Jean-Jacques Rassial

Jean-Jacques Rassial

Jean-Jacques Rassial est psychanalyste et professeur d'université.

Il partage ses activités entre la région parisienne et la Provence où il dirige le Laboratoire de Psychanalyse et Psychopathologie Clinique de l’Université d’Aix-Marseille. Il a publié ou dirigé une dizaine de livres et de nombreux articles, en particulier sur l’Adolescence.

Sommaire

Eléments biographiques

  • Né à Paris, en 1950, il a effectué ses études secondaires au Lycée Voltaire puis à l’École alsacienne, tout en travaillant dès l’âge de 16 ans. Entré à l’Université à la rentrée 1968, il a suivi des études de philosophie et de logique, s’inscrivant pour une thèse jamais terminée sur Montaigne, sous la direction de Robert Misrahi, qu’il considère comme son principal maître en philosophie. C’est ultérieurement qu’il reprendra un parcours de psychologie, ponctués par un DESS et, en 1985, une thèse, dirigée par Roland Gori, sur l’adolescence.
  • Brièvement marié, au début 1969 avec Martine Baumgarten, rencontrée en mai 1968, il a une première fille, Elodie, qui, elle aussi, deviendra psychanalyste.
  • Dès la fin 1969, il rencontre Adélie Hoffenberg, qui deviendra sa deuxième femme, en 1978 ; historienne de l’art, artiste et photographe, elle commencera une pratique de psychanalyste en 1979, mais décèdera d’un cancer en 1983. Ils organisèrent ensemble à Montpellier plusieurs évènements, dont deux colloques à fort retentissement, le premier « La Psychanalyse est-elle une histoire juive ? » [1], le second « L’Interdit de la représentation » [2].
  • Depuis 1986, il est marié avec Agnès Kilian, bibliothécaire, d’abord à Montpellier puis à Suresnes, et a deux autres enfants, Gabriel, né en 1986, informaticien, et Judith, née en 1988, étudiante en psychologie.
  • Il a successivement habité Paris, jusqu’en 1976, puis Montpellier, jusqu’en 1994, enfin Chatou ; depuis 2002, il partage ses activités entre la région parisienne et Marseille. Pendant quelques années, de 2001 à 2008, il a régulièrement passé une douzaine de semaines par an à Sao Paulo au Brésil.

Parcours psychanalytique

  • D’abord confronté au chômage et à une reprise difficile d’activité de son père, puis en charge de famille, il a effectué toute une série de petits boulots, des plus classiques aux plus originaux (encaisseur de banque, serveur dans un hammam, correcteur d’imprimerie, etc.), puis de 1971 à 1977 (à l’exception d’un an de service militaire), il a cumulé des emplois de maître –auxiliaire et des piges ou remplacement de journaliste ou attaché de presse.
  • Il commence son analyse en 1969, avec Maria Bello, puis la prolonge en 1973, lors de son retour au Portugal, avec Dominique Maugendre. Il commence une pratique de psychanalyste au début 1977, à Montpellier. Outre deux contrôles, avec François Perrier, puis Octave Mannoni, il reprendra ultérieurement deux « tranches d’analyse », l’une avec Charles Melman, l’autre avec Jacques Caïn.
  • Il pratique la psychanalyse, dès 1977, à Montpellier, puis à partir de 1994 à Paris. Il a toujours reçu à la fois des enfants, des adolescents et des adultes, et ses principaux ouvrages s’appuient essentiellement sur son expérience clinique, qu’il s’agisse de ses ouvrages et articles sur l’adolescence (1990, 1996), de son essai sur les états limite (1999) ou de son « court-traité » sur le pratique de la cure. Depuis 2009, il anime également un groupe de psychodrame analytique individuel.
  • En 1977, il est recruté comme psychothérapeute au CMPP de Sète ; jusqu’en 1991, il occupera plusieurs postes de psychologue, à temps partiel, à l’hôpital ou dans le secteur médico-social. De 1990 à 1993, il dirigera l’institut montpelliérain de préparation au CAFDES, diplôme des directeurs d’établissements sociaux et médico-sociaux.
  • Il anime de 1979 à 1992, à Montpellier, un séminaire auquel participent annuellement des analystes parisiens, dont Françoise Dolto en 1984. En 1983, il crée, avec un petit groupe, une revue régionale semestrielle, qui aura un certain retentissement, Mi-Dit, Cahiers méridionaux de psychanalyse (une dizaine de numéros parus) ; dans ce cadre, il organisera environ deux colloques annuels.
  • Participant d’abord aux travaux du 4ème groupe, parallèlement à deux cartels à l’Ecole Freudienne, il est au vif du tumulte provoqué par la dissolution de l’Ecole Freudienne, et participe à l’éphémère CERF. Co-fondateur du Coût Freudien, avec Moufid Assabgui, Alain Didier-Weil, Jean-Jacques Moscovitz et Jean-Pierre Winter, et dont la création se décide à Montpellier, à la suite d’un de ses séminaires, il s’en éloigne quand ce groupe se constitue en association, et rejoint l’Association Freudienne qui vient de se créer, et dont il sera l’un des animateurs jusqu’en 2000 environ, à Montpellier puis à Paris.
  • En désaccord avec l’évolution de l’Association Freudienne Internationale qui deviendra Association Lacanienne Internationale, il s’en éloigne progressivement pour rejoindre Espace Analytique. Son engagement universitaire, naguère peu prisé des associations lacaniennes, influe sur sa conviction que les associations psychanalytiques, nécessaires au mouvement psychanalytique comme aux analystes eux-mêmes, ne doivent pas militer les unes contre les autres, mais, ensemble quand c’est possible, pour la cause de la psychanalyse.
  • Parallèlement, avec six autres collègues, il fonde Le Bachelier, Institut de Psychanalyse de l’Adolescence, qui donnera lieu à une dizaine de colloques et une collection chez Erès (6 volumes parus). Elle a été alternativement dirigée par lui-même, Patrick Delaroche et Olivier Douville.

