Ordre du Temple solaire

Ordre du Temple solaire

L'Ordre du Temple Solaire (OTS), autrefois nommé Ordre International Chevaleresque de Tradition Solaire, était un groupe ésotérique néo-templier fondé en 1984 à Genève par Luc Jouret. L'OTS est considéré comme une secte par le rapport de la commission d'enquête parlementaire de 1995[1], et principalement actif en France, en Suisse et au Canada. Ce groupe a été impliqué dans des affaires de suicides collectifs dans ces trois pays.

Sommaire

Fondation

En 1977, Jo di Mambro,futur gourou de l'Ordre du Temple Solaire, rencontre Michel Tabachnik, compositeur de musique, et passionné de philosophie, d'ésotérisme et de spiritualité. Les deux hommes décident de créer l'année d'après à Genève la Fondation Golden Way[2]. En 1981, Michel Tabachnik devient le président de la Fondation Golden Way[3].

En 1984, ils fondent l' Ordre du Temple solaire[4].

Dogme et croyance

Selon "Peronnik" (un pseudonyme recouvrant plusieurs auteurs appartenant à la même école spirituelle) dans le livre Pourquoi la Résurgence de l'Ordre du Temple ? Tome Premier : Le Corps 1975, les buts de "l'Ordre Souverain du Temple Solaire" étaient au nombre de sept :

  1. Rétablir la notion exacte d'Autorité et de Pouvoir dans le monde.
  2. Affirmer la primauté du spirituel sur le temporel.
  3. Redonner à l'homme la conscience de sa dignité.
  4. Aider l'humanité en son passage.
  5. Participer à l'Assomption de la Terre sur les trois plans : corps, âme, esprit.
  6. Concourir à l'unité des Églises. Œuvrer à la jonction Chrétienté-Islam.
  7. Préparer le Retour du Christ en gloire solaire.

Enfin, aucun lien n'existe entre ce groupe spirituel, dont l'appellation est bien antérieur à 1984 (la preuve, ce livre) et les fondateurs de l'OTS. Il est probable que l'appellation choisie en 1984 était volontairement ambiguë, car quelques textes d'enseignement de l'OTS reprenaient, en les déformant, certaines idées exprimées dans l'ouvrage ici cité.

Fonctionnement

A double sens :

  1. Fonctionnement interne et caché : "L'Ordre du Temple Solaire est placé sous l'obédience absolue de la Synarchie du Temple. A cet effet, la Synarchie détient les pouvoirs les plus étendus ; ses membres sont et resteront secrets". Le Conseil de l'Ordre regroupe les membres dans des "loges" dirigées par un Commandeur de Région et trois Veilleurs. Progression par niveaux et grades (trois par niveau) : les Frères du Parvis, les Chevaliers de l'Alliance, les Frères des Temps Anciens.
  2. Fonctionnement externe manifesté : propagation de concepts thérapeutico-ésotériques par des associations et des sociétés commerciales : Association internationale Archedia Sciences et Tradition, Clubs Archedia, Clubs Amenta, Clubs Agata puis Clubs Atlanta. Les Clubs dispensent l'enseignement de Jouret à deux niveaux :
  1. La "Branche Sciences et Tradition", ouverte à tous publics, offre une "formation expérimentale".
  2. La "Branche Tradition Solaire", réservée aux adhérents de la première Branche, assure une "formation spirituelle et philosophique" ou une "connaissance intuitive".

Caractère sectaire

  • Prééminence de Di Mambro, l'ordonnateur, et de Luc Jouret, l'illuminé. Ils commandent, tous les autres doivent obéir.
  • Contrôle hiérarchique absolu, dépendance totale pour la progression dans l'Ordre.
  • Explications exclusives sur tout. Celles qui viennent d'ailleurs sont repoussées et interdites : "Hormis l'enseignement donné ... aucun autre enseignement, doctrine, théologie, philosophie, théorie ou concept à caractère spirituel, initiatique, ésotérique ou métaphysique, ne peut être propagé, dispensé ou introduit par quiconque à l'intérieur de l'Ordre TS" (Article 23 Règles de l'Ordre TS).
  • Assujettissement des adeptes Templiers. Ils remettent des fortunes pour faire triompher l'Ordre dans le monde. Ils se rendent d'un pays à l'autre sur ordre, de la Martinique, lieu de refuge, au Canada, lieu de sauvetage quand la fin des temps viendra. Ils entassent provisions et armes, construisent des abris souterrains pour passer le cap de l'apocalypse. Au "Jour de l'Appel" décidé par le couple Mambro/Jouret, les convoqués se rendront en Suisse.

