Vague belge

Vague belge

Vague belge d'ovnis

Photographie d'un ovni prétendument réalisée le 15 juin 1990 en Belgique.

La vague belge d'ovnis est une période de 1989 à 1991, considérée comme la plus importante d'Europe, pendant laquelle a eu lieu un nombre anormalement élevé de témoignages d'observations d'OVNIs. La Société belge d'étude des phénomènes spatiaux (SOBEPS) affirme avoir collecté plus de 2 000 témoignages durant cette période. Le nombre d'observations supposé peut être plus important car il est possible qu'il y ait des témoins qui n'ont pas pris la peine de signaler leur observation à la SOBEPS ou aux autorités.

Sommaire

Les témoignages

Les particuliers

Selon la SOBEPS, la majorité des témoignages décrivent un engin volant de forme globalement triangulaire avec, sur sa surface inférieure, 3 grands phares d'environ un mètre de diamètre à proximité des angles et, en son centre, une lumière orange en rotation semblable à un gyrophare. Toujours selon la SOBEPS, d'autres formes ont été aussi décrites, dont des rectangles ou losanges de très grandes dimensions. D'après ces témoignages, les ovnis se seraient déplacés en général la pointe en avant et très lentement (moins de 40 km/h). Plusieurs observations décriraient l'objet comme volant à très basse altitude (moins de 20 m). En général, aucun son n'aurait été perceptible, ou alors un léger bourdonnement semblable à celui d'un transformateur électrique, et aucun mouvement d'air n'aurait été perceptible. Très peu de témoignages feraient état d'effets physiques perceptibles sur eux-mêmes ou sur l'environnement et les appareils électriques (télévisions, radios, lampes, moteurs, ...). Quelques rares témoignages feraient état d'accélérations fulgurantes, d'un déplacement base en avant, ou d'une position verticale base vers le bas en rotation sur lui-même, ou encore d'un déplacement à basse altitude et très lente en présence d'un vent très violent sans que cela perturbât en aucune façon le déplacement de l'ovni.

La SOBEPS affirme qu'elle a enregistré 143 observations pour le tout début (29/11/89) de la vague. Ces observations auraient permis de reconstituer le parcours supposé d'un prétendu ovni sur la région d'Eupen grâce aux informations sur l'heure et le lieu des observations. D'autres augmentations brutales du nombre d'observations auraient été constatées.

Dans cette situation tout à fait exceptionnelle et unique en ufologie, le professeur Auguste Meessen, de la SOBEPS, a pris l'initiative d'entrer en contact avec les autorités civiles et militaires pour pouvoir étudier les données des radars. Aucune corrélation entre les observations et les échos non identifiés n'a été décelée. Cette étude a néanmoins eu le bénéfice d'élucider l'origine de multiples échos non identifiés présents dans les données radars. Cependant, selon le professeur Meessen, 2 traces radars non identifiées détectées résisteraient encore à toute explication.

L'enquête de la Force aérienne belge

Le rapport de synthèse sur les circonstances des observations de la vague belge pour la période du 30 au 31 mars 1990 mentionne :

« L'Air Force BELGE est incapable d'identifier ni la nature ni l'origine des phénomènes. Cependant, il y a des éléments suffisants pour exclure certaines explications possibles :
  1. Ballons. Impossible du fait des vitesses extrêmement variables (confirmées visuellement et par radar).
  2. ULM. Mêmes impossibilités que pour les ballons.
  3. RPV. Impossible du fait des observations de vols stationnaires.
  4. Avion (incluant avion invisible). Impossible, comme pour RPV. Aucun son.
  5. Projections Laser ou mirages. Improbable du fait du manque de surface de projection (aucun nuage). Des points lumineux ont été observés depuis plusieurs endroits distants. Les points lumineux ont parcouru des distances supérieures à 15 miles nautiques. Les formes éclairées par les points lumineux ont été observées avec des lunettes spéciales. Les projections Laser et les mirages ne peuvent être observés au radar. »

— W. De Brouwer, http://www.ufologie.net/htm/belrap02f.htm

La photo de Petit-Rechain

Article détaillé : photo de Petit-Rechain.

