Sensible (philosophie)

Sensible (philosophie)
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Le sensible est ce qui est susceptible dêtre perçu par les sens, ou, plus largement, lensemble des impressions et des représentations.

Mensonges, malentendus, ambiguïté du langage font quon se méfie du discours et quon préfère sen tenir à ce quon sent immédiatement être tel que cela se donne à notre perception. Les faits bruts sont estimés plus vrais que tous les discours qui les recouvrent : il y aurait ainsi une « vérité du sensible ». Pourtant les sens sont aussi réputés trompeurs : illusions doptique, flous... tout cela interdit de tenir le témoignage des sens pour fiable. Ainsi, le sensible est source derreur et de fausseté, cest pourquoi on en appelle au jugement de la raison pour corriger les impressions des sens. Dès lors, comment ce qui est convoqué comme facteur objectif de vérité peut-il être en même temps accusé d'inciter lesprit en erreur ? Pouvons nous parler dune vérité du sensible ?

Sommaire

Le sensible comme perception immédiate

Le sensible est tout dabord ce qui est susceptible dêtre senti, ou, plus largement, lensemble des impressions et des représentations. Est-ce à dire quil y aurait une connaissance sans intervention rationnelle ? On peut le penser car il y a effectivement une évidence immédiate du sensible : la sensation assure le sujet sentant de la réalité de ce quil perçoit, elle est lindice du vrai. Cest la thèse que soutient lEpicurisme en tant quelle est en définitive une philosophie sur laquelle repose le critère de plaisir (de même que de douleur) il y va dune nécessité de vivre dans labsence de troubles évaluable en fonction du critère de la sensation. Que ce soit de lordre de la connaissance comme celui de la morale, « le plaisir en tant que plaisir est bon, pourtant tout plaisir nest pas bon », autrement dit la sensation de plaisir est vraie. Mais si la sensation est vue comme critère de la vérité, cest que la vérité est vue en tant que confirmation dun jugement par la sensation : elle est ladéquation du jugement et de la sensation. La fonction de la science est dès lors celle de rassurer quant à linexistence dune intervention divine : cest donc vrai car cela ne contredit pas la sensation.

Cette fonction immédiate, dérivée des propriétés biologiques des animaux, a aussi des conséquences éthiques importantes. C'est au nom du "sensible" que divers courants philosophiques, opposés ici au cartésianisme de l'animal-machine, comme ceux qui se réclament d'Arthur Schopenhauer, de Jeremy Bentham, d' Albert Schweitzer ou, plus récemment, de Peter Singer, ont demandé un traitement moral privilégié des animaux comme "êtres sensibles", différents de la chose inerte[1]. Cette position a aussi pu conduire à la requête de droits pour les animaux[2].

Une source d'erreur

Toutefois, on peut objecter que les manifestations sensibles sont sources derreur (si ce qui est perçu varie, la représentation sensible varie également) et dillusion (puisquelles nous font sentir ce qui nexiste pas comme dans le cas du mirage). Comment dès lors trouver dans la sensation le critère dune vérité de la représentation sensible ? Si lon conçoit la vérité comme adéquation du jugement à la chose sensible, il faudrait que la sensation corrige le jugement sur les sens et donc quelle se corrige elle-même. Pour sa part, Épicure montre que lerreur est dans le jugement que nous portons sur la sensation et non dans la sensation elle-même (lorsque je regarde une tour carrée et quelle mapparaît ronde, ce nest pas la sensation qui est fausse mais bien mon jugement qui oublie de prendre en compte la distance). Il sagirait alors de corriger la première sensation à laide du jugement, mais au nom de quoi une sensation serait plus fiable quune autre ? Et en quoi la sensation ne serait pas toujours fausse ? Cest ce que Descartes montre en récusant les sens au travers de lexpérience du doute. Mais dès lors, quen est-il de la réalité ? Nest-il pas fou de ne pas croire la réalité ? Cest en effet la psychose mélancolique qui fait concevoir le corps comme un presque rien. Reste que dire quil y a un sens du réel, cest dire que le sensible serait fiable alors même que « limpression de réalité du rêve ou de ce quon appelle réel sont identiques » Descartes, Méditations métaphysiques, I]. La sensation ne peut pas permettre de corriger la sensation, le sensible ne suffit pas à valider le sensible, cest donc dire quil existe une seconde condition à la sensation : cest quil y ait un sentant (« la sensation est lacte commun du sensible et du sentant » (Aristote, De lesprit)). Mais le sentant nest sentant quen vertu du sensible, et de même que le sensible, il ne peut donner la marque de vérité du senti. Sil y a assurément une effectivité du sensible dans lactualité de la sensation, cette effectivité ne suffit pas à faire une vérité.

