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Falun Gong
Le Falun Dafa (法轮大法 en chinois simplifié, Fǎlún dàfǎ en pinyin) ou Falun Gong est un mouvement spirituel chinois. Fondé par Li Hongzhi en 1992, ce qigong particulier, comptait en 1999 environ 70 millions de pratiquants [1]. Depuis 1999, concurrençant le Parti communiste chinois (PCC) comme organisation sociale, il fait l'objet d'une répression en République populaire de Chine[réf. nécessaire] qui procède à des arrestations et des emprisonnements accompagnés de torture[réf. nécessaire].
Sommaire
Historique
La nature de ce qu'est le Falun Gong est ancrée dans les traditions chinoises.
Les pratiques de qigong, adoptées par le régime communiste en 1949, ont été interdites et réprimées comme des pratiques féodales et superstitieuses durant la Révolution culturelle.
Dans un contexte de détente économique, peu après les premières réformes libérales et la première apparition du chômage, le qigong réapparaît en Chine et se trouve même encouragé. Les autorités y voient une façon de mettre en avant la culture chinoise et participent à sa promotion à travers les Salons de la santé qui lui seront consacrés au début des années 1990.
En 1992, le Falun Dafa est présenté au grand public par Li Hongzhi.
Pendant plusieurs années, les autorités chinoises resteront indifférentes face à ce mouvement et en 1995 Li Hongzhi commence à diffuser la méthode à l'étranger. Commençant par la France, il donne une série de neuf conférences à l'ambassade de Chine à Paris. Mais cette école se détache par sa gratuité et sa popularité. En l'espace de sept ans, elle compte environ 80 millions de pratiquants, d'après les estimations des autorités de l'époque.
Les autorités s'inquiètent de l'ampleur du phénomène, le nombre de pratiquants serait deux fois supérieur à celui des inscrits au Parti communiste chinois. Dès l'année 1996, des incidents de harcèlement de pratiquants ou de groupes de pratique sont recensés et le gouvernement fait interdire les livres du Falun Gong qu'il éditait auparavant et des articles contre le Falun Gong apparaissent alors dans la presse.
Le 23 avril 1999, suite à la parution d'un article mettant en garde contre les dangers du Falun Gong dans la petite université de Tianjin, des pratiquants se rendent sur place dans le but d'expliquer leur point de vue, plusieurs d'entre eux seront alors arrêtés.
Le 25 avril 1999, dix mille pratiquants de Falun Gong protestent devant le siège du gouvernement chinois (Zhongnanhai) à Pékin suite aux arrestations des pratiquants.Pendant 13h, sans banderoles ni slogans, ils viennent faire appel pour demander la libération de pratiquants et le droit de pratiquer librement le Falun Gong [2].
Selon les membres du Falun Gong, ce rassemblement aurait été spontané, suite aux conseils de policiers concernant les arrestations ayant eu lieu à Tianjin. Une délégation est reçue par le premier ministre qui lui aurait assuré que les prisonniers seraient libérés et que personne ne serait inquiété.
D'après les autorités, cet événement prouve une forme d'organisation et une volonté de défier le pouvoir. Cette manifestation marque un tournant de la politique du Parti communiste chinois à l'égard du Falun Gong [3].Le 20 juillet 1999, Jiang Zemin, président à l'époque, affirme que le mouvement menace la stabilité sociale et politique de la Chine. Il lance une politique de répression en fondant le Bureau 610, un groupe de commandement chargé de surveiller le Falun Gong et dont l'organisation et le statut extra-gouvernemental sont similaires à celui du Comité central de la révolution culturelle.
Le 22 juillet 1999, le Ministère des affaires civiles et le Ministère de la sécurité publique ordonnent conjointement la dissolution du mouvement et de l'association qui lui est affiliée, Falun Dafa Research, interdisant la propagation du Falun Gong sous toutes ses formes y compris sa pratique en public ainsi que toute disruption de l'ordres social et attaque contre le gouvernement [4].
En octobre 1999, une loi légitime la répression en rendant illégales toutes les organisations dites hérétiques. Celle-ci étant rétroactive, tous les pratiquants et ex-pratiquants sont concernés.