De toutes les données collectées par la SOBEPS, il faut mentionner en particulier la photo de Petit-Rechain qui est une donnée instrumentale ayant fait l'objet d'une analyse scientifique approfondie. Le professeur Meessen a publié deux articles faisant état des résultats de ces analyses [1],[2]. Ces études concluent que:

  • les traînées lumineuses ne correspondent pas à des mouvements de sources de lumière solidaires.
  • les traînées lumineuses sont le fait de lumière dans le spectre ultra-violet et donc non visible.

Les arguments en faveur de la crédibilité de la photo et du témoignage sont les suivants :

  • À ce qu'on sache, le témoin ne tire aucun bénéfice direct de la photo. Les droits d'exploitation sont partagés par la SOBEPS et le photographe à qui le témoin a donné la diapositive. La photo ne peut être reproduite sur le web ou ailleurs sans leur autorisation. La photo a été rendue publique bien après qu'elle a été prise, car le témoin n'avait pas vu à l'époque qu'une ombre triangulaire était visible. C'est un photographe à qui le témoin a parlé de ses photos qui l'a détecté et, après avoir obtenu du témoin les droits d'exploitation, en a averti la SOBEPS. Il y avait deux diapositives, mais la témoin n'en a retrouvé qu'une.
  • Le témoin fait état de grands phares ronds d'un blanc homogène alors que la photo fait apparaitre à la place des trainées lumineuses. Cette contradiction évidente entre le récit et la preuve matérielle, dont le témoin a parfaitement conscience, n'est pas compatible avec le comportement d'un faussaire qui veillera à présenter un récit cohérent avec les preuves matérielles qu'il fourni lui même.
  • Comme il a été supposé par toutes les personnes ayant tenté de produire un faux semblable, les trainées lumineuses semblent résulter d'un flou de bouger. C'est sans doute aussi ce qu'un faussaire aurait tenté de produire car c'est plus facile a réaliser que trois trainées indépendantes. Il a cependant été démontré par plusieurs experts indépendant que ce n'est pas le cas.
  • Si la photo est un faux, personne à ce jour n'a été en mesure de décrire et reproduire la méthode utilisée pour la réaliser malgré les nombreuses tentatives pour y parvenir.
  • Les études scientifiques approfondies de la photo ont mis en évidence que les trainées lumineuses apparaissant sur la photo ont été produites par de l'UV. Il est difficilement concevable qu'un faussaire aura poussé le vice de la contrefaçon jusqu'à simuler l'effet de lumière UV sur la diapositive. De plus c'est une subtilité que seuls des experts réalisant une étude très approfondie sont en mesure de détecter.
  • La discordance entre le récit et la preuve matérielle disparait puisque l'UV ayant généré les trainées apparaissant sur la photo est invisible à l'oeil nu. Cette logique interne, contre intuitive, apparaissant en première lecture comme une contradiction ou incohérence, renforce finalement la crédibilité de la photo.
  • Le témoin n'a entendu aucun son caractéristique ou reconnu un système de propulsion conventionnel alors que l'objet était immobile à très faible hauteur au dessus de lui. Si l'objet photographié est bien réel, matériel et lourd, puisqu'il doit transporter les grands phares et la source d'énergie pour les alimenter, il devait forcément disposer d'un système de propulsion capable de le maintenir en l'air. Or, un système de propulsion EM agissant sur un plasma entourant l'engin peut rendre compte du silence et de la présence d'UV. Par ailleurs, de nombreux indices physiques évoqués dans les observations d'ovnis semblent indiquer qu'ils exploitent la force EM agissant sur l'air ionisé les entourant pour se propulser[3]. Cependant, si un tel système de propulsion est concevable théoriquement, il n'existe pas le moindre indice (connu à ce jour) que l'homme maitrise cette capacité.