Historique

Les deux dirigeants de l'OTS sont Joseph Di Mambro, cerveau et maître des finances de l'organisation, et Luc Jouret, médecin, fondateur de l'Ordre et recruteur.

Luc Jouret (1947, ex-Congo belge - 1994, Salvan, Suisse) a eu une carrière chaotique. Diplômé en médecine à l'Université Libre de Bruxelles en 1974, il se spécialise en homéopathie, qu'il exercera plus ou moins régulièrement quinze ans durant, mais il s'intéresse parallèlement à des thérapies alternatives (macrobiotique, iridologie, etc...) et prend parti inconsidérément pour les guérisseurs à mains nues philippins qu'il a rencontrés à Manille à plusieurs reprises. Faisant fi de la déontologie médicale, Jouret soutient ces charlatans d'une chirurgie illusionniste par des conférences en France et à l'étranger.

Sa rencontre en 1976 avec le suisse Di Mambro va le faire basculer définitivement dans la mouvance ésotérico-occultiste. Di Mambro, né en 1924, ancien patron horloger, fondateur en 1974 d'un mouvement ésotérique, la Fondation Golden Way, va devenir son guide.

Jouret entre en 1983 dans l'Ordre rénové du Temple dirigé par Julien Origas et en sera même le grand maître éphémère de 1983 à 1984, après le décès de celui-ci. Il quitte cet ordre néo-templier pour créer le sien, l'OICTS. C'est Di Mambro, inspirateur et financier, qui tient les rênes de l'Ordre.

Jouret s'emploiera de 1983 à 1993 à recruter des membres pour l'Ordre, privilégiant des postulants nantis, bien établis professionnellement et facilement manipulables. Plus tard, certains d'entre eux l'aideront à créer des ordres et centres affiliés en France métropolitaine, à la Martinique, au Canada, en Australie. Effectif maximal estimé à 350 personnes.

Coup de froid au Québec avec la condamnation de Jouret à un an de probation pour une affaire embrouillée d'achat d'armes légères (juillet 1993). Des adeptes canadiens qui contestaient auparavant Luc Jouret obtiennent sa destitution de Grand Maître de la Fraternité Hermétique du Temple Universel. Il est remplacé par Robert Fallardeau.

Di Mambro a regroupé l'élite dissidente de l'Ordre TS dans une École des Mystères. Une centaine d'adeptes convoqués à Avignon (84) en août 1994 apprennent que "l'Alliance Rose+Croix" (ARC) sera bientôt créée en remplacement de l'Ordre TS. Tout va alors se précipiter, les dissensions ne faisant qu'augmenter.

Luc Jouret après avoir pris la succession du Grand Maître de l'ordre rénové du Temple, en 1983, fut expulsé de l'ORT en 1984. Extrait de la lettre expédiée par la Commanderie Générale de l'Ordre Rénové du Temple le 16 juillet 1984 :

« Malgré tous nos efforts de conciliation, la scission a été inévitable, non pas de notre fait, mais du fait de Maître LUC qui a créé son propre Ordre "Tradition Solaire" avec siège en Suisse, n'entrainant avec lui, heureusement que peu de membres. Nous précisons que cette association n'a rien à voir avec l'Ordre Rénové du Temple. »

Autre lettre datée du 25 février 1985 :

« Nous savons que certains d'entre vous reçoivent encore du courrier en provenance de l'association "Tradition solaire" dirigée par le Dr Luc JOURET et dont le siège est en Suisse. Nous vous demandons :
  1. de refuser dorénavant toute correspondance émanant de cette association, avec mention "retour à l'envoyeur";
  2. de refuser également tout rendez vous qui pourrait vous être proposé par un membre de cette association. »

L'OTS fut plus tard renommé « Ordre du Temple Solaire ». Officiellement, il fut dissous en 1994.

Octobre 1994 : 1er massacre

Crimes, suicides et incendies en série du 4 au 6 octobre 1994. 53 morts, tous membres de l'Ordre, recensés au Québec (5) et en Suisse (48). Ils ont été découverts carbonisés dans des demeures incendiées, après avoir été poignardés à Morin Heights, Québec ; tués par balles à Cheiry ou drogués à Salvan, Suisse. Victimes toutes identifiées. En Suisse : 19 français, 17 suisses, 9 canadiens. 25 femmes, 17 hommes et 6 enfants. Au Canada : 3 canadiens, 2 suisses.

