Vailland et le surréalisme

Vailland et le surréalisme

Roger Vailland est un écrivain français, romancier, essayiste et dramaturge, né en 1907 à Acy-en-Multien dans l’Oise et décédé à Meillonnas dans l’Ain en 1965. Il a aussi écrit quelques nouvelles comme Le soleil fou[1] ou La fille de roi[2] ainsi que d’autres nouvelles qui marquent sa période surréaliste comme Les trains et les lys ou Les hommes nus[3] qui nous intéressent plus particulièrement ici.

Dans la mouvance du surréalisme, il fonde dans sa jeunesse, avec ses amis René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte, le mouvement des Phrères simplistes et la revue le Grand Jeu. Roger Vailland écrira bien plus tard dans Le regard froid en 1963 : « Nous étions, entre 1920 et 1925, dans un lycée de province, quatre garçons fort pauvres [...] Nous décidâmes de devenir poètes. »

Article principal : Roger Vailland.
Pour plus de détails sur cette période, voir le : surréalisme, Dada et le Grand Jeu (revue).

Sommaire

De la Grande Guerre au surréalisme

Groupe de surréalistes


À la fin de la guerre en 1918, Roger Vailland a onze ans. Bien qu'étant éloigné physiquement de la guerre en Suisse ou chez ses grands parents en Auvergne, dans le village de Teilhède, il n’en a pas moins subi les échos de la fièvre patriotique qui avait envahi la France pendant cinq ans. L'enfant qu'il était alors subit l'influence des adultes, est profondément patriote et écoute sagement les recommandations de ses parents.

C'est lors de son arrivée à Reims dans une ville qui a subi de plein fouet toutes les destructions des villes situées près du front, qu'il va en mesurer toute l'horreur. Vailland en racontera un épisode en 1954 dans un texte au titre évocateur : L’apprentissage de l’horreur. (Texte repris dans la Chronique tome I Messidor/Editions sociales, p21-22) Devant un parterre de soldats, envoyés à l’arrière pour récupérer un peu avant de repartir au combat, le gosse simule un combat avec son arme en bois : « J’arrivais avec mon sabre de bois et désignant une haie de groseilliers : « Voilà les boches ». Puis je m’élançai vers les groseilliers en brandissant mon sabre et en criant : « À l’assaut ! A l’assaut. » L’un des soldats, un grand blond aux joues roses, se leva doucement, vint jusqu’à moi et me prit le sabre des mains. Je le lui abandonnai bien volontiers, croyant qu’il voulait m’apprendre à m’en servir d’une manière plus pertinente. Sans dire un mot, il cassa le sabre sur un genou, en jeta les morceaux dans le pré et retourna se coucher près de ses camarades. »

Vailland raconte cet épisode 36 ans après son déroulement, c’est dire s’il l’a marqué, d’autant qu’il parlait rarement de son enfance qu’on connaît un peu à travers ses romans. (voir la première partie de son roman Un jeune homme seul)

Quand les soldats apprennent qu’ils vont remonter au front, le plus jeune éclate en sanglots et le jeune Vailland en est tout retourné. Il continue sa narration ainsi : « Moi, je n’avais encore jamais vu un homme sangloter. Je fis brusquement la somme des étonnements d’une semaine. J’eus la certitude, comme une illumination, que ‘on m’avait menti depuis le début de la guerre. Le ‘front’ n’était pas le merveilleux domaine où l’homme se surpasse dans l’héroïsme. C’était un monde morne, où se passaient des choses tellement horribles qu’il était impossible de les raconter. J’eus soudain honte de mes enfantillages. »

On lui avait donc menti, mensonge général, mensonges de ses proches, ses parents, ses éducateurs ; dans ses Écrits intimes, Vailland parlera de mystification. C’est la première remise en cause drastique, la première rupture pour ce jeune homme sensible qui vient de perdre beaucoup d’illusions. Dès lors, il se méfiera de plus en plus de l’État bourgeois.

A la fin de la guerre, la famille s’installe à Reims, ville très près du front et en partie détruite, où son père participe à la reconstruction. Vailland sait donc aussi ce que signifie une ville en ruine. Il aura vu les séquelles de la guerre sur une ville détruite, sur des soldats mutilés dans leur chair comme dans leur esprit. En 1918 en tout cas, dans cette génération que la guerre avait mûri prématurément, Roger Vailland est disponible pour contester, suivre la voie du surréalisme, prêt pour cette aventure « absurde-signifiante, gratuite-nécessaire » écrira-t-il dans ses Écrits intimes. (Gallimard p815)

Les trains et les lys

Dès 1921, Vailland a 14 ans et écrit des poèmes dont certains seront publiés dans des revues locales, des poèmes comme celui-ci qui est probablement le plus ancien : (voir La matrice de l’écriture de René Ballet)

« Le soir, mon œil se plaît,
Ô grands fils métalliques,
À suivre votre trame
Où frémissent des sons…
Gigantesque araignée
Et fantastique auteur
D’un savant instrument,
Des mots porteur docile. »

Dans le même temps, il goûte fort Stendhal ce qui exaspérait son ami Roger Gilbert-Lecomte qui disait de lui qu'il était un libertin moderne. Il prend différents noms de journalistes comme Merpin ou Robert François.