Si on peut considérer le témoignage et la photo comme très crédible, il n'en reste pas moins que la nature exacte et l'origine de ce qui a été observé et photographié sont à ce jour totalement indéterminées. Aucun objet volant conventionnel ne correspond à ce qui a été décrit et photographié. Il s'agit donc bien d'un objet volant non identifié, où le mot objet est à comprendre au sens large car il n'a pas été démontré que l'ombre est produite par une masse solide et matérielle. Toute allusion à une origine extraterrestre, que se soit pour la rejeter ou la valider, est, dans l'état des connaissances, une prise de position hasardeuse.

Arguments contre l'explication par des « vaisseaux spatiaux extraterrestres »

Les arguments à l'encontre de l'apparition d'un phénomène de type « vaisseau spatial » sont de deux types[4].

Le premier consiste à tenter d'expliquer la Vague belge d'ovnis dans le cadre du modèle sociopsychologique du phénomène ovni, phénomènes déjà observés lors d'autres « observations » comparables (section 1).

Le deuxième consiste à montrer que la Société belge d'étude des phénomènes spatiaux (SOBEPS) n'a pas aussi bien travaillé qu'elle le prétend dans ses publications (Section 2).

L'un ne va pas sans l'autre, car on se rend vite compte que la Société belge d'étude des phénomènes spatiaux a joué un rôle non négligeable dans l'information biaisée (par leur croyance préexistante à la vague dans l'hypothèse extraterrestre) que les médias ont eu sur la Vague, et par là sur sa propagation.

Enfin (section 3), nous reviendrons brièvement sur l'hypothèse des avions furtifs F-117, considérée aujourd'hui par la majorité des auteurs comme hautement improbable.

L'explication sociopsychologique

Philip J. Klass a proposé une règle explicative générale des vagues d'ovnis: « Lorsque la couverture médiatique conduit le public à croire qu'il y a des ovnis dans les environs, il y a de nombreux objets naturels ou artificiels qui, particulièrement lorsqu'ils sont vus la nuit, peuvent prendre des caractéristiques inhabituelles dans l'esprit d'un observateur plein d'espoir. Leurs observations d'ovnis s'ajoutent en retour à l'excitation de masse, ce qui encourage encore plus de témoins à chercher à voir des ovnis. Cette situation se nourrit d'elle-même jusqu'à ce que les médias perdent leur intérêt pour le sujet, et alors le phénomène retombe. »[5]. Jean-Michel Abrassart[6] analyse par exemple la Vague belge en suivant ce schéma explicatif.

La thèse sociopsychologique explique le phénomène par des méprises ou des fabulations d'origines diverses, rend compte des incohérences des témoignages. Cette thèse explique par exemple le prétendu parcours d'un prétendu ovni durant la première soirée d'observation de la vague belge (29/11/89)

Avant la Vague Belge, les témoins d'ovni voyaient principalement des soucoupes volantes. Or, durant la Vague, les témoins ont principalements décrits des objets triangulaires. Il s'agit d'un exemple d'incohérence du phénomène ovni au cours des décennies, qui évolue en fonction des modes : un ouvrage posthume de Renaud Leclet (qui était membre CNEGU) devrait être publié prochainement par le SCEAU, défendant l'hypothèse que la Vague belge se compose principalement de méprises complexes avec des hélicoptères et des avions. Certains auteurs considèrent au contraire que le comportement des ovnis tel qu'il a été décrit par des témoins permet d'exclure la possibilité qu'il s'agissait d'avions ou d'hélicoptères. Cependant, il ne faut pas oublier que le manque de fiabilité dans le témoignage humain génère des altérations dans les descriptions des objets réellements perçus (ce que Bertrand Méheust a surnommé la soucoupisation du stimulus perçu).

