Louis Edmee Barthelemy Bailly

Louis Edmee Barthelemy Bailly

Edme Louis Barthélemy Bailly de Juilly

Edme Louis Barthélemy Bailly de Juilly (1760-1819) est une personnalité de la Révolution française qui fut député de la Convention nationale, membre du Conseil des Cinq-Cents, préfet et baron de l'Empire sous Napoléon Ier.

Edme Louis Barthélemy Bailly de Juilly
BAILLY Ed.jpg
Naissance 1760
Décès 1819
Origine France France
Distinctions Officier de la légion d'honneur

Sommaire

Biographie

Edme Louis Barthélemy Bailly de Juilly est un homme de la Révolution française, que la notoriété de Jean Sylvain Bailly, maire de Paris, a franchement éclipsée. Il s'agit néanmoins d'un homme politique caractéristique de la montée des élites du Tiers-État avant et après la Révolution. à Saint-Phal, près de Troyes dans l'Aube, le 17 octobre 1760, il est le fils légitime dEdme Barthélemy Bailly, laboureur puis procureur à Saint-Phal dans lAube et dEdmée Aubron. On ne sait rien de sa petite enfance.

L'expérience de Juilly

Après des études au collège de Juilly près de Meaux, tenu par des Oratoriens, Bailly entre en 1779 dans ce collège réputé comme professeur de français latin grec. Certains professeurs sillustrent à Juilly lors de la période révolutionnaire et sous les régimes suivants, tels Joseph Fouché, Régent des mathématiques et professeur de physique, futur Ministre de la Police de Napoléon 1er puis de Louis XVIII.

Bailly côtoie par ailleurs Billaud-Varenne, Préfet des Études, qui sillustrera plus tard à la Convention, notamment comme linventeur du calendrier révolutionnaire. C'est lui qui, lors du procès de Louis XVI, nhésitera pas à demander la mort du roi sans jugement dans les quarante huit heures.
Billaud-Varenne sillustra par ailleurs pour avoir déféré devant le Tribunal révolutionnaire des personnes illustres, telles que Philippe Égalité et Marie-Antoinette dAutriche.

Bailly enseignera à Juilly en classe de quatrième puis en classe de rhétorique (actuelle classe de Première des lycées).

Le Collège accueille alors des élèves brillants, tels que le philosophe Louis de Bonald, Charles-Antoine des Aix, Chevalier de Veygoux, plus connu sous le nom de Dessaix, vainqueur de Marengo, le constituant Adrien Duport, le conventionnel Hérault de Séchelles, Étienne Denis Pasquier, futur Garde des Sceaux de Louis XVIII.

Bailly quittera Juilly au début de la Révolution.

Débuts en politique

En 1789, Bailly adopte les idées nouvelles et renonce à lenseignement pour devenir avocat au Parlement de Paris; le barreau est, à lépoque, la voie la plus favorable pour accéder à la carrière politique. Bailly est nommé à cette époque membre de lAdministration du département de la Seine & Marne et de la Commission chargée de vérifier les comptes de liquidation de lancienne province dÎle de France. Il prête alors serment à la constitution civile du Clergé, indique Prevert dans sa biographie générale (1848), ce qui paraît contestable puisquil na pas prononcé ses vœux.

À la fin de l'assemblée constituante les députés élus avaient décidé quaucun dentre eux ne serait rééligible au sein de la nouvelle Assemblée dite « législative » (1er octobre 1791- 21 septembre 1792), de sorte que cette législature révèle des hommes nouveaux. Bailly est élu député suppléant pour le département de la Seine & Marne, mais ne siège pas faute de vacance du siège de son titulaire.

Cette assemblée dite législative est principalement confrontée à la guerre. En effet, lEurope monarchique se ligue pour anéantir la République et les idées nouvelles.

Le 20 avril 1792, lAssemblée, qui est politiquement divisée, vote à la quasi-unanimité la guerre à lAutriche, les uns espérant la défaite et le retour du roi, les autres espérant porter la liberté hors des frontières ; une guerre qui durera plus de 23 ans. Les revers militaires que connaît la France au printemps 1792 (la France est occupée jusquà Sedan), provoquent une agitation extrême à lintérieur qui conduit à la prise des Tuileries le 20 juin, puis à la chute de la royauté le 10 août 1792.

Un conventionnel modéré

Bailly est envoyé, le 21 septembre 1792, comme député de Seine & Marne à la Convention . Élu dans la circonscription de Juilly il réside, on le surnomme Bailly de Juilly. Il se marie en novembre 1792 à Paris avec Agathe Cormery.

