- Syberia (Nintendo DS)
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Syberia
Syberia Éditeur PC
Nintendo DS
EUR Microïds
AN The Adventure Company
PlayStation 2
EUR Microïds
Xbox
EUR Microïds
AN XS Games
EUR Microïds
AN DreamCatcher InteractiveDéveloppeur Microïds
Nintendo DS
Tetraedge GamesConcepteur Benoît Sokal Date de sortie PC
Nintendo DS
FR 28 mai 2002[1]
EUR 9 août 2002[2]
AN 15 septembre 2002[2]
PlayStation 2
EUR 28 mars 2003[3]
FR 28 novembre 2003[4]
Xbox
AN 28 juillet 2003[5]
FR 28 novembre 2003[6]
FR 7 novembre 2008[7]
AN 25 novembre 2008[8]Genre Aventure en pointer-et-cliquer Mode de jeu Solo uniquement Plate-forme PC (Windows), PlayStation 2, Xbox Média 2 CD-ROM (PC), 1 DVD-ROM (consoles) Langue Multilingue Contrôle Souris (PC), Manette (consoles) Évaluation PEGI : 3 ans et plus[1]
ESRB : Teen (13+)[2]Configuration minimum Système d'exploitation {{{os}}} Processeur Pentium II 400 Mhz Mémoire vive 64 Mo de RAM Carte graphique Carte 3D Disque dur Syberia est un jeu vidéo d'aventure en pointer-et-cliquer réalisé par Benoît Sokal. Développé et édité par Microïds, il est sorti en 2002 sur PC.
Le jeu a par la suite été porté sur PlayStation 2 et Xbox en 2003.
Syberia a connu une suite dénommée simplement Syberia II, sortie en 2004.
Sommaire
Synopsis
Kate Walker est une avocate new-yorkaise, dépêchée par ses patrons à Valadilène, un village français des Alpes, pour racheter une vieille usine d'automates. À son arrivée, Kate apprend le décès de la propriétaire Anna Voralberg. Simplement, elle apprend l'existence possible d'un héritier, Hans. Mais les habitants de Valadilène le pensent mort. Kate en recherchant un peu finira par prouver son existence grâce à des cylindres à musique, et partira sur ses traces, à bord d'un train piloté par un automate : Oscar. Elle finira par découvrir le but du périple de Hans : la Sibérie. Hans veut y faire des recherches scientifiques sur les mammouths afin de prouver l'existence des derniers mammouths sur une île de légende, Sybéria…
Kate passera par une multitude d'endroits sur son périple vers l'est, comme dans Barrockstadt, une ville-université majestueuse, la cité industrielle de Komkolzgrad ou encore la station thermale d'Aralbad. Elle rencontrera une foule de personnages : un cosmonaute ivre et désabusé, une ancienne cantatrice, une professeur d'université…
Gameplay
Le jeu reprend les principes du pointer-et-cliquer cher à LucasArts, dont le fait qu'il soit impossible de mourir ou d'être coincé à cause d'une action précédemment effectuée (ou non). Certains fans du jeu comparent ce type de jeu à une sorte de film ou de livre.
Des clins d'oeil à l'Amerzone
Vers le milieu de l'aventure, Benoît Sokal, créateur du jeu, a fait plusieurs références à son précédent jeu vidéo L'Amerzone. À son arrivée à l'université de Barrockstadt, Kate Walker rencontre un étrange chef de gare. Celui-ci, qui doit par ailleurs veiller sur des oiseaux rares de la réserve de l'université, raconte qu'une fois, un explorateur est venu à Barrockstadt avec des coucous d'Amerzone. Il ajoute ensuite qu'il déteste ces coucous qui ont la désagréable pratique de pondre leurs œufs dans le nid d'autres oiseaux après avoir supprimé les œufs déjà présents, de façon à ce que seuls les leurs soient couvés !
Peu après, Kate rencontre un paléontologue qui lui parle à nouveau de ces fameux coucous. Kate, aussi intriguée que les joueurs ayant connu le premier jeu vidéo de Sokal, demande alors "Mais c'est quoi l'Amerzone, c'est où ?", ce à quoi le scientifique est incapable de répondre.
En explorant l'université, Kate trouve dans la bibliothèque un livre sur la faune et la flore de l'Amerzone. On y découvre une nouvelle espèce de champignons (le Yangola-Cola) qui ne pousse que sur le tronc de certains arbres de la jungle amerzonienne. La champignon a la faculté de pouvoir "décupler l'acuité visuelle de celui qui en absorbe".
On trouve dans cette même bibliothèque un ouvrage d'Alexandre Valambois (l'explorateur de l'Amerzone que l'on rencontre au début du jeu éponyme) intitulé "Amerzone : Souvenirs d'une expédition". On y trouve de nombreuses informations amusantes sur les coucous d'Amerzone, notamment sur leur léger penchant pour les baies de sauvignon d'Amerzone, aussi appelé sauvignon forestier, servant à faire d'excellents breuvages.
Voir aussi
Ouvrage
Benoit Sokal et Gérard Lemarié, après la sortie et le succès de Syberia, ont publié un ouvrage de 63 pages intitulé "Syberia : Esthétique du jeu", un recueil de croquis dessinés pour la conception du jeu, avec plusieurs paragraphes sur les choix des créateurs concernant les musiques, la poésie, et la beauté des paysages (entre autres)…
Notes et références
- ↑ a et b (fr) « Syberia (PC) - Panorama », gamekult.com.
- ↑ a , b et c (en) « Syberia (PC) », ign.com.
- ↑ (en) « Syberia (PS2) », ign.com.
- ↑ (fr) « Syberia (PS2) », jeuxvideo.com.
- ↑ (en) « Syberia (Xbox) », ign.com.
- ↑ (fr) « Syberia (Xbox) », jeuxvideo.com.
- ↑ (fr) « Syberia (DS) - Panorama », gamekult.com.
- ↑ (en) « Syberia (DS) », ign.com.
Liens externes
- (fr) Site officiel
- (fr) Aperçu de l'ancien site officiel sur webarchive.org
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