Vaccin hépatite B

Vaccin hépatite B

Vaccin hépatite B

Depuis 1982, on peut éviter linfection par le virus de lHépatite B grâce à un vaccin. Le vaccin ne guérit pas les porteurs chroniques, mais il est efficace de 90 à 95% pour prévenir l'apparition de cet état. Le vaccin anti-VHB est aussi le premier vaccin contre un cancer et le premier vaccin contre une infection sexuellement transmissible.

Grâce aux actions de lOMS, depuis quelques années, beaucoup de pays ont ajoutés le vaccin contre lhépatite B à leur programme national de vaccination. Cependant, dans les pays pauvres, les zones endémiques sont les plus importantes, le coût de cette vaccination pose problème. LOMS a alors lancé en 1999 la création de lAlliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI), dont un des buts est de vacciner le plus d'enfants possible afin de les prémunir contre certaines maladies pour lesquelles il existe un vaccin, comme lhépatite B.

Sommaire

Nature du vaccin

Antigène HBs

Le vaccin contre lhépatite B est constitué dantigène HBs (antigène de surface de lhépatite B ou AgHBs). Il y a deux types de vaccins disponibles. Le plus ancien est préparé à partir dantigènes HBs purifiés à partir de plasma de porteurs sains. Le deuxième est préparé par génie génétique : cest une protéine recombinante obtenue par insertion du gène du VHB codant la protéine denveloppe virale (antigène HBs) dans des cellules de levures ou des cellules ovariennes de hamster. Les vaccins dérivés du plasma continuent cependant à être utilisés, les deux types de vaccins étant dune efficacité identique et tous les deux sans danger, mais seuls les vaccins issus du génie génétique sont autorisés en France. [1]

Après la vaccination lantigène de surface de lhépatite B peut être détecté dans le sérum pendant plusieurs jours, ce phénomène est connu sous le nom l'antigènémie vaccinale. [2]

Après un protocole de trois injections vaccinales, le système immunitaire produits des anticorps contre lAntigène HBs qui sont libérés dans la circulation sanguine. L'anticorps est connu sous le nom dAnticorps anti-AgHBs. Cet anticorps et la mémoire du système immunitaire confèrent alors une immunité contre linfection par le virus de l'hépatite B. [3] Même si le taux danticorps baisse ultérieurement au dessous du niveau de 10 mUI/ml, le patient reste protégé : La période d'incubation variant de 45 à 180 jours (durée moyenne de 60 à 90 jours), en cas de contamination le système immunitaire dispose de suffisamment de temps pour produire des anticorps anti-Hbs à un niveau suffisant pour quil soit protecteur, avant que la maladie se développe. Dans cette hypothèse on observera une trace sérologique dinfection révélée par la présence danticorps anti-Hbc.

Un taux danticorps anti-HBs protecteurs (10 mUI/ml) est obtenu 2 à 3 mois après le début de la vaccination.

Histoire

Le vaccin a été préparé à lorigine à partir de Plasma sanguin provenant de patients porteurs de longue date dune infection par le virus de l'hépatite B. A la suite des travaux de Baruch Blumberg qui a découvert en 1963 lantigène Hbs (initialement appelé antigène Australia parce quil avait mis en évidence une réaction inhabituelle entre le sérum de malades polytransfusés et celui dun aborigène australien) [4] Le premier vaccin utilisé chez lhomme a été mis au point en 1976 par le professeur Philippe Maupas virologue à la faculté de médecine et de pharmacie de Tours et testé chez le personnel du service dhémodialyse, très exposé à la maladie [5] Blumberg reçut dailleurs en 1976 le prix Nobel de médecine pour la découverte de cet antigène et pour la conception de la première génération de vaccins contre lhépatite. Toutefois, les vaccins actuellement utilisés aux États-Unis sont fabriqués par la technologie de l'ADN recombinant.[6] Les deux types de vaccins sont considérés comme étant dune efficacité comparable. Aux États-Unis, les deux nouveaux vaccins recombinants sont lEngerix-B (fabriqué par GlaxoSmithKline),[7] et le Recombivax HB[8] (fabriqué par Merck). Les vaccins recombinants sont composés de protéines produites par des cultures de levure modifiée. Contrairement aux vaccins dérivés du plasma, ces vaccins recombinants ne sont pas produits par des lignées de cellules ou de tissus humains. [7][8]