L'impossibilité d'une vérité du sensible comme adéquation

Si donc la vérité est adéquation du jugement à la réalité, cette réalité ne saurait être sensible. En effet, une telle réalité doit être une réalité permanente, i.e. qui se maintient identique à elle-même, or les phénomènes sensibles changent, non seulement ils sont différents les uns des autres mais encore chaque phénomène ne cesse de différer de lui-même. Autrement dit, alors que lordre phénoménal est lordre du changement et de la différence, la connaissance, elle, doit porter sur la réalité immuable des essences : il ne peut pas y avoir de vérité du sensible comme adéquation.

Les Idées chez Platon

La thèse platonicienne de la vérité comme adéquation place les Idées au rang de normes destinées à évaluer la vérité des phénomènes. Le phénomène est dès lors ce qui de lIdée apparaît dans le sensible, la chose phénoménale est donc moins réelle que lIdée et donc aussi moins vraie [livre X, La République]. Cette dégradation saggrave avec la mimésis artistique, encore moins réelle et encore moins vraie que lobjet phénoménal. Une telle référence à lart comme trompeur a pour fonction de montrer que même dans le phénomène, lapparence peut déjà être trompeuse : autrement dit dans le phénomène lui-même il y a déjà une part qui conduit à la tromperie par son apparence sensible. La connaissance vraie ne saurait donc prendre le sensible pour critère de vérité : puisquelle est adéquation du jugement à lidée comme norme, elle ne peut que récuser le sensible.

Cette affirmation platonicienne sera radicalement critiquée par Aristote, cest que pour lui lessence est dans les phénomènes sensibles eux-mêmes (« il y a aussi des dieux dans la cuisine »). Lessence comme immanente est donc alors une vérité eidétique contenue dans les phénomènes, pour autant, il ny a pas de vérité du sensible en tant que le sensible ne nous fait connaître que des cas particuliers, i.e. les substances premières, dont lessence est la substance seconde universelle. Autrement dit, même si la sensation peut porter sur une certaine généralité, elle ne peut sexercer que sur des objets individuels : cest pourquoi la science ne peut être acquise par la sensation, la vérité essentielle est cependant à découvrir dans le phénoménal car seul lui soffre à la connaissance. Il ny a donc aucune complaisance dans le sensible mais bien une nécessité dobserver les phénomènes pour en extraire luniversel et cest en cela quAristote est le fondateur des sciences expérimentales telles que la biologie. Il sagit en effet, dans ces sciences expérimentales, de vérifier si le phénomène singulier est adéquat à lhypothèse théorique, mais le phénomène qui apparaît dans lexpérimentation nest pas le critère de vérité car sil peut infirmer il ne peut pas confirmer la vérité, elle-même ne pouvant quêtre théorique.

La vérité, ressort du jugement

Il est donc assuré quil ny a de vérité que par lexercice du jugement, celui-ci peut prendre pour objet le sensible mais cest toujours au jugement quil appartient de déterminer la vérité ou la fausseté. Cest donc dire que lerreur vient dune précipitation du jugement et non de la chose ni de la représentation sensible, cest largument quavance Descartes. Il montre dès lors quon ne pourrait plus douter des sens car la représentation sensible a toujours rapport à une réalité sensible : même la fiction est toujours composée de réalité sensible à laquelle elle renvoie. Il faut donc que le jugement sexerce par la rationalité afin de rendre compte dune manière adéquate de la vérité sensible aux exigences de la réalité physique. Cest le sens quil donne à lexemple du bâton qui se brise une fois plongé dans leau : la dioptrique permet en effet de rendre compte du fait que le bâton paraît brisé et quil ne pourrait même en être autrement et que pour autant il est faux quil soit brisé. Le sensible est susceptible dune vérité qui toutefois appartient au jugement.

