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Thabo Mbeki
Thabo Mbeki 11e président de la République d'Afrique du Sud Thabo Mbeki Actuellement en fonction Mandat 16 juin 1999 - 25 septembre 2008 Depuis le 16 juin 1999 {{{début mandat2}}} - {{{fin mandat2}}} {{{début mandat3}}} - {{{fin mandat3}}} {{{début mandat4}}} - {{{fin mandat4}}} Élu(e) le 16 juin 1999
(par le Parlement)Réélu(e) le 23 avril 2004
(par le Parlement)Parti politique Congrès national africain (African National Congress) Vice-président Jacob Zuma
Phumzile Mlambo-NgcukaPrédécesseur Nelson Mandela Successeur Kgalema Motlanthe Élu(e) le {{{élection2}}} Élu(e) le {{{élection3}}} Élu(e) le {{{élection4}}} Autres fonctions 1er vice-président de la
République d'Afrique du SudMandat
10 mai 1994 - 17 juin 1999Président {{{président1}}} Président de la République Nelson Mandela Chef de l’État {{{chef de l'etat1}}} Monarque {{{monarque1}}} Gouverneur général {{{gouverneur1}}} Président(s) du
Conseil{{{président du conseil1}}} Premier ministre {{{premier ministre1}}} Chancelier {{{chancelier1}}} Gouvernement {{{gouvernement1}}} Prédécesseur Poste créé
Frederik de Klerk
(co-vice-président)Successeur Jacob Zuma {{{fonction2}}} Mandat
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Conseil{{{président du conseil11}}} Premier ministre {{{premier ministre11}}} Chancelier {{{chancelier11}}} Gouvernement {{{gouvernement11}}} Biographie Nom de naissance Thabo Mvuyelwa Mbeki Naissance 18 juin 1942 Idutywa, Transkei (Afrique du Sud) Décès {{{décès}}} {{{lieu décès}}} Nature du décès {{{nature}}} Nationalité sud-africaine Conjoint(s) Zanele Dlamini Enfant(s) {{{enfants}}} Diplômé Université de Sussex Profession Politicien Occupations {{{occupation}}} Résidence(s) De Tuynhuys, Le Cap
Union Buildings, PrétoriaReligion {{{religion}}} Signature {{{signature}}} Vice-présidents de la
République d'Afrique du Sud
Présidents de la République d'Afrique du SudThabo Mvuyelwa Mbeki (né le 18 juin, 1942) est un homme politique sud-africain, membre du Congrès national africain, vice-président de la République de 1994 à 1999 puis président de la République de 1999 à 2008.
Sommaire
Origines
Originaire de la région du Transkei dans l'actuelle province du Cap-Oriental, Mbeki est le fils de Govan Mbeki (1910-2001), un militant notable du Congrès national africain (ANC) et du Parti communiste sud-africain (SACP).
Sa langue maternelle, ainsi que celle de Nelson Mandela, est le xhosa.
Carrière politique
Membre de l'ANC
Thabo Mbeki a rejoint l'ANC à l'âge de 14 ans, et l'a représenté auprès de gouvernements étrangers à partir de 1967.
Il est nommé chef du département de l'information du parti en 1984 et du département des relations extérieures en 1989.
Avec l'ANC majoritaire à l'assemblée d'Afrique du Sud lors des premières élections multiraciales de 1994, il est avec Frederik de Klerk l'un des deux vice-présidents de Nelson Mandela.
En 1996, à la suite de la démission de Frederik de Klerk et du retrait du Parti national du gouvernement, Thabo Mbeki devient l'unique vice-président d'Afrique du Sud au côté de Nelson Mandela lequel lui délègue l'essentiel de ses pouvoirs exécutifs.
Président d'Afrique du Sud (1999-2008)
En juin 1999, Thabo Mbeki est naturellement élu président de la République et succède à Nelson Mandela. Il choisit Jacob Zuma comme vice-président.
Thabo Mbeki a été réélu en avril 2004 avec une majorité parlementaire encore plus étendue qui s'accroît encore par la suite avec la fusion-absorption du Nouveau Parti national.
