Muraille de Chine

Muraille de Chine

Grande Muraille

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La Grande Muraille 1
Patrimoine mondial
La Grande Muraille

La Grande Muraille

Latitude
Longitude
Pays République populaire de Chine Chine
Type Culturel
Critères i, ii, iii, iv, vi
No  identification (ID) 438
Région 2 Asie et Pacifique
Année d’inscription 1987 (11e session)

1 Descriptif officiel (UNESCO)
2 Classification UNESCO

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Documentation du modèle

La Grande Muraille (en chinois traditionnel : 長城 ; simplifié : 长城 ; pinyin : Chángchéng ; littéralement la « longue muraille ») est un ensemble de fortifications militaires chinoises construites, détruites et reconstruites en plusieurs fois et plusieurs endroits entre le IIIe siècle av. J.-C. et le XVIIe siècle pour marquer et défendre la frontière nord de la Chine.

Populairement, on désigne sous le nom de « Grande Muraille » la partie construite durant la dynastie Ming qui part de Shanhaiguan sur le territoire de la ville de Qinhuangdao dans la province du Hebei à l’est pour arriver à Jiayuguan dans la province du Gansu à l’ouest. La longueur de la muraille varie selon les sources. Selon un rapport de 1990, la longueur totale des murs serait de 6 700 km[1]. En raison de sa longueur, la Grande Muraille est surnommée en chinois « La longue muraille de dix mille li » (萬里長城, wàn lǐ chángchéng), le li étant une ancienne unité de longueur chinoise et dix mille symbolisant l’infini en chinois. Ce surnom peut cependant être pris dans son sens littéral par approximation, 6 700 km faisant 11 632 li dans sa valeur généralement considérée de 576 m , ou 13 400 li dans sa valeur actuelle d’exactement 500 m. En moyenne, la Grande Muraille mesure 6 à 7 m de hauteur, et 4 à 5 m de largeur. En avril 2009, le service chinois qu'est l'Administration d'État chargée du Patrimoine Culturel, ayant utilisé des technologies de mesure plus récentes [2], révise cette mesure et déclare une longueur de 8 851,8 km dont 6 259,6 km de murs, 359,7 km de tranchées et 2 232,5 km de barrières naturelles, telles des montagnes ou des rivières.

La Grande Muraille est la structure architecturale la plus importante construite par l’homme en longueur, en surface et en masse. Depuis 1987, elle est classée au patrimoine mondial de l'UNESCO sous le numéro 438[3].

La Grande Muraille sur une carte de 1805.
Le tracé de la Grande Muraille.

Sommaire

Histoire

Si le terme « Grande Muraille » désigne aujourd'hui principalement les fortifications érigées pendant la dynastie Ming, plusieurs murailles construites lors des dynasties précédentes ont porté ce titre, les frontières de la Chine évoluant avec le temps.

Traditionnellement, on divise l'histoire de la construction de la Grande Muraille en deux parties :

Période antérieure à la dynastie Qin

Article détaillé : Royaumes combattants.

Les peuples chinois construisent des murs depuis leurs plus anciennes dynasties : le mur des Erliguan, construit près de la ville actuelle de Zhengzhou au début de la dynastie Shang (XVIIIe au XIIe siècle av. J.-C.) fait près de 7 km de circonférence et est toujours de nos jours à certains endroits plus de 9 m de haut.

Au VIIIe siècle av. J.-C., début de la période dite des Printemps et des Automnes, la Chine suit un système féodal : le territoire est divisé en une centaine de fiefs ou états dirigés par des princes, en théorie tous réunis sous l'égide des rois de la dynastie Zhou. La plus vieille référence littéraire porte sur un mur construit en 656 av. J.-C. par l'état de Qi.