A l’université

C’est le hasard d’une rencontre qui a déterminé la carrière universitaire de Jean-Jacques Rassial. Chargé de cours à l’Université de Montpellier depuis 1977, il rencontre, à l’occasion d’un des colloques qu’il organise, Roland Gori qui vient d’être nommé, à 38 ans, professeur à l’Université, et qui lui suggère de transformer son projet de livre sur l’adolescence en thèse. Inscrit en doctorat en 1982, Il la soutiendra en 1985 sans plus de projet que de la publier. Mais à la rentrée 1986, le remplaçant de Roland Gori, reparti à Aix, décide de lui supprimer ses charges de cours, et ainsi le convainc de revenir à l’université sur un poste titulaire.

Après quelques déboires dans sa qualification difficile à l’époque pour un lacanien qui, de plus, reste proche de Roland Gori, mal vu par certains caciques de la psychanalyse à l’université, il est qualifié en 1992 et nommé maître de conférences à l’Université de Nice, à l’invitation de Claude Miollan. Là-bas, il peut utiliser sa compétence acquise par sa pratique de psychologue-clinicien, pour construire un enseignement de psychologie projective.

Mais, dès l’automne 1993, il soutient une HDR, qui lui permet d’être nommé Professeur à l’Université Paris 13, grâce à l’appui de Philippe Lévy. Avec trois autres professeurs, Philippe Lévy, Marie-Claude Fourment et Marie-Rose Moro, il constituera une équipe de recherche pluri-référentielle, convaincu que, dans une université de taille moyenne, l’isolation de la psychanalyse n’en sert pas la cause, et qu’au contraire les relations interdisciplinaires sont plus fructueuses ; y sera associé un DESS de psychologie clinique de l’enfant et de l’adolescent.

En 2002, à l’invitation de Roland Gori, il obtient sa mutation à l’Université de Provence, où existe un laboratoire de psychopathologie clinique de grande renommée. En une vingtaine d’années, Roland Gori a pu créer un véritable réseau universitaire de clinique psychanalytique, associé à une revue internationale, Cliniques méditerranéennes, en même temps qu’il a formé un nombre important des actuels enseignants-chercheurs de la discipline. Depuis 2004, il dirige ce laboratoire devenu « laboratoire de psychanalyse et psychopathologie clinique » ; Mario Eduardo Costa Pereira, professeur brésilien nommé en 2009 en venant de l’UNICAMP (Campinas), doit lui succéder en 2012.