Politique internationale
Dans les affaires internationales, Mbeki a joué un rôle notable dans les mises en œuvre du Nouveau partenariat pour le développement de l'Afrique et de l'Union africaine. Il a aidé à la promotion des processus de paix au Rwanda, au Burundi et en RDC. Mbeki a également tâché de promulguer le concept de « Renaissance africaine ». Son gouvernement a coopéré avec ceux du Brésil sous la présidence de Lula da Silva et de l'Inde sous le gouvernement d'Atal Bihari Vajpayee, constituant une alliance qui est devenue un protagoniste influent pour les intérêts des pays en voie de développement.
Thabo Mbeki a persévéré dans ses efforts à remettre en place le dialogue entre le président zimbabwéen Robert Mugabe et son opposition regroupé dans le Mouvement pour le changement démocratique malgré le refus des deux partis. Certains (notamment le gouvernement du Royaume-Uni) ont critiqué cette politique de « diplomatie tranquille », suivant laquelle Mbeki s'est également opposé à la suspension du Zimbabwe de Mugabe du Commonwealth. Au bout du compte, son rôle de médiateur apparait être un échec quand le président Robert Mugabe annonce unilatéralement la date des élections et que l'opposition zimbabwéenne reproche au président sud-africain d'avoir manqué de courage[1]. Le rôle de médiateur de Thabo Mbeki, dont le mandat venait d'être renouvelé par ses pairs d' Afrique australe, est finalement écarté par Morgan Tsvangirai après les élections présidentielles et législatives du 29 mars 2008. Les résultats de celles-ci, bien qu'entachées de fraudes et de violences, se révèlent favorables au Mouvement pour le changement démocratique. Mais aucun résultat officiel de l'élection présidentielle n'était encore divulgué 18 jours après le scrutin alors qu'un recomptage partiel était organisé pour les élections législatives qui avaient été officiellement remportées par l'opposition. Si l'ANC prend partie en faveur de Tsvangirai et estime que la non publication des résultats était un déni du vote des zimbabwéens [2], et alors que le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-moon demande aux autorités zimbabwéennes de procéder à la publication officielle des résultats, le président Thabo Mbeki est accusé d'observer un "silence assourdissant" sur la situation politique du pays, estimant d'ailleurs qu'il n'y avait « pas de crise au Zimbabwe ». Le 17 avril, Morgan Tsvangirai rejetait alors la médiation de Thabo Mbeki, qu'il estime inefficace et de parti-pris, et demande au président zambien Levy Mwanawasa de mener une nouvelle initiative pour tenter de régler la situation politique au Zimbabwe [3]. Alors qu'en juin, plusieurs pays voisins comme la Zambie, le Botswana, l’Angola et le Swaziland se joignent aux condamnations internationales visant Robert Mugabe, que Tsvangirai doit renoncer à se maintenir au second tour de l'élection présidentielle en invoquant les violences commises contre ses partisans par les partisans du président zimbabwéen, Thabo Mbeki reste de nouveau silencieux. Pour George Katito, de l’Institut des relations internationales à Johannesburg, « la solidarité de Mbeki à l’égard des leaders des mouvements de lutte anticoloniale a toujours primé sur le respect de la démocratie ». Cette position tranche avec celle de son propre parti, l'ANC, et de son chef, Jacob Zuma, pour qui le parti de Robert Mugabe avait complètement « perdu la tête »[4].
Politique intérieure
Durant sa présidence, le président Mbeki souffre d'une image d'intellectuel lointain, arrogant, froid, autocratique, voire paranoïaque. Il peine ainsi à faire valoir ses réalisations comme une croissance économique de 5 à 6% annuel sur 10 ans, la construction de 2 millions de nouveaux logements depuis 1994, la connexion à l'électricité publique de 4 millions de foyers noirs, l'accès à l'eau potable pour 85 % des 48 millions de citoyens sud-africains [5]. Cependant, le maintien de 10% de la population dans une misère extrême, le chômage en hausse, estimé à près de 40 %, la forte progression de la criminalité, l'expansion de la pandémie du Sida et la dégradation de la qualité de l'enseignement public restent les points noirs de sa politique qui lui sont reprochés par ses adversaires politiques, y compris ceux de l'ANC. Ainsi, à la fin de son mandat, alors que les inégalités sociales se sont accentuées, le président Mbeki est accusé d'avoir perdu le contact avec le peuple pour privilégier une nouvelle bourgeoisie noire, tout aussi repliée sur elle-même que le fut la bourgeoisie blanche [6] alors que les critiques politiques dénoncent même l'autoritarisme d'un gouvernement, tiraillé entre sa propre aile gauche et son aile droite.
