Déconstructivisme (architecture)

Déconstructivisme (architecture)

Déconstructivisme

bloc d'aluminium de la façade nord du Daniel Libeskind's Imperial War Museum North.

Le déconstructivisme est un mouvement artistique, particulier à l'architecture, qui a tiré trouvé son nom dans celui du mouvement littéraire de la déconstruction dont l'universitaire Jacques Derrida fut le théoricien et la figure de proue. Son nom se réfère aussi au mouvement du Constructivisme russe des années 1920 dont il reprend certaines des inspirations formelles.

C'est un mouvement contemporain, parallèle et différent du postmodernisme, qui s'oppose comme lui à la rationalité ordonnée de l'architecture moderne, mais sur des fondements complètement différents puisqu'il assume pleinement la rupture avec l'histoire, la société, le site, les traditions techniques et figuratives.

Il revendique la philosophie postmoderne, en particulier ses idées de fragmentation et de polarité négative, qu'il associe à des processus de design non linéaire, à des thèmes comme la géométrie non-euclidienne, en poussant à l'extrême des thèmes de l'architecture moderne comme l'opposition entre structure et enveloppe, entre plancher et mur, et ainsi de suite.

Les apparences visuelles des réalisations dans ce style sont caractérisées par une imprédictabilité stimulante et un chaos contrôlé. Cependant, les critiques de la déconstruction le voient comme un exercice purement formel qui se fait au détriment de la vie sociale.

Sommaire

Pourquoi déconstruire larchitecture ?

Il semble a priori absurde, voire contradictoire, de vouloir déconstruire ce qui appartient au domaine de la construction. Les bâtiments sont considérés comme laccomplissement et laboutissement de toute une démarche de travail. Mais larchitecture déconstructiviste qui saffirme dans les années 90 a de bonnes raisons dêtre, en apparence, déraisonnable. Murs penchés, sols inclinés, poteaux de biais, fenêtres inclinées, ces édifices qui semblent avoir subi les secousses telluriques sont bien le résultat dun travail pensé de la part des architectes.

Cet article a pour but déclaircir les démarches des architectes qui ont participé au développement dune recherche sur la décomposition des espaces dans un contexte post-moderne.

En 1988 Philip Johnson et Mark Wigley organisent une exposition au musée MOMA à New York intitulée : « deconstructivist architecture ». Le public découvre la confluence du travail, depuis les années 80, des architectes : Frank Gehry, Peter Eisenman, Zaha Hadid, Rem Koolhaas, Daniel Libeskind, Coop-Himmelb(l)au, Bernard Tschumi. En effet, leur approche similaire qui se traduit par lemploi dun même registre de formes non conventionnelles et déstabilisantes, les a fait se regrouper non pas pour célébrer lémergence dun nouveau style, mais pour présenter des tendances très proches venant de différentes parties du monde occidental. Les architectes ou autres connaisseurs y découvrent une nouvelle post modernité puisant aux sources du modernisme et empruntant la géométrie des constructivistes. Cette explosion de formes reflète la liberté des virtuoses capables de faire naître des œuvres aussi fortes sur le plan plastique quintellectuel.

En quoi consiste la déconstruction

Le déconstructivisme est donc un qualificatif mis en place par les critiques dart selon certains critères bien spécifiques. Mais avant cela il faut rappeler que la déconstruction est une méthode danalyse des textes littéraires et philosophiques mis en place par le philosophe Jacques Derrida. Néanmoins, si ce terme nappartient pas uniquement à J.Derrida, il guide notre compréhension dans « 52 aphorismes pour un avant propos ».

Larchitecture a souvent été une métaphore de la philosophie , mais la déconstruction ne serait pas une architecture ni même une métaphore architecturale. Elle ne se présente pas comme un système clos, mais plutôt comme un questionnement. Elle ne conclut pas mais ouvre des portes de réflexion. Elle ne parachève pas des notions mais les analyse. Cest un commentaire interminable sur les textes, les langues et les notions de philosophie.

La déconstruction est un « texte suspendu ». Elle ne cherche pas les fondations des parties visibles de lédifice. Elle sattaque aux causes qui mènent de lorigine à la fin de façon linéaire, et ceci car elle considère que les deux cohabitent en permanence. Son travail consiste en une lecture de la fin vers lorigine et vice-versa. Ce mouvement de va et vient de la lecture devient une philosophie à lœuvre, un travail décriture qui poursuit la lecture.