Cependant au cours du temps, ces états s'annexent les uns les autres pour former des grandes principautés et au VIe siècle av. J.-C. certaines principautés au sud font sécession, comme le Chu ou le Wu. La Chine est alors vite morcelée en plusieurs royaumes indépendants se faisant la guerre et ne reconnaissant à la dynastie régnante guère plus qu'un pouvoir symbolique : c'est le début de la période des Royaumes combattants.

Vers cette époque, divers états entreprennent alors la construction de murailles pour se protéger de leurs voisins, ou des tribus non-chinoises. Ainsi, vers le Ve siècle av. J.-C., l'état de Qi commence la construction d'un mur dont des parties tiennent encore aujourd'hui debout. Au milieu du IVe siècle av. J.-C., l'état de Wei entreprend à son tour la construction d'un mur sur sa frontière ouest à côté de celui du Qi, puis un deuxième mur sur sa frontière est. Il fut imité par les états de Yan et Zhao. Des peuples non-chinois construisent également des murailles, comme les Yiju pour se protéger du Qin.

Communément, la technique utilisée pour dresser ces murailles était celle de la terre tassée : entre deux planches, des couches de terre de quelques centimètres sont tassées les unes au-dessus des autres. Les planches sont alors retirées, laissant un mur de terre. Cette méthode permettait de dresser rapidement des murs solides pouvant résister aisément plusieurs siècles.

Dynastie Qin

Article détaillé : Dynastie Qin.
Petits points : Royaumes combattants (-475 - -221)
Gros points : Dynastie Qin (-221 - -206).

En 221 av. J.-C., le seigneur de guerre Ying Zheng achève l'unification de la Chine et fonde la dynastie Qin dont il se proclame empereur sous le nom de règne de Shi Huangdi. Il entreprend alors de massives réformes. Suite aux attaques des tribus Xiongnu, au nord, il envoie le général Meng Tian pour que celui-ci repousse les Xiongnu, puis entreprenne la construction d'une grande muraille au-delà du Fleuve Jaune pour protéger plus efficacement les territoires nouvellement conquis.

Cependant, les détails de la construction de ce mur sont très mal connus et les avis des historiens diffèrent quant à ce qui a vraiment été accompli par Shi Huangdi et Meng Tian. Il n'existe en tout qu'une seule source primaire relatant sa construction (principalement deux passages du Shiji), ainsi que quelques très courtes références dans les textes historiques ultérieurs comme le Livre des Han.

« Après que la dynastie Qin eut unifié l'Empire, le général Meng Tian fut envoyé au nord avec 300 000 hommes pour repousser les tribus barbares. Il conquit le Henan et construisit une Grande Muraille en se servant des avantages topographiques. Il construisit des forteresses aux défilés. La muraille partait de Lintao pour arriver à Liaodong sur plus de dix-mille li. Elle traversait le Fleuve Jaune pour arriver à Yangshan. »

— Sima Qian, Shiji, Chapitre 88 : Meng Tian.

« Après que le Qin eut conquis les six royaumes, l'empereur envoya le général Meng Tian avec 100 000 hommes au nord pour attaquer les barbares. Il captura le Henan et construisit des défenses autour du Fleuve Jaune. Il construisit quarante-quatre villes fortifiées pour surveiller le fleuve et des soldats furent mis en garnison à la frontière. Il utilisa les montagnes, les falaises, les torrents et les vallées. La muraille partait de Lintao pour arriver à Liaodong sur plus de dix-mille li et traversait le Fleuve Jaune entre Yangshan et Beijia. »

— Sima Qian, Shiji, Chapitre 110 : Les Xiongnu.

En dehors de ces deux textes, il n'existe pas d'autre récits concernant la muraille construite par Meng Tian. On ne sait donc ni quand elle a été construite, ni son tracé exact. Cette absence d'informations, et le fait que Sima Qian n'ait pas apporté plus d'informations dans son Shiji malgré l'ampleur apparente de l'ouvrage a étonné nombre d'historiens, et si les recherches archéologiques ont permis d'exhumer des portions de la muraille, elles apportent peu d'informations supplémentaires. Cependant, bien qu'aucune source historique ne le confirme, il est couramment admis que Meng Tian n'est pas parti de rien pour entreprendre la construction de la muraille et a probablement connecté et restauré des portions des murs des anciens Royaumes Combattants.