Si ses relations avec le patronat sud-africain sont plutôt bonnes, elles sont plus complexes avec les blancs en général. En avril 2005, Mbeki fait ainsi l'éloge des afrikaners alors que ceux-ci ont des doutes sur leur pérennité en Afrique du Sud suite aux atteintes portées par les radicaux de l'ANC contre leur culture et leur patrimoine historique (notamment les changements de noms afrikaners ou la diminution drastique des institutions scolaires de langue afrikaans). Lors d'un discours, le président Thabo Mbeki tente de les rassurer en les désignant comme des « catalyseurs qui mettront un terme à la division raciale du pays », n'hésitant pas alors à pointer les blancs anglophones moins enclins selon lui « à soutenir la nouvelle Afrique du Sud et l’africanisme » [7].
En juin 2005, Mbeki limoge son populaire et populiste vice-président, Jacob Zuma, englué dans un grave scandale politique. Il s'attire alors l'hostilité de la frange la plus populiste de l'ANC, celle qui soutenait Zuma.
En 2007, bien que ne pouvant effectuer de troisième mandat, Thabo Mbeki décide de se présenter de nouveau à la présidence de l'ANC, notamment pour contrer Jacob Zuma. Dans la cadre de sa campagne pour prendre la direction de l'ANC, bien que toujours sous le coup d'une enquête judiciaire pour corruption mais capitalisant sur la déception des plus pauvres face à la politique économique libérale du président Mbeki, Zuma obtenait cependant le soutien de cinq des 9 branches provinciales du Congrès national africain (ANC) (KwaZulu-Natal, Gauteng, État-Libre, Mpumalanga et Cap-du-Nord) et 61% des votes contre quatre branches provinciales et 39% des voix pour le chef de l'Etat Thabo Mbeki (Cap-Oriental, Nord-Ouest, Cap-Occidental et Limpopo (nord), lui conférant ainsi la majorité relative des délégués [8] .
Lors de la conférence élective du président de l'ANC qui se tint ensuite du 15 au 20 décembre 2007 à Polokwane, Jacob Zuma recevait le soutien de près des trois quarts des 3 900 délégués face au président sortant Thabo Mbeki. L'élection se fait dans un climat tendu entre les deux camps sur fonds de chants et de danses comme « Umshini Wami » (Passe-moi ma mitraillette), chant de la lutte contre l'apartheid, devenu emblème de Jacob Zuma [9].
Le 18 décembre, au bout d'une bataille de procédure qui a retardé de 24 heures le vote, Zuma est élu président de l'ANC en remportant 2 329 voix (60% des suffrages) contre 1 505 à Thabo Mbeki. La victoire de Zuma est d'autant plus humiliante pour le président sortant que chaque autre membre du comité directeur soumis ce jour là au vote des militants est un proche de Zuma, ne laissant aucune place au camp sortant[10].
En 2008, le bilan économique du président Mbeki est menacé par une grave pénurie d'électricité qui plonge périodiquement les grandes villes dans l'obscurité et menace l'économie du pays et de la région. Il lui est ainsi reproché, par la presse, l'imprévoyance de son gouvernement pour avoir refusé 10 ans plus tôt d'investir dans la construction de nouvelles centrales électriques alors que le pays connaissait une croissance de la demande en électricité de 10 % chaque année. Après avoir utilisé les surplus de capacité hérités des anciennes structures, son gouvernement est contraint de promouvoir le rationnement, de renoncer à certains grands projets créateurs d'emplois et de suspendre ses exportations d'électricités à destination de la Zambie et du Zimbabwe, en attendant la mise en service de nouvelles centrales, moins polluantes mais plus couteuses [11].