La déconstruction est une critique non pas négative mais productive. « la déconstruction est inventive ou elle nest pas (…) sa démarche engage une affirmation. » . Elle veut inventer limpossible, « réinventer linvention même, une autre, inventer ce qui ne paraissait pas possible. (…) Donner lieu à lautre, laisser venir lautre. Je dis bien laisser venir car si lautre cest ce qui ne sinvente pas, linitiative ou linventivité déconstructive ne peuvent que consister à ouvrir, décloturer, déstabiliser des structures de forclusion pour laisser le passage à lautre ».

Cest donc une lecture critique des textes philosophiques que propose J.Derrida. Afin de saisir et de restituer des séquences de pensée, il a pratiqué le « montage parallèle » sur certains passages quont produits les écrivains. Deux textes sont placés cote à cote, un sur la page de gauche un autre sur la page de droite. Par ce jeu de comparaisons queffectue le lecteur il reconstitue des systèmes de pensée et relève certaines contradictions.

La déconstruction ne propose pas seulement une analyse littéraire, ce sont des textes à part entière. Lécriture de J.Derrida est redevable des recherches sur le langage de S.Freud. Celui ci faisait parler ses patients afin de trouver les indices qui révèlent les origines de leurs troubles profondément enterrés dans leur inconscient. Dans la déconstruction il a appliqué cette méthode danalyse et dinterprétation du discours aux textes philosophiques pour faire ressortir les idées réprimées, les sujets évités, qui auraient pu contredire la cohérence du discours de lauteur. Sous les arguments lisses et bien construits, il cherche dans les figures de rhétorique et les sujets évités à montrer quaucune théorie nest absolument cohérente, logique ou entière. Il sagit donc dune technique qui vise à recomposer des œuvres littéraires mais délivrées de lemprise de lauteur, selon une autre règle du jeu que celle qui les a initialement produite.

Déconstruction et architecture

La déconstruction est donc à lopposé des constructions qui supportent des systèmes philosophiques clos ou des ouvrages achevés. La déconstruction est un espace qui souvre, un état de lespace ouvert aux réflexions, aux transformations. Cest une opportunité de construire un espace « autre ». Dans les années 90 le terme déconstructivisme appliqué à larchitecture ne représente pas un mouvement ou un style et nest pas synonyme non plus de destruction ou de démolition. Par lintermédiaire de procédés de décomposition les concepteurs expriment dans leurs bâtiments les contradictions, les dilemmes ou les conflits de la ville, reflets de la société et de la culture actuelles. Ces situations complexes sont exposées à travers une recherche formelle expressive. Les formes sont pensées de façon à révéler et non dissimuler, elles ont la capacité de déranger la façon habituelle de percevoir les configurations spatiales.

Constructivisme

Les opérations de distorsion, de dislocation ou dinterruption sur les structures et la géométrie appliquées par les déconstructivistes, sont en partie des transformations utilisées auparavant dans les arts visuels de l'avant-garde russe mais détournées de leur contexte dorigine. Avant la révolution de 1917 en Russie, les formes créées par les artistes constructivistes ne proviennent plus dune composition classique ordonnée mais dune géométrie instable et conflictuelle sans axe de hiérarchie. Après cette date lavant garde russe rejette les beaux arts traditionnels pour accueillir larchitecture en tant que médium directement plongé dans la réalité sociale. Celle ci peut en effet être utilisée pour soutenir des buts révolutionnaires car elle est en contact permanent avec la population. Le dynamisme inhérent aux études formelles est tourné en instabilité dans les structures de V.Tatlin (contre-reliefs, tour de la 3e Internationale, 1919), A.Rodchenko (dessin pour une station radio, 1920) ou I.Chernikhov (construction de formes architecturales et de machine, 1930). Mais ces structures ne furent pas réalisées et les formes en conflit ont glissé vers des assemblages mécaniques plus sûrs, similaires à ceux des machines. Les affiches dEl Lissitzky (Tribune de Lenine, 1920) et Altman posent les bases dune nouvelle culture visuelle. Le vocabulaire abstrait des formes et leur mise en espace grâce au collage ou les plans découpés et réunis des sculptures de N.Gabo sont autant de tentatives pour lutter contre les volumes pleins statiques au profit de la profondeur et dune dynamique au rythme cinétique.

Le mouvement et linteraction entre les formes, la menace de linstabilité, les volumes évidés de leur masse, ainsi que le montage permettant de révéler la complexité et la diversité que lartiste peut reconstruire, sont des thèmes intrinsèques au constructivisme. Ils seront réutilisés comme des outils de travail conceptuels dans larchitecture déconstructiviste. Ils lui procurent la force et le plaisir de la déviance qui permettent à la créativité douvrir un système clos et immuable.