En 1924, Roger Vailland annonce à son professeur et mentor qui lui a permis de publier ses premiers poèmes, un texte qui devient une pièce de théâtre en vers mêlés de prose : « Les trains et les lys ». Dans une lettre du 9 septembre 1924, il lui donne quelques précisions (voir Écrits intimes p27) : "Le sujet en est l’histoire d’un groupe de jeunes gens et de jeunes filles qui s’en vont parce qu’ils s’ennuient à travers un univers qui leur paraît se composer uniquement de fleuves et de trains." En fait le sujet n’a guère d’importance, histoire loufoque "qui n’a peut-être pas beaucoup plus de sens qu’un vieux conte", tout est dans le ton, univers onirique qui transforme la réalité et rejoint "la poésie des express. "

Le destin de Daffodyl et Jessica les deux héros de ce conte poétique est tout tracé : ils finiront comme Roméo et Juliette. Vailland donne des indications scéniques à un 'phrère simpliste' Artür Harfaux et lui demande de dessiner les costumes et les décors. En 1926, Roger Gilbert-Lecomte y fait allusion dans une autre lettre (lettre à Daumal et Vailland du 13 juin 1926) où il serait question de cette pièce dans le journal La Tribune de l’Yonne. L’article publié dans le journal par les bons soins de son ami et condisciple Robert Brasillach qui y traite de l’actualité littéraire, et les extraits qu’il contient sont tout ce qu’il reste de Les Trains et les lys. Car les choses prirent une autre tournure et les ‘phrères simplistes’ auraient finalement choisi de monter Ubu roi de Jarry. Occasion manquée pour Vailland qui n’a conservé aucun exemplaire de sa 'pièce-conte'. Mais il est vrai qu’il n’a jamais eu beaucoup de réussite avec le théâtre.

Les Hommes nus

Cette nouvelle de Roger Vailland, écrite dans les années 1924-25, a été publiée aux Editions du Rocher en 1996 avec une préface de Christian Petr. Quand il écrit cette nouvelle Roger Vailland a 17 ans. Lui qui a rêvé de mourir en héros à Verdun, découvert toute l’horreur de la guerre et la duplicité des adultes. Avec des camarades du lycée de Reims, René Daumal et Roger Gilbert-Lecomte en particulier, il anime un groupe d’obédience surréaliste, les ‘Phrères simplistes’ –les ‘Saints Plistes’ dira Vailland- pour faire le désespoir des hommes. Roger Vailland est ‘phrère’ François, ses deux copains Nathaniel et Rog-Jarl. Vailland qui écrit ‘Les hommes nus’ dans son adolescence, haïra la possession, qu’elle concerne une femme ou des biens matériels. Bien plus tard, dans cette optique il écrira « on est toujours possédé par ce qu’on possède. »

La nouvelle est bien dans le style surréaliste des 'frères simplistes'. Elle met en scène des personnages dans une ambiance onirique.

Le petit homme rond : Eygurande, l’homme nu, se lisse entre les villages, sinue dans les vignes pour descendes vers la ville, caché, libre, haineux. Les hommes vaquent à leurs affaires, comme si de rien n’était. A contempler ce spectacle, sa haine augmente. Un petit homme rencontré par hasard en fera les frais. Geste gratuit comme la guerre. Le château intérieur : Eygurande aime Labe, jeune fille orgueilleuse, cultivée, amorale qu’il initie à la volupté et à l’érotisme. Il cherche la sagesse au-delà de la raison. La mort d’Eygurande : Il n’a pas respecté une bergère ‘impubère’, il est maintenant un homme traqué. Cependant, Eygurande est heureux, « ce matin, il a été tout entier les gestes qu’il accomplissait. » A présent, il faut fuir mais il est trop tard ; « toute fin est impure ». Les hommes nus vengent Eygurande : D’autres hommes nus sont venus, beaucoup d’hommes qui envahissent les villages. Même la milice n’y peut rien. Les cadavres s’amoncellent comme vingt ans après dans les camps de concentration. Les hordes de la milice arrivent enfin mais c’est trop tard, les hommes nus s’évanouissent dans la nuit.