La cohérence du « phénomène ovni » des phénomènes décrits par les témoins peut s'expliquer par ce phénomène de « soucoupisation ». Par exemple les faisceaux lumineux tronqués, la rotation des boussoles, la combustion des racines dans le sol, les mouvements anormaux des végétaux à proximité de l'ovni, les oscillations des fils électriques à proximité d'ovni, l'arrêt temporaire des voitures à proximité des ovnis, l'oscillation de l'aiguille du tachymètre des voitures, les modifications diverses de la surface de l'eau sous l'ovni[7], etc., sont des phénomènes auxquels nous sommes tous familiarisés depuis l'enfance par nos lectures ou les films que nous voyons.

Un des principaux critiques des travaux de la Société belge d'étude des phénomènes spatiaux est Marc Hallet. Il a publié un ouvrage sceptique sur la Vague Belge: La Vague OVNI Belge ou le triomphe de la désinformation[8]. Dans cet ouvrage, il pointe les nombreuses erreurs, inexactitudes et raisonnement fallacieux de la première publication de la SOBEPS, Vague d'OVNI sur la Belgique[9]. Comme le titre l'indique, Marc Hallet tente de démontrer que la Vague Belge est en grande partie le fruit de la campagne d'informations biaisées réalisée par la Société belge d'étude des phénomènes spatiaux. Il a par la suite publié d'autres articles sur le sujet.[10].

Hallet, qui est un principaux contradicteurs des ufologues, montre dans son dernier livre la corrélation apparente dans les descriptions ufologiques et les récits de science fiction. Dans cet ouvrage, Hallet suggère que les causes sont les récits de science-fiction et non l'inverse : l'idée que certains témoins de phénomènes fortéens aient une personnalité encline à la fantaisie, comme le suggère Jean-Michel Abrassart, s'applique fort bien au phénomène ovni.

Wim Van Utrecht a pour sa part particulièrement travaillé sur la Photo de Petit-Rechain.

On remarque que sur cette photo il n'y a aucun élément de décor (l'objet est sur un fond totalement noir) permettant d'estimer la taille réelle de l'objet photographié, ni de confirmer le récit du témoin (le lieu et l'heure où il prétend l'avoir prise). Wim Van Utrecht a reproduit la Photo de Petit-Rechain avec des moyens mécaniques. Il y a un consensus pour dire que la photo n'a pas été truquée de manière informatique ou par surrimpression, mais ça ne veut pas dire que l'objet photographié est bel et bien un vaisseau spatial extraterrestre, ni même un objet très grand volant dans le ciel... Certains sceptiques ont aussi souligné des incohérences entre le cliché et le récit du témoin. De plus, l'identité du témoin reste inconnue des scientifiques, ce qui rend une contre-expertise très difficile.

La plaquette de Renaud Leclet[11] avance que certains cas pourraient s'expliquer par des hélicoptères, hypothèse qui a été négligée par les enquêteurs de la SOBEPS.

Critique de la méthode de travail de la SOBEPS

Les ufologues admettent que l'explication sociopsychologique pourrait expliquer la contagion mais estiment qu'elle n'explique pas la naissance de la vague. Selon eux, le premier soir de la vague, c’est-à-dire le 29/11/89, 143 observations ont été rapportées alors qu'aucune information n'était diffusée dans les médias.

Mais l'on ne sait pas quand exactement ces témoignages ont été donnés à la SOBEPS. La nuit de la "Vague", avant la médiatisation du témoignage des policiers d'Eupen par les médias belges, ou après celui-ci.

Est-ce que effectivement ces 143 témoins ont téléphoné à la SOBEPS ce soir-là même, ce qui veut dire qu'ils avaient tous le numéro de téléphone de la SOBEPS sous la main (ce qui semble peu plausible) ? D'ailleurs pourquoi les soi-disant témoins auraient-ils averti cette organisation, quasi inconnue, plutôt que les autorités (police, gendarmerie ou autre) ?

Ou bien ont-ils contacté la SOBEPS après la médiatisation du témoignage des policiers d'Eupen, en faisant un témoignage rétroactif ?