Parmi la vingtaine de doctorants qu’il a dirigés plusieurs ont fait une carrière universitaire en France, tels Serge Lesourd, Michèle Benhaïm, Nicolas Guérin, d’autres sont des psychanalystes connus, comme Marie-Christine Laznik ou Robert Lévy. Elu au CNU 16ème section en 1999, il y a siégé 9 ans. Depuis 2002, il a accompli plusieurs missions d’expertise. En particulier il a présidé plusieurs comités de visite de l’AERES (Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur), participe à la commission chargé de la classification des revues de psychologie et coanime le groupe chargé des revues de psychanalyse et de psychopathologie.

Avec quelques collègues, membres ou anciens membres du Mouvement Démocrate, il prolonge une réflexion sur l’enseignement supérieur et la recherche, dans la visée d’un livre blanc.

Engagements politiques

D’abord très engagé politiquement, il adhère dès l’âge de 15 ans à l’Union des jeunes pour le progrès (UJP), petite organisation alors gaulliste de gauche, dirigée par Michel Cazenave, avec la carte numéro 7. En 1968, il fait partie du petit groupe qui choisit de s’engager du côté de la révolte étudiante et « investit » un local tenu par les jeunes gaullistes de droite, rue Cujas ; ce petit groupe est soutenu par quelques figures éminentes (René Capitant, Louis Vallon, Jacques Debû-Bridel, Pierre Hervé, etc.) et surtout par Jacques Dauer, et la plupart d’entre eux entreront au Front du Progrès. Il y reste un temps, rejoint quelques mois le PSU, puis en 1974 soutient la candidature de Jacques Chaban-Delmas à l'élection présidentielle, alors même qu’il commence son service militaire par une période à Berlin (prolongée à Saumur puis Arras comme élève officier de réserve et aspirant). Il choisit de voter au second tour pour François Mitterrand.

Il abandonne ensuite toute véritable action politique militante jusqu’en 2007, où il s’engage après les élections présidentielles de 2007 derrière le Mouvement Démocrate. Aux élections municipales de mars 2008, il est tête d’une liste MoDem à Chatou, dans la région parisienne, qui obtient au premier tour plus de 16 % de voix, alors que lui et ses colistiers sont novices en politique locale. Il est depuis conseiller municipal d’opposition.

Des adolescents à l’état limite du sujet

Les premiers travaux individuels de Jean-Jacques Rassial ont essentiellement porté sur l’adolescence. A une époque où seulement de rares psychanalystes, dont en France Philippe Gutton, considéraient l’adolescence comme une notion spécifique pour la psychanalyse, il a sans doute produit les premières recherches lacaniennes sur une théorie de l’adolescence, qui ne soit pas une simple transition entre l’enfant et l’adulte, mais une refondation des identifications. Le premier terme clé de sa conception est l’idée d’une panne (traduction proposé au breakdown de Winnicott), qui affecte d’abord l’Autre, référent ultime de l’altérité mais aussi du sujet : ainsi non seulement la puberté affecte l’image inconsciente du corps en le génitalisant, mais le nouveau statut social du sujet valide la fonction structurante du nom-du-père, comme signifiant organisateur des identifications. Ultérieurement, outre un certains nombre de conséquences sur la clinique et la cure des adolescents, il sera conduit à concevoir l’adolescence comme une série d’opérations, plus que comme un processus, nécessaire à la construction du sinthome (tel que Lacan considère le symptôme) ; ainsi, l’adolescence n’est plus seulement l’état provisoire d’une tranche d’âge, variable selon les sociétés, mais aussi, un moment logique, plus que chronologique, dans la construction du sujet.

C’est à partir du constat d’une proximité clinique, du point de vue de la psychopathologie comme de la direction de la cure, entre certains adolescents et des adultes, souvent étiquetés d’état-limite, qu’il produira, à l’encontre de la doxa, une théorie psychanalytique de l’état limite du sujet. Selon son approche, fortement appuyée sur les travaux d’André Green, il distinguera non pas une structure spécifique, mais distinguera des états limites de la névrose, de la psychose et surtout de la perversion, dont il constituerait l’échec. Tentant une approche topologique de l’état limite, il propose une écriture de ce qui permettrait d’écrire l’échec double du fantasme et du sinthome : $ ◊Ⱥ, où $ est le sujet divisé par la castration, ◊ l’opération non déterminée qui, dans le fantasme associe le sujet et l’objet a, ici encore dépendant de l’Autre et anaclitique, et Ⱥ, l’Autre certes barré à l’encontre de la psychose, mais qui ne laisse ce constituer ni l’objet du névrosé, ni le fétiche du pervers.