Ami des idées nouvelle, mais surtout homme modéré, Bailly de Juilly est effrayé par les violences qui marquent les débuts de cette législature et notamment par les « massacres de septembre » au cours desquels sont exécutés sommairement 1.400 personnes dont des nobles considérés comme des ennemis de lintérieur et 223 ecclésiastiques insermentés rassemblés au couvent des Carmes à Paris, dont Bailly a été proche à Juilly et auxquels il doit sa formation intellectuelle. Il reproche à la révolution dans sa seconde phase ses violences et le manifeste à l'assemblée, avec ses collègues modérés "de la plaine", par ses votes négatifs.

Dans le procès de Louis XVI, qui souvre le 11 décembre 1792, Bailly de Juilly souscrit à toutes les questions de la minorité qui, si elle ne veut pas ouvertement sauver le roi, est au moins décidée à ne pas le faire mourir sur léchafaud. Il déclare très ouvertement dans une note à ses commettants du département de Seine & Marne, conservée par ses descendants, que le roi est coupable (on a découvert alors l'armoire de fer contenant ses correspondances avec l'empereur d'Autriche, Joseph II, son beau frère). Mais en chrétien qu'il restera toujours, il souhaite le pardon, ce pardon dont Robespierre disait quil sonnait comme une insulte.

Sur le problème de la voie de recours après le jugement, trois tendances sexpriment alors à lAssemblée; ceux qui veulent une voie de recours, lappel au peuple, cest-à-dire, la soumission du verdict à lapprobation des électeurs (Bailly est de ceux- car il sait que l'assemblée est soumise à la pression ses sans-culottes); ceux qui considèrent que lAssemblée juge en premier et dernier ressort ; et ceux qui, comme Robespierre, veulent la mort sans jugement, considérant quil sagit dune question politique et non dune affaire de droit commun. Robespierre ajoute, pour forcer les députés à voter pour la mort: « Si le roi nest pas coupable, ceux qui lont détrôné le sont ». Louis XVI, quant à lui, réclame le recours au peuple français, ce sur quoi, Bailly répond :

"Ceux qui veulent juger Louis définitivement, motivent leur opinion sur les malheurs quentraînerait lappel au peuple. À leurs yeux, la guerre civile est inévitable, si les communes de la République se rassemblent pour se prononcer par oui ou par non sur le sort de Louis."

"La guerre civile parmi le peuple, lorsquil est question de punir un tyran détrôné ! Eh ! La journée du 10 août, le renversement dun trône constitutionnel, la convocation dune convention nationale pour établir une constitution républicaine, a-t-elle amené la guerre civile ? Et cependant presque toutes les autorités constituées étaient alors royalisées ; et notre territoire était envahi par une armée nombreuse. Et aujourdhui que nos armées sont victorieuses, que la royauté est abolie, que la république est déclarée, que toutes les autorités qui viennent dêtre renouvelées marchent dans le sens de la Révolution républicaine, on craint une guerre civile ; mais cette crainte est une injure contre la souveraineté du peuple.

  • * *

"Non, non, citoyens, rassurez-vous ; il ny a de guerre civile dans un grand État que lorsquil y a deux partis à peu près égaux en force ; or je vous demande en ce moment, croyez-vous que le parti des aristocrates et des royalistes osât se montrer en face devant la souveraineté du peuple ?" "Non, vous le savez, ce parti nest quune poignée de rebelles et de facétieux devant la majorité des français ". Bailly ajoute : " Si cest comme législateur que nous allons décider du sort de Louis, nous devons prévoir toutes les conséquences ultérieures de la mesure que nous adopterons, et combiner toute démarche sur la loi suprême du salut public. Louis, sans doute, a mérité la mort. Mais cette mort serait-elle plus salutaire que nuisible à notre liberté ? La mort dun tyran pourrait faire revivre la tyrannie tandis que Louis XVI, méprisé, avili, ne peut plus être dangereux ; sa vie nest plus que celle dun lâche et dun parjure, sur lequel aucun parti ne peut compter." "Depuis le 10 août, le peuple la regardé comme un otage précieux contre les armées ennemies pour consolider la république naissante, il est encore plus important de le conserver comme un otage de la guerre qui nest pas finie, et comme un gage assuré de la destruction irrévocable de la royauté." "La mort dun tyran na jamais donné la liberté à son peuple. Voyez Cesar assassiné par Brutus, et bientôt remplacé par un autre despote et dans des temps moins éloignés de nous, voyez Charles 1er périssant sur léchafaud et lusurpateur Cromwell le remplaçant ensuite sous le titre de protecteur. Voyez au contraire les Tarquins expulsés de Rome ; Denis chassé de Syracuse… » Bailly conclut enfin quentre la prison perpétuelle et le bannissement, il préfère cette deuxième solution, précisant : "Daprès ces considérations, la mesure qui me paraît le mieux convenir au salut de la République, cest de conclure, avec Thomas Paine, au bannissement perpétuel de Louis Capet, après la guerre … "Par- vous donnez un grand exemple à lunivers ; la vue dun tyran détrôné portant partout le sceau de lignominie, proscrit de son pays avec la royauté, dont le souvenir le tourmentera sans cesse, sera une leçon vivante pour les rois qui craindront une chute aussi terrible  ».