Parallèlement, la presse lui reproche la dégradation de l'état des routes, des hôpitaux publics et des écoles publiques ainsi que l'inefficacité de l'administration par manque de personnel, de motivation ou de moyens. Si la corruption s'étend également, elle touche des proches du président Mbeki. Ainsi, alors que pour des faits analogues il avait démis son vice-président, il couvre son chef de la police, Jackie Selebi, proche de barons de la drogue et inculpé de corruption. Dans le même temps, il licencie sa populaire vice-ministre de la santé, Nosizwe Madlala Routlege,pour avoir eu le tort de dénoncer le mauvais fonctionnement du système de santé [12].
En mai 2008, le gouvernement de Thabo Mbeki est confronté à une vague de violences contre les immigrés, caractérisé notamment par des meurtres, des pillages et des lynchages. Débuté dans les quartiers pauvres de Johannesburg, elle s'étend en quelques jours aux grandes villes de 7 des 9 provinces du pays, notamment Le Cap et Durban. Elle occasionne la mort d'une cinquantaine d'immigrés et la fuite de plus de 100 000 autres, réfugiés notamment dans des camps de fortune ou évacués vers leurs pays d'origine [13] [14]. Ces violences sont interprétées par le sentiment de nombreux Sud-Africains que, selon eux, les immigrés prendraient des emplois et seraient responsables de la criminalité. Les 3 millions de Zimbabwéens, qui ont dû s'enfuir de leur pays, ravagé par une crise politico-économique, sont les premiers touchés. Après avoir déclaré que « Les citoyens d'autres pays d'Afrique et au-delà sont des êtres humains comme nous et méritent d'être traités avec respect et dignité », que l'Afrique du Sud n'était « pas une île séparée du continent »[15], le président Thabo Mbeki, après l'avoir dans un premier temps écarté, est obligé de recourir au déploiement de l’armée (les Forces de défense d’Afrique du Sud - SADF) pour épauler la police et enrayer le développement des violences xénophobes à travers le pays [16]. Dénonçant un processus en cours de nettoyage ethnique, la presse sud-africaine stigmatise également le comportement général du président sud-africain, notamment sa réaction tardive aux évènements puis son déplacement au Japon où le président sud-africain participe à une conférence internationale. Certains de ces journaux, comme le Sunday Independent et le Sunday Times, vont alors jusqu'à en appeler à la démission de Thabo Mbeki.
Controverses sur le SIDA
Les vues du président Mbeki sur la question du Sida ont provoqué la controverse, notamment quand il a nié le lien entre le virus et la maladie et pour avoir affirmé que, dans un pays où plus de 800 personnes meurent chaque jour de cette maladie, il ne connaissait personne qui soit mort du sida dans son entourage immédiat [17].
Ainsi, en avril 2000, le président Mbeki demandait la création d'un groupe de recherche sur le Sida comprenant à la fois des scientifiques orthodoxes mais aussi des scientifiques plus sceptiques qui remettaient en cause le lien de causalité entre le VIH et le SIDA. Thabo Mbeki et son ministre de la Santé, le docteur Manto Tshabalala-Msimang avaient fait paraître un document retraçant les discussions qui se sont produites à l'occasion de cette rencontre. Thabo Mbeki et son gouvernement avaient essentiellement posé la question du rapport bénéfice/toxicité de deux substances proposées pour diminuer la transmission de la séropositivité de la mère à l'enfant, qui sont l' AZT et la Nevirapine, à la suite d'études [1] [2] assez circonstanciées effectuées par l'avocat sud-africain Anthony Brink.
Néanmoins, les militants luttant contre le SIDA avaient applaudi le gouvernement sud-africain quand celui-ci avait défendu la production de médicaments génériques moins coûteux pour les pays les moins fortunés, et remporté le procès entrepris par des sociétés pharmaceutiques multinationales en avril 2001.
L'Afrique du Sud dispensa ensuite d'un projet plus orthodoxe pour combattre les effets du VIH et du SIDA sous la direction du docteur Manto Tshabalala-Msimang, ministre de la Santé depuis décembre 2000. Cependant, cette dernière en se déclarant favorable à des thérapies alternatives comme l'emploi de certains fruits et légumes et en affichant son hostilité à l'emploi de rétroviraux gagna chez ses détracteurs le surnom de "docteur Betterave". C'est surtout la vice-ministre Nozizwe Madlala-Routledge qui innova la politique en matière de santé en consultant les organisations non gouvernementales avec lesquelles sa ministre de tutelle entretenait des relations très conflictuelles et en élaborant un plan pour les années 2007-2011, prévoyant d'améliorer la prévention et l'accès aux traitements, avec pour objectif de placer 80 % des malades sous antirétroviraux en 2011.
