- Stellerite
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Stellerite
Stellerite
Catégorie IX : silicates
Stellérite - Cape Marargiu, Sardaigne, Italie(XX1mm) Général Catégorie Minéral Formule brute Ca Al2 Si7 O18 7H2 O Identification Masse moléculaire 704.74 g/mol Couleur incolore; blanc; rose pâle; jaune brunâtre Classe cristalline et groupe d'espace Dipyramidale – 2/m 2/m 2/m Système cristallin orthorhombique Réseau de Bravais Faces centrées F Macle sur [001] Clivage Parfait sur [010],imparfait sur [100] et [001] Habitus sphérique; agrégat; radié Fracture irrégulière à conchoïdale Échelle de Mohs de 3,5 à 4 Éclat vitreux; nacré; soyeux Propriétés optiques Indice de réfraction a=1.4848, b=1.4864-1.4964, g=1.4979 Biréfringence Biaxial (-) ; 0.0100-0.0130 Fluorescence ultraviolet aucune Trait blanc Transparence transparente à translucide Autres propriétés Densité 2,13 Caractères distinctifs Magnétisme aucun Radioactivité aucune Principales variétés La stellérite est une espèce minérale du groupe des silicates sub-groupe des tectosilicates, de la famille des zéolites de formule Ca Al2 Si7 O18 7H2 O, avec des traces de Fe;Mn;Mg;Sr;Ba;Na;K. Très proche de la stilbite dont elle diffère par la substitution d'aluminium par le silicium dans sa formule. Comme pour la stilbite, les cristaux de stellerite peuvent s'associer pour former une structure ressemblant à des gerbes de blé. La stellerite peut former des sphères isolée de 12cm de diamétre. La stellerite reste toutefois moins colorée que la stilbite.
Sommaire
Inventeur et étymologie
Décrit par le minéralogiste Józef Marian Morozewicz en 1909[1]. Dédié à l’explorateur russe Georg Wilhelm Steller (1709-1746 ), découvreur des Iles du Commandeur, lieu du topotype.
Topotype
Cap Nord-Ouest de l'île Mednyi, Iles du Commandeur, mer de Bering, Russie. Déposé au Musée d'histoire naturelle de Londres, N°1934,650.
Gîtologie
Dans les roches volcaniques altérées par les solutions hydrothermales.
Minéraux associés
Les zéolithes, mais aussi calcite, prehnite quartz, et tridymite.
Gisements remarquables
- Australie
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- Garrawilla Station, Coonabarabran district, Pottinger Co., New South Wales[2]
- Brésil
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- Brasília-Guaíba quarry, Bom Princípio, Rio Grande do Sul
- France
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- Carrière de Trimouns , Luzenac, Ariège [3]
- Aiguille de la Balme, Massif de la Lauzière, Savoie [4]
- Inde
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- District de Jalgaon, Maharashtra [5]
- Italie
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- Cape Marargiu, Bosa, Province d'Oristano, Sardaigne [6]
- Lago d'Envie, Prali, Val Germanasca, Province de Turin, Piemont [7]
- Kazakhstan
- Sarbaiskoe (Sarbai; Sarbay Mine), Qostaney Oblysy (Kostanai),
Notes et Références
- ↑ Morozewicz, J.A. (1909) ÄUber Stellerit, ein neues Zeolithmineral. Bull. Intern. Acad. Sci. Cracovie, part 2, 344{359
- ↑ Min Rec (1988) 19:389-406; Tschernich, R. (1992): Zeolites of the World, p.48
- ↑ [Le Cahier des Micromonteurs 1990, 4, p.3,8-12]
- ↑ DE ASCENCAO GUEDES R., VALANGE S. et GABELICA Z. (2002). L’heulandite de La Gorraz, Pussy, massif de La Lauzière, Savoie. Le Règne Minéral n°45, pp. 18-21. Editions du Piat.
- ↑ - Ottens, B. (1996). "Ja lgaon: Une nouvelle localité minéralogique du Trapp-Dekkan (Inde)." Lapis, 21(9), 13-22
- ↑ Calanchi N., Fontana C., Ventacoli C. (1980) - I minerali di Capo Marargiu (Sassari) - Rivista Mineralogica Italiana, Milano, fasc. 4, pp. 119-124
- ↑ Piccoli, G.C., Maletto, G., Bosio, P., Lombardo, B. (2007). Minerali del Piemonte e della Valle d'Aosta. Associazione Amici del Museo "F. Eusebio" Alba, Ed., Alba (Cuneo) 607 pp.
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