Modernisme

Le mouvement moderne qui se développait au même moment a détourné par son influence lesprit des projets révolutionnaires. Ce nouveau courant était fasciné par lesthétique élégante du fonctionnalisme et non par la dynamique complexe de la fonction elle-même comme le revendiquait lavant-garde russe. Les formes et thèmes du modernisme inspirent volontairement larchitecture déconstructiviste : bâtiments industriels semblables à des machines, registre formel abstrait, refus de lornement, vocabulaire structural (porte à faux, poteaux, plan libre, fenêtres horizontales).

La volonté de laisser apparaître les éléments de construction est reprise de manière à explorer lespace de façon séquentielle, comme le démontre la toiture de Coop Himmelblau (Vienne, 1985). Le vocabulaire structural est aussi utilisé de telle façon quil génère des espaces interstitiels. Ces espaces non programmés pour une fonction précise sont ouverts aux usages fluctuants. On peut voir à ce sujet le projet de logements et la tour dobservation de Rem Koolhaas dont le statut de la dalle, d sont issues les tours, est remis en question (Rotterdam, 1982). Dans des projets de grande échelle, le territoire est fragmenté de façon à questionner les notions de traces, de patrimoine ou de mémoire.

La circulation, le parcours, le passage et les réseaux sont autant de forces qui organisent les projets au moyen descaliers,de passerelles et autres supports du mouvement. La scénographie qui en découle est parfois dramatisée pour mieux faire saisir linstabilité inhérente due aux changements de notre époque. Les nombreux chemins mis en place par B.Tschumi au Parc de la Villette ou la traversée des couches programmatiques de Rem Koolhaas pour ce même concours, illustrent une volonté de multiplier les points de vue sur lespace à grande échelle. Au lieu dun point de vue unique avec une perspective cadrée, les foyers sont répartis afin que le spectateur se déplace dans toutes les dimensions de son sujet dobservation. Ce procédé avait été largement exploré par les artistes cubistes qui organisaient leur toile afin de faire apparaître les diverses faces dun objet sous différents angles.

Application à léchelle urbaine.

Les villes artificielles de P. Eisenman.

Dans quatre projets, Cannaregio, Berlin, Long Beach et La Villette, P.Eisenman met en place des processus de décomposition. Ce sont de véritables outils qui opèrent dans le sol et permettent de manier les significations relatives aux concepts de la ville. Véritable opération structuraliste comme la décrit R.Barthes : découpage et agencement. Les représentations quil utilise sont directement liées à la notion de contexte. Contexte géographique, historique ou discursif. Les dessins sont basés sur une lecture géométrique du lieu, souvent à partir de cartes.

  • 1978.Cannaregio est une critique de lurbanisme moderne, représenté par lhôpital de Venise de Le Corbusier.
  • Opérations de calquage et dexcavation, 1984.Berlin est une critique du traitement postmoderne des centres historiques et essentiellement des traces archéologiques souterraines.
  • Opération de stratification pour une architecture artificielle,1986.Long Beach est la critique de la tradition classique dans laquelle il décèle trois mythes: histoire (ce qui est intemporel), représentation (question de la signification) et raison (le vrai universel).
  • Opération de scaling, sans origine, sans fin, arbitraire (sans signification volontaire), 1988.La Villette est la synthèse de ces 14 années de travail.

Si on met de côté les deux méthodes plus traditionnelles de calquage et de stratification, on peut sarrêter sur les deux autres et voir ce quelles impliquent.

Le scaling

Il est le résultat de la superposition, du changement déchelle, de la rotation et de la fragmentation appliquée à une carte. La nouvelle figure ne peut pas se lire en sens inverse pour retrouver lorigine. Cela est directement adressé à lhistoire perçue comme un déroulement linéaire avec ses débuts et ses fins. Cette complexification du déchiffrage rend conscient de la multitude dinterprétations possibles des lectures du passé et de leur subjectivité, voire de leur arbitraire encouragé par une idéologie. Cette opération est directement tirée de la linguistique synchronique qui analyse les phénomènes non pas dans leurs rapports de manière chronologique mais comme des ensembles structurés à un moment donné. Dans le processus de décomposition, la conception et la perception ne sont pas successifs: « Il nest pas certain que lobjet final soit la description de sa propre histoire. (…) La décomposition plutôt que de travailler vers un but précis commence par la fin pour trouver ses propres limites