Il ne faut donc pas douter quil y ait une réalité dont témoignent les sentiments qui après tout sont des « façons confuses de penser ». Mais il appartient alors à la science de rendre clairement compte de cela puisque ces sensations procèdent bien dun processus physiologique. On pourrait ici objecter la thèse avancée par Épicure qui affirmait que « si la sensation est toujours vraie, cest le jugement qui se trompe ». Néanmoins, en toute rigueur, on la vu, on ne peut pas dire que la sensation est vraie si cest dans le jugement que la vérité se joue. La sensation nest donc pas vraie ou fausse : la sensation est sensation. Le sens ne peuvent être trompeurs car ils ne jugent pas en propre, seule la raison juge et donc se trompe ou dit la vérité. Autrement dit, si la vérité est une adéquation de la sensation à lidée, il ny a pas de vérité du sensible, toutefois, le sensible nest pas faux puisquil ny a de vérité que du jugement.

Le jugement esthétique

Jugement déterminant et jugement inductif

Or, dans le jugement, il sagit de mettre en relation, de joindre (du latin jungere) deux éléments. Une telle activité ne peut relever que dun acte de lesprit, autrement dit, comme le dit Kant juger cest penser. Par ailleurs, Kant distingue ici deux types de jugements : un jugement déterminant et un jugement inductif. Dans le jugement déterminant, lesprit détermine une représentation sensible en subsumant le particulier sous le général, c'est-à-dire en rangeant le particulier sous une idée générale. Cest donc par un acte proprement intellectuel que se forment nos idées générales à partir de lobservation de la diversité des phénomènes particuliers sensibles par le truchement du jugement, i.e. de la jonction subsumante dont il relève : il y a donc en nous une faculté dabstraction qui nous permet de tirer la généralité du particulier (du latin ab-straere : tirer de). Au contraire dans le jugement inductif, il sagit de partir du général pour caractériser le particulier.

L'agréable et le beau

Kant sintéresse alors à la sensation esthétique, non pas comme lindique létymologie c'est-à-dire au sens strictement sensible (du grec αισθεσίς : sensation), mais bien au sens de cela par quoi nous qualifions quelque chose de beau et non pas ce qui nous apparaît comme agréable. En effet, dans lagréable, ce qui « plaît aux sens dans la sensation » cest ce qui agrée à celui qui est concerné parce que cest lui, autrement dit, cela me plaît à moi parce que cest moi (si la période rose de Picasso me plaît cest parce quelle renvoie à la petite culotte de ma première nana). Au contraire dans le beau, il y va dune satisfaction qui nest pas liée à la personnalité du sujet, puisque spontanément le jugement esthétique implique quil devrait être universellement partagé. En cela, le jugement esthétique est donc bien un jugement inductif en tant quil applique la forme de luniversalité à lobjet particulier. Il établit bien une relation entre faculté intellectuelle et faculté sensible : le sentiment y est élevé par le jugement à hauteur duniversalité (« mon dieu que cest beau »). Alors même que dans le jugement déterminant, on se repose sur des concepts (le vélo est beau car il permet de me mettre en valeur), dans le jugement esthétique, le concept, quil soit de connaissance ou de finalité, nest pas principe. Cest en effet le sens de cette affirmation de Kant : « est beau ce qui plaît universellement sans concept » en tant que luniversalité y est effectivement a priori.

Un jugement libéré de tout concept

Il y a donc bien un jugement qui relève dune vérité différente de celle de ladéquation à un concept, il sagit dun jugement libéré de tout intérêt et de tout concept. Il y va donc bien dun plaisir pur à condition de ne pas penser la vérité comme adéquation. Autrement dit, il sagit de laisser le phénomène apparaître dans son apparaître, de dépasser toute dimension utilitaire : cest ce quon pourrait rapprocher de létonnement aristotélicien il sagit de considérer le phénomène sans chercher à larraisonner. Sil y a vérité du sensible, elle ne relève donc pas dune adéquation mais bien dun dévoilement, non pas de lessence du phénomène, mais bien de la phénoménalité du phénomène.