Hypokhâgne et Fulgur

En 1926, un groupe d’élèves d’hypokhâgne écrit un feuilleton parodique et surréaliste : Fulgur. Groupe étonnant, tellement hétérogène, composé d’hommes comme Thierry Maulnier et Robert Brasillach, si éloignés du futur communiste Vailland. Parodie loufoque que seul l’entregent de Brasillach[4] permettra de publier dans l’Yonne républicain. Robert Brasillach tracera ce portrait du Vailland de ces années-là : « Envolées de pèlerines byroniennes, poèmes d’avant-garde sous le bras, simplisme et acte pur à la bouche, le lafcadio de Gide incarné pour nous…[5] »

La contribution de Vailland à Fulgur porte ce titre : une armée digérée

Alexandre Stefanovitch, général russe, est un militaire plein de panache : il regarde avec morgue l'armée adverse, des barbares qui s'avançaient en chantant. Rien n'y fit, ni le canon, ni le fusil n'eurent raison d'un ennemi en nombre qui bravait la mort avec panache. Alors quand ils arrivèrent tout près des premiers rangs de l'armée russe, celle-ci prise de panique e mit à fuir vers l'ouest, seule porte de sortie.

« A six heures, la foule des barbares toucha la mer Caspienne. » Il n'y avait plus d'armée russe et le Khan Agavath fut porté en triomphe. Alors, l'armée du grand Lahma reprit sa marche inexorable vers l'Europe. De son côté, Kanh Agavath partit pour l'Asie où, malgré des forces européennes et turques, il menaça les possessions anglaises. Le choc des deux armées eut lieu à Karkémish et, on ne sait comment -peut-être le chant maléfique de Kanh Agavath ou un épais brouillard- les barbares furent vainqueurs et allèrent se reposer sur les bords de l'Euphrate.

Robert Brasillach, son ami d'alors, écrira plus tard à propos du Vailland de cette époque : « Lorsque Roger Vailland, sous le nom de Robert François, écrit pour Paris-Soir des reportages peut-être ironiques, je reconnais Fulgur. »

Roger Vailland se rend souvent à Paris pour retrouver ses amis rémois, carasse déjà avec eux l'idée de lancer une revue qui devait s’appeler La Voie et deviendra finalement Le Grand Jeu[6]. Vailland est euphorique et ne tardera pas à lancer cette phrase comme un crédo : « Il faut réhabiliter le plaisir ! »

Rupture avec le surréalisme

En 1929 à 22 ans, il écrit un article sur l’âge ingrat : cf Ballet (la matrice de l’écriture) : « Nom magnifique par son ironie. Quoi donc jeune éphèbe… tu oses te rebeller contre celui qui t’a engendré au fond du ventre glorieux de ta mère, dans le triple but d’éprouver le plaisir bien connu de l’orgasme, de se prolonger, lui, sa famille et son nom et de fournir à la France, notre chère patrie, un nouveau défenseur ? »

En 1925, Vailland, Daumal et Minet sont à Paris et mûrissent leur projet de créer une revue. Roger Gilbert-Lecomte, resté à Reims et tout à ses rêves, écrit à Vailland : « Simpliste succédera au surréalisme comme celui-ci au dadaïsme. » Minet rencontre un éditeur Léon Pierre-Quint qui croit en l'avenir du mouvement simpliste et leur promet son soutien financier. Ils sont aussi soutenus par des surréalistes comme Robert Desnos, Ribemont-Dessaignes ou le peintre Sima et Vailland propose un titre : Le grand Jeu. Dans le premier numéro, on peut lire : « Le Grand Jeu est irrémédiable. Il ne se joue qu'une fois. Nous voulons le jouer à tous les instants de notre vie. » C'est l'euphorie. De quoi inquiéter un Breton déjà jaloux et possessif qui décide d'abattre Vailland.

C’est l’époque où, pour gagner sa vie, il devient journaliste et grâce à son ami Robert Desnos, entre au journal Paris-Midi, propriété de Jean Prouvost patron de la Lainière de Roubaix. Pour écrire, il choisit des pseudonymes – souvent Georges Omer ou Robert François, son ancien pseudo de ‘Phrère simpliste’, Plus tard Etienne Merpin : « ne me faut-il pas deux noms à moi qui mène une étonnante vie à partie double ? Écrira-t-il à sa sœur (Lettres à sa famille)

Vailland ne se doute donc de rien et travaille à un article Arthur Rimbaud ou guerre à l'homme qui doit paraître dans le n°2 du Grand Jeu. Celui qu'on appelle Le Pape organise une réunion dans l'arrière salle du Bar du Château le 11 mars 1929, au cours de laquelle Vailland est violemment mis en cause pour un article ambigu paru dans Paris-Midi, intitulé L'hymne Chiappe-Marta où, sur un ton assez ironique, Vailland raconte l'histoire de l'hymne militaire composé à la gloire du préfet de police Jean Chiappe. Il n'est guère soutenu par ses amis simplistes' et sort abasourdi et marqué pour longtemps de cette séance.