Lexcavation

Elle permet dabord à P.Eisenman daccrocher son bâtiment à un site réel ou fictif. Aussi, le creusement permet de remettre en question lopération dextrusion car elle peut être présentée comme son opération inverse. Laxonométrie prend alors une dimension nouvelle car elle garde son aspect de dessin sans limite issu du plan et propose dans ce cas un vide plutôt quun plein. En prenant lexemple des « red standing stones », A.Vidler présente ces vides dabord comme des tombes et des monuments de sa série de maisons effectuées auparavant, un mémorial de ses expérimentations précédentes. Au-delà de cette interprétation il propose que ces vides ne contiennent non pas une symbolique pas plus quun usage, mais ils renferment la marque dune existence posthume de ce qui, autrefois, a symbolisé ou été occupé. Dans ce contexte, ces vides sont les traces de monuments ou autres édifices qui avaient une forte symbolique.

La problématique représentée à la Renaissance par deux sculptures à la villa dEste en Italie, se pose à nouveau: larchitecture est elle issue du vide créé par extraction dans le plein ou est elle une invention matérialisée par le plein dans le vide? Lexcavation est laction de creuser, de retirer pour trouver ce qui a été enfoui ou oublié. Aussi, le résultat en est quun espace a été créé, pour lhabiter physiquement ou par limagination. Enfin, en jouant avec le sol dans son épaisseur P.Eisenman apporte une sensibilité de la matière et de lespace concret, assez rare dans son travail théorique. Comme dans le Wexner Center, il est confronté à la notion dexpérience de lespace et placera lhomme en mouvement dans les trois dimensions. Il nest plus au centre mais est toujours présent physiquement.

Il fait appel à la notion de palimpseste (manuscrit sur parchemin dont on a fait disparaître lécriture pour écrire de nouveau) pour remettre en question limaginaire historique et rappeler la subjectivité du choix et de lordre des événements dans le temps!

« Mes projets ont créé ce quon peut appeler une superposition, soit lexistence simultanée de deux ou trois couches formelles et historiques produisant un autre état des lieux, entièrement artificiel-un hyper-état de base, nayant rien à voir avec ce qui antérieurement se trouvait sur le site , ou pouvait sy trouver, mais nexistant que dans la juxtaposition »

Architectes déconstructivistes

Quelques architectes connus, qu'on peut associer à ce mouvement esthétique, dont :

Cet article fait partie

de la série sur
l'Architecture moderne.

École de Chicago
Art nouveau
Architecture futuriste
Architecture constructiviste
Mouvement moderne
Architecture fonctionnaliste
De Stijl
Architecture expressionniste
Nouvelle Objectivité
Style international
Brutalisme
Mouvement high-tech
Postmodernisme
Déconstructivisme
Blob architecture
Sujets en rapport
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Conclusion

Les projets déconstructivistes en architecture peuvent donc être rapprochés du travail de la déconstruction en littérature mais dans un sens complémentaire plutôt que parallèle. Ils ont leurs méthodes propres mais tous deux explorent dans leur discipline respective des aspects oubliés ou volontairement tus. Les projets ne sont pas une application de la théorie de la déconstruction en littérature, ils expriment plutôt des qualités déconstructivistes dans un contexte émergeant de la tradition moderne. Les architectes abordent les questionnements des origines de larchitecture, la légitimité des formes, la reformulation des concepts. Par leur recherche ils ouvrent de nouveaux chemins à la création, ils libèrent les espaces de la suffisance stérile et de limmobilisme stylistique.

Les projets déconstructivistes ne classent pas définitivement les architectes qui les ont conçus dans une catégorie stylistique. Ils marquent plutôt une époque pour rappeler que ces concepteurs ont participé à un travail commun sur larchitecture en gardant distinctement leur langage architectural.

Ces projets ont la capacité de déranger notre façon de penser les formes et leurs fonctions. Pour prendre un élément courant dans le vocabulaire architectural : le mur, sa disposition et ses différentes formes remettent en question la division des espaces intérieurs et extérieurs. La géométrie savère être plus complexe et la notion de protection ou de cloisonnement que procurent une pièce ou un ensemble bâti en est dérangée. La fermeture nest pas simplement remplacée par louverture du plan libre moderne, mais le mur est mis en tension, déchiré, plié. Il ne procure plus la sensation de sécurité en partageant le familier de létranger ou lintérieur de lextérieur mais toute la notion de clôture ou denceinte est décomposée. Ce processus de subversion, au-delà de toute idéologie ou folie de ses créateurs, démontre les multiples possibilités de combinaison du vocabulaire architectural trop souvent cristallisé dans larchitecture traditionnelle.

Voir aussi

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