Au moment des fêtes du Nouvel an chinois, le 23 janvier 2001, cinq personnes s'immolent par le feu sur la place Tian'anmen [5] Selon le gouvernement chinois, il s'agissait de membres du Falun Gong [6]. Le mouvement soutient qu'il s'agissait d'une mise en scène du régime chinois [7]. Le film Feu mensonger, primé au festival international du film de Colombus, montre des images de l'événement au ralenti [8].
La même année, Ian Johnson, correspondant spécial du Wall Street Journal à Pékin reçoit le prix Pulitzer pour son reportage sur la persécution du Falun Gong [9].
En janvier 2006, Gao Zhisheng, avocat chinois défenseur des Droits de l'homme, publie trois lettres ouvertes successives à Hu Jintao et à son premier ministre en dénonçant la répression. Les autorités chinoises font alors fermer son cabinet d'avocat.
Situation en Chine continentale
Il est difficile d'obtenir des informations fiables sur la situation en Chine continentale : en dehors des déclarations des dirigeants de la République populaire de Chine, les seules sources sont le mouvement Falun Gong lui-même. En Chine continentale, aucun site Falun Gong n'est accessible.
Situation hors de Chine
Le Falun Gong a aussi des groupes de pratique à l'étranger.[réf. nécessaire] En France, la Miviludes (Mission interministérielle de lutte contre les dérives sectaires) ne considère pas le Falun Gong comme une secte. Aucun organisme comparable, ni aucun état ne considère Falun Gong comme une secte mais des personnalités de la lutte anti-sectes américaines, comme Rick Ross [10] et Margaret Singer le considèrent cependant ainsi[11],[12]. Il est considéré officiellement comme secte depuis 1999 et réprimé en Chine.
Le site de l'UNADFI, principale association anti-secte française, précise qu'aucune plainte n'a jusqu'ici été enregistrée, mais critique néanmoins les manifestations du mouvement contre le gouvernement chinois [13].
Controverses
Article détaillé : Répression du Falun Gong.Le mouvement du Falun Gong est officiellement interdit en Chine, et réprimé. Les controverses portent sur l'ampleur, la nature et les motifs réels de cette répression, la plupart des informations sur la question provenant soit du gouvernement chinois soit du mouvement lui-même.
Motifs de la répression
Le parti communiste chinois qualifie le mouvement de secte hérétique et l'accuse d'avoir une structure hiérarchisée et de vouer un culte à son fondateur Li Hongzhi. Selon les autorités chinoises, Li Hongzhi serait un gourou qui prévoit la fin du monde, entretiendrait le culte de sa personne et interdirait aux pratiquants de se rendre à l'hôpital. Elles considèrent les croyances énoncées dans le livre Zhuan Falun comme des aberrations dangereuses allant contre la science, le livre étant critiqué comme étant obscur, incompréhensible.
Le parti communiste chinois affirme que le Falun Gong incite les pratiquants à refuser les traitements médicaux. [réf. nécessaire]
Le gouvernement chinois estime que le Falun Gong est responsable de la mort de 1 400 personnes en les ayant incitées à se priver de médicaments.
Au-delà des accusations de dérive sectaire, le gouvernement chinois accuse également Falun Gong d'avoir une organisation secrète et d'avoir gagné illégalement beaucoup d'argent. Il craindrait également son influence politique [14].
Les autorités chinoises ont également critiqué l'affirmation qui est faite de l'existence d'extra-terrestres et de pouvoirs supra-normaux [15].
Nature de la répression du mouvement
Un peu partout dans le monde, les médias ont d'abord relayé les propos des autorités chinoises. Petit à petit, les ONG et certains médias ont donné un autre avis que celui du PCC sur le Falun Gong en parlant d'atteinte aux Droits de l'homme. L'expression Secte hérétique est, selon un rapport d'Amnesty international [16], utilisée pour définir tout groupe religieux ou spirituel non reconnu offiellement par les autorités chinoises.
Jiang Zemin aurait fondé le « bureau 610 », une police chargée d'éradiquer le Falun Gong. Des partisans des Falun Gong ont porté plainte contre Jiang Zemin, Luo Guan et Li Lanqing (responsables du bureau 610) pour génocide et crimes contre l'humanité dans une dizaine de pays[réf. nécessaire].