Malheureusement, aucun rapport de la SOBEPS sur cette affaire n'indique quand ces « témoignages » ont été communiqués au bureau de la SOBEPS, ce qui laisse la place au doute sur leur absolue indépendance.

Ce problème a été soulevé par Marc Hallet dans son ouvrage La Vague OVNI Belge ou le triomphe de la désinformation[8], ainsi que plus récemment par Jean-Michel Abrassart. Dans son article intitulé Des ovnis se sont-ils emparés de la Belgique?[12], Jean-Michel Abrassart discute plus spécifiquement du 29 novembre 1989, date du démarrage de la Vague belge d'ovnis, et particulièrement du fait que soit-disant 143 témoignages auraient eu lieu cette unique nuit, ce qui invaliderait le modèle sociopsychologique du phénomène ovni dans ce cas précis. Il explique que comme ces témoignages ont en réalité été récoltés par la Société belge d'étude des phénomènes spatiaux après la médiatisation de celui des policiers d'Eupen (ce qui est bien évidemment le cas jusqu'à preuve du contraire), il est légitime de penser qu'un effet de suggestion a pu jouer à plein, ce qui rend les phénomènes prétendument observés durant cette soirée pleinement compatibles avec l'explication de la vague par une contagion psychosociale, contrairement à ce que prétend la Société belge d'étude des phénomènes spatiaux.

Critique du magazine Science & Vie

Un F-117, avion furtif de combat.

Le F-117A a été proposé à l'époque par Bernard Thouanel dans le magazine Science & Vie pour expliquer la vague belge d'ovnis. Néanmoins, le gouvernement américain a démenti avoir testé le F-117A à l'époque en Belgique. La thèse reste cependant plausible, particulièrement pour le début de la vague (on pourrait en effet envisager un survol depuis l'Allemagne vers l'Angleterre en préparation de la guerre du golfe de 1990-1991), mais non prouvée tant que le gouvernement américain n'affirmera pas qu'il y avait effectivement des F-117A en Belgique à cette époque. Les sceptiques privilégient en 2009 l'hypothèse d'une contagion psychosociale (basée sur des observations d'hélicoptères et d'avions) à celle du F-117A, jusqu'à une éventuelle preuve du contraire.

Article principal : Arme volante non-identifiée.

Liens externes

Liens internes

Notes et références

  1. Analyse et implications physiques
  2. Compléments à l'analyse de deux photos
  3. Propulsion Électromagnétique Pulsée
  4. Pour une présentation sceptique générale de la Vague belge, voir Van Utrecht, W (1997), « The Belgian 1989-1990 UFO wave », in UFO 1947-1997 edited by Hilary Evans and Dennis Stacy, John Brown Publ.: London; ainsi que Van Utrecht, W (1992), « Triangles over Belgium – A case of Uforia ? », Privately printed: Antwerpen.
  5. Klass, P. (1986). UFOs : The public deceived. New York: Prometheus Books, p. 304.
  6. Voir à ce sujet: Abrassart, J.-M. (2006). « La personnalité encline à la fantaisie et son implication en ufologie ». Inforespace, n°112, p. 27-36.
  7. Physical Influences of a UFO on Water
  8. a  et b Hallet, M. (1992). La Vague OVNI Belge ou le triomphe de la désinformation. Liège : Chez L’auteur.
  9. SOBEPS (1991). Vague d’OVNI sur la Belgique. Bruxelles : SOBEPS.
  10. Voir par exemple: Hallet, M. (1997). « La prétendue Vague d’OVNI belge… ». Revue Française de Parapsychologie, vol. 1, n°1, p. 5-23.
  11. Leclet, Renaud (2008). « Vague belge : une hypothèse oubliée », Comité Nord Est des Groupes Ufologiques (CNEGU). [lire en ligne] [pdf]
  12. Abrassart, J.-M. (2007). "Des ovnis se sont-ils emparés de la Belgique?" Science-Fiction Magazine, n°52, p. 38-40
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