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Gémara
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Voir aussi
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la Gémara (mot signifiant « achèvement, perfection » en hébreu, ou « complément » en araméen, langue dans laquelle est rédigé cet ouvrage[1]) est un commentaire de la Michna qui la relie plus clairement au Tanakh.Sommaire
Place de la Gémara dans la littérature rabbinique
Les auteurs de la Gémara sont appelés Amoraïm (ceux qui parlent ou expliquent). Elle dut être rédigée séparément dans les deux diasporas juives les plus importantes : en Galilée jusqu'au milieu du IVe siècle et en Mésopotamie jusqu'au milieu du VIe siècle.
La Michna hébraïque et la Gémara araméenne constituent le Talmud. Du fait de l'existence de deux Gémarotes[2] qui diffèrent par le contenu et l'ampleur, il existe deux versions du Talmud : le Talmud de Jérusalem et le Talmud de Babylone, dont l'autorité est bien supérieure au précédent. La raison en est que le Talmud de Babylone rassemble le plus grand nombre de sages, contrairement au Talmud de Jérusalem où seule une minorité de sages est rapportée.
Les parties normatives du Talmud constituent la Halakha (« cheminement » dans les voies de Dieu), tandis que les parties non normatives, narratives, édifiantes, constituent la Aggada (narration, récit).
Voir aussi
Articles connexes
Liens externes
Notes et références
- ↑ גְּמַר (signifiant « parfait » en hébreu) se transcrit guemar (et non gemar qui se prononcerait [jemar]), de ce mot dérive la guemara (transcrite gemara en anglais, voir Abingdon Dictionary of Living Religions, réédité par Keith Crim, General Editor, sous le titre The Perennial Dictionary of World Religions, Harper & Row Publishers, San Francisco) qui, transitant par l'araméen, devint en français un nom propre « la Gémara » prononcé [jémara] ! (Voir Nouveau Larousse Illustré en sept volumes, édité au début du vingtième siècle, tome IV, page 803).
- ↑ guemara fait au pluriel, en hébreu, guemarot. Gémarote pourrait être considéré comme un nom propre de la langue française, guemarot comme une transcription de l'hébreu.
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