- La rivière des alligators
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La Rivière des alligators
La Rivière des alligators est un film britannico-américain réalisé par Vincent Sherman et sorti en 1958.
Sommaire
Synopsis
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Ce qui suit dévoile des moments clés de l’intrigue.
L’action se déroule à la fin du XIXe siècle, en Afrique de l'Est. Danny, un Britannique, y est venu pour retrouver un ami cultivateur de tabac et dont il n’a plus de nouvelles. Il découvre que ce dernier est décédé en laissant une veuve, Maria. Danny tombe amoureux de la jeune femme, ce qui le détermine à s’installer au pays, à épouser Maria et à reprendre l’exploitation de son ami défunt. Le rapport des cultures s’avérant insuffisant, il se lance dans la chasse aux crocodiles pour le commerce lucratif de leurs peaux...
Fiche technique
- Titre : La Rivière des alligators
- Titre d’origine : The Naked Earth
- Réalisateur : Vincent Sherman
- Scénario : Milton Holmes d’après une histoire originale d’Harold Buchman
- Directeur de la photographie : Erwin Hillier
- Musique : Arthur Benjamin
- Chanson : Demain il fera jour, paroles et musique d’Henri Patterson, interprétée par Juliette Gréco (arrangements et direction d’orchestre d’André Popp)
- Effets spéciaux : George Blackwell
- Costumier : Felix Evans
- Décorateur : Terence Verity
- Montage : Russell Lloyd
- Pays d’origine : Royaume-Uni, États-Unis
- Langue de tournage : anglais
- Année de tournage : 1957
- Directeur de production : Adrian D. Worker
- Sociétés de production : Foray (Royaume-Uni), Twentieth Century Fox (États-Unis)
- Distributeur d’origine : Twentieth Century Fox
- Format : noir et blanc — 2.35:1 CinemaScope — son stéréo 4 pistes — 35 mm
- Genre : film d'aventures
- Durée : 96 min
- Dates de sortie :
Distribution
- Richard Todd : Danny
- Juliette Gréco : Maria
- John Kitzmiller : David
- Finlay Currie : le père Verity
- Laurence Naismith : le marchand de peaux
- Christopher Rhodes : Al
- Orlando Martins : Tribesman
- Harold Kasket : le capitaine Arabe
- Blasio Kiyaga
- Modesta
Autour du film
- Juliette Gréco : « Gréco tournera (sans Zanuck) dans un film anglais avec Richard Todd et un crocodile, un vrai, mort et puant, un bush baby et un opérateur se prenant pour Éric von S. scrutant le ciel plombé qui protège le Lac Victoria en plein cœur de l’Afrique et avec une loupe façon monocle entre deux parties de cricket en attendant une lumière moins dure. Jujube fera l’apprentissage de la cuisine anglaise qui n’est pas aussi mauvaise que l’on veut bien le dire, mais restera perplexe devant les desserts « gelées » aux couleurs peu crédibles. Elle finira le tournage du film à Londres et aimera les Anglais. Ils sont légers, charmants, héroïques quand il se doit et présents quand il le faut, mais jamais quand il ne faut pas. Ils boivent avec autant de conviction le thé et le gin et vous ouvrent leur maison comme nous n’avons jamais su le faire. Ou bien Jujube est-elle mal tombée ? »[1]
Lien externe
(fr+en) La Rivière des alligators sur l’Internet Movie Database
Notes
- ↑ Jujube, mémoires de Juliette Gréco, Éditions Stock, Paris, 1982, ISBN 2-234-00816-6.
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