L'infection par le virus de l'hépatite B peut évoluer vers un carcinome hépatocellulaire, un type de cancer du foie. Par conséquent, les vaccins contre l'hépatite B sont des vaccins efficaces pour la prévention du cancer. Selon les Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le vaccin contre l'hépatite B est le premier vaccin anti-cancer. [9]

Populations cibles

Il est recommandé dadministrer aux bébés nés de mères infectées par le virus de l'hépatite B un traitement pour réduire le risque de transmission mère-enfant de la maladie. Dès que possible et au plus tard dans les 48 heures qui suivent la naissance, les nouveau-nés sont vaccinés avec lantigène de surface de l'hépatite B (AgHBs) et reçoivent une injection dimmunoglobulines contre l'hépatite B (HBIG).[10]

De nombreux pays vaccinent les nourrissons contre l'hépatite B. Dans les pays il existe des taux élevés d'infection par l'hépatite B, la vaccination des nouveau-nés n'a pas seulement réduit le risque d'infection, mais a également conduit à une réduction marquée du cancer du foie. Cela a été signalé à Taïwan la mise en œuvre en 1984 dun programme national de vaccination contre l'hépatite B a été associée à une baisse de l'incidence de carcinome hépatocellulaire chez les enfants. [11]

Dans de nombreuses régions, la vaccination contre l'hépatite B est également exigée pour tous les professionnels de santé et le personnel de laboratoire. [12] En France la vaccination est obligatoire pour les personnels de Santé depuis le 18 janvier 1991. Cette prévention est essentielle car le risque pour ces professionnels est 5 à 8 fois plus élevé que celui de la population générale. Sauf pour les personnes vaccinées avant lâge de 13 ans, il est préconisé un contrôle sérologique 6 à 8 semaines après le rappel. Un taux danticorps de 10 mUI/ml est considéré comme protecteur, auquel cas aucun rappel ultérieur nest recommandé. Pour les soignants exerçant une activité qui expose particulièrement leurs patients au risque de contamination par un professionnel, il est exigé un taux d'anticorps de 100 mUI/ml. A défaut l'absence d'antigène Hbs doit être vérifiée chez le soignant.

Certains campus universitaires exigent maintenant la preuve de la vaccination comme une condition sine qua non pour ladmission en logements détudiants.((Octobre 2007))[réfnécessaire]

Réponse au vaccin

En pratique on ne cherche à quantifier la réponse vaccinale que pour les professionnels de santé particulièrement exposés au risque de contamination. A la suite dune primo-vaccination comportant trois injections, une analyse de sang doit être faite dans un délai de 1 à 4 mois pour établir s'il y a eu une réponse immunitaire adéquate, définie par un niveau danticorps contre lantigène de surface du virus de l'hépatite B(Anticorps Anti-HBs) supérieur à 10 mUI / ml. Une telle réponse complète se produit chez environ 85-90% des individus. [13]

Un taux d'anticorps situé entre 1 et 10 mUI / ml est considéré comme une mauvaise réponse, et les personnes concernées (mauvais répondeurs) devraient recevoir une injection de rappel à ce moment-, mais n'ont pas besoin dautres tests sérologiques ultérieurs. [13]En pratique en labsence de réponse après 6 injections au total, il est inutile de pratiquer une injection supplémentaire.

Les personnes qui ne répondent pas correctement (taux danticorps anti-HBs inférieur à 10 mUI / ml) doivent être testées pour exclure une hépatite B en évolution ou une hépatite ancienne, et doivent subir un nouveau protocole de trois injections vaccinales, suivi dun nouveau dosage danticorps 1 à 4 mois après la deuxième série. Ceux qui sont encore non-répondeurs, devraient recevoir des immunoglobulines contre l'hépatite B (HBIG) si elles sont par la suite exposées au virus de l'hépatite B. [13]

