- Cœur (anthropologie)
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Dans avant l’ère chrétienne la nature émotive et en même temps la nature mentale de l'homme est attribué au cœur., s'effectue une séparation graduelle de cette idée d'une unité: le cerveau de l'homme devient le point central et le vif des fonctions mentales. Aux derniers temps au cours des innovations sur la matière des recherches neurobiologiques surtout on réfléchit dans la recherche d'émotion sur une co-action des fonctions corporelles (de l'organisme) et de fonctions mentales (du cerveau).
Sommaire
Avant l’ère chrétienne
Avec la naissance d'une fixation écrite par l'écriture cunéiforme et des Hiéroglyphes vers de 3000 ans devant le Christ, du tac au tac transférera les valeurs décisives et formés des sociétés organisées à la forme de mémoire rappelante. Lors de la révélation de cet ordre de valeur des choses dans l'action divine par le texte fixé écrit et son interprétation, une forme de profondeur des sentiments remue place visiblement au centre de dialogue avec la nature divine. Le mot akkadien „libbu“ est valable comme un premier certificat pour cette utilisation de profondeur des sentiments: celui paraphrase l’idée de l’intérieur et en quelque sorte l'organe de la vitalité[1].
L'intérieur d'un homme „renferme un oracle du dieu dans un chacun“, annonce un contemporain de Thoutmôsis III 1000 ans après aux premiers documents d'écriture. Et comme un organe de ce dialogue intérieur l'auteur nomme „le cœur d'un homme qui est son dieu personnel.“ „Jeba“, le mot égyptien pour cette idée de cœur, est car aussi pensé comme un vis-à-vis[2]. Dans ce vis-à-vis, quasi un alter ego[3], sont établis car non seulement les émotions, mais encore les vertus d'entendement. Dans l'Ancien Testament „leb“, le mot hébraïque pour cœur, est le centre: équipé avec des aspects spirituels et mentaux, celui qu'utilisé leurs organes de sens - l'œil et l'oreille - pour pouvoir percevoir l'ordre de valeur des choses[4].
Effets du désenchantement du monde
Ce fil de profondeur des sentiments devient refilé jusqu’à avec les mystiques chrétiens, juifs, islamiques et de l'est: vers du changement de millénaire d’ère après Jésus-Christ Al-Ghazali parle d'intérieur qu'il cite une âme, l'esprit et le cœur: „L'intérieur est ta nature vraie.“ [5]
Pour cela René Descartes met le pôle opposé rationaliste au cours de siècle des lumières, en expliquant les expériences des émotions dans le site de cœur comme „projection illusionistique“[6]. Donc Antonio Damasio, quelqu’un des représentants principales au domaine neurobiologiques de la recherche d'émotion, commence une réconciliation qui vise désormais à la théorie holistique: „Il sentir d'une émotion à faire plutôt avec le corps“, Damasio explique, „et évidemment une pensée raisonnable n’est pas possible sans l'influence de l'émotion.“ Damasio se trait à une citation de Blaise Pascal, qui ont annoté que le cœur comme organisme a des intelligences, de dont la raison ne sait rien: „L'organisme a quelques intelligences, de dont la raison doit faire usage.“ [7]
Sources
- Akkadian Dictionary
- ISBN 978-3860430538 Herz. Das menschliche Herz, Dokumentation der Ausstellung im Deutschen Hygiene-Museum Dresden, 1996 p. 13/35
- ISBN 3727805676 Hellmut Brunner, Das hörende Herz: Kleine Schriften zur Religions- und Geistesgeschichte Ägyptens (Relié), 2002
- ISBN 978-3417252422 Kommentar zum AT, darin: Der Begriff des Herzens im AT, 2002 p. 800
- ISBN 0900860715 Al-Ghazali, The Alchemy of Happiness, 1959/1991 p. 85
- Herz. Das menschliche Herz, p. 41
- ISBN 2738109209 Antonio R. Damasio, L'Erreur de Descartes, 2000
Bibliographie
- Jan Assmann, La Culture Memorielle, 2006 (ISBN 2-70072-361-9)
- Antonio R. Damasio, Le Sentiment même de soi : Corps, émotion, conscience, 1999 (ISBN 2-73810-738-9)
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