Lattitude de refus de Bailly concernant la condamnation à mort de Louis XVI est un acte de courage de sa part, comme de tous les députés non-régicides. En effet, à lépoque, le vote se fait par appel nominal et à voix haute, à la Tribune. Les députés sexpriment sous la pression « du parti de la mort » et les « Patriotes » massés dans la Tribune. Comme le dira lui-même le régicide, La Revellière-Lepaux : « Il faut lavouer, dans ce moment, il y avait plus de courage à absoudre quà condamner ». Dailleurs, de nombreux historiens disent que sans lappel nominal, et sans cette pression de la foule parisienne, le roi aurait, sans doute, sauvé sa tête. Le sort de laccusé restera indécis jusquau dernier département, appelé durant les 37 heures que dure le défilé des députés qui sachève le 17 janvier 1793. Sur une majorité de 361 voies, 361 députés votent la mort sans condition! Annoncée le 20 janvier 1793 à Louis XVI, lexécution a lieu dès le lendemain.

Souvre alors la période dite de la Terreur, instaurée en raison de la guerre civile en Vendée et la guerre aux frontières. Bailly garde le plus profond silence jusquà la chute de Robespierre, le 9 thermidor (27 juillet 1794). Bailly concourt cependant de toutes ses forces au renversement de l’« Incorruptible » qui aboutit enfin le 10 thermidor.

Après la chute de Robespierre, Bailly est nommé secrétaire puis commissionnaire à Strasbourg avec mission dy adoucir ou dy réparer les exactions des conventionnels Saint Just et Lebas, alors renvoyés en mission, et de créer un comité chargé dépurer les associations Robespierristes (7 janvier 1795). Il fait sortir de prison bon nombre dinnocents et expulse des fonctions publiques tous les hommes attachés à la faction de Robespierre qui les y avait entassés. Mais dans le même temps, celui qui n'avait pas voté la mort du roi, prononce le 21 janvier 1795, date anniversaire de la mort de Louis XVI, à la Cathédrale de Strasbourg, un discours vibrant de républicanisme. De retour au sein de la Convention, Bailly fait le rapport de ses opérations et continue de combattre avec beaucoup dénergie le partie des Robespierristes.

Dubois-Crancé, député des Ardennes à la Convention ayant cherché à effrayer lensemble des conventionnels sur le progrès des royalistes en faisant publier son discours, et sétant fait applaudir par les quelques députés qui restaient encore attachés au système de Robespierre, Bailly se retourna vers eux et leur dit « Messieurs de la ci-devant Montagne, vous nêtes pas encore les maîtres ». Assurément, ils ne létaient plus depuis le 9 thermidor, qui avait abouti à lexécution, sans jugement, de 72 Jacobins. Bailly remplit les fonctions de Président de la Convention, le 16 prairial An III (4 juin 1795) en remplacement de Lanjuinais et durant la terrible journée de prairial An III.

Il ny déploie pas moins de courage que son collègue Boissy d'Anglas qui occupe le fauteuil avec lui. Précisons que lémeute du 1er prairial (20 mai 1795), causée par la famine, avait conduit une foule furieuse à envahir lenceinte de la Convention en criant : « Du pain et la constitution de 1793 ».

Les députés Vernier et Dumont ayant abandonné le fauteuil de président, cest Boissy dAnglas qui monta à la tribune. Comme les insurgés espéraient leffrayer en lui présentant la tête du député Feraud au bout dune pique, Boissy dAnglas salua respectueusement cette tête sanglante, calma la foule et put rétablir ensuite lordre au sein de lAssemblée en faisant intervenir la troupe. Bailly préside la Convention le 30 messidor An III (21 juin 1795) lorsquune députation de la section du Muséum, venue féliciter lAssemblée de sa victoire sur la réaction royaliste, demanda une constitution, il fit cette réponse : « La Convention saura maintenir la République par une constitution sage ; mais ce ne sera pas la république de Robespierre, la république des décemvirs, des hommes de sang ; ce ne sera pas la république de Paris, mais celle de tous les départements, parce que tous les départements concourent à sa défense … ».

Dans la séance du 19 thermidor (6 août 1795), Bailly accuse son collègue Goupilleau dexagérer le tableau de la réaction qui avait alors lieu dans le Midi contre les Jacobins, réaction plus connue sous le nom de «terreur blanche». À la même époque, il soppose avec force à la proposition faite par ses collègues darrêter tous les prêtres qui navaient pas prêté serment à la constitution et il annonce que le comité de sûreté générale, dont il est membre, « a pris à cet égard toutes les mesures que réclame la tranquillité publique ». Ici, comme auparavant, Bailly sinterpose le mieux quil peut pour protéger le clergé insermenté.

