Jean-Claude Meynard

Jean-Claude Meynard
Jean-Claude Meynard, portrait 1995

Jean Claude Meynard (né en 1951), est un artiste contemporain français dont l'œuvre va de l'hyperréalisme à la géométrie fractale et à l'art numérique. Il est l'un des signataires du Manifeste fractaliste. Son œuvre est axée sur l'exploration de la complexité du réel et la mise à jour d'univers géométriques.

Sommaire

Chronologie de l'œuvre

Les débuts : l'hyperréalisme

Dans les années 1970, au début de sa carrière, Jean Claude Meynard s'inscrit dans le courant de l'hyperréalisme. La critique reconnaît alors que sa peinture "développe les figures de rites de passages et que sa force est de ne pas en donner des images métaphoriques"[1]. Ses toiles représentent des scènes urbaines, des figures emblématiques de la société (le métro, la moto, les bars, les flippers, etc.) comme dans Hyper Street en 1975. Ce ne sont pas des constats « photographiques » mais un travail pictural consistant en une surabondance d'éléments visuels qui remettent en cause les habitudes de perception. La composition est dépourvue de hiérarchie et de centre focal. Les détails sont figurés au même niveau de réalité et le près et le loin ont la même focale. Meynard propose de capter au même instant l'ensemble et le détail, le macro et le micro, le premier et le dernier plan: « un hyper-œil pour une hyper-réalité, une hyper-géométrie »[2].

Les années 1975 et les grandes séries de la complexité

À partir des années 1975, Meynard évolue : son style, sans rien perdre de sa précision, se brouille, se floute, avec des effets de lumière, de cadrage et de composition proches de la diffraction. Ses expositions de l'époque à Bâle et New York s'intitulent alors "Série Noire"[3], "Schizophrénie" et les catalogues décrivent son travail comme une mise en peinture de la " traversée des apparences"…[1] où l'image , même la plus réaliste se révèle être un fantasme. Meynard utilise alors l'expression "la Géométrie des Enigmes" pour désigner son travail d'exploration des figures intérieures de la complexité[4].

À partir des années 80, Meynard utilise la seule lumière pour figurer les présences humaines. Les êtres, les contours des corps, sont peints comme des rayonnements, des tracés, des lignes luminescentes comme dans l'œuvre Portrait de Marcel Duchamp. Meynard poursuit ce travail sur les corps lumineux jusqu'à la série du Radeau des Muses avec sa toile éponyme Le Radeau des Muses[5]. Le critique Nicolas Bourriaud décèle alors dans la série du radeau des Muses à la fois un hommage et un adieu à la « grande peinture », la conclusion d'un cycle. "Cette tentative désespérée de reconstituer le corps héroïque de la peinture est centrale chez Meynard qui méthodiquement, froidement même, travaille à recréer les conditions propices à sa venue. Si Meynard fascine c'est que son œuvre est le brasier glacial où crépite l'éloquence de la peinture"[6]. En 1990, Meynard expose la série Corps et âmes consacrée à la fragilité de l'identité humaine représentée par des corps qui perdent leurs contours, leur ligne organique ou bien se dédoublent, le dessin et couleur étant dissociés. Cette série donne lieu à un catalogue où des critiques d'art tels Gérard Barrière, Nicolas Bourriaud, Henri François Debailleux et Giovanni Lista, sont invités à s'exprimer sur l'œuvre de Meynard de façon poétique comme le suggérait la notice de présentation du catalogue Un voisinage Corps et Ames de la peinture à l'encre[7].

Dans la série suivante (exposition mai 1994) Scribes et pharaons, les œuvres de Meynard perdent peu à peu l'anthropomorphisme des silhouettes, pour devenir une composition fragmentée, un entrelacs de structures. Le critique Giovanni Lista parle alors d'un « rébus visuel » et précise : «  L'œil voit émerger peu à peu, au centre de la composition, une forme humaine qui est prise, intimement et organiquement, dans les multiples facettes de la surface picturale (…) le sujet se dérobe, mimétisé au milieu d'un espace morcelé »[8]. Il annonce en cela sa troisième géométrie.