Cependant malgré les débats entre historiens et l'absence de récits historiques, la Grande Muraille construite par la dynastie Qin reste dans l'imaginaire populaire chinois une œuvre colossale, fruit du travail forcé de milliers de bagnards, soldats, ouvriers et paysans, vision notamment renforcée par l'empereur Shi Huangdi qui est resté dépeint comme un monarque cruel. C'est de cette époque que date le surnom de « mur de dix mille li » (soit 5 760 km étant donné la valeur du li à l'époque de la dynastie Qin). C'est également depuis cette époque que l'on parle véritablement de « Grande Muraille ».

Dynastie Han

Article détaillé : Dynastie Han.

En 210 av. J.-C., l'empereur Shi Huangdi meurt et la dynastie Qin qu'il avait fondée ne lui survit que quelques années. En 202 av. J.-C., Liu Bang, un ancien soldat aux origines paysannes se rend maître de la Chine et se proclame empereur sous le nom de temple de Gaozu. Affaibli par sa précédente guerre de succession contre Xiang Yu, Gaozu abandonne l'entretien de la Grande Muraille des Qin, et lorsque les Xiongnu, désormais unis en confédération, se montrent menaçants et franchissent la frontière, plutôt que d'adopter une position offensive par l'utilisation de murailles comme l'avait fait Shi Huangdi, Gaozu tente d'acheter la paix par des tributs et des « unions harmonieuses », ou heqin, c'est-à-dire l'offre de princesses chinoises aux shanyu des Xiongnu. Pendant quelques décennies, ses successeurs feront de même. Cependant la Grande Muraille n'est pas complètement abandonnée : sous l'empereur Wendi (180 à 157 av. J.-C.) un ministre recommande la création de tuntian aux frontières (sortes de colonies agraires militaires) protégées par de petites murailles dans le but de coloniser la région et gêner les incursions des Xiongnu.

C'est principalement sous le règne de l'empereur Wudi, long de plus de cinquante ans, que la construction de la Grande Muraille prend un essor considérable. En 134 av. J.-C. le statu quo entre les Chinois et les Xiongnu est rompu après le fiasco de Mayi. Contrairement à ses ancêtres, Wudi décide de prendre une attitude franchement offensive contre les Xiongnu et lance en 129 av. J.-C. une première expédition, suivie par de nombreuses autres. Wudi fait restaurer et connecter des portions de la muraille de la dynastie Qin et puis l'étend au fur à mesure de ses campagnes à travers ce qui deviendra la route de la soie. En 119 av. J.-C., les Xiongnu sont repoussés à travers le désert de Gobi en Mongolie intérieure, et une nouvelle section de la muraille, longue de près de 400 km y est construite et s'y dresse encore de nos jours.

Comme pour la muraille de la dynastie Qin, la matière première dépend alors des disponibilités des terrains tandis que le tracé et l'emplacement des tours de guets, garnisons et passages sont choisies en fonction des avantages stratégiques naturels offerts par la configuration des régions. La section construite dans le désert de Gobi est notamment remarquable pour l'utilisation des cailloux présents dans les sables locaux : en tamisant le sable, les ouvriers obtiennent du gravier. Les murs sont alors bâtis en alternant les couches tassées de gravier et de roseau, puis étaient recouverts d'argile afin d'être à la fois protégés de l'érosion et difficiles à escalader.

Des forts sont construits à côté des murailles, voire directement intégrés aux murs et un système de signaux de fumées permet de prévenir d'une attaque xiongnu. Afin de garantir la rapidité de l'arrivée des renforts, l'armée fait principalement usage de cavalerie légère. La Grande Muraille traverse également les importantes routes commerciales, permettant le contrôle des imports. Sur environ vingt ans, Wudi aura prolongé la Grande Muraille sur près de mille kilomètres. Vers 90 av. J.-C., les offensives xiongnu se font de plus en plus rares et durant environ un siècle et demi la construction de la muraille se voit ralentie.