Deux Canadiens, l'avocat David Matas et le politicien David Kilgour, accusent Pékin de prélever les organes des membres du Falun Gong contre leur volonté. Ils estiment qu'il y aurait eu 41500 transplantations d'organes non expliquées entre 2000 et 2005 [17],[18].
Les violations des droits de l'homme dans la répression du Falun Gong sont dénoncées par la commission européenne[19] et par des organisations de défense des droits de l'homme comme Amnesty International[20], Human Rights Watch, Reporters sans frontières[21], le MRAP ainsi que la Laogai Research Foundation.
Pour Nicholas Bequelin, de Human Rights Watch à Hong Kong : « Personne ne croit vraiment que le mouvement Falungong représente une réelle menace pour la stabilité du gouvernement mais sa répression montre dans quelles mesures une campagne politique peut outrepasser toute loi » [22].
L'interdiction en tant que secte hérétique
Article détaillé : Répression du Falun Gong.En RPC, bien que la liberté d'association soit garantie par la constitution, toutes les associations doivent en pratique être déclarées et parrainées par une association gouvernementale. Contrairement aux autres écoles de qigong qui restent locales, Falun Gong a acquis une taille nationale puis mondiale.
Depuis 1999, Falun Gong est qualifié de secte hérétique par les autorités de la RPC. Le sens original de secte n'est pas péjoratif, dans le sens moderne le débat secte/religion est stérile, en l'absence de définition. Dans la tradition orientale, l'élévation spirituelle peut se présenter sans rituel ni forme religieuse, dans le cadre d'un enseignement de maître à disciple, à l'inverse des conceptions occidentales qui la classent dans la catégorie religion.
Article détaillé : Politique religieuse de la République populaire de Chine.Les autorités de la RPC se sont livrées à une répression des pratiquants de Falun Gong, marquée par des arrestations et l'emprisonnement des membres ainsi que leur soumission à un programme de « rééducation par le travail ». Des ouvrages de son fondateur, Li Hongzhi, furent brûlés ainsi que d'autres documents didactiques, les centres et écoles furent fermés et les adeptes forcés de renier et de se détacher du Falun Gong, tandis qu'un mandat d'arrêt était lancé contre Li Hongzhi qui vit à New York.
Chaque aspect de la société a été mobilisé contre le Falun Gong, y compris l’appareil médiatique de l’État, les forces de police, l’armée, le système éducatif, les entreprises et le cercle familial [23]. Une entité extraconstitutionnelle, le Bureau 610, a été créée afin de « diffuser une campagne de terreur » [24]. Cela a été effectué à grande échelle à l’aide de la télévision, de la radio et de la presse écrite [25]. Les entreprises et les particuliers ont été pressés de coopérer à cette campagne activement. Les pratiquants ont ainsi été soumis à cette force de coercition dans le but de leur faire abjurer leur foi [26]. Ils sont également sujet à de fréquents rapports concernant des tortures, des emprisonnements illégaux, la soumission à des travaux forcés et des abus psychiatriques [27]. Les pratiquants de Falun Gong composent 66% des cas de tortures rapportés en Chine [28] ainsi qu’au moins la moitié de la population soumise aux travaux forcés là bas [29]. En juillet 2006, les parlementaires David Kilgour et David Matas ont présenté un rapport concernant le trafic systématique des organes des pratiquants de Falun Gong prélevés sur des sujets vivants [30].
Réactions et manifestations
La résistance des pratiquants de Falun Gong est pacifique, mais étendue, et emploie les moyens de communications modernes afin d'afficher et diffuser leur slogan Falun Gong est bon (Falun Dafa Hao !).
Les pratiquants de Falun Gong en Chine vont régulièrement sur la place Tian'anmen pour déployer des banderoles ou distribuer des dépliants informant de la persécution ou comportant leur slogan.
En mars 2002, plusieurs chaînes de télévision par câble de la ville de Changchun sont piratées et des slogans pro-Falun Gong ainsi que des informations sur la persécution sont diffusées [31]. Les autorités chinoises réagirent immédiatement [32].