Les médias de nombreux pays ont relaté cet événement-choc. C'était la première fois qu'un massacre de cette importance se produisait en Europe, provoqué bien entendu par un groupe sectaire privé.

Le 6 octobre, Joseph Di Mambro, membre de la Synarchie du Temple, remet à Patrick Vuarnet, membre suisse de l'Ordre qui a été épargné, 300 enveloppes avec mission de les expédier de Genève le lendemain. Dans ces enveloppes quelques textes titrés "Transit pour le Futur, La Rose-Croix, Aux Épris de Justice, A tous ceux qui peuvent encore entendre la voix de la Sagesse ..., nous adressons cet ultime message".

S'y ajoute, dans quelques-unes, copie d'une lettre adressée au Ministre de l'Intérieur français, à la formule d'appel irrévérencieuse, "Très cher Charlie". La lettre se veut explicative : "rétablir la vérité quant aux faits qui ont précipité notre départ", mais ne contient aucun fait tangible, sinon la condamnation (infime) de Luc Jouret au Québec en 1991.

Alors qu'aucun fait n'a affecté l'Ordre en France, la responsabilité de l'issue fatale est imputée aux pouvoirs français. "Nous vous accusons d'avoir délibérément voulu détruire notre Ordre et d'en avoir fait une raison d'état", "Nous vous accusons, Monsieur Pasqua, d'avoir prémédité un assassinat collectif", "Nous avons par conséquent décidé de quitter les plans terrestres prématurément car nous sommes conscients de votre volonté de détruire l'Oeuvre que nous avons accomplie".

Les autres textes cités ci-avant, fortement chargés d'ésotérisme, sont parfois tout aussi révélateurs de desseins funestes : "Ceux qui ont enfreint notre code d'honneur sont considérés comme des traîtres. Ils ont subi et subiront le châtiment qu'ils méritent dans les siècles des siècles" (Ultime message, page 2). Dans leur paranoïa, les deux gourous de l'Ordre, Di Mambro et Jouret, s'estimant menacés gravement par des adeptes et des autorités policières et fiscales ont décidé de précéder l'Apocalypse en supprimant tout le produit de leur œuvre. Ce fut le carnage infernal.

Décembre 1995 : 2ème massacre

Dans la nuit du 15 au 16 décembre 1995, seize personnes - treize adultes et trois enfants de 2, 4 et 6 ans - ont été immolés par le feu dans une clairière d'un plateau du Vercors, près de Saint-Pierre-de-Chérennes (Isère).

Huit Suisses et huit Français, dont notamment :

  • côté Suisse, André Friedli, architecte, et Ute Vérona, fiancée de Patrick Vuarnet, qui sacrifiera Tanya, sa fillette de 6 ans
  • côté France, Edith Vuarnet (elle fut triple championne de France de ski alpin) et son fils Patrick, Jean-Pierre Lardanchet, inspecteur à la Diccilee (ex-police de l'air et des frontières) et son épouse qui conduisirent à la mort leurs deux fils Aldwin et Curval âgés de 4 et 2 ans, Patrick Rustand, inspecteur à la Police judiciaire de Paris.

L'enquête policière, rapidement menée, a déterminé que quatorze personnes avaient été tuées par une ou deux décharges de pistolet 22 long rifle, après avoir absorbé des sédatifs, puis incendiées à l'aide de white spirit. Les deux exécuteurs sont Jean-Pierre Lardanchet et Friedli. Ils se sont aspergés de white spirit et ont péri par le feu après s'être tiré une balle de 9 mm parabellum dans la tête (armes retrouvées près de leurs corps).

Le Procureur de Grenoble a ouvert une information judiciaire pour "assassinats" et "association de malfaiteurs" avec possibilité de complicité extérieure.

Mars 1997 : 3ème massacre

L'OTS a encore provoqué un "suicide collectif" de 5 nouvelles personnes à Saint Casimir au Québec le 22 mars  ; 3 adolescents ont été retrouvés saufs. La police a découvert sur place des lettres "faisant état d'un départ de façon parabolique" - sic. (Le Parisien, 24/3/97).