La dimension fractale - nouvelle géométrie de l'homme

À partir de l'exposition de décembre 1994 Tohu Bohu, esthétiques de la complexité fractale à la galerie de l'Etoile à Paris - Meynard utilise la géométrie fractale pour représenter la complexité. Il abandonne la perspective euclidienne pour les principes fractals d'expansion, de saturation, d'entrelacs et de réseaux à l'infini. Il enterine l'utilisation de la géométrie fractale en devenant l'un des co-signataires du Manifeste Fractaliste en 1997, aux côtés d'artistes tels que Miguel Chevalier, Carlos Ginzburg, Pascal Dombis, et Joseph Nechvatal. Après avoir exploré les composantes fractales avec les outils classiques de la peinture Meynard construit des œuvres en reliefs et volumes. Le catalogue l'exposition le Temps fractal 2000 stipule : « le regard se diffracte en une immensité cristalline d'Altuglas et de miroir qui fait sculpture, réfraction et image. Entre tableau et sculpture, la surface est devenue l'interface d'un monde hétérogène, chaotique et ordonné »[9].

En avril 2001, lors de l'exposition Les Infinis avec Joël Stein à Paris à la galerie Lavignes-Bastille, Meynard présente des œuvres qui montrent la genèse des objets fractals. Prenant, comme matrice, son propre visage, il en fait un traitement fractal.

En 2005, la ville d'Évreux consacre à l'artiste, cinq mois durant, une double exposition (musée et Maison des Arts). Meynard y présente ses univers fractals, un série composée d'impressions numériques sous Plexiglas. À cette occasion, il recompose les salles du Musée et de la Maison des Arts avec ses propres tableaux comme en 2006 à la galerie Maretti Arte Monaco où il mène le processus d'expansion fractale encore plus loin. Ses tableaux, démultipliés sous forme de sérigraphies sont imprimés sur les murs et les espaces environnants jusqu'à la rue. Lydia Harambourg écrit à ce sujet qu'« entrer dans l'univers fractal de Jean Claude Meynard piège nos certitudes. Ces images illusoires et cependant bien réelles des composantes géométriques sont orchestrées(…). Les œuvres de JC Meynard nous font vivre l'espace physiquement. Sous la pression d'une fragmentation géométrique, une chorégraphie de plis, spirales, droites, diagonales et courbes, nous emporte dans un mouvement giratoire dont l'issue est le vertige de l'espace-temps »[10].

A partir de 2007 Jean Claude Meynard travaille sur une des figures de la complexité : «Babel » du nom de la tour mythique. Robert Bonaccorsi écrit à ce sujet, « Meynard s’empare du mythe de Babel pour l’insérer dans sa propre vision du monde. Il réinterprète l’architecture de Babel (…) tour, sphère, lames de verre, cube à partir de silhouettes humaines solidaires, qui deviennent les signes d’une écriture.»[11]. Babel est exposé de 2008 à 2009 à Venise, Shenzhen (Chine), Istanbul (Turquie), Paris (Grand Palais - France). En 2010, c’est autour de la dernière née des Babel, la sphère monumentale « World », qu’est organisée à la Villa Tamaris (Var, France) une exposition regroupant 35 années de créations de l’artiste[12]. Les grands cycles de l’artiste sont présentés en dehors de toute chronologie sous l’intitulé : «  Babel, la Géométrie des Enigmes - De l’Hyperréalisme au Fractal - », de façon à mettre en lumière les correspondances et les échos visuels qui parcourent toute l’œuvre. Lydia Harambourg note : « la proximité d’oeuvres réalisées à plusieurs années d’intervalle met en résonance une démarche plastique enracinée dans la complexité du réel (…) »[13]. Des effets d’hybridations entre les œuvres elles-mêmes sont repérées par Jean-Pierre Frimbois : « (…) c’est une expérience d'une telle désintégration, reconstitution, que là, chaque œuvre est à la fois dans la même histoire et en même temps sans cesse en train d'être refaite »[14]. Ainsi, le critique italien, Giancarlo Pagliasso écrit en 2011 : « le nec plus ultra de l’exposition réside dans la suggestion d’hybridations que Meynard proposent aux spectateurs, et à lui-même, comme une troisième étape possible dans sa création. La forme extrêmement minutieuse de la représentation qu’il a faite dans ses tableaux hyperréalistes pourrait ainsi se greffer comme un «morphing » sur l’iconicité abstraite, géométrique de ses œuvres fractale. Je suis sûr que Meynard va tenter l’expérience.»[15]