Séance électrochoc qui marque une distance entre Roger Vailland et Le Grand Jeu[7].

Après l'affaire du bar du Château, l'écart va s'agrandir avec ses amis. Vailland écrit à sa mère : « Même Lecomte et Daumal avec qui je suis resté bien, je ne les vois presque plus. »[8] « François est mort et je laisse se former celui qui va lui succéder. »[9]

Cet épisode marque la fin de la période surréaliste de Vailland. Mais ce fut un choc dont il traînera longtemps les séquelles et ce n’est qu’en 1948 lors de la parution de Le Surréalisme contre la révolution qu’il pourra affirmer qu’il a définitivement tourné la page.

N'aimer que ce qui n'a pas de prix

Cet ouvrage, édité après sa mort, reprend en particulier un texte de jeunesse provenant du fonds Vailland déposé à la médiathèque de Bourg-en-Bresse.

Il s'agit d'un long poème en huit parties intitulé Nuit d'ange que Roger Vailland avait conservé sans doute parce que c'est un de ses premiers poèmes édités, un des rares qu'il n'ait pas détruits par la suite.

Ce poème, écrit dans les années 1925-1926 est dédié à son ami et 'frère simpliste' du Grand Jeu Roger Gilbert-Lecomte, avec un titre dont il nous donne la clé par cette citation de Alfred de Vigny tirée du poème Éloa :

« Les anges ont des nuits comme la nuit humaine. »

Notes et références

  1. Nouvelle publiée par le revue Entretiens en 1970, rééditée par les Éditions Le Temps des cerises
  2. Nouvelle publiée par la revue Adam n°30 en 1979
  3. Conte-nouvelle, extraits publiés par le revue Le Croquant en 1987 puis publié en totalité par les Édition du Rocher, 1996
  4. Voir article de Brasillach dans la revue Europe sur Fulgur
  5. Voir Notre avant-guerre, Robert Brasillach, Plon, 1941 p36
  6. Voir Roger Vailland et le Grand Jeu, Michel Picard, revue d’histoire naturelle de la France, 09/1979
  7. Voir l'article de Virmaux dans la revue Europe
  8. voir Lettres à sa famille p 175
  9. voir Écrits intimes : lettre à Jean Beaufret

Annexes

Articles connexes

  • Correspondance 1915-1928, René Daumal, Éditeur Gallimard, isbn : 9782070726615
  • Correspondance, Roger Gilbert-Lecomte, dont lettres à Roger Vailland, préface et notes de Pierre Minet, collection blanche, Éditions Gallimard, 1971, isbn 207027781X.
  • Révolutionnaires sans révolution, André Thirion, Éditions Robert Laffont, 1972,, réédité par les Éditions Actes Sud en 1999
  • Roger Vailland et le Grand Jeu, Michel Picard, revue d'histoire littéraire de la France, 1979

Liens externes

Bibliographie

  • Le Surréalisme contre la révolution, Roger Vailland, Éditions Sociales, 1948. Réédité par les Éditions Complexe, Bruxelles, 1988, et par Delga, Paris, 2007
  • Dictionnaire du surréalisme, Jean-Paul Clébert, Éditions Le Seuil, 1996, isbn n°2020245884
  • L'aventure des surréalistes : 1914-1940, Jean-Jacques Brochier, 1977, Éditions Stock, isbn n°2-234-00591-4
  • L'enjeu du Grand Jeu, Michel Camus, Mont analogue éditeur, 1994
  • Le grand jeu de René Daumal : une avant-garde à rebours, Régis Poulet, La Revue des ressources, 2008

Voir aussi

  • Enfant de la Mouffe, article de Roger Vailland, l'Humanité dimanche, mars 1954, Chronique tome I, p 17-19
  • L'apprentissage de l'horreur, article de Roger Vailland, l'Humanité dimanche, août 1954 Chronique tome I, p 20-22
  • Les fils électriques, poème de Roger Vailland, revue Apollo, octobre 1921, Chronique tome I, p 25
  • En vélo, poème de Roger Vailland,revue Le Pampre, 1923, Chronique tome I, p 26
  • Fulgur : Une armée dirigée, Chronique tome I, p 32-37

Wikimedia Foundation. 2010.

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