Cependant, en août 2007, le limogeage de Nozizwe Madlala-Routledge par le président Mbeki, la sanctionnant pour avoir dénoncé l'état des services de santé, fut interprété à nouveau par les ONG comme "Treatement Action Campaign" et par l'opposition comme un "déni" de la pandémie.
Le limogeage fut également contesté par les formations proches du pouvoir, comme le Parti communiste ou la centrale syndicale COSATU.
La démission
Mis en cause indirectement pour des « interférences » politiques par le juge ayant prononcé un non-lieu dans des affaires de corruption concernant Jacob Zuma, Thabo Mbeki annonce sa démission le 21 septembre 2008 après avoir été désavoué par son parti. L'ANC nomme alors le vice-président du parti, Kgalema Motlanthe, pour lui succéder à la présidence de la République. Le 23 septembre, par 299 voix contre 10, les députés sud-africains adoptaient une motion avalisant la démission de Thabo Mbeki de la présidence de la république avec effet au 25 septembre 2008. La démission de Thabo Mbeki s'accompagne de celle de la vice-présidente, Phumzile Mlambo-Ngcuka, et de 11 de ses ministres dont Trevor Manuel et Patrick Lekota. Parallèlement, Thabo Mbeki reprenait l'offensive judiciaire contre Jacob Zuma en se joignant à l'appel du procureur général devant la Cour constitutionnelle contre le jugement qui avait mis fin au procès pour corruption contre son rival. Dans sa plainte, Thabo Mbeki fait valoir que les attendus du jugement étaient « scandaleux et préjudiciables » envers sa réputation en tant que personne privée et chef de l'Etat[18].
Notes
- ↑ La difficile fin de règne de Thabo Mbeki, coupé de la population et piètre médiateur africain, article de Fabienne Pompey dans Le Monde du 28 février 2008
- ↑ Mugabe knows results Article de News24
- ↑ L'opposition ne veut plus du président sud-africain comme médiateur, article de Euronews du 18 avril 2008
- ↑ Le silence sud-africain profite à Mugabe, article de Libération du 24 juin 2008
- ↑ Article du Monde du 19 décembre 2007
- ↑ La difficile fin de règne de Thabo Mbeki, coupé de la population et piètre médiateur africain, article de Fabienne Pompey dans Le Monde du 28 février 2008
- ↑ "Afrikaners are embracing the new South Africa and an Africanism more readily than English-speaking whites" - Article du Herald on Line
- ↑ léger avantage pour Zuma pour prendre la tête de l'ANC
- ↑ Article de l'AFP du 17 décembre 2007 intitulé Afrique du Sud: Mbeki paraît devoir perdre le contrôle du parti au pouvoir
- ↑ Dépêche de l'AFP du 18 décembre 2007 - Jacob Zuma plébiscité à la présidence du parti au pouvoir
- ↑ Article du Sowetan repris sur le site de Courrier International le 21 janvier 2008
- ↑ "La difficile fin de règne de Thabo Mbeki, coupé de la population et piètre médiateur", article de Fabienne Pompey, ibid
- ↑ Flambée xénophobe en Afrique du Sud, article de Libération du 25 mai 2008
- ↑ Mbeki au Japon, près de 100.000 migrants dans des camps de fortune, article de l'AFP du 27 mai 2008
- ↑ Violences xénophobes : 13.000 déplacés, Mbeki appelle au calme, article de Jeune Afrique du 20 mai 2008
- ↑ Recours à l’armée en Afrique du Sud, article de France-Info du 22 mai 2008
- ↑ La difficile fin de règne de Thabo Mbeki, coupé de la population et piètre médiateur africain, article de Fabienne Pompey dans Le Monde du 28 février 2008
- ↑ « Afrique du Sud: Thabo Mbeki contre-attaque après sa démission forcée »
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