Ces hybridations, virtuelles dans l’exposition, sont à l’heure actuelle matérialisées par l’artiste dans sa série : « les Hybrides », selon un des principes du Manifeste fractaliste: « Dans la spirale ordre-désordre, l'œuvre est l'émergence éphémère d'une hybridation : un passage »[16]. Elisabeth Préault remarque dans l'ouvrage consacré à l'exposition : « (…) entre hyper réalité et géométrie fractale, Meynard a montré qu’une forme était toujours en devenir, en transformation et renouvellement. C’est pourquoi ses hybridations sont possibles, et fulgurantes, parce déjà en germes dans son parcours »[17].

Productions

Œuvres majeures

  • Hyper-street - quadriptyque acrylique sur toile de 7 mètres de long – 1975
  • La vie en jeu- Portrait de Marcel Duchamp acrylique sur toile - 1m sur 0,80 – 1983
  • Le Déjeuner sur l'herbe – hommage à Manet – acrylique sur toile – 2mx3m - 1994
  • Le Radeau des Muses - acrylique sur toile - 2m sur 3m50 – 1988
  • Maison fractale – relief 2m, 40 x 2m40 x 0,50 impression numérique sous plexiglas – 2005
  • Babel -Itinéraires- 2008-2009-2010
  • World - sculpture sphère fractale, 2m80 x 2m80 - 2010
  • L’Escalier Fractal - œuvre installation - 2011

Principales expositions

  • Babel, Utopie en Marches - Pôle Culturel de Brignoles, Var - France - 2011 [1]
  • Le Livre, le Film, l'Hybride - Paris - France 2010
  • Babel, la Géométrie des Enigmes / Centre d’Art -Villa Tamaris - La Seyne-sur-Mer - France 2010 [2]
  • Babel/ Art Paris au Grand Palais/ Paris - France 2010
  • Babel / Riff Art Projects – Paris –France 2009
  • Babel / Istanbul – Art Fair - Turquie 2009
  • Babel / Shenzen – Chine 2008
  • Tranparenze Frattali - Ca nigra, Canal Grande -Venise 2007
  • Les Corps Fractals - Maretti Arte Monaco - 2006
  • Fractal Meynard – Musée d'Evreux et Maison des arts – 2005
  • Les Infinis – Art Paris Carrousel du Louvres - Paris – 2001
  • Tohu Bohu – Galerie de l'Etoile - 1994
  • Echos – "Découvertes 91" – Grand Palais Paris - 1991
  • Radeau des Muses – Galerie Lamaignère Saint Germain – 1988
  • Corps et Graphiques – Galerie Jean Pierre Lavignes –1983
  • Games – Zoma Gallery – New York – 1981
  • Série Noire – Galerie Actual – Bâle – 1978
  • Schizophrénies – Institut Culturel Français – Cologne – Allemagne 1976
  • Hyperréalisme – De Novum – Düsseldorf – 1975
  • Hyperréalisme – FIAC 1975

Bibliographie

Livres

  • Gérard Xurigiera, "Regard sur la peinture contemporaine", édition Arted,1984
  • Gérard Xurigiera, "Figuration année 60 à 80", édition Arted, 1985
  • Jean Claude Chirollet, "Art fractaliste, la complexité du regard", édition 00H00, 1999
  • Susan Condé, "La Fractalité dans l'art Contemporain", édition la Différence, 2001
  • Henri-François Debailleux, "Meynard", édition Fragments, 2004
  • Hervé Gauville, "L'Art depuis 1945 (Groupes et mouvements)", édition Hazan, 2007
  • Robert Bonaccorsi, "Babel, la Géométrie des Enigmes", Fragments International, 2010