En dehors de la Chine continentale, Internet permet de diffuser des informations sur la répression et Falun Gong vers la Chine continentale. La messagerie instantanée Tencent QQ est utilisée pour contacter directement des Chinois.Le journal Da Ji Yuan (en français : La Grande Epoque), dont la rédaction est composée de pratiquants du Falun Gong, est le porte parole d'une partie de la dissidence chinoise [33]. Ce journal diffuse des articles affirmant que le mouvement pour défendre les droits de l'Homme en Chine s'élargit. Selon eux, le mouvement de grèves de la faim tournante, lancé en Chine pour soutenir l'avocat Gao Zhisheng, semble confirmer la mobilisation des adeptes du Falun Gong.
Ce journal gratuit a publié en novembre 2005 un éditorial intitulé Neuf commentaires sur le Parti communiste chinois. Peu de temps après, il a ouvert une page web sur lequel les membres du PCC peuvent déclarer leur démission du Parti. Le nombre de personnes ayant enregistré leur démission sur le site dépasserait les 8 millions en février 2006.La pratique du Falun Gong
Le mouvement se définit comme :
« une ancienne pratique du corps et de l’esprit remontant à la Chine préhistorique. Elle comprend quelques mouvements lents et souples, ainsi qu’une méditation. Un aspect essentiel du Falun Gong est l’étude des principes universels de vérité, bonté et patience. »Cette pratique corporelle et la méditation doivent apporter paix et bien-être aux pratiquants. La pratique du Qi Gong connaît une certaine popularité en Occident depuis une dizaine d'années.
Nombre et organisation
Le Falun Gong a des groupes de pratique dans le monde entier. On ne peut évaluer avec certitude le nombre de pratiquants, car il n'y a pas de registres. Li Hongzhi parle de 100 millions de disciples. Selon le mouvement, il n'a pas d'organisation ni de hiérarchie, seulement certains pratiquants qui se chargeraient, sur la base du volontariat, d'assurer la permanence sur les points de pratique. Le livre Zhuan Falun mentionne le fait qu'il n'y a pas de chefs dans le Falun Gong, seulement un maître, un professeur : Li Hongzhi ShiFu (professeur-père, mot intraduisible en français) et des disciples (les élèves).
« Il n’y a qu’un Maître de la grande Loi. Peu importe quand ils ont commencé, tous sont des disciples »— Zhuan Falun[34].
Cheris Shun-ching Chan estime le nombre de disciples de Falun Gong à environ 40 millions. Pour le CEFC à Hong Kong, le mouvement est composés de structures flexibles et hiérarchisés [35]. Pour le sinologue Antoine Paoli, la cohésion de l'organisation est assuré par les différents médias diffusés par Li Hongzhi.
Selon les autorités chinoises, il y a « 2 ou 3 millions » d'adeptes. Le Parti communiste insiste sur le fait que « le Falun Gong est une organisation illégale dont la structure secrète est basée sur des centres d’enseignement. »[36].
Les principes de base
Dès le début du mouvement, Li Hongzhi a insisté sur le fait que la pratique devait être publique, libre et gratuite.
La pratique se présente comme une école de qigong (une gymnastique traditionnelle chinoise apparenté au Taiji quan), également basée sur un enseignement prônant les principes de vérité, compassion et tolérance qui affirme ne pas être une religion.
« Si vous voulez apprendre notre méthode, du moment que vous le voulez, venez et apprenez-la, nous pouvons vous l'enseigner sans vous demander un sou. »— Zhuan Falun[34]
« Mais il y a un point à relever : les temps ont changé, nous ne pratiquons plus les rituels de prosternation et de salut. Ce genre de formalités ne sert pas à grand-chose, si on le faisait, cela serait comme dans une religion, donc nous ne le faisons plus. »— Zhuan Falun[34]
Les pratiquants de Falun Gong disent qu'il s'agit d'une pratique qui exerce le corps, le cœur et l'esprit (en chinois le mot « Xin » veut à la fois dire cœur et esprit).