Jean-Jacques Rassial a défrayé la chronique en 1998 en faisant valoir dans son ouvrage "y a-t-il une psychopathologie des banlieues ?" que la forme des viols collectifs ("tournantes") qu'il étudiait avec Monsieur Balvig, un de ses collègues de l'Université de Coppenhague (Danemark) (http://www.pvr-zone.ca/terrorisme.sexuel.html ; http://fr.wikipedia.org/wiki/Viol_en_r%C3%A9union) procédait d'un rituel terroriste dérivé de la religion musulmane. Ceci est à rapprocher de son appartenance dès son plus jeune âge au B'nai Brit'h (http://www.continentalnews.fr/actualite/moyen-orient,71/gilles-bernheim-nouveau-rabbin-de-la-synagogue-de-paris,85.html) qui est une loge maçonnique sioniste réservée aux juifs ayant pour objet de soutenir la réaction nationaliste en Israël. Il est à remarquer à cet égard sa probable cooptation en tant que "professeur des Universités" au sein de l'Université française puisqu'il n'existe curieusement pas de concours républicain type agrégation dédié à l'enseignement de la psychologie dans l'enseignement supérieur français.

D’une pratique de la cure

Prolongeant plusieurs ébauches de conception de la cure, à partir de questions éthiques et épistémologiques, Jean-Jacques Rassial dans plusieurs articles et surtout un livre, propose une approche de la pratique actuelle du psychanalyste. À partir d’une approche pragmatique la théorie psychanalytique, considérée comme l’ensemble instable des croyances de l’analyste, révisée par chaque cure, il développe une série de problématique depuis le début du traitement jusqu’à la question de la finalité d’une cure psychanalytique. Certes, orienté par la conception lacanienne, mais aussi par les apports de Mélanie Klein et Donald Winnicott, et surtout par sa pratique avec les adolescents et les sujets en état limite, il propose ainsi, sans prétention de standardisation de la pratique, sa propre invention de la psychanalyse, comme chaque praticien la tente, explicitement ou implicitement, ce qui détermine ce qu’on désigne comme son style.

La guéguerre des psys et le champ politique

Très engagé dans la question du statut de la psychanalyse et de la psychologie, dans les champs sociaux, de la santé à l’université, il a pris une position originale, considérant que la défense de la psychanalyse ne pouvait pas se faire à l’encontre d’une nécessaire cohésion de l’ensemble des professions du champ psy, à un moment où l’idéologie utilitariste et globaliste actuellement dominante menace la prise en compte de l’existence psychique de l’humain, ce qui constitue un des piliers de l’humanisme.

Parallèlement, et cela justifie ses engagements politiques locaux, il a entamé une réflexion sur le phénomène urbain de la banlieue, en tant que, selon sa formule, succès de la proposition humoristique de « construire les villes à la campagne », avec comme résultats, non seulement un certains nombre de phénomènes pathologiques, mais aussi l’absence d’une vision positive de ce dont on mesure d’abord que les échecs.

Ouvrages

  • Court-traité de pratique psychanalytique, coll. Point-Hors-Ligne, Erès, 2011
  • Pour en finir avec la guerre des psys, Albin Michel, 2010
  • De l’Infantile au Juvénile, avec Michèle Benhaïm, coll. Le Bachelier, Erès, 2006
  • O que os adolescentes ensinam aos analistas, USP ediçaoes, 2002
  • Sortir, l’opération adolescente, coll. Le Bachelier, Erès, 2000
  • Le sujet en état limite, Denoël, 1999
  • Y a-t-il une psychopathologie des banlieues, Erès, 1998
  • Le passage adolescent, Erès, 1996, poche 2010
  • L’adolescent et le psychanalyste, Rivages-Payot, 1990, poche 2009
  • L’interdit de la représentation, avec Adélie Rassial, Seuil, 1984
  • La psychanalyse est-elle une histoire juive ?, Seuil, 1981

On retrouve la majorité de ses chapitres de livre et de ses articles dans Google Scholar, ou sur son site.

Notes et références

Voir aussi

Liens externes


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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Jean-Jacques Rassial de Wikipédia en français (auteurs)

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