Le sensible comme dévoilement

Or, penser la vérité comme dévoilement, cest supposer quelle fait apparaître un contenu spirituel qui nest pas formulé dans le discours. Reste quon peut prétendre à une vérité du sensible dans lart ni la dimension perceptive ni la transmission dun message prédéterminé ne sont en jeu. Il sagit donc pour nous de penser lart comme « expression de lesprit », pour le dire en termes hégéliens, puisquil y va dune extériorisation de len soi qui devient pour soi : mouvement par lequel lart donne à lesprit loccasion de se contempler lui-même. Lapparence est donc cela par quoi le contenu spirituel se manifeste et se révèle à lesprit lui-même : « la vérité doit apparaître (...) toute essence, toute vérité pour ne pas rester abstraction doit apparaître » (Hegel). En tant que cest bien dans la forme sensible que la vérité de lesprit se dévoile, il y a donc bien une vérité du sensible la signification ne peut effectivement se révéler que par la médiation du sensible (il y va ici de la polysémie du mot sens). Autrement dit, lapparaître diffère de la simple apparence car il est nécessaire à la vérité pour quelle se dévoile elle-même et à elle-même. Dans lart, ce qui est en jeu cest donc lesprit du peuple en tant que tel.

Seulement, nous ne pouvons le dire que parce que nous sommes dans la fin de lHistoire et dans lère du discours : à partir du moment lon sait que lart est lexpression de la spiritualité dun peuple, il ne peut précisément plus être cette expression. D la formulation au passé quen fait Hegel : « lart est la médiation par laquelle les peuples ont exprimé et ainsi pris conscience de leurs intérêts spirituels » signifiant par que « lart ne représente plus ce quil y a de vivant dans la vie ». Autrement dit, lart se débat désormais avec ce verdict de la mort de lart, il est détaché de sa dimension esthétique.

Même sans faire droit à la thèse hégélienne qui implique lexistence dun contenu spirituel dans lart, lart reste loccasion dune expérience du sensible qui donne à voir la vérité comme phénoménalité. Il sagit en effet de faire apparaître dans et par le tableau ce qui ne nous serait pas donné dans le dévoilement : lart fait apparaître lapparaître lui-même. Une telle conception de lart comme jouant le dévoilement permet à Lacan de rendre compte de la position quemprunte Platon. Si ce dernier ne cesse en effet de condamner lart (soi-disant parce quil ne fait quimiter les phénomènes sensibles alors que la philosophie touche au réel et au vrai des Idées), cest que Platon avait probablement entrevu ce qui se joue dans lart : non pas un trompe lœil mais bien une autre vérité concurrentielle à la vérité eidétique dadéquation. Cette vérité cest celle par laquelle lartiste affirme la vérité sensible comme telle, c'est-à-dire la vérité comme dévoilement de lapparaître même. Autrement dit, Platon ne méprise lart comme apparence sensible que parce quil y voit une rivalité entre lart et la philosophie dans la révélation de la vérité, vérité précisément différente selon quelle relève de lun ou de lautre.

Le sensible, expression de la vérité comme phénoménalité

Puisque le sensible ne saurait se corriger lui-même et quil sagirait de la condition sine qua non dune vérité du sensible comme adéquation, il apparaît que sil existe une vérité du sensible, celle-ci ne peut être considérée que comme dévoilement de lapparaître dans lapparence. On le voit donc bien, cest dans lart, ce lieu qui cherche la vérité derrière l'apparence, que sexprime une certaine vérité du sensible, quil soit lexpression de la vérité de lesprit ou celle de la vérité comme phénoménalité.

Références

  1. Georges Chapouthier, Le respect de lanimal dans ses racines historiques : de lanimal-objet à lanimal sensible, Bull. Acad. Vet. France, 2009, 162 (1), pp 5-12
  2. Georges Chapouthier, J.C. Nouët (editors), "The universal declaration of animal rights, comments and intentions", Éditions Ligue Française des Droits de lAnimal, Paris, 1998

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Sensible (philosophie) de Wikipédia en français (auteurs)

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