L'enseignement — Xiu
Les bases du Falun Gong sont dans le livre Zhuan Falun[34], dont le titre signifie faire tourner la roue de la loi. Les principes énoncés dans le livre sont simples :
- Zhen : vérité, authenticité.
- Shan : compassion, bienveillance.
- Ren : tolérance, patience, endurance.
Essentiellement, il est demandé aux pratiquants de Falun Gong de se comporter de façon honnête, de ne pas rendre coup pour coup. Il leur est également recommandé de ne pas aller à l'extrême et de faire leur possible pour élever leur Xinxing (nature du cœur et de l'esprit). Le lecteur (dans la mesure où il se considère comme un pratiquant) est incité à mettre en pratique ce qu'il a compris et à avoir du respect pour ce que les autres ont compris.
Les exercices — Lian
- 1er exercice - Le bouddha étend ses mille bras est un exercice d'étirements. Les gestes en sont simples et ont pour but de déployer et dégager tous les méridiens.
- 2e exercice - Position debout du Falun est une méditation debout. Il compte quatre postures qu'il est conseillé de garder le plus longtemps possible.
- 3e exercice - Lier les deux pôles de l'univers est un exercice où les bras montent et descendent devant le corps pour faire fusionner l'énergie de l'univers et celle du corps de l'homme, évacuer le mauvais souffle et le remplacer par l'énergie de l'univers.
- 4e exercice - La grande circulation du Falun est un exercice où les mains font le tour des faces yin et yang du corps afin de rectifier les états anormaux du corps.
- 5e exercice - Renforcer les Shentong est une méditation assise qui se pratique dans la position du Lotus ou du demi-lotus. Cet exercice se compose de mudrâs qui sont des mouvements des mains comme dans le Yoga et de positions statiques en état de méditation.
Notes et références
- ↑ Estimation officielle chinoise citée par Faison, Seth (27 avril 1999) "In Beijing: A Roar of Silent Protesters", New York Times, June 10, 2006 (en)
- ↑ (en) Jay Nordlinger, Crackdown Time :Why Beijing fears the Falun Gong, National Review, Vol. 51 Issue 18, p. 26, Sept 27, 1999.
- ↑ (en) Xinhua, "Truth on Falun Gong: Fight against pseudoscience important", Mingjing.org, accédé le 28 septembre 2007.
- ↑ (en) DANGEROUS MEDITATION. China's Campaign Against Falungong, Human Rights Watch, New York Washington London Brussels, January 2002 ; citation : « July 22: the Ministry of Civil Affairs and the Ministry of Public Security acted jointly to dissolve Falungong and its parent organization, the Falun Dafa Research Society; to ban the propagation of Falungong in any form including public practice; and to prohibit anyone from disrupting social order or confronting the government ».
- ↑ (en) Tiananmen tense after fiery protests, CNN, January 24, 2001, accessdate = 2007-02-09.
- ↑ (en) Xinhua story, The Tragedy of Falun Gong Practitioners- RESCUE: Doctors, Nurses Rush to Save Life, China.org.cn, January 31, 2001, accessed 2007-08-01.
- ↑ (en) Press Statement, Who's Behind Tiananmen Self-immolation – Serious Doubts on China's Recent "News" Report, Falun Gong, February 1, 2001, Retrieved: 11 September 11, 2007.
- ↑ (en) False Fire: China's Tragic New Standard in State Deception, New Tang Dynasty TV Digital Video Disc, 2001.
- ↑ (en) articles on the Falun Gong, Pulitzer Prize winner Ian Johnson Wall Street Journal, 2001.
- ↑ Rick Ross, [1] Cult News
- ↑ (en) Don Lattin, Falun Gong Derided as Authoritarian Sect by Anti-Cult Experts in Seattle, San Francisco Chronicle, April 29, 2000.
- ↑ (en) An Interview with Dr. Margaret Thaler Singer, Chinese Embassy in the USA.
- ↑ Le Falungong, l'ennemi à abattre sur le site UNADFI
- ↑ David Palmer, Falun Gong : la tentation du politique, 2001.