Le Conseil des Cinq Cent et l'expérience préfectorale

Après la promulgation de la constitution de l'an III, qui créait deux assemblées, le Conseil des Cinq-Cents, le Conseil des Anciens et un organe exécutif de trois Directeurs, Bailly passa par la voie du sort au Conseil des Cinq-Cents et en fut élu secrétaire le 18 juillet 1796.

Cette nouvelle assemblée, présidée par Pichegru, se range très ouvertement aux côtés du parti des Clychiens, que lon accusait de tendre la main aux Royalistes et qui sera renversé par le coup dÉtat du 18 Fructidor an V (septembre 1795). Cest en effet après avoir découvert la trahison de Pichegru, dont certains documents avaient été trouvés entre les mains dagents de Louis XVIII, que survint le coup dÉtat qui fut la première entrée remarquée du général Bonaparte en politique.

À la suite de ce coup dÉtat, les lois réfractaires contre les prêtres sont remises en vigueur, et la déportation en Guyane, que lon appelait à lépoque « la guillotine sèche », frappe bon nombre de conspirateurs et de conventionnels.

Il sagit dune période de réaction contre le mouvement royaliste et cest à cette époque que Fouché, ancien condisciple de Bailly à Juilly, met pour la première fois en œuvre un régime policier quil perfectionnera ensuite sous le Consulat de lEmpire, dont seront victimes bon nombre de conventionnels. Bailly, qui se range du côté des Clychiens, est à lépoque inscrit sur la liste des déportations pour la Guyane, lorsque cette liste est discutée au Corps législatif. Malès déclare ouvertement que son collègue Bailly ne peut pas être royaliste puisquil est prêtre assermenté et marié.

Cette indication est fausse puisque Bailly, certes ancien oratorien, navait cependant pas prononcé ses vœux de prêtrise ; cependant, ce mensonge sauvera Bailly de la déportation. Réélu au Conseil des Cinq-Cents par le département de lAube, sa région natale, en 1798, Bailly est dénoncé à la tribune comme « un royaliste échappé à la déportation de Fructidor et comme un lâche » par son collègue Gauran, mais cette accusation na pas de suite.

Durant le Consulat Bailly prend parti pour l'ordre que Bonaparte incarne après son coup d'État du 18 Brumaire. Il est aussitôt nommé Préfet du département du Lot, dans la fournée des premières nominations. À ce titre il est présent au sacre du 2 décembre 1804 à Notre-Dame de Paris. Sa conduite dans sa fonction de préfet est celle dun homme prudent et modéré. Bailly sait à cette époque concilier les intérêts et les partis opposés notamment sur le difficile problème de la conscription et réussit ainsi pendant 13 ans à se faire estimer de tous ses administrés et approuver du gouvernement qui le nomme Chevalier de la Légion d'honneur dès 1804 puis baron de l'Empire et officier de la Légion d'honneur.

En 1813, son administration ayant connu certains désordres, un sévère examen est ordonné et révèle que lhonnêteté de Bailly ne peut être mise en doute. Cependant, il savère que par faiblesse et négligence, il a toléré dans ses services des abus qui conduisent le gouvernement impérial à ordonner son remplacement.

Bailly est alors âgé de 53 ans et est contraint à la retraite. Il vient alors habiter avec ses trois enfants et son épouse Agathe Cormery, une modeste maison de campagne quil possède en Normandie. Il s'occupe de léducation d'Armand Louis, le dernier de ses trois enfants qui deviendra notaire à Dammartin en Seine-et-Marne, de Thérèse Sophie, et de Justine Louise (1798-1860) qui épousera Achille Louis Guillaume Bernier, notaire à Dammartin, fils de François Bernier, cultivateur dans lAisne et député à lAssemblée législative.

Le baron Bailly décède le 26 juillet 1819 à Paris, 57 rue des Saints Pères des suites dun accident de diligence survenu sur la route de Rouen, après avoir subi lamputation douloureuse de ses deux bras.

On connaît de lui un rapport sur lorganisation de la société nationale des Sciences, Belles-Lettres et Arts, In-8e quil présentera au Conseil des Cinq Cent au nom du comité dinstruction publique en 1799, ainsi que son rapport sur le jugement du dernier roi des Français.

Sources

  • Biographie des hommes célèbres de Michaud.
  • Jean Tulard, « Les préfets de Napoléon », in Les Préfets en France (1800-1940).
  • Archives Nationales.
  • Discours de Bailly sur le dernier roi des français.
  • Archives familiales Grundeler
  • Service du Sceau du Ministère de la Justice
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