Durée de la protection

Bien quon ait pensé initialement, que le vaccin contre l'hépatite B ne conférait pas une protection de durée illimitée, ce n'est plus le cas actuellement. Les premières études avaient suggéré que la vaccination pouvait fournir une couverture efficace pendant cinq à sept ans, [14][15] mais ensuite il a été prouvé quil existait une immunité à long terme découlant de la mémoire immunologique qui persistait après la baisse du taux d'anticorps et donc que le suivi du taux danticorps et ladministration de doses de rappel n'était pas nécessaire pour les individus immunocompétents vaccinés avec succès. [16][17] Donc avec le recul du temps et une expérience plus longue, il a été démontré que la protection persistait au moins pendant 25 ans chez les personnes qui avaient présenté une bonne réponse initiale au premier protocole vaccinal, [18] Les recommandations au Royaume-Uni suggèrent maintenant que pour les bons répondeurs initiaux qui ont besoin dune protection à long terme, comme les professionnels de santé, un seul rappel est préconisé à 5 ans. [13] En France aucun rappel nest préconisé pour les professionnels de santé présentant un taux danticorps supérieur à 10 mUI/ml après un protocole initial complet de trois injections.

Vaccins commerciaux

  • Vaccin Genhevac B® : il est constitué dune suspension purifiée dantigènes HBs contenant les protéines S et PréS, obtenues par clonage et expression du gène viral dans les cellules ovariennes de hamster.
  • Vaccin Engerix B® : il contient lantigène HBs purifié obtenu par clonage et expression du gène viral dans les cellules de levure Saccharomyces cerevisiae. Il existe deux présentations de ce vaccin : Engerix B20® pour ladulte et Engerix B10® pour le nourrisson et lenfant de moins de 15 ans.
  • Vaccin HBVaxPro® : il contient lantigène HBs purifié obtenu par clonage et expression du gène viral dans les cellules de levure Saccharomyces cerevisiae. Il existe trois présentations, une pour les adultes, une pour les enfants jusquà 15 ans et une pour les sujets dialysés.
  • Vaccin Fendrix® : il contient lantigène HBs et un adjuvant, ce vaccin est adapté aux personnes atteintes dinsuffisance rénale.
  • Twinrix® : cest un vaccin combiné contre les hépatites A et B. Il existe en deux présentations, Twinrix® Adulte (à partir de 15 ans) et Twinrix® Enfant.
  • Infanrix Hexa® : il sagit dun vaccin hexavalent destiné aux nourrissons. Cest un vaccin combiné diphtérique, tétanique, coquelucheux, poliomyélitique, Haemophilus influenzae b et contenant 10 μg dantigène HBs.

Schéma de la vaccination anti-VHB

Le schéma initialement prévu était le suivant :

  • 3 injections par voie intramusculaire (dans la région deltoïdienne pour les adultes et dans la cuisse pour les nourrissons), la deuxième injection se fait un mois après la première et la troisième se fait 5 mois après la seconde.
  • rappel un an après la première injection
  • rappels tous les 5 ans

Le schéma actuellement recommandé est le suivant :

  • 2 injections par voie intramusculaire (dans la région deltoïdienne pour les adultes et dans la cuisse pour les nourrissons), la deuxième injection se fait un mois après la première.
  • rappel 6 mois après la première injection.
  • Pour les personnes vaccinées avant lâge de 25 ans et non exposées professionnellement, aucun rappel ultérieur ni aucun contrôle sérologique nest préconisé.

Risques à la vaccination ?

De nombreuses études portant sur des millions de sujets ont documenté linnocuité du vaccin anti-VHB. Les réactions, suite à la vaccination, les plus couramment observées sont des réactions cutanées mineures au point dinjection ou des douleurs musculaires et articulaires transitoires. Un peu plus dune centaine datteintes démyélinisantes centrales ont été notifiées entre 1989 et 1995 pour environ 17,5 millions de sujets vaccinés en France, soit moins de 0,6dentre eux. Compte tenu du sexe et de lâge des sujets vaccinés, les fréquences de scléroses en plaques observées ne sont pas supérieures à celles attendues dans la population générale.

En février 2001, les deux études suivantes[19], publiées dans la revue "New England Journal of Medicine: Vaccinations and the Risk of Relapse in Multiple Sclerosis (C. Confavreux et al.) et Hepatitis B Vaccination and the Risk of Multiple Sclerosis (A. Ascherio et al.) disculpaient le vaccin de l'hépatite B, accusé de pouvoir entraîner l'apparition de cas de sclérose en plaques. En France, l'Académie nationale de médecine rappelle en 2008 que « 8 études nationales et internationales ont démontré labsence de relation statistiquement significative entre la SEP et la vaccination contre lhépatite B ».