Le Temple Solaire

Belgique

Canada

Di Mambro et Jouret arrivent à Toronto en 1984, puis s'installent à Sainte-Anne-de-la-Pérade. Les membres sont initiés dans le club Archédia et travaillent pour la société Hydro-Québec. Ils élaborent une doctrine millénariste et apocalyptique, s'associent au Nouvel-Âge et à l'écologisme et ajoutent des références à l'ésotérisme et aux extraterrestres.

France

La commission d'enquête est reportée au mois d'octobre 2006. Le procès de l'ordre Temple Solaire ne cesse d'être repoussé. Peter Shirley Mc Boutin est toujours emprisonnée.

Théories du complot autour de l'affaire

Selon le fils et frère de deux des victimes, Alain Vuarnet, les « suicides collectifs » des membres de l'Ordre du Temple Solaire en décembre 1995 dans le Vercors n'ont toujours pas été véritablement élucidés. Il s'est plaint de l'absence de coopération de la justice, qui a toujours refusé d'enquêter sur la piste d'un assassinat. Selon lui, du phosphore a été trouvé sur des lieux, dénotant l'usage de lance-flammes »[7] ; certaines victimes avaient des sacs en plastique sur la tête, ce qui, selon la thèse de l'instruction, était un signe rituel ; enfin, certaines victimes ont été droguées. Quoi qu'il en soit, le fondateur de l'OTS, Luc Jouret, a eu des liens dans les années 1970 avec des membres de Gladio (L'Ordre du Temple Solaire : les secrets d'une manipulation).

En outre, après avoir longtemps défendu la thèse du suicide collectif, le psychiatre Jean-Marie Abgrall a prétendu que l'ancêtre de l'OTS, l'Ordre Rénové du Temple - cité comme secte de 50 à 500 membres dans le rapport parlementaire français sur les sectes de 1995 - avait des liens avec Gladio. Selon une dépêche Reuters, l'avocat des parties civiles, Alain Leclerc, affirme que « Jean-Marie Abgrall a révélé que l'Ordre du Temple Solaire, de même que l'ORT [Ordre rénové du Temple] avaient été créés et contrôlés par les services secrets français et étrangers ».

25 février 2009. La thèse d'un « suicide collectif » à motivations « ésotériques », n'a pas non plus été explorée en tant que telle mais elle a été retenue comme version officielle . En effet, il y a la théorie de l'égrégore qui, selon un document rédigé en Suisse signé Ourdek de 1985, déclare[réf. nécessaire] : « La destruction d'un égrégore ne peut être obtenue que par la mort par le feu de ses membres vivants, la destruction des symboles qui le concrétisent ou s'y rattachent, ainsi que tous les écrits qui y ont trait (rituel, archives, instruction, etc.). » Il s'agit d'un élément occulte et classique (y compris en magie) de destruction par le feu du corps physique, du double en détruisant l'image et tout ce qui s'y rattache (ce qui est confié au feu perdure, ce qui est détruit par le feu l'est à jamais). Ceci validerait plutôt l'hypothèse d'une décision concertée dans "le cercle intérieur" des décideurs et exécutants. Cette décision aurait été prise pour éviter "toute profanation" et tout "sacrilège" en terme occulte, lorsque les dirigeants se sont sentis menacés.

Suisse

  • Le 5 octobre 1994, 25 personnes sont retrouvées mortes à Salvan, en Valais
  • Le 5 octobre 1994, 23 personnes sont retrouvées mortes à Cheiry, dans le canton de Fribourg

