tant qu’outils pour surmonter les 3 distances majeures. Nous pouvons bouger en ligne droite et rejoindre notre but ou nous pouvons utiliser un jeu de jambe hors ligne et rejoindre un but hors ligne. Ou nous pouvons bouger hors ligne afin de rejoindre notre but en ligne. Que vous soyez dans le même angle que votre adversaire ou que vous soyez hors de l’angle de votre adversaire, cela ne fait pas de différence, car : les concepts restent constamment les mêmes !

Voir aussi


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Escryma de Wikipédia en français (auteurs)

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