En 9 après J.-C., la dynastie Han est éclipsée par l'éphémère dynastie Xin avant d'être restaurée en 23 par l'empereur Geng Shidi. Celui-ci doit faire face à des guerres civiles et lorsque l'empereur Guang Wudi monte sur le trône deux ans plus tard, son armée est trop affaiblie pour contenir efficacement les Xiongnu. Il ordonne la construction de quatre nouvelles murailles pour ralentir leur avancée et protéger la capitale. Finalement, vers 48, les Xiongnu connaissent des dissensions internes et se divisent en deux groupes : les Xiongnu septentrionaux et les Xiongnu méridionaux. Les Xiongnu méridionaux font tampon entre leurs homologues du nord et la Chine se montrent relativement disposés à co-exister avec ces derniers ce qui met un hiatus à la construction de nouveaux murs.

Vers la fin de la dynastie Han, l'empire doit faire face à de nombreuses rebellions et guerres civiles, notamment la rébellion des Turbans Jaunes (184-205) et même si les seigneurs de guerre du nord comme Yuan Shao ou Cao Cao doivent occasionnellement faire face aux rebellions des Xiongnu, l'état de l'empire force plus à se concentrer sur les luttes intestines. Cao Cao parvient cependant à rallier les Xiongnu méridionaux à lui tout en les divisant en cinq groupes montés les uns contre les autres et donc moins enclins à se rebeller contre lui, diminuant par là grandement l'utilité de la Grande Muraille. À la fin de la dynastie Han, la Chine est divisée en Trois Royaumes séparés par des frontières et se faisant continuellement la guerre, rendant la construction et l'entretien de grandes murailles peu pertinents. Ce n'est pas avant la fin de la dynastie Wei du Nord, vers le VIe siècle qu'apparaît le projet de construire une nouvelle Grande Muraille, cependant ce projet ne sera jamais mis à exécution, et de tous les royaumes rivaux de l'époque, seul le Qi construit des murs.

Dynastie Yuan

Article détaillé : Dynastie Yuan.

Dynastie Ming

Article détaillé : Dynastie Ming.

Dynastie Qing

Article détaillé : Dynastie Qing.

C'est sous la dynastie Qing (1644 - 1911) que la muraille prit sa forme actuelle pour empêcher les armées turques et mongoles d'envahir la Chine.

Géographie

La Grande Muraille sur une image satellite.

La Grande Muraille est située en Chine, au nord. Elle part de la frontière avec la côte au nord de Beijing et va jusqu'au désert de Gobi.

Architecture

Une section sous la neige de la Grande Muraille près de Pékin.

La Grande Muraille est la plus longue construction humaine au monde.

Elle parcourt environ 6 700 kilomètres. Des études par satellite ont montré que de nombreux segments, d'une longueur totale d'environ 1 000 kilomètres, étaient de nos jours enfouis sous terre.

Sa largeur varie entre 5 et 7 mètres en moyenne et sa hauteur entre 5 et 17 mètres. Elle est ponctuée de tours de guet et de bastions sur toute sa longueur. Elle est impressionnante sur les milliers de kilomètres proches de Pékin, la capitale. Elle se réduit ailleurs et ressemble à une imposante levée de terre à certains endroits.

Visibilité de l'espace

Contrairement à une idée reçue, cette construction, n'est pas visible à l'œil nu de l'espace[4]. La muraille n'est pas plus large qu'une autoroute or une autoroute n'est pas visible de la station spatiale internationale[5].