Références

  1. Citée dans le rapport français n°2468, mais non retenue dans la liste des sectes
  2. l'Ordre du temple solaire, La Croix consulté le 6 septembre 2011
  3. Serge Pueyo, Ordre du temple solaire : les larmes de Tabachnik, Le Figaro, consulté le 6 septembre 2011
  4. Michel Tabachnik le troisième homme TF1 news, avril 2001, consulté le 18 juillet 2011
  5. cf infra Bibliographie.
  6. AFP, 26 octobre 2006: «Le cinéaste Yves Boisset a affirmé vendredi devant la cour d'appel de Grenoble que les enquêteurs travaillant sur l'Ordre du temple solaire (OTS) et la "tuerie-suicide" en 1995 de 16 adeptes de cette secte dans une forêt du Vercors avaient négligé le côté "politico-mafieux" de l'affaire. "La police a négligé les relations de Jo Di Mambro, le chef de la secte, avec le personnel politique du département du Var et ses relations avec Jean-Louis Fargette (ancien parrain de Toulon tué en Italie en 1993) qui avait acheté avec Di Mambro un terrain militaire", a déclaré M. Boisset lors du procès du chef d'orchestre franco-suisse Michel Tabachnik. Auteur d'un film intitulé "les mystères sanglants de l'OTS" et diffusé sur France 2, il a ajouté que "l'ombre de Charles Pasqua traînait sur cette affaire" et que l'ancien ministre de l'Intérieur avait refusé toute interview, sans donner d'autres précisions. M. Boisset, témoin cité par les parties civiles, a évoqué aussi des trafics d'armes entre le Canada et l'Angola. Mais lorsqu'on lui demande si Michel Tabachnik, qui est le seul prévenu dans le procès, a été mêlé à ces trafics, il répond non.[...] » sur prevensectes.com
  7. « Le phosphore ne peut être utilisé que par une arme militaire de type lance-flammes. Sur les lieux du massacre, aucune arme de ce type n’a été retrouvée. L’usage du phosphore explique pourquoi il manquait des membres sur six des seize victimes ». Interview accordée à France-Soir, 1er Octobre 2007

Liens ont été supprimés car ils étaient morts.

Bibliographie

  • Renaud Marhic, Enquête sur les extrémistes de l'Occulte. De la loge P2 à l'Ordre du Temple solaire, L'Horizon Chimérique, 1995, 254 pp. et L'Ordre du Temple solaire. Enquête sur les extrémistes de l'Occulte II, Éditions L'Horizon Chimérique, Bordeaux, 1996 (ISBN 2-907202-58-8)
  • Roger Facon, Vérité et Révélations sur l'Ordre du Temple Solaire. Opération Faut, chronique d'un massacre annoncé, Éditions Savoir pour être, 1995.
  • Christophe Leleu, La Secte du Temple Solaire. Explications autour d'un massacre, Coll. Documents, Paris, Claire Vigne, 1995, 204 p.
  • Arnaud Bédat, Gilles Bouleau et Bernard Nicolas, Les Chevaliers de la mort, TF1 Éditions, 1996
  • Hermann Delorme, Crois et meurs dans l'Ordre du Temple Solaire, Favre, 1996, 191 p.
  • Maurice Fusier, Des Mots qui font des morts, Éditions Pandora Publishing (ISBN : 2-9700386-0-9).
  • Thierry Huguenin, Le 54ème, Éditions Fixot [récit d'un ancien membre de l'OTS].
  • Massimo Introvigne, Les Veilleurs de l'Apocalypse, Claire Vigne Éditrice, 1996, 254 p.
  • Jean Vuarnet, Lettres à ceux qui ont tué ma femme et mon fils, Paris, Éditions Fixot, 1996, 204 p.
  • Serge Caillet, L'Ordre rénové du Temple. Aux racines du Temple solaire, Dervy, 1997, 225 p.
  • Michel Tabachnik, Bouc émissaire. Dans le piège du Temple Solaire, préface de Pierre Boulez, Éditions Michel Lafon, 1997 (ISBN 2 84098 308 7).
  • Rosemarie Jaton, OTS : en quête de vérité, préface de Jacques Barillon, Slatkine, 1999, 364 p.
  • Arnaud Bédat, Gilles Bouleau, Bernard Nicolas, L'Ordre du Temple Solaire : les secrets d'une manipulation, Éditions Flammarion, 2000 (ISBN 2-08-067842-6)
  • Jean-Luc Chaumeil, L'Affaire de l'Ordre du Temple Solaire, ACM Edition, 2001, 295 p.
  • Maurice Fusier, Secret d'Etat ? Enquête au coeur d'une secte... Ordre du Temple Solaire..., éditions des Traboules, 2006, 291 p. (ISBN : 2-915681-16-3)
  • Alain Vuarnet, Ma rage de vivre, Éditions du Rocher 2007
  • Charles Dauvergne, Temple Solaire, un ex-dignitaire parle. Vingt ans au soleil du Temple, Desclée de Brouwer, 2008, 349 p. (ISBN : 978-2-220-06036-1)

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Contenu soumis à la licence CC-BY-SA. Source : Article Ordre du Temple solaire de Wikipédia en français (auteurs)

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