- ↑ (en) Interview with Li Hongzhi, in Time Asia, 10 mai 1999 ; citation : Li: (...) « some people have supernormal capabilities », « TIME: Have you seen human beings levitate off the ground? - Li: I have known too many », « Li: (...) since the beginning of this century, aliens have begun to invade the human mind and its ideology and culture », «Li: The aliens come from other planets. (...) Some are from dimensions that human beings have not yet discovered ».
- ↑ Amnesty International dénonce la persécution des religions non-officielles en Chine :les "organisations hérétiques".
- ↑ David Matas et David Kilgour, PRELEVEMENTS MEURTRIERS, 31 janvier 2007
- ↑ « Un rapport accuse Pékin de prélever des organes sur des adeptes de Falungong » dans Le Monde, du 06/07/2006, [lire en ligne].
- ↑ Bulletin de l'Union européenne mentionnant les violations des droits humains en Chine.
- ↑ Rapport Amnesty International Chine 2005.
- ↑ (en) RSF dénonce les atteintes à la liberté d'expression en Chine.
- ↑ Sur France soir avril 2009.
- ↑ Johnson, Ian, Wild Grass: three portraits of change in modern china, Vintage, 8 Mars 2005
- ↑ (en) Morais, Richard C., China's Fight With Falun Gong, Forbes, 9 Fevrier 2006
- ↑ (en) Leung, Beatrice (2002), 'China and Falun Gong: Party and society relations in the modern era', in Journal of Contemporary China, 11:33, 761 – 784.
- ↑ (en) Mickey Spiegel, "Dangerous Meditation: China's Campaign Against Falungong", Human Rights Watch, 2002
- ↑ (en) The crackdown on Falun Gong and other so-called heretical organizations, Amnesty International, 23 Mars 2000
- ↑ (en) Report of the Special Rapporteur on torture and other cruel, inhuman or degrading treatment or punishment: MISSION TO CHINA, Manfred Nowak, United Nations, Table 1: Victims of alleged torture, p. 13, 2006
- ↑ (en) International Religious Freedom Report 2007, US Department of State, 14 Septembre 2007.
- ↑ Matas & Kilgour, PRELEVEMENTS MEURTRIERS. Deuxième rapport concernant les allégations de prélèvement d'organes sur des pratiquants de Falun Gong en Chine, 2007.
- ↑ Religioscope - Falun Gong et télévision en Chine.
- ↑ CHINE : des membres du mouvement Fa Lun Gong dans la ville de Changchun | Amnesty International.
- ↑ Les raisons de la persécution, selon "La Grande Époque" (journal porte-parole des dissidents chinois dont FalunGong).
- ↑ a , b , c et d Le livre de Li Hongzhi, Zhuan Falun au format pdf
- ↑ Centre d'Etudes Français sur la Chine
- ↑ Ambassade de Chine en Suisse.
Bibliographie
La fièvre du qi gong : guérison, religion et politique en Chine, 1949-1999 de David A. PALMER aux éditions de l'École des Hautes Études en Sciences Sociales. Janvier 2005. Cet ouvrage qui traite de l'histoire récente du qigong a le mérite de replacer le phénomène Falun Gong dans un contexte plus large.
Liens externes
Sites officiels
Présentation et analyse du « phénomène Falun Gong »
- (fr) "La Chine au miroir du Falun Gong", Un point de vue érudit par le Centre d'études français sur la Chine contemporaine (HK)
- (fr) Falun Gong la tentation du politique Par David Palmer des hautes études politiques (spécialiste des mouvements religieux dans la Chine du 20e siècle). Présentation par l'Ecole Francaise d'Extrême Orient
- (fr) Falungong : La secte qui fait peur à Pékin, Antoine Paoli (Sinologue, spécialiste de la période contemporaine)
- (fr) Sous la gymnastique douce de Falun Gong, une doctrine dure Sur le site AntiSecte, article de Manuel Grandjean avec commentaires de Roger Gonnet.
- (fr) Le Falun Gong en Chine et en Amérique du Nord, un nouveau mouvement religieux chinois, David Ownby, in Mouvements sociaux et changements institutionnels: l'action collective à l'ère de la mondialisation Louis Guay, PUQ, 2005, ISBN 2760513416
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