Echec de la vaccination

Les non ou faibles répondeurs sont :

  • les personnes âgées : lefficacité du vaccin décroît avec lâge (ceci est notable dès 40 ans)
  • les individus séropositifs au VIH[20] : les personnes immunodéprimées[13]
  • les sujets atteints de défaillance rénale chronique (dialysés) qui peuvent répondre moins bien et exigent des doses plus importantes de vaccin ou des injections plus fréquentes.
  • les individus alcooliques[21]
  • les personnes HLA DR3+ ou DR7: cette non réponse serait due à des défaillances au niveau des cellules T auxiliaires.

Il faut savoir que le tabagisme et lobésité sont aussi des facteurs favorisant la non-réponse au vaccin. [22]

Les non-répondeurs, devraient recevoir des immunoglobulines contre l'hépatite B (HBIG) au cas elles seraient ultérieurement exposées au virus de l'hépatite B.(cas des soignants victimes dun accident d'exposition au sang par exemple) [13]

Amélioration de la vaccination anti-VHB pour les non ou faibles répondeurs

Un vaccin à base dantigènes de surface PréS2 et S produit par la levure induit des titres en anticorps protecteurs après 2 injections chez 80 à 91% des sujets qui navaient pas été protégés auparavant avec un vaccin « conventionnel ». Un autre vaccin renfermant les antigènes PréS1, PréS2 et S (vaccin Hepa-Gene-3) a été testé sur des sujets souffrant dinsuffisance rénale et non répondeurs au vaccin classique. Au bout dun an, 70% dentre eux avaient des titres danticorps protecteurs. Dautres approches existent et sont en cours de recherche comme les vaccins à base dADN plasmidique.

Vers un vaccin à ADN ?

Ce type de vaccin est basé sur une injection directe dADN nu (sans vecteur protéique ou lipidique associé) par voie intramusculaire ou intradermique. LADN est capturé par des cellules et le génome viral est exprimé par celles-ci. La protéine correspondante est donc synthétisée par les cellules. Un des avantages majeurs dun tel vaccin est lexpression à long terme de lantigène. Ce qui pourrait permettre dobtenir une réponse immunitaire plus soutenue et plus durable et donc permettre de supprimer les injections de rappel. Un autre avantage est la synthèse in vivo de lantigène et sa présentation sous forme de peptides antigéniques associés aux molécules CMH de classe I, permettant dinduire une réponse cytotoxique médiée par les lymphocytes T CD8+.

Linjection dADN chez lhomme suscite des interrogations concernant le devenir de cet ADN injecté et la possibilité de son intégration dans un chromosome des cellules hôtes. Si cela était le cas, une mutagénèse insertionnelle serait possible. Le choix de linjection dun tel vaccin au niveau de cellules musculaires nest pas arbitraire. En effet, les cellules musculaires sont post-mitotiques et donc, labsence de divisions favorise peu les intégrations.