Catalogues d'exposition

  • Michel Schwab, catalogue exposition Schizophrénies, 1974
  • Gilles Plazy, catalogue exposition Meynard La Vie en Jeu, 1979
  • Henri François Debailleux, catalogue de la Caisse des dépots et consignations, 1986
  • Nicolas Bourriaud, catalogue exposition Radeau des Muses, 1988
  • Gérard Barrière/ Nicolas Bourriaud/ Philippe Carteron/ Pierre Corcos/ Nathalie Darzac/ H.F. Debailleux/ Giovanni Lista, catalogue exposition Corps et Ames, 1990
  • Giovanni Lista, catalogue exposition Scribes et Pharaons, 1994
  • Susan Condé et Henri François Debailleux, catalogue exposition Tohu Bohu, 1994
  • Susan Condé, catalogue exposition La Complessita Fractale in Arte, 1995
  • Susan Condé et Henri François Debailleux, catalogue exposition Zoom,New York, 1997
  • Maria Campitelli, catalogue exposition Fractal Art, Trieste, 1997
  • Christine Buci-Glucksmann, Jean Claude Chirollet, Susan Condé, Henri François Debailleux, Michel Maffesoli, catalogue exposition Fractalisations, Villa Tamaris, La-Seyne-sur-Mer, 1999
  • Henri-François Debailleux, catalogue Rétrospective 1973-1992
  • Christine Buci-Glucksmann, Henri François Debailleux, catalogue Le temps Fractal, 2000
  • Henri François Debailleux, catalogue La force de l'Esprit, Fondation Eisai, Paris 2001
  • Nicolas Bourriaud, Gilles de Bure, Henri François Debailleux, Paul Lombard, Michel Nuridsany, Pierre Restany, catalogue exposition Le Mondial, éditions Enrico Navarra, 2002
  • Olivier Billard, catalogue exposition Triptyque, Ville d'Angers, 2003
  • Catalogue exposition Magie numérique, centre d'art Oyonnax, 2004
  • Dossier pédagogique sur l’exposition Meynard Fractal, Musée d’Evreux, 2005 Dossier disponible en ligne : PDF
  • Interview de Steven Riff, dossier de l’exposition Babel chez Riff Art Project et Arts Paris, Grand Palais, Paris - 2010
  • Interview de Robert Bonaccorsi, dossier de l’exposition Babel, Géométrie des Enigmes, Centre d’Art Villa Tamaris, la Seyne-sur-Mer, France – septembre 2010
  • Extraits d’interviews Alain Lamaignère, Jean-Pierre Frimbois, André Campana, André Brahic, Isabelle Grenier, dossier de l’exposition Le Livre, le Film et l’Hybride, Paris – Novembre 2010
  • Dossier de l’exposition Babel, Utopie en marches, Pôle culturel de Brignoles – Var, France - Juillet-Août 2011

Articles de presse

  • Denis Picard, Connaissance des arts, 1974
  • Jean-Luc Chalumeau, Revue Opus, 1975
  • Gilles Plazy, Les Nouvelles littéraires, 1976
  • Xavier Delcourt,"Impasse", Le Monde, 19 février 1978
  • Lucien Curzi, "Ennemis et Concubins", L'Humanité, 22 février 1978
  • Fiona Dunlop, Arts Review, 1982
  • Fiona Dunlop, Arts Review, 1983
  • Fiona Dunlop, Art in America, 1983
  • Henri-François Debailleux, Libération, 1984
  • Henri François Debailleux, FIAC Magazine,octobre 1985
  • Alain Pusel, FIAC Magazine, 1986
  • Henri François Debailleux "L'aventurier de l'Arche Perdue, portrait de Jean Claude Meynard", Décoration Internationale, 1988
  • Philippe Carteron, Le Nouvel Observateur, 1988
  • Jean Jacques Lévêque, Le Quotidien de Paris, 1991
  • Denis Picard, "Construire, Percevoir", Connaissance des Arts, décembre 1992
  • Philippe Muller, Interview , revue 3ème Millénaire, 1994
  • Gilles Plazy, "Fractal Art", revue Cimaise, 1999
  • Henri François Debailleux, "Meynard, tout en relief", Libération, 13 novembre 2004
  • Lydia Harambourg, "Jean Claude Meynard, fractal", Gazette de l'hôtel Drouot, 24 et 25 mars 2006
  • Cedric Verany, Nice Matin, 7 janvier 2007
  • Jacques Bouzerand, « Jean-Claude Meynard et le Mythe de Babel », Monoeil75, 30 nov 2009 [3]
  • Jean-Pierre Frimbois, « Jean-Claude Meynard face à la complexité du réel », Art actuel, septembre/octobre 2010
  • Jacques Bouzerand, «Jean-Claude Meynard déménage Babel», Monoeilsurlart, 30 novembre 2009.
  • Sonia Bonin, « Le regard sur l'infini de Jean-Claude Meynard », "Var Matin", 16 septembre 2010
  • Arts Magazine « Meynard le fractaliste », 11 septembre 2010
  • Lydia Harambourg, « Jean-Claude Meynard », Gazette de l'Hôtel Drouot, octobre 2010
  • Giancarlo Pagliasso « La Trame de la Complexité », Revue Zeta, janvier 2011
  • Virginie Rabisse « La réalité bascule au Pôle Culturel » Var Matin, 14 juillet 2011 [4]
  • M.Pierre Paulicevich, « L’art fractal de J.C Meynard à l’assaut du Palais » Var Matin, 30 juillet 2011
  • Laurent Carattala, «J.C. Meynard réinvente le mythe de Babel » » La Marseillaise, 12 juillet 2011