Cependant d'après l’astronaute Leroy Chiao à l’issue de son séjour de six mois dans la station spatiale internationale elle est bien visible depuis l'espace, par beau temps et à l'œil nu[réf. nécessaire]. L'information, avec cliché à l’appui, a fait la une du quotidien China Daily, contredisant le taïkonaute Yang Liwei qui avait assuré, lors de son séjour spatial en 2003, n'avoir vu aucune trace de la muraille. Les services officiels d'information chinois n'étant pas réputés pour leur transparence, on peut supposer que ces informations sont une propagande patriotique.

Tourisme

La Grande Muraille est une des principales attractions touristiques du pays.
Les endroits les plus fréquentés sont les passes de Juyongguan, Simatai, Xifengkou, Jiayuguan et Shanhaiguan.

Divers

  • On prête à la Grande Muraille la réputation d'être le plus grand cimetière du monde. Environ 10 millions d'ouvriers sont morts pendant les travaux[6]. Ils n'ont pas été enterrés dans la muraille elle-même mais dans ses environs immédiats.
  • Pendant la Révolution culturelle, les rebelles et les gardes rouges s'en prenaient aux monuments et aux lieux de culte : plusieurs briques de la Grande Muraille de Chine furent enlevées pour construire des porcheries[7].
  • Le 7 juillet 2007, la muraille a été désignée comme l'une des sept nouvelles merveilles du monde par un organisme non officiel et à caractère commercial (NewOpenWorld Foundation).

Dans les jeux vidéos

La Grande Muraille a servi de décor dans de nombreux jeux vidéos ; citons pour les principaux :

  • Dans le deuxième épisode de Tomb Raider, Lara Croft effectue une mission sur la Grande Muraille.
  • Dans Crash Bandicoot 3: Warped, plusieurs missions sont disponibles à dos de tigre le long de la Grande Muraille.
  • Dans l'expansion Euroforce du jeu Battlefield 2, un niveau simule une attaque de l'Union européenne contre la Chine en passant par la Grande Muraille, (en entrant par la Russie)
  • Dans Titan Quest, lors du passage en Asie, il est impératif de passer par la Grande Muraille.
  • Dans Moto Racer, une des courses de moto cross a pour décors la Grande Muraille, qui forme cependant une boucle.
  • Dans Sonic Unleashed, les missions du niveau Dragon road (chu han) donnent l'impression d'être sur la Grande Muraille.

Galerie photos

Annexes

Articles connexes

Liens externes

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Bibliographie

  • (en) Daniel Schwartz et Luo Zhewen, The Great Wall of China, Thames and Hudson, Londres, 1990. (ISBN 978-0500542439)
  • (en) Arthur Waldron, The Great Wall of China: From History to Myth, Cambridge University Press, 1992, (ISBN 0-521-42707-X)
  • (fr) Michel Jan (texte), Roland et Sabrina Michaud (photographies), La Grande Muraille de Chine, Imprimerie Nationale, 2000, (ISBN 2-7433-0376-X)
  • (fr) Michel Jan, La Grande Muraille de Chine (poche), Petite Bibliothèque Payot, 2003, (ISBN 2-228-89741-8)
  • (en) Stephen Turnbull, The Great Wall of China: 221 BC-AD 1644, Osprey Publishing, 2007, (ISBN 978-1-84603-004-8)

Notes et références

  1. Damian Zimmerman, ICE Case Studies: The Great Wall of China, December 1997
  2. News AFP, [1], Avril 2009
  3. (fr) Fiche du Patrimoine mondial
  4. La Grande Muraille de Chine : "Unique construction humaine visible de la lune..."? Une assertion qui a la vie dure sur sinoptic
  5. En effet, une autoroute mesure environ 10m de large, et la station spatiale est à 400km environ au-dessus de la surface de la Terre, ce qui donne une taille angulaire d'environ 0.00014° soit beaucoup moins que le pouvoir de résolution de l'œil, environ 0.016°
  6. Le Quid
  7. Collectif, Le Livre noir du communisme, Paris, Robert Laffont, 1998, p.614
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