Voir aussi

Références

  1. Zuckerman JN, « Vaccination against hepatitis A and B: developments, deployment and delusions », dans Curr. Opin. Infect. Dis., vol19, no 5, 2006, p. 4569 [lien PMID lien DOI] 
  2. Martín-Ancel A, Casas ML, Bonet B, « Implications of postvaccination hepatitis B surface antigenemia in the management of exposures to body fluids », dans Infect Control Hosp Epidemiol, vol25, no 7, 2004, p. 6113 [lien PMID] 
  3. Centers for Disease Control, USA, « Hepatitis B Vaccine: Fact Sheet », 8 Décembre, 2006. Consulté le 25 Oct 2007
  4. Alter HJ, Blumberg BS, « Further studies on a "new" human isoprecipitin system (Australia antigen) », dans Blood, vol27, no 3, 1966, p. 297309 [lien PMID] 
  5. CHIRON J. P. COURSAGET P. YVONNET B., « Philippe Maupas : Inventeur du vaccin contre l'hépatite B », dans Revue d'histoire de la pharmacie, vol46, 1988, p. 279-292 
  6. Immunization Action Coalition, « Hepatitis A & B Vaccines (Be sure your patient gets the correct dose!) », Septembre 2007. Consulté le 25 Oct 2007
  7. a et b GalxoSmithKline, « Engerix-B Prescribing Information », Décembre 2006. Consulté le 25 Oct 2007
  8. a et b Merck, « Recombivax HB Hepatitis B Vaccine (Recombinant) », Octobre 2006. Consulté le 25 Oct 2007
  9. Centers for Disease Control and Prevention (CDC), Department of Health and Human Services, « http://frwebgate6.access.gpo.gov/cgi-bin/waisgate.cgi?WAISdocID=364662410388+1+0+0&WAISaction=retrieve », dans {{{périodique}}}, vol64, no 35, 23Février, 1999, p. 9042-9048 
  10. « A Comprehensive Immunization Strategy to Eliminate Transmission of Hepatitis B Virus Infection in the United States: Recommendations of the ACIP, Part 1: Immunization of Infants, Children and Adolescents », dans MMWR, vol54, no RR-16, 23 Décembre, 2005, p. 12 [texte intégral] 
  11. Chang MH, Chen CJ, Lai MS, Hsu HM, Wu TC, Kong MS, Liang DC, Chau WY, Chen DS, « Universal hepatitis B vaccination in Taiwan and the incidence of hepatocellular carcinoma in children. Taiwan Childhood Hepatoma Study Group », dans N Engl J Med, vol336, no 26, 1997, p. 18559 
  12. Joint Committee on Vaccination and Immunisation, , Stationery Office, Edinburgh, 2006 (réimpr3rd edition), PDF, 468 p. (ISBN 0113225288) [présentation en ligne], « Chapter 12 Immunisation of healthcare and laboratory staff -- Hepatitis B » 
  13. a, b, c, d, e et f Joint Committee on Vaccination and Immunisation, Immunisation Against Infectious Disease 2006 ("The Green Book"), Stationery Office, Edinburgh, 2006 (réimpr3rd edition (Chapter 18 revised 10 October 2007)), PDF, 468 p. (ISBN 0113225288) [présentation en ligne], « Chapter 18 Hepatitis B » 
  14. Krugman S, Davidson M, « Hepatitis B vaccine: prospects for duration of immunity. », dans Yale J Biol Med, vol60, no 4, 1987, p. 333339 [texte intégral] 
  15. Petersen K, Bulkow L, McMahon B,Zanis C, Getty M, Peters H, Parkinson A, « Duration of Hepatitis B Immunity in Low Risk Children Receiving Hepatitis B Vaccinations from Birth », dans Pediatric Infectious Disease Journal, vol23, no 7, 2004, p. 650655 [texte intégral] 
  16. Gabbuti A, Romanò L, Blanc P, et al, « Long-term immunogenicity of hepatitis B vaccination in a cohort of Italian healthy adolescents », dans Vaccine, vol25, no 16, 2007, p. 312932 [lien PMID lien DOI] 
  17. European Consensus Group on Hepatitis B Immunity, « Are booster immunisations needed for lifelong hepatitis B immunity? », dans Lancet, vol355, no 9203, 2000, p. 5615 [lien PMID] 
  18. Van Damme P, Van Herck K, « A review of the long-term protection after hepatitis A and B vaccination », dans Travel Med Infect Dis, vol5, no 2, 2007, p. 7984 [lien PMID lien DOI] 
  19. Consulter les deux articles
  20. Pasricha N, Datta U, Chawla Y, Singh S, Arora S, Sud A, Minz R, Saikia B, Singh H, James I, Sehgal S, « Immune responses in patients with HIV infection after vaccination with recombinant Hepatitis B virus vaccine », dans BMC Infect Dis, vol6, 2006, p. 65 [lien PMID] 
  21. Rosman AS, Basu P, Galvin K, Lieber CS, « Efficacy of a high and accelerated dose of hepatitis B vaccine in alcoholic patients: a randomized clinical trial », dans Am. J. Med., vol103, no 3, 1997, p. 21722 [lien PMID] 
  22. Roome AJ, Walsh SJ, Cartter ML, Hadler JL, « Hepatitis B vaccine responsiveness in Connecticut public safety personnel », dans JAMA, vol270, no 24, 1993, p. 29314 [lien PMID] 
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