Filmographie

  • 1978 L'Art et l'argent, Production Pascal Breugnot, Antenne 2
  • 1985 Jean Claude Meynard, Productions Champs
  • 1986 Journal des festivals (Orange), FR3
  • 1992 Interview - journal de Paris Première
  • 1999 L'Art contemporain français, édition Artcom
  • 2005 Meynard Fractal, film de Jennifer Lund
  • 2009 Meynard et la complexité des apparences, film de Gilles Bastianelli réalisé pour le colloque de Mouans-Sartoux (Art, Science, Pensée -septembre 2009)
  • 2009 Meynard Babel, (film de Gilles Bastianelli)
  • 2010 Babel, la Géométrie des Enigmes (film de Gilles Bastianelli).
  • 2011 L’Escalier Fractal de Jean-Claude Meynard, film de Gilles Bastianelli

Notes et références

  1. a et b Gilles Plazy, catalogue Meynard - 1979
  2. Gilles Bastianelli, film Meynard ou la complexité des apparences réalisé pour le colloque de Mouans-Sartoux (Art, Science, Pensée -septembre 2009)
  3. "Série noire" Galerie Actual -Bâle 1978 et "Games/ La vie en Jeu - Zoma Gallery - New York 1981
  4. "celle de l'homme aux prises avec sa propre [identité]" Fiona Dunlop, Arts Review, 1982
  5. Le Radeau des Muses - 1988.
  6. Nicolas Bourriaud - Préface du catalogue exposition Radeau des Muses - mai 1988
  7. Gérard Barrière/ Nicolas Bourriaud/ Philippe Carteron/ Pierre Corcos/ Nathalie Darzac/ H.F. Debailleux/ Giovanni Lista, catalogue exposition Corps et Ames, 1990
  8. Giovanni Lista, texte du catalogue Scribes et pharaons – mai 1994
  9. (Christine Buci-Glucksmann, Le Temps fractal, juin 2000
  10. Lydia Harambourg, Gazette de l'Hôtel Drouot, décembre 2006
  11. Robert Bonaccorsi - préface du livre Babel, la Géométrie des Enigmes, septembre 2010
  12. «Le Regard sur l’Infini de Jean-Claude Meynard », Var Matin, Sonia Bonnin - 16 septembre 2010
  13. Lydia Harambourg, Gazette de l’Hôtel Drouot, octobre 2010
  14. Jean-Pierre Frimbois, extrait d’une interview dans le film de Gilles Bastianelli sur Jean-Claude Meynard, Babel, la Géométrie des Enigmes 2010
  15. Giancarlo Pagliasso , La Trame de la Complexité, Revue Zeta, Campanotto Editore, italie, janvier 2011
  16. Extrait du Manifeste fractaliste, 1997
  17. Elisabeth Préault, Les Hybrides, extrait du livre, Babel, la Géométrie des Enigmes, Fragments International, septembre 2010

Liens externes



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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Jean-Claude Meynard de Wikipédia en français (auteurs)

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